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Et si on était plus gentil.le?

T’sais, la vie va vite. On l’dit souvent pis des fois c’est cliché en maudit, mais c’est vrai. On a déjà tellement à faire pour soi-même, pourquoi on se préoccuperait autant des autres? J’ai souvent eu cette réflexion? est-ce que je suis la seule?

Mais dernièrement, je réfléchis beaucoup à mes actions et mes réactions. J’essaie d’être plus consciente de ce qui m’entoure, que ce soit les personnes qui me sont chères ou des inconnus, et de garder en tête que les gens peuvent vivre des choses vraiment difficiles sans que ce soit nécessairement visible.

À un moment donné, je me suis tannée de cet espèce de sentiment d’être blasée et de penser que anywé, j’ai pas d’impact. Je me suis dit : et si j’étais plus gentille.

Plus gentille avec moi, oui, mais aussi plus gentille avec les autres. Ne vous méprenez pas, je ne suis pas une personne horrible (en tout cas, je ne pense pas!), je crois être de manière générale, une personne qui care beaucoup pour les autres? mais j’ai réalisé que je pouvais prendre le temps d’être plus sensible aux réalités qui m’entourent.

Tenir la porte à la personne derrière moi, répondre aux questions d’un touriste perdu dans la ville, prendre le temps de discuter avec une personne en situation d’itinérance, moins juger les actions ou les paroles des personnes sans connaître le contexte en entier? Ça prend littéralement quelques secondes être gentil.le et je me suis rendue compte que trop souvent, je ne prenais pas le temps de le faire.

Ce qui a déclenché cette prise de conscience en moi, c’est un événement qui m’a beaucoup bouleversé. J’avais pour habitude d’ignorer les personnes en situation d’itinérance, elles me rendaient mal à l’aise et c’est difficile pour moi de l’avouer? Mais il y a quelques mois, pressée par le temps et courant vers un rendez-vous, je me suis fait abordée par un homme. Sa voix brisée et ses grands yeux tristes m’ont pris le c?ur en étau. Je ne pouvais pas l’ignorer. Je n’avais pas de monnaie, ce que je lui ai dit et il m’a répondu « est-ce que vous pouvez juste m’acheter une paire de bas, s’il-vous-plaît? Je ne veux pas de monnaie? j’ai tellement froid aux pieds et mes bas sont troués. »

Je n’avais pas le temps, c’est ce que je me disais. J’étais en retard? Je lui ai dit qu’en sortant de mon rendez-vous, s’il était encore dans les parages, j’irai lui acheter une paire de bas. Une heure plus tard, il n’était plus là et la honte, la culpabilité m’ont tellement envahies.

Qu’est-ce que cinq minutes dans ma vie à moi? Alors que ça aurait pu en changer beaucoup pour cet homme.

À partir de ce moment-là, je me suis promis de prendre le temps d’être plus gentille avec les inconnus, parce qu’on ne sait jamais l’impact que peuvent avoir nos simples actions dans la vie d’une autre personne?

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J’aurai toujours un chat

J’ai partagé ma vie avec des animaux depuis aussi longtemps que je me souvienne. Une famille de cinq, avec un chat ou un chien toujours dans les parages. Moi, j’ai toujours été un peu solitaire, préférant de loin la compagnie des livres, de la musique, de ma tablette à dessin, que celle des bandes d’amis qui partent faire la fête.

Enfin, j’aurais beau chercher, je trouverais toujours 1001 raisons qui expliquent mon amour et mon attachement aux animaux, de compagnie ou sauvages. Et c’est quelques-unes de ces raisons que j’aimerais partager aujourd’hui, que ce soit pour sensibiliser ceux qui ne connaissent pas ce privilège, ou encore, juste pour partager.

Au moment où j’écris, j’ai ma chatte couchée contre moi, dos à ma cuisse, recroquevillée en boule, pattes en l’air? Réalisez-vous ce privilège? Partager cette confiance avec un être vivant alors que nous parlons deux langages différents, incompréhensibles l’un pour l’autre. Au fil des mots, des regards et des caresses, au fil des attentions, de la nourriture (oui, je ne me méprends pas), un lien unique se tisse entre deux êtres d’espèces différentes.

En confiance, l’animal nous accompagne et nous regarde vivre. Il nous assiste dans nos devoirs en s’écrasant sur nos cahiers pendant ta révision. Elle décide qu’à 3h du matin, nos pieds sont une menace à déchiqueter sur-le-champ. Ou encore, elle nous regarde droit dans les yeux et miaule, ronronne, et nous flatte avec sa petite patte de velours.

J’énumérerais à l’infini des moments cocasses, hilarants, bouleversants, privilégiés, que mes animaux m’ont fait vivre.

J’ai perdu trois chats dans ma vie. La première fois, j’étais en voyage, je n’ai pas pu l’accompagner. La deuxième fois, c’était mon chat âgé de 19 ans qui accompagnait mes jours, mes nuits, mes joies et mes peines depuis mes sept ans. Cette relation fut unique et inoubliable et, jusqu’à la fin, j’ai témoigné a mon chat mon amour et ma reconnaissance pour tout ce qu’il m’a apporté. La semaine passée, ce fut ma troisième, avec qui j’ai passé 12 trop courtes années.

Pour ceux qui craignent l’euthanasie, j’ai envie de vous dire: n’ayez pas peur. Pour ma part, mes deux expériences avec des vétérinaires différents ont été faites avec tellement de soin, de délicatesse et d’empathie. Vivez ces derniers instants à l’image de tout l’amour que vous avez partagé. C’est un moment qui doit se vivre purement dans l’instant présent, car plus que jamais, ces yeux si vifs ont besoin des vôtres, avec toute la tendresse qu’ils recèlent.

Kitsch, mais profitez de chaque instant avec vos précieuses créatures. Admirez leur grâce, leur intelligence, leur personnalité, leur maladresse, leur curiosité. C’est juste vraiment un privilège d’en être témoin. Et c’est pour ça que j’aurai toujours un chat: ma vie sans leur magie n’en serait pas une.

Et à ceux qui ont déjà tenu le discours : « Mais, c’est juste un animal de compagnie. », eh bien? Je me dis souvent que mes chats sont mes enfants, ou parfois même ma s?ur, ou mon meilleur ami? Mais non, rien n’est plus juste que ce qu’ils sont en effet: des animaux de compagnie.

Oui, des êtres vivants qui partagent des moments de nos vies comme absolument personne d’autre sur Terre.

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Quand un programme d’étude évalue seulement la capacité à se bourrer le crâne

Depuis que j’ai recommencé mes études universitaires, je dois réapprendre à gérer certains des éléments que je trouve problématiques par rapport à cette scolarisation. Il faut dire que mes problèmes d’anxiété sont fortement liés à la performance. Pendant des années, j’ai puisé presque toute ma valorisation dans ma réussite scolaire. Jusqu’à ce que ce ne soit plus suffisant, et que je ne parvienne plus à fonctionner normalement. J’ai beaucoup travaillé sur cet aspect de ma personnalité. Et après beaucoup de réflexion, je suis retournée à l’université, même s’il pourrait sembler que c’est cette dernière qui m’a rendue malade.

J’arrive aujourd’hui à poser un regard plus neutre, moins émotif, sur cet établissement. Et je ne peux faire autrement que de remarquer de profondes lacunes. La culture de performance qui y est solidement ancrée vient déformer le système d’apprentissage.

Plutôt que de viser la compréhension, la capacité à appliquer les notions, à les généraliser… on vise une mémorisation d’une quantité si grande de thématiques qu’il devient presque impossible de toutes les assimiler et les comprendre. On exige une mémorisation presque complète de toutes les informations présentées; mémorisation qui est ensuite testée dans des examens où la seule façon d’évaluer l’apprentissage sera de poser un lot de questions à choix multiples.

Probablement que ce n’est pas le modèle de fonctionnement qui vaille pour tous les programmes universitaires. Cependant, c’est la façon de faire en psychologie. Un domaine qui vise l’intervention et la compréhension profonde des êtres humains. Qui forme ses étudiants à tout, sauf à être en mesure de pratiquer cet emploi. Je suis consciente que pour être psychologue, un doctorat est nécessaire.

Cependant, vu le fort contingentement des cycles supérieurs,  plusieurs étudiants (la grande majorité) compléteront un baccalauréat sans avoir la possibilité de suivre le reste de la formation. Après trois ans d’études intenses et des milliers de dollars d’investissements, je ne trouve pas qu’on offre à ces étudiants une réelle formation qui puisse être utile en milieu de travail. Dans mon cas, j’ai parfois l’impression que plusieurs bribes de notions me restent en tête, que j’arrive à expliquer divers phénomènes, à présenter mon point de vue sur des éléments de la pratique thérapeutique, mais que je suis loin d’être en mesure d’agir comme intervenant ou thérapeute.

Et si je ne suis pas admise pour la suite? Je rêve depuis bien des années de travailler sur un doctorat en psychologie. Mais je suis bien consciente que la concurrence est féroce et qu’il est bien possible qu’il me soit impossible de poursuivre cet idéal. Qu’est-ce que je serai en mesure de faire avec cette formation? Je n’aurai eu que très peu de cours concernant la thérapie ou l’intervention. Est-ce que j’aurai fait tout ça pour rien?

Et même si ce n’était pas le cas, j’ai l’impression que la majorité de l’apprentissage que j’aurai à faire en lien avec mon emploi devra se faire sur le tas, parce que ce que j’ai appris à l’université ne se révélera peut-être pas tellement utile sur le terrain. Bien sûr, j’ai choisi d’étudier dans ce programme par passion. J’y suis retournée parce que la psychologie demeurera toujours ma passion. C’est ce qui me fait vibrer. Et ce programme offre une solide formation théorique qui mène probablement de façon très pertinente aux cycles d’études supérieurs.

Mais il m’est difficile de me défaire de l’impression que ce que le programme vise, ce n’est pas de former des étudiants « compétents », qui auront bien assimilé les notions et seront en mesure de les appliquer, mais bien de déterminer quels étudiants sont les meilleurs pour mémoriser tous les concepts et quels étudiants ont le plus de temps à mettre dans la mémorisation des concepts.

J’ai discuté de cette problématique avec des étudiants d’autres programmes universitaires. Et cette impression revient chez beaucoup d’entre eux. L’impression de devoir se gaver de notions pour simplement les vomir sur la feuille d’examen et en oublier la moitié le lendemain. Et prier pour obtenir un A ou un A+, parce que c’est ainsi qu’on évalue notre valeur en tant d’étudiants.

Avec le recul que j’ai aujourd’hui, j’arrive à être beaucoup plus zen par rapport à cette exigence de la performance en milieu universitaire. Mais je ne peux faire autrement que de me questionner sur la valeur réelle d’une telle méthode de scolarisation (et d’évaluation).

Qu’en pensez-vous?

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Herbal Essences poursuit ses initiatives pour les personnes vivant avec un handicap visuel!

Vous êtes-vous déjà imaginé à quel point il doit être difficile pour les personnes ayant un handicap visuel de simplement aller faire des commissions? Les produits sur les étalages sont conçus en grande majorité pour les personnes voyantes, en fait, seulement 4 % des entreprises créent activement des produits qui seront faciles à identifier pour les non-voyants. Pourtant, à l’échelle mondiale, 253 millions de personnes vivent avec un handicap visuel.

Crédit: Herbal Essences

Afin de souligner la Journée mondiale de la vue qui eu lieu hier, Herbal Essences a annoncé qu’ils appliqueront dorénavant des différenciateurs tactiles à TOUS leurs produits, en plus d’offrir un site web et des plateformes sociales réfléchies et adaptées pour mieux servir la communauté de 500 000 Canadiens confrontés aux défis quotidiens associés à une vision limitée ou absente.

L’entreprise est vraiment une précurseuse en ce qui concerne ce genre d’initiatives puisqu’elle avait déjà entamé le pas l’année dernière, en commençant tranquillement à ajouter des différenciateurs tactiles sur ses bouteilles de shampooing et des bouteilles de revitalisant.

L’idée est venue d’une des employés d’Herbal Essences, Sumaira « Sam » Latif, responsable de l’accessibilité chez P&G, qui travaille là-bas depuis plus de 18 ans et qui est elle-même aveugle.

Crédit: Herbal Essence

Madame Latif a lancé cet effort pour aider les consommateurs ayant une vision réduite à différencier le shampooing du revitalisant en utilisant le sens du toucher, avec des lignes surélevées sur le shampooing et des cercles sur le revitalisant pour l’ensemble de la gamme bio:renew.

Tous les shampooings et revitalisants Herbal Essences auront des différenciateurs tactiles, dès janvier 2020, pour éviter la confusion durant la douche et aider les consommateurs, en particulier ceux ayant une vision réduite ou absente, à accomplir des tâches quotidiennes avec confiance.

Quelle belle initiative! Espérons qu’elle inspirera d’autres compagnies à faire de même!

P.S: Connaissez-vous Molly Burke? C’est une youtoubeuse canadienne (anglophone) aveugle qui crée constamment du contenu beauté et lifestyle vraiment intéressant sur sa chaîne. Herbal Essences a décidé de collaborer avec elle pour créer du contenu inspirant lié aux défis de la routine beauté pour les personnes mal-voyantes ou non-voyantes. On a hâte de découvrir ça!

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Apprendre de ses ruptures amicales

J’ai connu peu de personnes qui n’ont jamais vécu une rupture amicale, brutale ou non, avec ou sans explications. Ce n’est pas un sujet de discussion joyeux, mais déjà, reconnaître que ça arrive à pas mal tout le monde, ça fait nous sentir moins comme de la marde. Sur Ton Petit Look, on a écrit régulièrement là-dessus, et si une chose est certaine, c’est que quand ça blesse, c’est important de faire sortir le méchant.

Le sujet m’inspire beaucoup, car l’éloignement en amitié est souvent flou. Souvent, on ne « casse » pas vraiment, comparativement à une fin de couple. La plupart du temps, on diminue les rencontres, les messages, tout ça, jusqu’à ce que ça se réduise à des likes sur les réseaux sociaux.

Parfois c’est plus défini. Il y a vraiment un « on s’arrête là ». On sait que c’est terminé. C’est là que la rupture amicale peut faire vraiment mal et que ça peut ressembler à une rupture amoureuse avec un deuil pis toute, surtout quand la raison n’est pas super claire.

De mon côté, je me suis fait larguer amicalement il y a un moment. Je n’ai reçu que très peu d’explications et ça m’a poussée à réfléchir longtemps sur les rares indices laissés en chemin (après coup, évidemment).

Le temps a passé et il est arrivé un revirement de situation un peu weird.

Une personne avec j’entretiens une relation difficile m’a beaucoup rappelé la situation vécue auparavant avec mes anciens amis, sauf que cette fois, les rôles étaient inversés. Jusqu’à un certain point, j’ai donc pu me mettre à la place de ceux qui m’avaient dompée.

J’ai remarqué que dans les deux situations, l’amitié semblait converger vers une relation d’aide sans que personne n’en retire quelque chose. Effectivement, lorsque les difficultés* que vit une personne finissent par empiéter sur l’ensemble de la relation, cela peut être difficile à vivre, surtout lorsque nous nous sentons limités dans notre capacité à aider, mais que la personne continue de s’en remettre à nous. La personne n’est pas un problème, mais prendre ses distances peut alors être légitime, ne serait-ce que pour se recentrer.

L’amitié, c’est censé être quelque chose de totalement gratuit. C’est génial et poche en même temps: il n’y a aucun contrat là-dedans, mais ça n’empêche pas que la relation peut changer et on a le droit de quitter le bateau si ça ne nous convient plus. Il n’y a pas de « police de l’amitié » qui va nous arrêter. Se faire ghoster alors qu’on croit l’amitié réciproque et sincère reste tout de même un (très) gros manque de respect, la plupart du temps**.

En revanche, avec la personne concernée présentement, je ne lui ferai pas subir cette torture. Je tenterai d’avoir une discussion dans le respect afin qu’elle sache que même si j’ai fait mon possible pour être là pour elle, que j’ai mes limites dans ce que je peux lui apporter et que j’ai dorénavant moins de temps à lui consacrer. C’est ce que j’aurais aimé que mes ex-amis me disent. Je sais que ça lui fera de la peine, mais je préfère la tenir au courant de mon ressenti plutôt que de la laisser avec des questionnements sans réponse.

Ces expériences m’ont fait réaliser qu’il faut éviter de penser que les amitiés profondes sont absolument sans limites. Nous pouvons par contre faire de notre mieux pour vivre en bons termes et de savoir quelles sont nos limites personnelles. Il faut d’ailleurs ne pas hésiter à les communiquer dès que c’est nécessaire.

Si les choses ne se passent pas comme vous le souhaitez, sachez tout simplement qu’il n’y a aucun mal à s’entourer de personnes avec qui vous vous sentez bien. Vous n’êtes pas un.e mauvais.e ami.e simplement parce que vous avez besoin de prendre du recul et de penser à vous.

*Nous avons tous des moments plus difficiles, mais si votre ami.e pense au suicide, conseillez-lui d’appeler une ligne d’écoute (1-866-APPELLE) ou un centre de crise. Composez le 911 si votre ami.e parle de passer à l’action. 

**Si une personne est violente, toxique ou vous menace, vous n’avez pas à endurer cela sous prétexte que c’est votre ami.e. Couper les ponts au plus vite est une solution légitime pour vous protéger.

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Le Festival Zéro Déchet bientôt de retour

Nous sommes en pleine semaine de réduction des déchets. (Le saviez-vous?) Prenez-vous des mesures pour réduire la quantité de déchets que vous produisez? Depuis quelque temps, des tonnes d’astuces sont données un peu partout pour nous aider à réduire notre impact sur l’environnement. Si, comme moi, la réduction de déchet vous fait réfléchir et vous donne envie d’en savoir plus, le Festival Zéro Déchet de Montréal est l’événement parfait pour vous!

Festival Zéro Déchet/Facebook

En effet, la 3e édition du Festival Zéro Déchet débarque à Montréal!

Ce qu’il faut savoir, c’est que ça se passe du 8 au 10 novembre prochain, au Marché Bonsecours et qu’il n’y a pas de prix fixé pour le billet d’entrée, mais que l’événement demande une contribution volontaire. Aussi, certaines activités sont gratuites et d’autres sont payantes.

Les mots d’ordre du Festival Zéro Déchet? « Inspirer, outiller et agir. »

Au cours de ces 2 jours de festival, plusieurs ateliers, conférences et activités diverses auront lieu et voici les éléments de la programmation qui ont le plus capté ma curiosité:

Ateliers :

Être zéro déchet dans l’événementiel, un défi à relever!

Comment fabriquer son emballage en cire d’abeille

Les indispensables du ménage

Conférences :

Faire du zéro déchet au bureau

Les bébés zéros déchet

Remplir son ventre sans remplir les poubelles

Espace famille :

Atelier zéro déchet

Fabrication de décorations

Conte éducatif et écologique

Sincèrement, la programmation est géniale, tellement de chose à voir. Un beau 3 jours de découvertes et de rencontres uniques parce que plusieurs exposants (accessoires, produits et services, vêtements éthiques, etc.) seront aussi de la partie!

Que ce soit par curiosité, pour commencer ou pour apprendre, cet événement est la place où aller. Allons y faire un petit tour pour aider notre futur et notre environnement.

Une belle initiative importante et inspirante!

 

Envie de vous impliquer? Que ce soit en tant que bénévole, exposant ou partenaire, vous aurez votre place dans ce magnifique festival (voir les liens plus bas pour plus d’infos).

Pour toutes les informations, c’est ici:

Le site web du Festival Zéro Déchet

Page Facebook du Festival Zéro Déchet

L’événement Facebook du Festival Zéro Déchet

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Comment porter le « hatband », cet accessoire emprunté à la royauté

J’ai toujours eu une fascination pour la royauté. Des princesses sorties des contes de fées de mon enfance aux duchesses britanniques, tout m’intrigue: l’étiquette, les cérémonies guindées, les châteaux, les tenues toujours respectables, et plus récemment, le hatband.

Hybride entre un chapeau (hat) et un serre-tête (headband), le terme hatband a été inventé par Élizabeth Holmes, une journaliste qui suit de près la mode portée par les duchesses britanniques Kate Middleton et Meghan Markle pour son projet So Many Thoughts. Elle a remarqué l’apparition de ces accessoires capillaires au printemps, et ceux-ci ont graduellement accompagné, voire remplacé, le port des chapeaux lors des événements chics qui en requéraient!

Ce qui distingue le hatband du simple serre-tête, c’est la hauteur de celui-ci. Les hatbands sont capitonnés, molletonnés, rembourrés, et procurent un petit effet chapeau tout à fait chic.

Est-ce qu’il faut faire partie de la royauté pour essayer les hatbands? Bien sûr que non! Comment intégrer cet accessoire hors du commun à votre garde-robe? Je vous conseille d’y aller petit à petit, et en commençant avec une plus petite hauteur pour s’y habituer.

Porter le hatband: Pour tous les jours

J’ai toujours aimé porter des passes, probablement à cause de Blair Waldorf et de son chic indéniable digne de la princesse du Upper East Side qu’elle était. Je n’ose pas encore la hauteur vertigineuse des hatbands de véritables princesses, mais je trempe l’orteil dans le style à l’aide de modèles rembourrés légèrement, avec des détails noués, tel que ce modèle que je porte pour vous sur Instagram.

Porter le hatband: Pour sortir du lot

Prada a mis de l’avant ces serres-têtes capitonnés avec une petite touche de grunge dans son défilé pour la collection Printemps 2019, et j’adore l’effet pour l’automne!

Crédit : Monica Feudi / Indigital.tv/ Vogue

L’influenceuse Katie Sturino, que je vous conseille d’ailleurs de suivre sur les réseaux sociaux, porte souvent le hatband! Elle a d’ailleurs un projet, #supersizethelook, dans lequel elle reproduit en taille « plus » les looks de la royauté et d’autres vedettes, pour démontrer que la mode est accessible à toutes les silhouettes!

Porter le hatband: Pour une soirée princière

Pour une soirée digne de la royauté, un hatband ajoute une touche chic incontestable. La duchesse Catherine de Cambridge, qui les porte souvent, peut être une belle source d’inspiration avec ses hatbands agencés à ses tenues. Elle ose aussi aller vers les modèles décorés de fleurs, de perles et de dentelles, avec une hauteur impressionnante.

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The Duchess’s hatbands ? Last year we saw The Duchess put a modern spin on a classic style of headpiece, referred to in a number of ways, including the hatband, headband, kokoshnik, bandeau, halo band, or floral crown. 1. Jane Taylor ?Halo Band’ in burgundy (£840) 2. Juliette Botterill ?Gold Rose Headband’ in custom blue colour (£430) 3. Jane Taylor bespoke straw and pearl headband. 4. Jane Taylor ?Diamond Crepe Pleated Band’ (£575) 5. Jane Taylor ?Velvet Crescent Moon Headband’ (£890) The classic kokoshnik was a headpiece of Russian folkdress. They tend to be tall and crescent-shaped, tied at the back with ribbons, but varied in size. There are a number images of the Romanov Royal ladies wearing the distinctive headpiece (last year marked the centenary of the family’s tragic murder). The headband style also recalls the portraits of Tudor queens, who wore what was called a ?French hood’, closely resembling the kokoshnik, although they tended to be worn with a veil at the back. Last year we saw royal ladies across Europe wearing headbands more so than other years, even in the form of tiaras, if you look at Princess Eugenie and The Duchess of Sussex’s choice of wedding diadems. This headpiece also references the current trend in fashion for Alice bands, which has trickled down from the spring/summer 2018 catwalks and triggered a revival of the accessory. I have put some more affordable options in the last slide if you wish to shop for one. The Duchess’s go-to milliner Jane Taylor has been experimenting with the trend lately. She was responsible for creating a number of headbands for the wedding guests at both royal weddings last year, as well as four of the five headbands The Duchess of Cambridge now owns. I’m assuming Kate will add more to her collection this year. Are you a fan of the accessory?

A post shared by HRH The Duchess of Cambridge (@katemidleton) on Jan 21, 2019 at 4:07pm PST

Et pour vous, les hatbands, ça « passe » (hahaha) ou ça casse?

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3 types de chaussures parfaites pour affronter la pluie avec style

Je ne sais pas pour vous, mais j’adore l’automne. Les couleurs, la température qui permet enfin de s’habiller en couches, les activités, mais surtout, la pluie! Oui oui, la pluie! Par contre, sortir de chez moi pose parfois des défis quant à savoir quoi porter pour ne pas arriver à destination toute trempée. Je vous propose donc trois petits looks pour survivre à la pluie, en partant de trois paires de souliers qui ne sont PAS des bottes de pluie!

1- Les souliers de course

Pour de la petite pluie douce, mes souliers de course jumelés à des pantalons ? foncés, pour cacher les traces de la pluie ? font l’affaire. C’est toujours bon d’imperméabiliser ses souliers si on planifie de les porter souvent sous la pluie. Je le fais une fois par année environ, avec de la cire d’abeille, un spray imperméabilisant ou une de ces autres méthodes. Points bonus pour les bas de laine funky!

Crédit: Sara Rolin/ Unsplash

2- Les bottillons

Quand il pleut à en traverser les souliers de canevas, je me tourne vers mes bottillons (bien protégés par des produits!) jumelés à une tenue qui demande des jambes nues ou des bas collants. Ceux-ci sèchent bien plus vite que des pantalons pour les inévitables éclaboussures, et les parties humides ne paraissent souvent pas, ou très peu. J’adore la deuxième photo tout spécialement, et la tenue serait parfaite pour la pluie!

3- Les bottes de pluie courtes

Quand c’est la tempête du siècle, il ne sert à rien de prétendre qu’on arrivera sèche à notre destination si on ne prend pas les grands moyens. Si les bottes de pluie hautes traditionnelles ne servent pas ma tenue, j’adore les modèles de bottines Chelsea caoutchoutées parfaitement hydrofuges. Celles-ci sont stylées, disponibles en plusieurs couleurs, et complètent à merveille n’importe quel outfit!

C’est certain que LA chaussure de choix est la botte de pluie, mais je préfère avoir des options qui fittent avec toutes mes tenues.

Faites-moi savoir en commentaires laquelle vous préférez!

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3 types de chaussures parfaites pour affronter la pluie avec style

Je ne sais pas pour vous, mais j’adore l’automne. Les couleurs, la température qui permet enfin de s’habiller en couches, les activités, mais surtout, la pluie! Oui oui, la pluie! Par contre, sortir de chez moi pose parfois des défis quant à savoir quoi porter pour ne pas arriver à destination toute trempée. Je vous propose donc trois petits looks pour survivre à la pluie, en partant de trois paires de souliers qui ne sont PAS des bottes de pluie!

1- Les souliers de course

Pour de la petite pluie douce, mes souliers de course jumelés à des pantalons ? foncés, pour cacher les traces de la pluie ? font l’affaire. C’est toujours bon d’imperméabiliser ses souliers si on planifie de les porter souvent sous la pluie. Je le fais une fois par année environ, avec de la cire d’abeille, un spray imperméabilisant ou une de ces autres méthodes. Points bonus pour les bas de laine funky!

Crédit: Sara Rolin/ Unsplash

2- Les bottillons

Quand il pleut à en traverser les souliers de canevas, je me tourne vers mes bottillons (bien protégés par des produits!) jumelés à une tenue qui demande des jambes nues ou des bas collants. Ceux-ci sèchent bien plus vite que des pantalons pour les inévitables éclaboussures, et les parties humides ne paraissent souvent pas, ou très peu. J’adore la deuxième photo tout spécialement, et la tenue serait parfaite pour la pluie!

3- Les bottes de pluie courtes

Quand c’est la tempête du siècle, il ne sert à rien de prétendre qu’on arrivera sèche à notre destination si on ne prend pas les grands moyens. Si les bottes de pluie hautes traditionnelles ne servent pas ma tenue, j’adore les modèles de bottines Chelsea caoutchoutées parfaitement hydrofuges. Celles-ci sont stylées, disponibles en plusieurs couleurs, et complètent à merveille n’importe quel outfit!

C’est certain que LA chaussure de choix est la botte de pluie, mais je préfère avoir des options qui fittent avec toutes mes tenues.

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3 petits trucs simples pour manger végé un peu, beaucoup ou passionnément

Lorsqu’on décide de devenir végétarien (ou, du moins, de réduire sa consommation de viande), ce n’est pas toujours aisé de savoir comment s’y prendre sans trop se casser la tête et surtout, sans se mettre trop de pression. Heureusement, il existe à votre disposition plusieurs trucs et astuces pour faciliter votre transition de régime omnivore à végétarien/ flexitarien.

Je vous en propose aujourd’hui trois qui m’ont personnellement beaucoup aidée dans mon cheminement.

1. Faire une exception au resto

Tout d’abord, une action concrète à mettre en place est que vous pouvez décider de cuisiner végétarien à 100% chez vous, mais de vous permettre de manger de la viande lors de soupers au restaurant ou lors des repas avec des amis ou de la famille. Ainsi, on apprivoise peu à peu cette nouvelle façon de cuisiner et on n’appréhende pas ce genre d’événements (qui s’avèrent parfois un brin anxiogène au début) .

2. Modifier nos recettes préférées

Il est aussi possible de substituer la viande de nos recettes habituelles. Par exemple, au lieu d’utiliser du boeuf haché en réalisant son pâté chinois hebdomadaire, on fait un tour à l’épicerie en vrac du coin et on se procure de la PVT (Protéine Végétale Texturée). Le résultat est bluffant, et, cerise sur le sundae, on économise! Le tempeh, le très populaire tofu, les légumineuses, le végépâté et j’en passe, sont toutes de très bonnes options lorsque vient le temps de substituer. 

3. S’outiller en végé

Se procurer un livre de recettes végétariennes. Bon, cette astuce peut sembler évidente, mais c’est personnellement une idée à laquelle je n’avais pas du tout pensé à mes débuts en tant qu’ex-omnivore. Cela permet de réaliser qu’être végétarien, ce n’est pas se priver et cela règle du même coup les longues réflexions infructueuses à la sempiternelle question: « Qu’est-ce que je peux bien manger ce soir? ».

Finalement, le plus important est de se rappeler qu’il est inutile de se mettre de la pression et que chacun avance à son rythme, selon ses contraintes personnelles. De plus, un « écart de conduite » face au régime alimentaire que l’on souhaite adopter n’est pas un échec; il ne faut se décourager au moindre obstacle. L’important, c’est de continuer de se renseigner et de cheminer à son rythme!

Une multitude d’autres trucs du même genre existent, et plus le temps passera, plus vous serez en mesure d’en développer par vous-même et de faciliter la transition. Vos amis et votre famille qui adoptent déjà ce mode de vie sont aussi une bonne source de conseils, n’hésitez pas à leur en demander!