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La seule clinique privée qui pratique l’avortement au Nouveau-Brunswick ferme ses portes!

La seule et unique clinique qui pratiquait l’avortement au Nouveau-Brunswick vient de fermer ses portes par manque de moyens financiers. Puisque les lois provinciales encadrant l’avortement interdissent qu’il soit pratiqué ailleurs que dans des établissements hospitaliers, la clinique privée 554 survivait, dans les derniers temps, grâce à des donations de la communauté. C’est absolument consternant.

La Presse révèle aussi que si au Québec, une cinquantaines d’hôpitaux et cliniques pratiquent l’avortement, au Nouveau-Brunswick, les personnes qui désirent une interruption volontaire de grossesse doivent maintenant se rendre à un des deux hôpitaux de Moncton ou à celui de Bathurst maintenant que la clinique de Fredericton est fermée.

Pour plusieurs, cela impliquera des déplacements de plus d’une centaine de kilomètres, ce qui nécessite évidemment des ressources financières et matérielles (comme une voiture ou l’accès à un permis de conduire).

Le directeur médical de la clinique en question, Dr Adrian Eoin Edgar, a dû annoncer la triste nouvelle sur les réseaux sociaux et implore les chefs de partis fédéraux d’agir. « Je suis attristé que durant cette campagne électorale, nos leaders aient mis l’accent sur la possibilité de rouvrir ou non le débat sur l’avortement plutôt que sur la réelle crise actuelle : l’accès. » peut-on lire dans La Presse.

Pour l’instant, Jagmeet Singh a été le seul à répondre à cette nouvelle; il affirme par voie de communiqué que « les néo-démocrates feront de l’expansion de l’accès aux services d’avortement une priorité afin que des établissements comme la Clinique 554 puissent continuer à servir leurs collectivités ».

Source: La Presse

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« OD » : Trop de twist tue la twist

Eille, c’est moi où Occupation Double, c’est moyen cette année? Je l’écris pis ça me fait presque de la peine. Pas dans le sens que c’est dramatique, mais plutôt parce que l’année dernière, je me souviens que je prenais un malin plaisir à dévorer des yeux ce plaisir coupable télévisuel. Puis, le plaisir était décuplé par les nombreuses conversations que j’avais quotidiennement avec mes collègues sur le sujet (il faut dire que j’étais aussi rédactrice pour HollywoodPQ à ce moment-là et que j’en ai écrit des lignes passionnées et toujours un peu lol sur OD). Mais cette année… c’est le calme plat dans mon coeur de fan assumée de téléréalité.

Je n’arrive pas à m’attacher aux candidat.e.s. Et si je me fie à leurs profils, ce sont pourtant des personnes qui ont toutes le potentiel d’être tellement intéressantes à leur façon. J’ai envie d’en savoir plus, de les découvrir, de les entendre se confier… et sur autre chose que les maudites twists.

D’ailleurs, parlons-en des twists. Parce qu’une n’attend pas l’autre cette année. Eille, okay, une troisième maison, donc deux maisons de filles. Yééé, les gars sont contents. Mehhh, les filles de la Maison 1 sont frues que les gars soient aussi contents. On switch deux filles de maison parce que ça devrait faire de la bonne télé de troubler l’ordre établi et de leur enlever la seule stabilité qu’elles ont dans cet univers télévisuel créé de toutes pièces pour permettre à des belles personnes de « trouver l’amour » devant le plus de téléspectateurs possible. Ah pis là, y’a une taupe dans les maisons, mais finalement non (ou plutôt oui, mais c’est un peu trop littéral). Et il va y avoir un nouvel arrivage de mâles bientôt. Les filles sont excitées et c’est au tour des gars de trouver ça poche?

Je suis déjà épuisée d’essayer de résumer tout ça et ce n’est même pas moi qui dois le vivre pour vrai. C’est quoi la prochaine twist? Ou les 358 prochaines?

Je suis toujours partante pour une bonne twist bien pensée, mais là, j’ai l’impression que la production n’a même plus le temps de nous montrer des conversations ou des moments de qualité entre les candidat.e.s tellement le temps d’antenne est utilisé pour présenter une twist après l’autre.

Je ne sais pas pour vous, mais moi, ce que j’apprécie d’OD, ce n’est pas de voir souffrir le monde. Ce n’est pas qu’on les garroche dans des situations tellement improbables et anxiogènes que tout ce qui se passe, c’est des pétages de coche pis des crises de larmes. Je veux voir de l’authenticité, de l’humanité et des vraies de vraies connexions. Je veux voir du beau, je veux être touchée, émue.

Je sais que c’est peu probable que les couples qui se forment à OD se rendent jusqu’à échanger des voeux de mariage un jour (je suis une hopeless romantique, mais pas naïve pour autant), mais je veux voir les premières étincelles de leur amour se créer dans leurs échanges de regard. Je veux voir des petits sourires niais se dessiner dans les visages. Je veux des voyages et des moments remplis d’espoirs amoureux et de « eille, peut-être que ça se peut ».

Bref, si vous me le demandez, c’est sur que selon moi, trop de twist tue la twist.

Vous en pensez quoi?

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Rihanna sur le cover de Vogue

C’est une des meilleures nouvelles de la semaine : Rihanna est la nouvelle covergirl du Vogue! Sa grâce, son intelligence et sa beauté ont été tellement magnifiquement capturées sur la couverture, on ne se tanne pas de la regarder!

Ce n’est pas la première fois que Rihanna apparaît sur la couverture du Vogue. Elle a fait plusieurs couvertures de différents Vogue internationaux et elle est tout le temps aussi charismatique et lumineuse! Pour cette édition, la chanteuse a aussi réalisé une longue entrevue avec le magazine, où elle parle de sa marque de beauté et de mode, de son album à venir et du Président Trump.

Rihanna a confié au magazine que son nouvel album aurait des sons inspirés du reggae, un style de musique bien ancré dans sa culture. Bien qu’elle n’ait pas révélé la date officielle de sortie, l’album est attendu pour 2019. Elle a aussi fait un retour sur son refus de participer au spectacle de la mi-temps du Super Bowl, en guise de solidarité avec Colin Kaepernick (il avait mis le genou à terre lors du chant de l’hymne nationale en guise de protestation contre les violences policières et la discrimination raciale et a perdu sa job suite à son geste).

Depuis plusieurs années, la chanteuse prend position sur une tonne de sujets et c’est tellement une bonne chose considérant l’influence qu’elle a. Lorsqu’elle a sorti 40 teintes de fond de teint, en 2017, elle était la première à le faire. La norme de l’industrie était d’offrir une douzaine de teintes? Suite à son succès retentissant, la plupart des grandes marques de beauté ont emboîté le pas et se sont mises elles aussi à offrir une quarantaine de teintes. Rihanna se sert de son influence pour faire du bien et c’est une des raisons pourquoi on l’adore.

Pour lire l’entrevue complète, cliquez ici.

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Une compagnie d’ici crée une veste chauffante pour braver le froid

Cette saison, j’ai découvert la marque québécoise ewool et leur veste chauffante pour braver le temps glacial.

Il faut savoir qu’au cours des dernières années, j’ai testé plusieurs prototypes et articles chauffants de diverses compagnies. Brûlures et engelures étaient au rendez-vous. J’ai donné mon 110% pour tous ces essais!

Aussi, preuve à l’appui, lors d’une expédition vancouvéroise, je testais les vêtements athlétiques de la compagnie ewool. La sportive en moi était donc bien intriguée par cette nouveauté techno de la compagnie. Une démonstration s’impose!

Révolutionnaire? 

Lors du lancement de cette pièce, j’en ai profité pour poser toutes mes questions à l’un des créateurs, Alain Desmeules, et à l’ambassadeur de la marque, Alexandre Despatie. J’étais sceptique quant à l’efficacité de cet accessoire.

Testée dans les régions nordiques du Québec, l’ex- plongeur et olympien m’a toutefois affirmé que la veste ewool l’a protégé d’un froid digne du pôle Nord!

Le secret? La technologie derrière les éléments chauffants de ce produit québécois.

Instagram @ewoolwearables

Une armure pour jouer dehors!

D’une pente de ski enneigée aux journées de travail glaciales en passant par de longues balades à l’extérieur, cette veste promet de nous garder au chaud, peu importe les conditions.

Elle est simple à utiliser. Il n’y a qu’un seul bouton pour activer son démarrage. En quelques secondes, on ressent la chaleur se répandre sur tout le haut du corps. La batterie légère se glisse au dos de la veste. Elle promet quatre heures d’autonomie lors de grands froids allant jusqu’à -40 degrés Celsius.

Sobre, cette armure anti-froid n’attire pas l’attention. Ce n’est pas sa mission. Elle est conçue pour réchauffer.

Parée à combattre les intempéries lors de mes prochains périples, j’apporterai certainement cette veste dans mes valises!

Et vous, prêt.e.s à affronter l’hiver?

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Quelques conseils pour réduire doucement ses déchets

Depuis quelques semaines, j’ai commencé à entreprendre une démarche écoresponsable. Ça a commencé avec un petit défi que je me suis donné: fabriquer moi-même quelques produits. Plus tard, avec les conseils d’une amie, j’ai commencé à m’informer afin d’acquérir de nouvelles habitudes à long terme. Comme je suis vraiment novice là-dedans, voici quelques pistes qu’on m’a suggérées.

En faisant mes recherches, j’ai remarqué que l’argument le plus commun est que le zéro déchet, ça fait économiser. Que l’on soit très impliqué.e ou non dans la réduction de notre empreinte écologique, ça reste que les emballages occupent une bonne partie du prix total d’un produit. Les épiceries et les commerces zéro déchet permettent de se procurer en vrac des produits utiles au quotidien, donc sans emballage. Il suffit d’apporter ses propres contenants et de les remplir avec la quantité voulue. Certains commerces comme Familiprix commencent d’ailleurs à installer un espace zéro déchet.

En revanche, ce n’est pas tout le monde qui peut avoir accès facilement aux épiceries zéro déchet, surtout hors des grandes villes. Acheter local est donc une alternative qui permet non seulement d’encourager les producteurs d’ici, mais aussi de diminuer son empreinte écologique. Même si le produit final est emballé, son parcours a exigé moins de polluants.

S’informer sur les marchés saisonniers locaux est une bonne idée pour savoir quand se procurer certains fruits et légumes dans l’année. N’oubliez pas vos sacs réutilisables!

Vous pouvez aussi fabriquer vos propres produits. Personnellement, j’ai trouvé que les ingrédients étaient chers sur le coup, mais l’avantage est qu’ils pourront être réutilisés en masse. Les huiles essentielles que j’emploie pour fabriquer mon dentifrice, je peux les utiliser aussi pour mes produits ménagers et mon shampooing! Certains savons, comme le savon de Castille, peuvent servir autant pour se laver le corps et les cheveux que pour nettoyer la maison. D’autres produits, comme le marc de café, peuvent carrément avoir une deuxième vie. Le site internet des Trappeuses est d’ailleurs plein de conseils pour bien débuter là-dedans.

D’ailleurs, des recettes DIY, on en a ici. ?

Avant de commencer à fabriquer mes produits ou de trouver des épiceries en vrac, le plus simple pour moi était d’acheter l’équivalent durable d’un produit jetable. Encore là, ça peut paraître cher sur le moment, mais à long terme, c’est hyper pratique. En plus, il y a vraiment plein d’options; de l’essuie-tout durable aux serviettes hygiéniques réutilisables.

Je me suis aussi inscrite à quelques groupes Facebook dans lesquels on peut échanger ou donner les choses dont on n’a plus besoin. D’ailleurs, on peut toujours s’informer dans notre municipalité pour savoir quelles sont les initiatives pour redonner au suivant.

Et vous, quels sont vos trucs pour aller (tout douuucement) vers le zéro déchet?

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8 films à voir au Festival du Nouveau Cinéma 2019

Le (Festival du Nouveau Cinéma) FNC commence ! Et voici les films à voir lors de cette 48e édition, un échantillon de ce que le festival propose encore cette année…

1. La grande nuit Alien 

Pour commencer, ce n’est pas un, mais quatre films qui sont proposés ici pour une nuit spéciale Alien.
Oserai-je vous avouer que je n’en ai vu aucun? Oui! Mais il n’est jamais trop tard, n’est-ce pas? Si vous êtes dans mon cas ou si vous êtes un fan inconditionnel, c’est une bonne occasion de les (re)voir!

En plus ce sera au Cinéma Impérial, donc si vous n’y êtes jamais allé.e, c’est une belle salle de cinéma à découvrir!

2. Varda par Agnès de Agnès Varda (France)

La réalisatrice Agnès Varda nous a quittés il y a peu et laisse derrière elle de nombreuses ?uvres. Sa dernière réalisation (qui semble aussi être un au revoir au cinéma) nous présente « 60 ans de vie et de carrière, personnelle, engagée, féministe et éminemment espiègle ». Une belle manière de transmettre la passion; celle de l’image et des gens.

J’imagine que c’est aussi une formidable porte d’entrée pour les personnes qui ne connaissent pas l’?uvre de la réalisatrice.

3. The Whistlers de Corneliu Porumboiu (Roumanie)

Cristi est un policier corrompu qui doit apprendre le silbo (une langue sifflée ancestrale) afin de libérer un mafieux de prison.

Film policier roumain dont on nous dit : « Un peu comme du Tarantino, l’humour pince-sans-rire roumain en plus. » Pourquoi pas!

4. The Invisible life of Euridice Gusmao de Karim Aïnouz (Brésil)

C’est l’histoire de deux s?urs séparées par la vie, mais qui feront tout pour se retrouver.

Les films présentés à la section Un Certain Regard du festival sont souvent très bons, j’attends donc celui-ci avec une petite impatience.

5. Adam de Maryam Touzani (Maroc)

Un autre duo féminin (amical cette fois) et d’autres enjeux, ici celui de la maternité. Ce sujet est effectivement très sensible notamment parce que l’avortement y est interdit tout comme le fait d’être mère célibataire.

Premièr film de la réalisatrice, je trouve cela toujours intéressant de découvrir par le prisme du cinéma ce genre d’histoire.

6. Jojo Rabbit de Taika Waititi (États-Unis)

Un enfant allemand faisant partie des jeunesses hitlériennes a pour ami imaginaire une incarnation d’Adolf Hitler.

Il ne m’en fallait pas plus pour être intriguée par ce film. Je dois l’avouer, j’ai une petite passion (si on peut appeler ça comme ça) pour les films qui parlent de la Seconde Guerre mondiale, encore plus si cela est traité avec humour (To be or not to be de Lubitsch ou Inglorious Basterds de Tarantino, par exemple). Une petite comédie loufoque, ça fait toujours du bien.

7. Le Daim de Quentin Dupieux (France)

« Quentin Dupieux revisite brillamment le film de genre, absurde, en mettant en scène un blouson qui parle à son propriétaire, Jean Dujardin. » (Critique du journal Le monde)

Comme l’an dernier, j’aime découvrir l’univers absurde du réalisateur au FNC et je ne raterai donc pas celui-ci.

8. Pompoko de Isao Takahata (Japon)

Pour finir, voici l’un des seuls longs-métrages d’animation de la programmation. Films des studios Ghibli datant de 1994, cette ?uvre pour petits et grands aborde, entre autres, les thèmes de l’environnement et de la cohabitation entre les Hommes et les animaux.

Je n’ai jamais vu ce film, mais il me semble tellement d’actualité qu’il m’a directement intéressée!

Quels sont les films qui vous intéressent le plus dans cette nouvelle programmation?

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4 enlumineurs coup de coeur pour avoir le teint qui glow

Je ne me maquille pas énormément, mais s’il y a bien un produit que je mets chaque matin sur mon visage, c’est un enlumineur! J’adore avoir un petit glow, et ce qui est bien avec les enlumineurs, c’est que c’est un moyen vraiment rapide d’avoir un effet bonne mine.

Côté produits, il y a plusieurs types d’enlumineurs et chacun a ses bons (et moins bons!) côtés. On peut les trouver sous trois formes principales : en poudre, liquide ou en bâton. Le choix d’un produit ou d’un autre peut dépendre de notre type de peau ou de nos préférences! Par exemple, un enlumineur en poudre est pratique pour les peaux mixtes à grasses tandis que les enlumineurs liquides ou en stick sont idéaux pour les peaux normales à sèches. Généralement, on applique l’enlumineur en dernier dans notre routine maquillage à des endroits clés comme le haut des pommettes, sous les sourcils, sur l’arête du nez et sur l’arc de cupidon (le haut de la lèvre supérieure). Voici quelques-uns de mes produits préférés quand vient le temps de rajouter une touche d’éclat à mon visage.

Retouch Highlight, d’Intraceuticals

Crédit: Intraceuticals

Celui-ci tient plus du sérum que de l’enlumineur, mais je l’adore! Quelques gouttes suffisent pour un éclat bonne mine immédiat. Son plus : il réduit les rougeurs et donne un look tout à fait naturel.

Disponible ici.

Bâton strobbing, de Maybelline

Crédit: Jean Coutu

Ce produit est facilement disponible en pharmacie et a l’avantage d’être abordable tout en créant un très beau look. J’aime le fait qu’on l’applique à l’aide d’un bâton et la texture du produit est intéressante. Attention toutefois de ne pas trop en mettre, question d’éviter l’effet « croûté »!

Disponible ici.

Liquid Diamond Bomb, Fenty Beauty

Crédit: Fenty Beauty

Cet enlumineur est vraiment cool, parce qu’il est sous forme liquide, mais s’applique à l’aide d’une bille qu’on fait simplement glisser sur la peau. L’effet est assez éclatant parce que le produit est rempli de paillettes qui s’éclairent sous l’effet de la lumière. Petit plus : il peut s’appliquer à d’autres endroits du corps, si désiré (comme les clavicules, par exemple!)

Disponible ici.

J’ai aussi fait une mini review sur notre compte Instagram, si vous voulez voir l’effet que ça donne!

True Match Lumi Glow, de L’Oréal Paris

Crédit: Jean Coutu

J’ai beaucoup utilisé cette palette pendant l’été, parce que les couleurs permettent de s’amuser avec différentes teintes d’enlumineurs. La texture en poudre en fait aussi un choix intéressant, mais je le déconseille si vous êtes du genre à vous mettre souvent les mains dans le visage. C’est un des désavantages des enlumineurs en poudre, ils ne tiennent pas toujours très bien!

Disponible ici.

Et vous, quels sont vos produits coups de c?ur?

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La chic boutique Swell & Ginger s’est établie à Montréal

C’est au coeur du Vieux-Montréal que la nouvelle boutique de vêtements Swell & Ginger s’est établie. Un endroit zen à souhait où un doux parfum vanillé nous accueille à l’entrée. Une visite guidée s’impose! 

À la découverte de Swell & Ginger

Hauts de cachemire colorés, foulards de mohair et bijoux raffinés: un vaste choix s’offre à nous. Influencée par le style minimaliste que l’on reconnaît aux pays scandinaves, la collection sur place propose plus d’une quarantaine de marques européennes et canadiennes.

Mon coup de coeur? L’entreprise française Des Petits Hauts. Celle-ci est composée de coquettes et d’élégantes robes ainsi que de chandails de lainage.

Une déco en pleine zénitude

Cactus, plantes et verdures agrémentent le magasin. J’aime particulièrement ce décor épuré en harmonie avec l’assortiment de produits offerts. L’atmosphère de cet endroit reflète la mission de l’entreprise qui se traduit dans une consommation responsable. 

La propriétaire, Annie Boisjoli préfère mettre de l’avant des pièces durables, confortables et de qualité qui perdureront au fil des saisons.

Un rendez-vous shopping en boutique et en ligne!

Crédit: Boutique Swell & Ginger

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C’est officiellement la fin pour les Bijoux Caroline Néron

On apprend ce matin, via TVA Nouvelles, que le couperet est tombé, les Bijoux Caroline Néron font officiellement faillite. Ça faisait déjà quelques mois que l’entreprise s’était placée sous la loi de protection de la faillite, avec l’intention de se restructurer et de se concentrer sur les ventes en ligne, mais le sauvetage des activités économiques n’aura finalement pas pu être réalisé.

Il y a un mois, on apprenait que Caroline Néron n’était pas en mesure de payer ses factures et ses dettes, mais elle gardait espoir de pouvoir continuer ses activités en ligne, à défaut d’avoir des boutiques physiques. Cela n’aura pas lieu, puisque l’entrepreneure devra aussi fermer son site Web et arrêter toute activité de vente en lien avec les Bijoux Caroline Néron.

Crédit: carolineneron.com

La fermeture était prévue pour hier, à minuit et une courte visite sur le site Web nous montre que les activités sont officiellement cessées. Toutes les commandes passées avant la fermeture du site Web seront honorées.

Cette fermeture nous amène à réfléchir à l’avenir de la vente au détail et des centres commerciaux. Avec la récente fermeture canadienne de Forever 21 et la baisse générale de fréquentation des centres commerciaux, les entreprises sont amenées à se poser des questions sur leur manière de faire des affaires, que ce soit en ligne ou en boutique.

Merci pour vos créations, Caroline Néron et bonne chance pour la suite.

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C’est ok de ne pas être full cohérent.e, on n’est pas des robots!

Avez-vous remarqué qu’il y a toujours quelqu’un.e pour nous ramasser quand on a le malheur de poser une action incohérente avec une de nos convictions?

« T’es écologique, mais t’as pas fait la marche? »

« Tu veux faire plus de sport, mais tu ne prends pas les escaliers? »

« Tu fais attention à tes dépenses, mais t’arrives en taxi? »

On a tou.te.s notre lot de convictions qu’on expose et défend plus ou moins intensément, selon le contexte. D’ailleurs, ces convictions peuvent évoluer au fil du temps parce qu’en échangeant, en se documentant, ou encore en vivant des expériences, eh bien, on évolue.

On travaille fort pour agir en cohérence avec ce lot de convictions et puis parfois, on se loupe, on flanche, on n’a pas le courage, on est mal informé.e., on n’est pas encore assez imprégné.e d’une conviction pour se défaire d’anciens réflexes.

Et puis, c’est correct, parce que nous ne sommes pas des robots. On a le droit de se fixer un objectif ambitieux et puis de s’en rapprocher à petits pas en passant par de multiples étapes intermédiaires. J’ai envie d’ajouter ici que c’est même ce qui fait notre charme en tant qu’humain.e!

Alors, c’est sûr qu’à annoncer (et soutenir) parfois intensément certaines de nos positions, on tend le bâton pour se faire taper sur les doigts, hein. Parce qu’involontairement, on déclenche un sentiment bien désagréable (also known as la culpabilité) chez son interlocuteur.trice qui dès lors va nous attendre au tournant… parce qu’il.elle est humain.e!

Il y a tellement de causes pour lesquelles on peut s’engager que la tête m’en tourne parfois. Il y a tellement d’habitudes que l’on peut changer dans son quotidien pour augmenter ses chances de rester en bonne santé que mon cerveau surchauffe parfois. Et tellement de comportements qu’on devrait éviter pour être plus ceci ou moins cela que parfois, je ne sais plus quoi faire ou par où commencer pour avoir une vie plus harmonieuse.

Hélas, à passer son temps à peser le pour et le contre, on ne vit plus. Ou du moins, c’est mon impression. Alors comme vous (je suppose), j’ai choisi quelques causes et deux ou trois habitudes santé accompagnées d’une coupe de façons de penser pour me sentir mieux.

Je les fais évoluer de temps à autre, et puis j’avance avec mes incohérences au risque de me faire ramasser et parfois? d’en ramasser quelques-un.e.s parce que je ne suis pas un robot, ahah!