Warner Bros. a enfin révélé la première bande-annonce de son film en live-action A Minecraft Movie, un projet en développement depuis près de dix ans.
Les premières réactions, qui trouvent la bande-annonce à la fois divertissante et légèrement bizarre, laissent entrevoir un potentiel succès pour le film, mais non sans une certaine controverse!
Les fans de ce jeu vidéo populaire, lancé en 2009, pourront enfin découvrir cet univers de blocs en live-action en avril 2025. Warner Bros. a donné un aperçu de ce projet ambitieux, A Minecraft Movie, réalisé par Jared Hess (connu pour Napoleon Dynamite, Nacho Libre, et Thelma the Unicorn).
L’interprétation de Steve, le célèbre personnage du jeu vidéo, par Jack Black est l’un des moments forts de la bande-annonce et laisse entrevoir un film mêlant action et humour.
En plus de Jack Black, le casting réunit Jason Momoa dans le rôle de Garrett Garrison «The Garbage Man», Sebastian Eugene Hansen dans le rôle de Henry, Emma Myers dans celui de Natalie, Danielle Brooks dans le rôle de Dawn, ainsi que Jennifer Coolidge!
Le film A Minecraft Movie, est prévue pour le 4 avril 2025.
Celle qui a passé les derniers mois à incarner Rose La Poune Ouellette sur scène dans la pièce La Géante cachait une belle surprise lors de ses représentations, soit un petit être dans son ventre.
«Été magique. Sur La Géante. Et dans mon bedon. Une chance que c’est la fin de la run parce que… mes jeans ferment pu – Il aura fait 22 spectacles avec moi.», dévoile avec grand bonheur la future maman.
La jeune femme termine une étape avec la populaire pièce musicale, mais une toute nouvelle aventure l’attend, soit celle de maman.
Dès le 3 septembre sur ICI Tou.tv ou le 15 septembre sur ICI Télé, Cirkus débarque dans le petit village tranquille de St-Joseph-du-Tubercule.
Il serait normal de croire que l’arrivée d’un cirque apporte beaucoup de joie, mais comme Cirkus s’est installé sur un terrain convoité par la famille qui règne sur la production de navets et qui souhaitait éventuellement accroître sa production, il en va autrement.
Aria, elle, est particulièrement heureuse de l’arrivée de Cirkus! La jeune fille qui se fait toujours dire qu’elle est trop intense, trop bizarre ou encore qu’elle rit trop fort, s’ennuyait dans son village. Cirkus, avec son grand chapiteau, ses roulottes colorées et ses artistes excentriques aux multiples talents, met un peu de magie dans son existence et lui permet de se sentir un peu plus à sa place. D’autant plus qu’elle se lie d’amitié avec Sasha, un jeune clown de la troupe.
D’ailleurs, le jeune Sasha aura besoin de l’aide d’Aria afin de sauver son cirque. Méga Cirque, un cirque «moderne» dirigé par Magique Maurice, a recruté la moitié des membres de la troupe et a volé leurs dates de tournée! Sans compter les mécontents qui souhaitent que Cirkus plie bagage afin de reprendre possession du terrain.
Un tas de péripéties et de rebondissements attendent le duo joué par Coco LeMay et Alex Dupras.
Suivez la folle aventure d’Aria, qui découvrira une nouvelle passion… et une nouvelle famille!
Juin 2025, c’est la date à laquelle le mandat du Lab-École prendra officiellement fin; un mandat qui aura duré huit ans plutôt que cinq comme prévu à la base.
Ce sont six écoles d’inspiration scandinaves qui auront été construites durant ces huit années et ce seront malheureusement, les dernières.
Lors d’une conférence à ce sujet, le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a mentionné que la fin du projet était une décision prise par les fondateurs du projet: Pierre Thibault, Pierre Lavoie et Ricardo Larrivée. Que ce choix n’a pas été fait par un gouvernement qui aurait eu envie de couper dans la construction ou la rénovation d’écoles au Québec.
Par ailleurs, dans un communiqué publié sur le site web de l’organisme Lab-École ainsi que sur leur compte Instagram, il est mentionné ceci:
«Dans la dernière année, le conseil d’administration a pris la décision de mettre fin aux activités du Lab-École considérant que le mandat est pleinement réalisé et davantage.»
Malgré cette décision, les fondateurs ne cachent pas leur déception de ne pas avoir été en mesure de mener à bien un projet de Lab-École à Montréal où le nombre d’écoles vétustes est le plus élevé de la province. Il semblerait qu’il n’aurait pas été simple d’obtenir un terrain sur le territoire du CSSDM, mais que Griffintown aurait été un quartier parfait pour un tel projet.
L’architecte Pierre Thibault mentionne que l’objectif de ce projet novateur était d’inspirer et de donner un élan de créativité à la construction de lieux d’éducation. Maintenant, ce qu’il souhaiterait, c’est voir cette créativité continuer de s’exprimer à travers les nouvelles constructions scolaires, mais s’il ne s’agit pas de Lab-École.
Il est certain que lorsque l’on comprend la mission de ces écoles, il est difficile de ne pas être déçu d’apprendre qu’elles seront très peu nombreuses, finalement.
L’objectif du Lab-École n’est pas seulement d’innover sur le plan architectural, mais de revoir le rôle de l’école, tout simplement. Il ne s’agit plus de l’école traditionnelle telle qu’on la connait, mais bien d’un lieu où l’accompagnement est mis de l’avant; une approche socioaffective plutôt que coercitive. Du renforcement positif, plutôt que des punitions. C’est une école publique, pas de sélection. Une école de quartier pour tout le monde. C’est un lieu qui se veut accrocheur, où l’on sort de l’enseignement magistral pour aller beaucoup plus dans la pratique, mais sans perdre la transmission de connaissances.
Dans un article de Radio-Canada, les fondateurs mentionnent que bien que le gouvernement n’ait pas terminé le projet, la collaboration n’a pas toujours été simple.
Selon Pierre Lavoie: «L’éducation n’est pas encore une priorité au Québec. Peu importe le gouvernement, on doit rebâtir. Les écoles du Québec ont 60 ans», rapportait Radio-Canada.
Pierre Thibault, quant à lui, déplore que: «Dans les grands ministères, on voit que les sous-ministres changent souvent, que les équipes changent souvent. C’est difficile de maintenir le cap de l’innovation quand toutes les équipes changent».
Ce à quoi RicardoLarrivée a ajouté que: «Dès que les gouvernements sentent qu’il y a de la pression économique, qu’il y a des élections, ils sont tous pareils: ils ont peur. Alors, ils réagissent avec précaution plutôt qu’avec vision. C’est le rôle des citoyens de leur rappeler: non, au contraire, on veut une vision.»
C’est donc la fin pour ce projet qui a démontré qu’il était possible de repenser l’école et de la sortir de son cadre traditionnel où les élèves n’arrivent pas toujours à tous trouver leur place.
C’est finalement ce week-end que le grand jour avait lieu et qu’ils se sont dits oui!
Plusieurs anciens candidats de la même saison ont assisté à l’union, comme on a pu le voir dans de nombreuses stories, notamment celles de Vincent Beauregard, Stacy Giannopoulos, Noémie Marleau, Kevin Lapierre, et Julie Munger.
Ce n’est pas tout, on a aussi pu les voir tous réunis aux côtés des nouveaux mariés, chantant la chanson thème de la populaire télé-réalité.
Une soirée où les célébrations étaient de mise!
Ils étaient d’ailleurs tous les deux rayonnants…
Toutes nos félicitations à Carl et Andréanne et longue vie aux jeunes mariés!
Lors de leur passage récent au balado Tout le monde s’haït, Alicia Moffet et son conjoint Frédérick Robichaud ont abordé les défis liés à la maternité, notamment depuis qu’Alicia est s’est séparée d’avec le père de son enfant.
Elle a confié aux animateurs, Marylène Gendron et Sam Cyr, qu’elle a toujours été une personne maternelle et qu’elle souhaitait devenir maman jeune. Cependant, après sa séparation avec le père de sa fille Billie Lou, Alexandre Mentink, elle a ressenti beaucoup de pression.
Alicia explique qu’elle n’imaginait pas possible une séparation pour sa part, étant donné que ses parents se sont séparés lorsqu’elle était jeune. Elle voulait éviter de se retrouver dans la même situation:
«Fred, il m’aide évidemment, mais Fred ne peut pas être autant hands on que si c’était son père. On a des discussions souvent (sur le fait) qu’il n’a pas à faire ça […], mais t’sais, ça fait en sorte que veut, veut pas, je suis mère monoparentale. Bien, c’est beaucoup plus difficile, c’est beaucoup plus challengeant, fait que c’est beaucoup moins le fun des fois. Tu te retrouves à culpabiliser et à être comme cr*sse, pourquoi j’ai pas de fun?. Puis, là, je m’en vais la chercher et je suis comme f*ck, qu’est-ce que je vais faire avec aujourd’hui?. Puis,là, tu te mets de la pression, parce que tu ne veux pas qu’elle s’emmerde, parce que peut-être que chez son père elle ne s’emmerde pas. C’est interminable les challenges.»
La chanteuse a également abordé le fait que depuis qu’elle montre moins sa fille sur les réseaux sociaux, tandis que son ex la montre davantage, elle se fait encore une fois juger:
«Vu que je ne la montre plus vraiment,puis son père la montre plus, bien là c’est comme: Sa mère n’est pas présente, puis elle est jamais avec sa mère, puis je suis comme: Dude, elle est autant chez nous. Vu que je la montre moins, c’est comme: Bien elle est où ta fille?Me semble que tu pars toujours en voyage sans ta fille.»
Fred a ensuite pris la parole pour préciser qu’il n’y a pas de manuel pour être un beau-père et que, évidemment, il ressent lui aussi une certaine pression pour que Billie l’aime et l’accepte!
La comédienne, désormais grand-mère, vit en effet au quotidien avec ses petites-filles et peut ainsi savourer ces moments magiques!
«Je suis en bigénération avec ma fille, qui a trois filles. Alors ça, c’est le fun. Puis, (…) c’était la rentrée (…) C’était excitant, la plus vieille rentre en première année et les jumelles à la maternelle quatre ans. Alors, écoute… ça bougeait, il fallait activer, les minutes étaient comptées (…)», dévoile-t-elle.
Le titre de grand-maman semble d’ailleurs lui donner une énergie renouvelée!
«On parle du temps qui passe, de la vieillesse… bien là, à contrario, c’est la jeunesse que je garde. Parce que bon dieu qu’ils me tiennent en forme!», ajoute avec amour l’ancienne star de Virginie.
Un instant de télé, de bonheur, en compagnie de Chantal Fontaine!
Une partie du duo des sœurs Boulay, Mélanie Boulay, souligne un grand accomplissement: la sortie d’un roman qui rejoindra assurément toutes les mamans. L’artiste autodidacte embrasse la littérature après avoir touché la poterie et la peinture avec succès!
Elle a tenu à souligner la sortie de son roman, La naissance d’une mère, chez Parfum d’encre, avec la publication d’un joli cliché avec ses garçons sur Instagram.
«C’est aujourd’hui le grand jour. La sortie de mon livre La naissance d’une mère. Je pense qu’en choisissant de nommer ses propres vérités, qu’elles soient lisses ou pas, qu’elles correspondent aux normes ou pas, on permet aux autres de le faire aussi. J’espère que celles et ceux qui en ont besoin trouveront refuge dans mon récit», écrivait Mélanie en faisant preuve de transparence et de vulnérabilité.
Le roman raconte un récit de maternité, celui de Mélanie Boulay:
«Lorsqu’un enfant naît, une mère naît aussi. Et c’est au fil des épreuves et des nuits blanches, de l’amour et des émerveillements, des soins prodigués et de l’éducation inculquée, du travail qui reprend et de la vie qui se poursuit, que l’on apprend à être parent.»
C’est ce qu’on peut lire du résumé disponible sur le site Web de la maison d’édition.
L’autrice-compositrice-interprète, en plus d’en être l’autrice, est également l’illustratrice de son œuvre!
Définitivement un très bel accomplissement pour la maman-artiste…
Après avoir voyagé au Royaume-Uni en famille durant l’été, c’est maintenant le temps de la rentrée! C’est ce que Martin Juneau souhaitait souligner, alors que sa fille Léonie franchissait une grande étape.
En effet, c’est sur Instagram que le fier papa a partagé une story de sa fille Léonie faisant son entrée au secondaire!
«Je partage cette photo de Léonie sans sa permission… mais tsé mon bébé commence le secondaire!!! Je suis fier de toi Ninie!», écrivait-il dans un petit texte qui accompagne une jolie photo de sa fille en uniforme devant sa nouvelle école.
On lui souhaite une belle année dans sa nouvelle école!
Cet événement festif aura lieu le samedi 31 août 2024 dans le cadre du festival BLVD et vous êtes invités à venir célébrer ces adorables petits chiens.
L’année passée, ce sont plus de 200 chiens de race corgi qui ont défilé devant des milliers de spectateurs. Cette année, l’événement espère bien battre ce record.
La journée commencera par une pawrade qui partira de la Place Guilbault et se terminera au parc des Amériques.
Les chiens participeront au concours du corgi le plus stylé, sous le thème «Corgi au Pays des Merveilles». Attendez-vous donc à des costumes créatifs!
L’événement est gratuit et ouvert à tous, et le «Corgi Pawty» s’inscrit dans le cadre du festival BLVD, qui se déroulera du 29 août au 1er septembre 2024.
Venez partager un moment unique en famille ou entre amis le 31 août à Montréal dès 16h à la Place Guilbault!
Il est toujours temps d’inscrire votre Corgi à l’événement grâce à ce lien.