Comment avez-vous réussi à établir les règles de sécurité vis-à-vis des inconnus et vous assurer que vos enfants comprenaient bien?
Le 31 juillet dernier marquait le terrible 15e anniversaire de la disparition de Cédrika Provencher. Je ne pense pas me tromper en disant que la possibilité de ce genre d’évènement tragique a de quoi empêcher plus d’un parent de dormir. Depuis qu’elle est toute petite, mon conjoint et moi nous nous efforçons de faire comprendre à notre fille de 4 ans l’importance de ne pas s’adresser aux étrangers. Toutefois, un incident survenu cette fin de semaine me porte à croire qu’on a encore beaucoup de travail à faire pour qu’elle en comprenne bien le concept.
J’attendais avec elle à la pharmacie et il y avait beaucoup d’attente. J’étais assise sur une chaise et ma fille était sur mes genoux. Une dame s’est assise à côté de nous et lui a fait un clin d’œil. Ma fille lui a répondu avec un clin d’oeil. La dame a ri, elle la trouvait mignonne. Quand elle a quitté, j’ai dit doucement à ma fille qu’on ne connait pas la madame, donc on ne lui parle pas.
Quelques minutes plus tard, un vieil homme passe devant nous et ma fille lui fait un clin d’œil. D’emblée, il me dit : «Oh! Elle fait sa petite aguicheuse!». AGUICHEUSE. Elle a 4 ans! Devant un aussi mauvais choix de mots, le cœur me lève. J’ai figé, je n’ai pas été capable de répondre à l’homme que c’est quelque chose qui ne se dit pas, particulièrement à un enfant de 4 ans. J’explique en parlant assez fort pour me faire entendre des autres personnes assises près de nous, dont le vieil homme, que nous ne connaissons pas cet homme, que c’est un étranger, qu’on ne lui parle pas et qu’on ne fait surtout pas de clin d’œil à un étranger.
J’ai l’impression de me répéter constamment et que le concept de stranger danger lui demeure complètement étranger. À chaque année scolaire c’est le retour sur les réseaux sociaux de témoignages d’incidents lors desquels des enfants se sont faire suivre, se font demander d’embarquer dans une voiture ou offrir des bonbons par des individus qu’ils ne connaissaient pas. De voir comment mon enfant réagit en présence d’étrangers me fout la chienne.
En toute honnêteté, j’écris ce texte en espérant que les discussions s’ouvrent en commentaire et que je puisse aller puiser un peu dans vos conseils et ressources. Je ne sais plus comment aborder la chose avec elle pour qu’elle en comprenne bien l’importance.
Avez-vous un enfant qui n’est pas assez méfiant des étrangers?
Comment avez-vous réussi à établir les règles de sécurité vis-à-vis des inconnus et vous assurer qu’ils comprenaient bien?
La star s’est ouverte sur sa vie de famille avec l’acteur et leur fille Daisy Dove.
La chanteuse américaine Katy Perry a récemment dévoilé que son conjoint, Orlando Bloom, et elle souhaiteraient avoir un deuxième enfant prochainement.
Cette belle nouvelle a été partagée lors du lancement de la nouvelle boisson pétillante non alcoolisée créée par la star.
Katy Perry et Orlando Bloom ont accueilli leur premier enfant, une petite fille appelée Daisy Dove, il y a déjà presque deux ans.
En effet, le couple célèbre le deuxième anniversaire de leur fille durant le mois d’août!
Alors que cette joyeuse date approche à grands pas, la chanteuse et son mari pensent tranquillement à accueillir un deuxième enfant au sein de leur famille.
Lors de l’événement de lancement de la nouvelle boisson de Katy Perry, la chanteuse a admis qu’elle «adorerait faire grandir sa famille» avec son fiancé Orlando Bloom.
La chanteuse s’est aussi ouverte sur son quotidien avec sa fille Daisy Dove.
Elle a expliqué que sa fille adore se déguiser et danser, et qu’elle n’est vraiment pas gênée. C’est adorable!
Orlando Bloom et Katy Perry s’assurent d’avoir toujours un parent à temps plein avec la fillette et s’échangent les responsabilités entre le travail et la parentalité. C’est un beau travail d’équipe!
Les parents sont toutefois très discrets sur leur vie privée ainsi que leur vie de famille.
Peu de photos de Daisy Dove ont été partagées sur les réseaux sociaux.
Nous avons bien hâte de voir si Katy Perry et Orlando Bloom vont aller de l’avant avec le projet de bébé 2!
L’entreprise Clarks a récemment lancé deux modèles de chaussures à l’effigie de Pokémon, et ce sont des modèles parfaits pour les nostalgiques de cette émission japonaise!
Les deux modèles sont des chaussures de style Wallabee, un style qui semble rester populaire, peu importe les années qui passent. La nouvelle microcollection de Clarks comprend, pour le moment, deux modèles pour adultes et un modèle pour enfant.
Sur la page Instagram officielle de l’entreprise, d’autres photos de modèles différents ont été partagées, et c’est à se demander si ces chaussures seront aussi disponibles au Canada.
Pour le moment, seuls les deux modèles pour adultes sont disponibles sur le site web canadien. La chaussure noire est vendue au prix de 240$ tandis que la chaussure jaune est vendue au prix de 210$.
Le modèle Wallabee est une exclusivité de Clarks et la récente collaboration avec Pokémon donne tout un style aux chaussures! Espérons que les autres modèles aperçus sur Instagram seront aussi disponibles prochainement.
Les personnes qui accoucheront prochainement au Québec pourraient avoir à le faire sans épidurale, car une pénurie de cathéters utilisés pour ce genre d’anesthésie menace la province.
La nouvelle circule depuis quelque temps déjà pour les autres provinces, mais l’annonce officielle vient d’être faite ce matin par le porte-parole du ministère de la Santé et des Services Sociaux du Québec, Robert Maranda.
La pénurie affecte principalement les cathéters utilisés lors de l’épidurale. Cette intervention médicale analgésique consiste à insérer ledit cathéter dans l’espace épidural afin de pouvoir injecter un anesthésique local. C’est actuellement la technique médicale la plus efficace pour gérer la douleur lors d’un accouchement et plusieurs autres types d’interventions chirurgicales.
Les personnes qui accoucheront dans les prochaines semaines pourront faire face à un revirement de situation. Si leur plan d’accouchement comprend l’usage de l’épidurale dans la gestion de la douleur, il est possible que cela ne puisse pas se réaliser. D’autres moyens médicaux de gestion de la douleur seront disponibles, comme l’administration de médicaments intraveineux.
La pénurie de cathéters est provoquée par un manque de matières premières ainsi qu’un problème de certification de la stérilisation de l’outil médical en Chine. Selon un expert interviewé dans un article de La Presse, la plupart des hôpitaux québécois ont des stocks de cathéters pour le prochain mois, et un partage pourra se faire entre établissements afin d’assurer la continuation optimale du service pour toutes les personnes qui en auront besoin.
Cette situation est évidemment incroyablement fâcheuse et inquiétante pour bon nombre de personnes qui prévoyaient éventuellement avoir recours à l’épidurale durant leur accouchement. TPL Moms est de tout cœur avec elles!
Si suite à cette nouvelle, vous envisagez tenter l’expérience d’un accouchement sans médication, nous vous proposons cet article qui répertorie 10 techniques de gestion de la douleur.
La rentrée scolaire approche à grands pas, et plusieurs familles commencent déjà à penser à leur organisation afin de rendre le tout plus facile et agréable. Ce moment est souvent chargé de stress et de choses à faire, tant pour les parents que pour les enfants, et c’est pourquoi quelques conseils peuvent aider à améliorer l’expérience pour tous. Découvrez-en huit dès maintenant.
Préparer des menus
Avec le retour à l’école, les repas du soir peuvent être plus difficiles à organiser. Prenez-vous d’avance et planifiez des menus pour au moins la première semaine d’école. Ça vous fera un stress en moins.
Instaurer une routine
Lorsque l’école recommence, les enfants doivent généralement aller au lit un peu plus tôt. Instaurer cette routine quelques jours à l’avance aidera vos enfants à être prêts pour la rentrée scolaire.
Magasiner les fournitures scolaires à l’avance
Un parent préparé en vaut deux! Évitez la cohue du magasinage de fournitures scolaires (et les pénuries d’items) en y allant d’avance, dès le début du mois d’août.
Faire du repérage si c’est une nouvelle école
Votre enfant fait son entrée à la maternelle ou il a changé d’établissement scolaire? Profitez des quelques jours avant la rentrée pour faire du repérage avec lui. Comment est l’école, de quoi a l’air le terrain de jeux, etc.? Votre enfant se sentira plus à l’aise de commencer sa nouvelle aventure.
Faire un tri dans les vêtements
Que votre enfant porte un uniforme ou non, il est judicieux de faire un tri dans ses vêtements afin de voir ce qui est rendu trop petit et ce qui devra être changé.
Faire le tour des accessoires
Dans le même ordre d’idées, vous pourriez faire un tour des accessoires comme les boîtes à lunch et les coffres à crayons afin de voir ce qui est trop usé et ce qui doit être changé.
Réintégrer doucement l’apprentissage
Il peut être intéressant de doucement réintégrer l’apprentissage plus formel dans le quotidien de vos enfants avant que l’école recommence. Ainsi, ils seront déjà un peu plus habitués avec la routine des devoirs. Les activités peuvent être amusantes, comme faire des sudokus ou des mots croisés avec votre mini.
Réaménager le coin devoir
Si votre enfant a un coin devoir, profitez des quelques jours avant la rentrée scolaire pour le réaménager avec lui. L’endroit sera donc complètement fonctionnel dès le début de l’année scolaire.
Un des personnages joués récemment par l’actrice a vécu la même expérience…
L’actrice suédoise Alicia Vikander s’est récemment ouvert sur la fausse couche douloureuse qu’elle a vécue avec son conjoint, et son témoignage mérite d’être partagé. Alors que les discussions entourant les fausses couches sont encore taboues dans le milieu de la parentalité, de plus en plus de stars et vedettes en tout genre lèvent le voile sur leur propre expérience avec cette réalité difficile de la vie. Ces témoignages sont toujours très appréciés, puisqu’ils contribuent à normaliser ce qui est vécu par environ un couple sur 5.
C’est lors d’une entrevue accordée au journal Sunday Times que l’actrice a abordé sa fausse couche. Aujourd’hui maman d’un enfant avec son conjoint Michael Fassbender, Alicia Vikander a raconté que le parcours vers la parentalité a été semé d’embuches. En plus de vivre une fausse couche, l’actrice avait beaucoup de difficultés à tomber enceinte.
« J’ai longuement essayé de tomber enceinte. J’ai eu des moments difficiles pendant le confinement. Pendant un moment, j’ai pensé que je ne pourrais jamais avoir d’enfant », avait-elle raconté au Sunday Times.
Récemment, Alicia Vikander a revisité les émotions qu’elle a ressenties à ce moment précis de sa vie, puisqu’elle a joué un personnage vivant une fausse couche dans la minisérie Irma Vep. Le réalisateur Olivier Assayas a même avoué avoir pensé le rôle pour elle. Dans la série, le personnage d’Alicia Vikander doit rapidement remonter sur scène après son expérience douloureuse, ce qui est tout simplement inhumain. Malheureusement, encore aujourd’hui, la société traite les fausses couches comme un simple bémol médical qui se traite plutôt bien sans prendre en considération les dommages émotifs et psychologiques que cela entraîne. Un meilleur suivi thérapeutique ainsi que de plus grandes ressources devraient être offerts aux personnes vivant une fausse couche.
Dans tous les cas, on souhaite paix et amour à Alicia Vikander ainsi qu’à toutes les personnes ayant traversé une épreuve similaire.
Notre conception de la maternité est terriblement «blanche ou noire».
Je suis dans la trentaine. Je suis en couple avec mon conjoint depuis plusieurs années. On vient de s’acheter une maison. On a tous les deux le privilège d’avoir un travail qui nous permet de nous offrir de bons restos, des voyages, des festivals, des aventures. On est heureux. Un jour, bientôt, on voudrait peut-être avoir des enfants. J’ai toujours aimé les enfants.
Et cette semaine, je m’apprête à subir mon deuxième avortement en deux ans.
Je dis bien subir parce qu’un avortement est quelque chose qu’on subit, même quand on le choisit. J’y reviendrai.
La première fois, c’était pendant la pandémie. Quand j’ai vu le résultat du test de grossesse, j’ai sacré doucement. Un petit «f*ck» tout doux, suivi de demi-sourires partagés entre mon chum et moi parce que même si ce n’était pas ce qu’on voulait, c’était quand même un moment qui appelait à de la douceur. On s’est collés en cuillère pendant un long moment, à discuter des options qui s’offraient à nous. Des portes qui s’ouvriraient à nous et des autres qui se refermeraient peut-être à tout jamais. Des risques associés au fait de mettre fin à la grossesse (ou de la poursuivre, mais ça on n’en parle jamais hein? Enfin, c’est un autre sujet). Et surtout de comment ça changerait notre vie “là là”, si on décidait de poursuivre la grossesse.
On a décidé que ce n’était pas le bon moment («oui, mais y’a jamais de bon moment!»). Ce n’était pas la vie qu’on souhaitait pour nous dans l’immédiat («oui, mais faut pas toujours vouloir tout contrôler dans la vie! Si c’était un signe? Si ça ne marche pas dans le futur?»). Je me rends compte que ce qui est «difficile» dans cette prise de décision ne venait pas tant de nous, mais des autres. Des attentes. De «ce qu’il faut faire».
Du fait qu’on voudrait probablement fonder une famille un jour et même, dans les prochaines années. Pas genre dans 10 ans. Dans pas si longtemps. Genre moins de 5 ans. Moins de 3? Moins de 2? On ne sait pas. Mais pas maintenant.
Du fait que j’ai des amies qui essaient de tomber enceintes sans succès, et que je me confronte à leur tristesse tous les mois alors qu’elles m’écrivent que ce mois-ci encore, ça n’a pas fonctionné.
Du fait que «voir tous les points cités dans le premier paragraphe».
On a pris la décision d’interrompre la grossesse. On s’est dit qu’on avait encore trop de choses à vivre avant la parentalité. Qu’on s’essayerait «peut-être dans une autre année ou deux».
On est maintenant un an plus tard et je viens d’apprendre que je suis de nouveau enceinte.
Le premier indice c’était mon corps qui me l’a envoyé. Un bon midi particulièrement banal, alors que mes seins étaient sensibles, j’ai eu un flash. Je le savais. Avant même de faire le test de grossesse, j’ai pleuré pendant une heure complète dans les bras de mon conjoint. On ne se disait rien. Il n’y avait pas de mots. Comment est-ce que ça pouvait encore nous arriver? Qu’est-ce que les autres diraient? Est-ce qu’on est «obligés» de poursuivre la grossesse, puisqu’on vient de «subir» un autre avortement il y a un an à peine? Bon, là est-ce qu’il faut vraiment prendre ça comme un signe?
Pour ceux qui clameraient à la négligence: nous utilisons une méthode de contraception reconnue qui fonctionne à 93% du temps lorsqu’elle est bien utilisée. Apparemment, je fais partie du 7%. On a fait ce qu’on a pu pour éviter cette grossesse.
On a pris à nouveau la décision d’interrompre la grossesse. La parentalité, c’est quelque chose dont on n’a simplement pas envie «en ce moment» mon conjoint et moi.
Je vais donc subir un deuxième avortement dans les prochains jours. J’y reviens donc: même si on le choisit, on subit un avortement. La première fois, c’était pendant la pandémie, j’étais seule dans la salle d’attente de la clinique à remplir tous les formulaires. Seule à répondre aux questions de l’infirmière qui me demandait si j’étais certaine de ma décision. Est-ce que les femmes qui tombent enceintes et décident de poursuivre leur grossesse se font poser cette même question? L’impact de ne pas être certaine de sa décision me semble plus grand dans ce deuxième cas de figure. Seule quand on m’a fait passer une échographie. Seule sur un petit lit à attendre mon tour, mon cœur battant la chamaille. Seule dans la salle d’opération, avec des inconnues qui me demandaient ce que je faisais dans la vie pendant qu’une douleur aigüe m’empêchait de me rappeler ce que je leur ai répondu. Seule à la sortie de la salle d’opération, à attendre que s’estompent les effets du sédatif. Pour cette deuxième fois, j’opte pour l’avortement par médicament, chez moi. Je ne serai pas seule, même si cette décision implique potentiellement de subir plus de douleur, plus longtemps.
Mais le plus difficile dans tout ça, c’est qu’on continue de subir les effets de l’avortement après l’intervention (tout au long de sa vie aussi? On verra bien), par le biais des commentaires des autres.
L’amie qui te demande «Pis c’est tu pour bientôt vous autres?» alors que tu joues avec son nouveau-né. Apparemment cela confond beaucoup les gens le fait que j’adore passer du temps avec leurs enfants, mais que la maternité ne m’intéresse pas pour l’instant.
La collègue qui tombe enceinte, qui te dit que ce n’est pas idéal, ni prévu, ni voulu, mais qu’il faut voir ça «comme un signe».
La personne qui te dit, pensant rassurer: «oui, mais on ne se sent jamais vraiment prête pour la maternité, tu sais ».
L’autre qui te révèle «qu’elle ne pourrait jamais faire ça, se faire avorter» sans se douter que tu as rendez-vous dans trois jours pour un avortement.
C’est précisément là où je voulais en venir avec ce texte. Ce que je subis depuis un an me fait constater qu’on est terriblement «noir ou blanc» dans notre conception de la maternité. Soit on veut des enfants, soit on n’en veut pas. Et si on en veut, mais pas maintenant? Et si on ne sait pas si on en veut? Et si on en veut quelques mois après avoir subi un avortement? Et si on n’en veut toujours pas un an après cet avortement, même si on s’était dit qu’on se donnait “une autre année”?
Et si on était une nuance de gris?
Je manque cruellement de modèles de nuances de gris autour de moi.
Ce qui ne veut pas dire qu’ils n’existent pas, mais peut-être simplement qu’on n’en parle pas assez, que c’est tabou même? Alors j’en parle, pour toutes les femmes qui sont des nuances de gris.
J’ai récemment franchi la trentaine. Je suis en couple avec mon conjoint depuis plusieurs années. On vient de s’acheter une maison. Un jour, bientôt, on voudrait peut-être avoir des enfants. Cette semaine, je m’apprête à subir mon deuxième avortement en deux ans.
Je suis une nuance de gris, comme vous avez le droit de l’être vous aussi.
Les données récoltées seront précieuses pour la recherche et la conservation de ce papillon.
Le papillon monarque est un emblème de l’été au Québec. Son retour chaque saison estivale est signe de beau temps et sa vue émerveille les petits et les grands. Du 29 juillet au 7 août, Espace pour la vie invite les familles à observer le fameux papillon dans son habitat naturel et à noter toutes les informations pertinentes récoltées. C’est une belle activité à faire avec les plus jeunes, et ça permet à toute la famille de participer à une grande récolte trinationale de données (Canada, Mexique et États-Unis).
Considérant que le monarque a été inscrit sur la Liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature, il est plus qu’important de récolter un maximum de données sur les habitudes de vie de ce bel insecte ailé. Chaque année depuis six ans, des milliers de bénévoles canadiens, américains et mexicains unissent leurs efforts afin de participer au Blitz international de suivi du monarque.
L’Insectarium de Montréal participe à cette initiative mise de l’avant par le Partenariat scientifique trinational pour la conservation du monarque.
Pendant dix jours, du 29 juillet au 7 août, il suffit d’observer les monarques, les œufs, les chenilles ou les chrysalides de manière respectueuse et sans mettre en péril la sécurité de l’animal. Une fois les données recueillies, elles peuvent être transmises à Mission Monarque (au Canada).
Elles seront d’une grande utilité pour les chercheurs, notamment pour en savoir plus sur la répartition des monarques, le moment de reproduction et l’utilisation des ressources naturelles.
Alors, à vos loupes et carnets, et que l’observation des monarques commence!
Pour en savoir plus sur cette initiative, cliquez ici.
Cette course vise à amasser des fonds pour la Fondation CHU Sainte-Justine.
Si vous êtes à la recherche d’une belle activité à faire en famille à l’automne, nous en avons une à vous proposer! Il s’agit de la Course pour les enfants RBC, organisée au profit de la Fondation CHU Sainte-Justine.
La Course pour enfants RBC est un événement mondial qui se déroule au profit de différentes causes. Comme mentionné précédemment, au Québec, c’est pour Sainte-Justine que les coureuses et coureurs enfileront les kilomètres. La course se déroulera le 22 octobre 2022 en matinée, au parc Maisonneuve. Il est possible de s’inscrire dès maintenant à des parcours de 1km ou de 5km. Les frais d’inscriptions sont de 10$ par enfant et de 20$ par adulte.
L’objectif de récolte pour l’édition 2022 est de 500 000$! Outre les billets pour participer à la course, il est aussi possible de faire des dons ou d’acheter des billets sans faire un de deux parcours.
L’ambassadeur de l’année, Mathis, invite toutes les familles à participer à cette importante campagne pour soutenir l’hôpital qui le soigne depuis sa naissance.
«Sainte-Justine est une deuxième maison pour moi : je suis soigné ici depuis que je suis né. Venez courir avec moi le 22 octobre pour soutenir mon hôpital!», lance Mathis, 9 ans, ambassadeur de la Course pour enfants RBC.
C’est définitivement un événement familial à mettre sur la liste cet automne! En plus, de nombreuses animations seront faites sur place, comme un concours de costumes d’Halloween, des jeux gonflables et des maquillages.
Pour vous inscrire ou obtenir plus d’informations, c’est ici.
Les relations parents-enfants peuvent parfois être complexes…
La star américaine Jessica Alba a récemment dévoilé qu’elle consulte régulièrement en thérapie avec ses deux filles, Honor, 14 ans et Haven, 10 ans. Cette révélation faite lors de son entrevue avec le magazine Glamour UK (édition de Juillet/Août) ouvre la porte à une belle discussion sur les relations parents-enfants, surtout lorsque l’adolescence pointe le bout de son nez.
L’adolescence est une période qui est souvent mouvementée pour bien des jeunes. Il s’agit aussi d’un moment où parents et enfants doivent s’adapter à une nouvelle réalité dictée par l’afflux d’hormones, les relations amicales changeantes, un rythme de sommeil bouleversé, etc. Il est généralement normal que certaines tensions apparaissent à ce moment puisque les enfants entrent dans une période où ils en découvrent beaucoup sur eux-mêmes, sur la vie, et passent à travers une phase d’affirmation de soi. Ainsi, malgré une grande ouverture d’esprit de la part des parents, il est possible que les conflits soient plus présents avec les enfants.
C’est pourquoi on salue l’honnêteté de Jessica Alba, car cela nous rappelle collectivement qu’aller en thérapie est normal et même souhaitable dans certaines situations.
La star américaine avoue d’ailleurs que cela l’a beaucoup aidé dans sa relation avec ses enfants. Lors de son entrevue, elle explique avoir dit ceci à ses filles:
«Je ne suis pas parfaite. Je ne vais pas avoir toutes les réponses, mais je veux être un bon parent pour vous.»
Pour Jessica Alba, les séances de thérapie représentent des espaces sécuritaires pour ses enfants afin que ceux-ci puissent s’exprimer sur ce qui les dérange dans certains comportements qu’elle a comme mère. Cela leur permet aussi de développer de meilleures pratiques de communication tous ensemble et d’adapter leurs réponses à tous les changements qui surviennent lors de la puberté.
Il n’y a absolument aucun mal à reconnaître ses limites en tant que parent, et lorsque des stars s’ouvrent sur leur propre réalité, ça permet de briser certains tabous et d’aller collectivement de l’avant!
Pour lire l’entrevue complète (en anglais) de Jessica Alba, c’est ici.