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Le corps professoral de Star Académie 2025 (Garou, Pierre Lapointe, Émily Bégin et Véronic DiCaire) a été officialisé il y a quelques jours, mais il reste encore beaucoup de surprises à dévoiler avant la mise à feu de la septième saison de l’émission à TVA, l’hiver prochain. Nous nous sommes entretenus avec le producteur et animateur Jean-Philippe Dion et la productrice au contenu de Star Académie, Émilie Fournier, pour tenter de leur tirer les vers du nez…

D’abord, l’emplacement de l’académie n’a pas encore été décidé.

«On ne le sait pas encore, a spécifié Jean-Philippe Dion. On est dans cette recherche-là. C’est l’un des plus grands défis de Star Ac, trouver l’académie !» Rappelons qu’aux derniers rendez-vous de Star Académie, en 2021 et 2022, les académiciens étaient hébergés au prestigieux Manoir Maplewood de Waterloo.

Aux dires de Jean-Philippe Dion, même les galas du dimanche – jusqu’ici traditionnellement tenus aux studios MELS – pourraient se déployer ailleurs.

«Tout ça est en potentiel changement. On renouvelle l’académie et le décor complet du variété. On garde toutes les bases qu’on aime de Star Académie, mais il y aura un côté fresh qui va ressortir.»

Le producteur et son équipe ont ramé fort, en 2021 et 2022, avec une «amie» appelée COVID-19 en toile de fond, pour offrir des spectacles de qualité aux téléspectateurs malgré les circonstances difficiles. En 2025, pour la première fois depuis la «résurrection» du concept à TVA, Star Académie pourra accueillir des stars internationales et un public complet en studio, sans distanciation, et dans une réelle atmosphère de fête. «Aucune COVID ne sera tolérée sur le plateau!», a même blagué Nadège Pouyez, directrice générale, contenus originaux chez Québecor Contenu, en conférence de presse.

Est-ce que Céline Dion, qui a ravivé bien des espoirs avec son numéro grandiose à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, passera faire son tour à l’un des galas du dimanche? Pour l’instant, on ne peut que se croiser les doigts, avance Jean-Philippe Dion. Pierre Karl Péladeau, propriétaire de TVA, qui a publié des photos de lui et sa famille aux Champs Élysées et sur la Seine le jour de la cérémonie d’ouverture, aurait-il profité de son passage dans la Ville Lumière pour courtiser notre Céline…?

«J’aimerais beaucoup ça. Je ne suis pas rendu là, mais j’aimerais vraiment beaucoup ça», a lancé Jean-Philippe Dion, en précisant qu’Émilie Fournier et ses autres collègues de Productions Déferlantes bossent actuellement à contacter de grandes pointures de la musique d’ailleurs dans le monde.

Et Gregory Charles ?

En 2021 et 2022, Star Académie mettait beaucoup l’accent sur les compétences d’auteur-compositeur-interprète, que les candidats étaient invités à développer, entre autres, lors d’ateliers avec Ariane Moffatt ou d’autres professeurs invités (Vincent Vallières, Louis-Jean Cormier, FouKi). Est-ce que cet aspect sera aussi beaucoup prôné dans la prochaine mouture?

«Il y aura évidemment toujours de la création, mais on revient davantage à la notion de concours de chant, toujours avec pertinence. On sera, bien sûr, toujours dans les grandes voix. Star Académie, ça sera toujours ça. Mais on n’est plus dans les générations d’artistes qui acceptent les moules. Il y a maintenant beaucoup d’auteurs-compositeurs-interprètes et d’autoproduction. Ça sera un joyeux mélange des deux. Aujourd’hui, si tu as juste une grande voix sans identité artistique, ça ne passe plus pour le public», a observé Émilie Fournier.

Très présent à Star Académie 2021 et 2022 comme professeur de chant, Gregory Charles ne sera pas du noyau d’enseignants réguliers cette fois, mais il fera un saut à un gala du dimanche et/ou dans une quotidienne, nous a informé Jean-Philippe Dion, qui se dit toujours très proche de Gregory.

Quant au commentaire que celui-ci avait formulé en 2022, à savoir que les jeunes participants de cette cohorte, particulièrement, avaient la larme facile et paraissaient avoir du mal à encaisser les commentaires négatifs, Émilie Fournier en a pris note… Mais les profs de 2025 continueront de dire la vérité, quitte à bousculer les candidats, assure-t-elle.

«Je pense qu’il faut dire les vraies choses. Les jeunes n’ont pas envie de se faire cacher des trucs. Tout se dit; il s’agit de savoir comment le dire. Les artistes de notre corps professoral sont crédibles, et les jeunes qui s’inscrivent à Star Académie veulent apprendre. Tout le monde va se parler et, inévitablement, on devient une grande famille, parce qu’on passe des semaines ensemble!»

Par ailleurs, quelle sera concrètement l’implication de Lara Fabian à titre de marraine de l’académie, elle qui en avait été directrice en 2021 et 2022?

«Elle va revenir à quelques reprises pendant la saison pour faire profiter de ses connaissances aux académiciens. Lara est une maternelle d’instinct. Une marraine, ça prend soin, ça reçoit parfois des confessions spéciales, ça offre des moments ou des sorties inédites. Lara va incarner tout ça pour nos académiciens», a détaillé Émilie Fournier.

Les auditions de Star Académie, dont la première étape se déroule virtuellement au moyen d’envois de vidéos, se poursuivent jusqu’au 18 août. Émilie Fournier raconte que «ça ne dérougit pas» depuis le début, il y a un mois. «Même si on dit que les jeunes ne regardent plus la télé, on constate que les jeunes considèrent encore que Star Académie est une vraie plateforme d’apprentissage et de visibilité. Ça, c’est vraiment stimulant!»

Jean-Philippe Dion, lui, ne peut considérer plus beau remerciement pour tout le labeur investi dans Star Académie que de voir ses anciens poulains prendre leur envol et briller professionnellement. Le «papa» de l’académie est ainsi bien fier du triomphe de William Cloutier, gagnant de Star Académie 2021, dans la comédie musicale Starmania, par exemple.

«Je suis allé voir William à Paris. Je suis allé manger avec lui et j’ai été voir Starmania. On s’est justement écrit cette semaine. C’est une fierté exceptionnelle!»

Pour tout savoir sur les auditions de Star Académie, on consulte le auditionsstaracademie.ca.

La Presse rapporte que Robert Charlebois aura un documentaire qui sortira au cours de l’année 2025!

Le documentaire, intitulé «La vie extraordinaire de Robert Charlebois», retracera les moments importants de sa vie et nous transportera dans sa carrière d’artiste.

Le tout sera écrit et réalisé par Louis-Philippe Héneault et sera financé par Téléfilm Canada.

Le musicien, maintenant âgé de 80 ans, continue de faire plusieurs spectacles alors qu’il est encore en forme.

Nous pouvons d’ailleurs le voir en tournée un peu partout à travers le Québec jusqu’en mai 2025 dans des festivals et des salles de spectacles.

Pour des billets pour l’entendre, c’est juste ici!

La créatrice de contenu Claudie Mercier, qui est très présente sur la plateforme TikTok, a partagé une vidéo humoristique qui porte sur le sujet de l’achat d’une maison en 2024.

Dans sa vidéo, qui est une caricature d’une situation que plusieurs vivent de nos jours, la jeune femme tente de montrer à quel point il est présentement difficile d’avoir accès à une maison sans devoir débourser une somme astronomique.

Dans les commentaires, un internaute s’est alors interrogé à savoir pourquoi elle et son amoureux, Mathieu Pellerin, qui gagnent de très bons salaires, ne sont pas capable de s’acheter une propriété.

Elle a donc ressenti le besoin de répondre au commentaire, puisqu’elle affirme que ce n’est pas la première fois que cette question lui est posée!

« (…) À savoir que dans notre métier en tant que créateur de contenu, notre métier n’est pas stable. Oui, j’ai la chance que mon métier soit stable et fiable depuis les quatre dernières années, par contre, ça pourrait changer du jour au lendemain, donc notre salaire est vraiment incertain. Cette année, je peux avoir fait par exemple, un revenu de 250 000$, mais l’année prochaine je pourrais seulement faire 80 000$, on ne sait pas et ce que les gens semblent oublier c’est qu’on donne près de 50% de nos revenus aux impôts, donc si on fait le calcul… Oui, il nous reste quand même un très bon revenu, mais ça reste que c’est des trucs à prendre en considération (…)», expliquait-elle en mentionnant qu’ils ont le désir d’investir leur argent ailleurs et a affirmé que tout le monde a des priorités différentes.

Plusieurs ont trouvé sa réponse très cohérente et mature, cependant elle a reçu un autre commentaire où une personne s’interrogeait sur une partie de son discours et elle a donc, une fois de plus, décidé de rectifier le tir.

«Seulement 80 000$? C’est mon salaire d’infirmière au 12e échelon à temps plein», s’interrogeait l’internaute en question, en semblant trouver l’utilisation du mot seulement déplacée.

«(…) quand je disais seulement 80 000$, c’était pour faire une comparaison avec le 250 000$. Donc, si je passe de 250 000$ à 80 000$, on a un problème, si j’ai une maison à 800 000$ et que maintenant mon salaire a dropé de plus de 60%. C’était ça que je voulais dire, ce n’est pas pour dire que 80 000$ c’est pas un haut salaire, au contraire, je ne suis pas en train de faire des comparaisons de salaire pour ce que vous faites, ce n’était vraiment pas ça mon but, donc s’il vous plaît, on ne peux-tu pas retenir ça (…)», répondait-elle en commençant visiblement à être agacée de devoir sans cesse se justifier.

Si vous pensiez que nous avions fait le tour du sujet… eh non!

Fâché face à ce qu’il considère de l’injustice et de l’inégalité, un autre utilisateur lui a fait part de son avis, soit qu’il trouvait choquant de voir des gens qui sauvent des vies faire moins d’argent que Claudie qui, selon-lui, ne fait rien.

«(…) je veux juste dire quelque chose par rapport à ce commentaire-là, c’est que, je suis 100% d’accord que ça n’a pas de sens qu’une infirmière qui sauve des vies gagne 80 000$ par année (…) l’affaire c’est de shame le fait que moi je fais tant par année quand je n’ai pas choisi de faire ce montant-là. Quand tu deviens créateur de contenu, tu ne sais pas ça va être quoi ton salaire, tu es à la pige. Les gens m’écrivent pour faire des collaborations avec moi que je peux accepter ou que je peux refuser. Quand tu mets de l’avant ton image, ta réputation, que tu deviens l’image d’une marque, ça vaut un certain montant que moi je n’ai pas choisi. Donc, lorsque quelqu’un vient m’attaquer sur le salaire que je fais en disant que je ne fais rien, je trouve ça un peu malicieux. Je suis 100% d’accord que mon métier n’est pas aussi important que le métier d’une infirmière et ça je vais tout le temps le dire! (…) il n’y a pas de sous métier, il faut arrêter de comparer les métiers, de comparer l’importance des métiers (…)», expliquait-elle, en mentionnant qu’elle ne mérite pas de se faire rabaisser parce que son métier à elle lui permet de faire du divertissement et de parler de sujets importants.

Que pensez-vous de toute cette saga?

Les temps changent et les mentalités évoluent. Aujourd’hui, l’équipe de Star Académie doit s’ouvrir à des réalités qui étaient beaucoup moins présentes qu’il y a 21 ans, en 2003, lorsque le concours télévisé pétaradait pour la première fois dans nos téléviseurs québécois.

La diversité de genre en est un bon exemple. Le bassin de talents invités à s’inscrire à Star Académie 2025 étant âgés de 16 à 30 ans, TVA et Productions Déferlantes, qui orchestrent l’émission, s’attendent à recevoir des candidatures de personnes non-binaires et à devoir possiblement aborder des questions d’identité de genre à heure de grande écoute, devant plusieurs milliers de téléspectateurs. Et ce, en cette période trouble où la haine envers la communauté LGBTQ2+, notamment sur les réseaux sociaux, semble connaître une bien triste résurgence.

Or, Star Académie prône l’ouverture et ses artisans jurent que l’académie sera un safe space où tout le monde pourra être totalement soi-même.

«Je peux déjà dire que, parmi les candidatures reçues sur notre plateforme d’audition, il y a des gens qui s’identifient comme étant des X, des non-binaires», rapporte Émilie Fournier, productrice au contenu de l’émission qui reprendra l’écran après Noël, en entrevue avec notre journaliste.

«Nous, on accueille tout le monde, comme on le fait pour toutes nos émissions. Après, il faut qu’eux soient bien. On se rend aussi compte que le stress et l’anxiété de performance sont très présents, puisque ce sont des jeunes de 16 à 30 ans qui viennent faire Star Académie. C’est certain qu’on veut leur offrir un milieu qui soit un safe space où ils pourront être eux-mêmes à 100 %. On ne cherche pas à formater qui que ce soit; on veut donner un maximum de compétences à ces talents, pour leur permettre d’éclore dans le show-business québécois.»

Jagger, Bowie, Charlebois…

Même son de cloche chez le producteur et animateur Jean-Philippe Dion, qui jure par ailleurs que ce sont d’abord et avant tout les aptitudes qui sont évaluées en audition.

«Oui, dans Star Académie, il y a un côté téléréalité dans la quotidienne, mais on choisit le talent d’abord. Même qu’on a souvent ce genre de discussion-là en équipe. C’est sûr qu’on aimerait avoir les plus grandes personnalités, les personnalités les plus fortes pour faire de la grande télé; mais, ultimement, le but, c’est que le show du dimanche soit vraiment bon et que ça soit « dans le tapis »! Si on choisit des gens uniquement pour leur personnalité ou parce qu’ils apportent quelque chose de différent, on va se tromper, parce qu’on ne sera pas capables de livrer.»

«Cela dit, moi je suis gai dans la vie, et j’en parle. Je suis très ouvert. Je ne vois pas pourquoi on ne serait pas dans l’ouverture», ajoute Jean-Philippe.

Peu importe leur genre et leur style, les participants trouveront un allié précieux en la personne de leur professeur de musique, Pierre Lapointe.

«Moi, je suis beaucoup dans l’instinct et, chose certaine, je n’irai pas là où les gens ne le sentent pas, argue le chanteur. S’il y a ça à Star Académie, on va jouer là-dessus et ça va être drôle. Moi, je suis le premier à dire: si tu sens quelque chose, vas-y. Je n’ai jamais eu de préjugés sur rien. C’est peut-être même un problème d’être aussi ouvert et de tout embrasser comme ça! (rires)»

D’ailleurs, rappelle l’artiste, les questions de diversité de genre défraient peut-être les manchettes aujourd’hui, mais de tout temps, des créateurs éclatés ont défoncé des barrières, suscité curiosité et controverse… et ont marqué l’histoire.

«On parle d’identité de genre, mais Mick Jagger, Bowie, Dufresne, Charlebois, ont fait exploser des trucs, déjà. C’est déjà arrivé. Ferland a parlé de ces termes-là. Si tu regardes l’histoire du théâtre au Québec, [Claude] Gauvreau, Les fées ont soif… Il s’en est passé, des trucs punks!», conclut le très allumé Pierre Lapointe.

Pour des informations sur les auditions de Star Académie, on consulte le auditionsstaracademie.ca.

Émily Bégin a choisi de s’exprimer pour la première fois au micro du balado Ouvre ton jeu, de Marie-Claude Barrette, au sujet de la gaffe à connotation raciste commise par son homme, Guillaume Lemay-Thivierge, en début d’année.

Elle a notamment raconté que Guillaume et elle se sont soumis à une thérapie pour traverser plus sereinement le tourbillon médiatique qui les a bouleversés en mars, et aussi pour faire le point suite aux difficultés rencontrées ces dernières années, et resserrer les liens avec leur famille.

Lisez ou relisez ses propos ici.

Rencontrée au dévoilement du corps professoral de Star Académie, où elle enseignera au début 2025 la danse et l’éducation physique, Émily Bégin est brièvement revenue sur ce sombre épisode en entrevue avec notre journaliste.

Plutôt, la jeune maman a surtout insisté sur les bienfaits que son petit clan et elle ont retirés de ces événements imprévus.

À commencer par… un agenda qui s’est dégarni et leur a laissé plus de temps pour être ensemble!

«C’est un bel été. On travaille très fort pour se souder. Ce qui est arrivé ces derniers mois nous a permis, à toute la famille, de faire un beau reset sur plein d’affaires. Ça nous a permis d’être plus proches de nos enfants. On se dit souvent qu’on est dans le rush et qu’on aurait besoin d’un break; bien, cet été, le break, on l’a eu! On était supposés être bookés mur à mur, et la vie a fait que ça s’est allégé», a soutenu Émily.

«Quand tu es dans une tempête médiatique, c’est dur de comprendre pourquoi ça arrive. Dans ce temps-là, on se dit: My God! Pourquoi? Mais, on avait besoin de ce moment-là pour se recentrer et se retrouver, toute la famille», a poursuivi l’artiste.

Qu’est-ce qu’une amoureuse peut dire à un compagnon qui commet une bourde semblable?

Interloquée par la question, Émily Bégin a réfléchi deux ou trois secondes avant de répondre.

«L’amour, c’est plus fort que ça. La famille, les amis, notre monde… On est encore des gens très, très privilégiés, et on se concentre sur le beau», a-t-elle avancé.

En plus de Star Académie qui lui grugera beaucoup de temps à l’hiver, Émily Bégin pourra aussi être vue, avec Guillaume Lemay-Thivierge, dans la troisième saison de Si on s’aimait encore, qui sera relayée plus tard en 2025 à TVA.

Puis, grande source de fierté pour la jeune femme: la série FEM, d’Unis TV, qui lui a permis de jouer pour la première fois à la caméra, un rêve qu’elle caressait depuis toujours, a décroché quelques nominations enviables au prochain Gala des prix Gémeaux, dont celle, très convoitée, de Meilleure série dramatique. FEM s’y mesurera à des pointures comme Avant le crash, C’est comme ça que je t’aime, L’empereur et Plan B.

«C’est malade! J’étais tellement contente! C’est une petite production qui n’avait pas beaucoup de sous. Le producteur Ugo Media, la réalisatrice Marianne Farley ont travaillé si fort! Elle se retrouve finaliste dans les meilleures séries dramatiques, à côté de gros masters qui ont de beaux gros budgets. Imagine à quel point le côté artistique de Marianne s’est démarqué! Marianne est une amour, une actrice, une réalisatrice et une humaine exceptionnelle», s’est exclamée Émily.

Émily Bégin nous a du même souffle annoncé que FEM aura une deuxième saison, dont le tournage aura lieu parallèlement à Star Académie à l’hiver, et que son personnage de Nathalie y sera de retour.

«La comédienne en moi est bien contente. Ça faisait longtemps que je voulais vivre ça. C’est quelque chose que je n’avais jamais touché, et c’était difficile pour moi d’être appelée en audition. Les gens m’identifiaient surtout aux comédies musicales. Je suis contente que Marianne m’ait au moins offert une audition. C’est une belle carte de visite!»