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La Terre a accueilli une «minilune», un visiteur temporaire, sur son orbite le 29 septembre 2024. Ce compagnon astral doit tourner autour de notre planète pendant environ deux mois. L’astre extraterrestre transitoire, baptisé 2024 PT5, mesure environ 10 mètres et devrait quitter l’étreinte gravitationnelle de la Terre le 25 novembre et retourner dans la ceinture d’Arjuna, d’où il vient.

L’astéroïde a été découvert le 7 août par un télescope en territoire sud-africain de l’équipe d’astronautes de l’Université de Madrid.

Cette découverte met en lumière le phénomène des minilunes. Il s’agit de petits objets célestes qui entrent dans l’orbite de la Terre pour une courte duréee, dont celle-ci, qui passe à moins de 4,5 millions de kilomètres de la Terre tout en se déplaçant à une vitesse d’environ 3530 km/h.

Les minilunes sont un phénomène unique par leur caractère fugace. C’est parce qu’elles n’effectuent pas d’orbite complète qu’elles se distinguent des autres corps célestes. Le PT5 de 2024 devrait faire le tour de la Terre en 57 jours, mais son orbite ne sera achevée qu’au quart avant que l’objet ne s’échappe dans l’espace.

Les chances pour les astronomes amateurs d’apercevoir l’astéroïde 2024 PT5 sont pratiquement nulles. Il faudrait un télescope professionnel pour l’apercevoir.

La prochaine minilune pourrait orbiter dans le champ magnétique de la Terre dans les cinq prochaines années, mais que pour l’instant, il n’y en a pas d’autres en vue.

Soyez rassuré, ce phénomène n’est en aucun cas dangereux pour la sécurité terrestre.

Quelques heures après avoir confirmé qu’une attaque sur Israël était imminente, la menace s’est matérialisée alors que des missiles balistiques ont été lancés sur Tel-Aviv, notamment, par l’Iran.

C’est donc officiel, l’Iran attaque Israël, en marge du conflit au Proche-Orient qui ne fait que s’envenimer depuis quelques jours.

L’Iran entre en scène alors qu’elle avait déjà promis une première fois de répondre à des activités militaires israéliennes sur son territoire récemment, afin d’éliminer des membres du Hamas.

Cette attaque fait également suite à l’offensive d’Israël au Liban, dans sa quête d’éliminer des membres influents du Hezbollah.

Les images captées par CNN, qui a dépêché des journalistes sur place, en Israël, sont aussi spectaculaires que terrifiantes.

Il s’agit assurément d’une escalade du conflit impliquant Israël.

Les autorités alertent sur les risques majeurs que représentent les véhicules électriques dans les zones inondées, à cause de l’eau salée apportée par l’ouragan, alors que, parallèlement, une vidéo de surveillance montrant une Tesla dans un garage inondé en Floride, après le passage dévastateur de l’ouragan Helene, est devenue virale.

Un incident survenu à Siesta Key, en Floride, à la suite des inondations causées par l’ouragan Helene, a suscité des inquiétudes concernant la sécurité des voitures électriques en contact avec l’eau salée.

Les autorités du comté de Pinellas, en Floride, ont tenu à avertir la population des risques liés aux voitures électriques en publiant une vidéo alarmante suite aux dégâts causés par l’ouragan Helene.

Les images saisissantes montrent le véhicule électrique Tesla prendre feu dans un garage inondé.

Les autorités lancent un avertissement selon lequel le contact des voitures électriques avec l’eau de mer peut endommager les batteries lithium-ion et créer un risque d’incendie.

Le ravage dévastateur de l’ouragan Helene a déjà causé plus de 100 décès.

Donald Trump, l’ancien président, a provoqué la controverse lors d’un rassemblement à Erie, en Pennsylvanie, ce week-end, en suggérant que l’Amérique pourrait tirer profit d’une «journée violente» pour lutter contre la criminalité.

Beaucoup ont rapidement exprimé leur indignation face aux propos de Donald Trump, qui semblent s’inspirer de l’intrigue fictive des films d’horreur The Purge.

S’adressant à ses partisans rassemblés, il a affirmé qu’une réponse policière stricte, voire violente, réglerait le problème de la criminalité: «Une heure intense, je veux dire vraiment intense, fera passer le message et le problème sera résolu immédiatement.»

Les réactions ont été nombreuses et rapides aux propos de Trump, certains les comparant à la Nuit de Cristal de novembre 1938 en Allemagne, tandis que d’autres ont souligné qu’il proposait littéralement la Purge.

Ils ont évoqué les similitudes avec les films The Purge, où tous les crimes, y compris le meurtre, sont autorisés pendant 12 heures, tandis que le reste de l’année est exempt de criminalité.

Dans son discours, Trump a attribué la hausse du taux de criminalité aux politiques des démocrates et aux immigrants.

Cependant, la désinformation mentionnée par l’ancien président fait partie d’un récit fictif, car la criminalité a en réalité diminué par rapport aux niveaux observés ces dernières années.

Les critiques reprochent à Trump son langage incendiaire, qu’ils estiment susceptible de conduire à la violence, citant comme exemple les conséquences de ses commentaires ayant mené à l’insurrection du Capitole du 6 janvier 2021.

Le bureau de campagne du Parti démocrate à Tempe, en Arizona, a récemment été la cible à nouveau d’une attaque préoccupante, la police ayant été appelée après des signalements de coups de feu entendus sur place le 23 septembre dernier.

Il s’agit de la deuxième fusillade visant ce bureau en une semaine, suscitant la crainte parmi les employés et les résidents de se rendre dans le secteur concerné.

Selon les enquêteurs, la porte et les fenêtres du bureau de Tempe ont reçu au moins cinq impacts de balles. Heureusement, personne ne se trouvait dans le bâtiment au moment où les coups de feu ont été signalés.

Les policiers, préoccupés par la sécurité des personnes travaillant dans le bâtiment et dans les environs, ont affirmé qu’ils renforceraient leur présence dans le quartier et prendraient des mesures supplémentaires pour garantir la sécurité publique, tout en enquêtant sur les motifs de ces attaques.

Rappelons qu’une semaine auparavant, le même bureau avait été attaqué dans la nuit du 16 septembre, avec des impacts provenant de projectiles semblant être tirés d’un pistolet à plomb ou à billes, selon les enquêteurs.

Yolanda Bejarano, présidente du parti démocrate de l’Arizona, a annoncé que le parti collaborait avec les forces de l’ordre pour prendre ces menaces très au sérieux et garantir la sécurité de tout son personnel.

À l’approche des élections, les tensions dans la campagne électorale sont à leur paroxysme après deux tentatives d’assassinat présumées visant le candidat républicain Donald Trump, ainsi que des menaces pesant sur le bureau de campagne de la vice-présidente Harris.

La sécurité entourant les deux candidats est d’ailleurs à son maximum.

Harris se rendra bientôt en Arizona dans le cadre de sa campagne, un État clé qu’elle souhaite conquérir, ayant été remporté de justesse par Joe Biden en 2020.

Donald Trump affirme avoir été informé par des responsables du renseignement américain qu’il y aurait de graves menaces contre sa vie qui auraient été orchestrées par l’Iran.

Trump a réagi aux menaces en publiant sur ses réseaux sociaux que l’Iran représente une grande menace pour sa vie et que tous les militaires américains sont «en alerte et attentifs» à la situation.

Selon Trump, l’Iran a déjà tenté de l’assassiner, mais cela n’a pas fonctionné et, selon lui, ils essaieront à nouveau.

Il est impossible de savoir pour l’instant si les deux tentatives d’assassinat à son encontre sont liées à l’Iran, hormis le fait que Ryan Routh, le suspect de la tentative d’assassinat ratée sur son terrain de golf en Floride, aurait écrit dans un livre en appelant l’Iran à l’assassiner après la mort du général iranien Qasem Soleimani lors d’une attaque par drone ordonnée par Trump le 20 janvier 2020.

Selon un communiqué, le bureau du directeur du renseignement national a averti l’équipe de Trump de menaces réelles et spécifiques émanant du gouvernement iranien, ainsi que de tentatives d’ingérence dans le cadre d’un effort plus large visant à déstabiliser les États-Unis.

Des hackers associés au gouvernement iranien auraient également volé des données sensibles pour les transmettre à d’autres candidats et à des médias.

Trump a également exprimé sa gratitude pour l’approbation par le Congrès de fonds supplémentaires destinés à financer le Secret Service, une mesure bipartisane qu’il a tenu à mettre en avant.

Trump a affirmé qu’il était désormais entouré de plus d’hommes, de fusils et d’armes qu’il n’en avait jamais vus auparavant.

Mark Zuckerberg doit être entendu dans le cadre d’un procès important concernant l’intelligence artificielle et les droits d’auteur, engagé par plusieurs auteurs, incluant l’humoriste Sarah Silverman.

Un juge a rejeté, le 25 septembre dernier, la demande de la défense visant à empêcher la déposition de Mark Zuckerberg, le PDG de Meta, en soulignant que ce dernier aurait joué un rôle central dans les décisions de l’entreprise relatives à sa technologie d’intelligence artificielle.

Sarah Silverman, accompagnée de deux autres auteurs, Chris Golden et Richard Kadrey, a engagé une action en justice en juillet 2023 contre OpenAI et Meta, les accusant de violer leurs droits d’auteur.

Les auteurs affirment notamment que ces entreprises ont illégalement copié leurs livres et les ont utilisés pour entraîner des systèmes d’IA sans leur consentement, sans attribution et sans compensation.

Dans sa décision, le juge indique que les preuves présentées par la partie plaignante, y compris un article publié dans le New York Times, suggèrent que Zuckerberg aurait supervisé de manière directe et intensive le développement de l’intelligence artificielle chez Meta.

Ces éléments sont jugés suffisants pour justifier son audition devant la cour.

Ce litige lié à l’intelligence artificielle mérite une attention particulière, car le développement et l’utilisation de cette technologie ont connu une croissance explosive ces dernières années, soulevant d’importantes questions éthiques.

Notamment, récemment, une voix ressemblant fortement à celle de Scarlett Johansson aurait été utilisée sans son consentement pour une fonctionnalité vocale d’OpenAI, ce que cette dernière a vigoureusement dénoncé.