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Une carte cachée pour le bottom-6 du Canadien?

Depuis le 1er juillet, on entend parler de Joel Armia, Max Domi ou Xavier Ouellet, mais très peu de Michaël Chaput, un jeune homme de chez nous qui a paraphé un pacte de deux ans avec l’organisation montréalaise. Certes, un accord à deux volets, mais ça demeure tout de même un joueur qui a eu la chance d’évoluer dans la Ligue nationale. 135 rencontres, dont 68 avec les Canucks en 2016-17, ce n’est pas rien.

L’athlète de 26 ans a été sélectionné par les Flyers de Philadelphie en 2010, mais il n’a joué aucune joute avec l’organisation puisqu’il a été impliqué dans l’échange qui a amené Tom Sestito à Philadelphie. Depuis cette transaction, le natif de l’Ile-Bizard s’est baladé entre la Ligue américaine et la LNH de deux organisations différentes. À ce moment-ci, il abandonnait le Québec pour les États-Unis, mais aujourd’hui, il peut demeurer bien confortable chez lui, au Québec. Cette année, ce sera Laval… et peut-être Montréal. Le jeune homme y croit, et c’est important d’y croire!

J’arrive avec la mentalité que je veux gagner mon poste avec cette équipe. Je veux jouer pour les Canadiens. C’est mon objectif principal. C’est ce à quoi je travaille. – Chaput

Même si Chaput a connu une excellente campagne avec les Comets d’Utica l’an dernier, avec une récolte de 42 points en 55 joutes, il n’a joué que neuf parties avec les Canucks de Vancouver. Ce sera peut-être le même scénario en 2018-19. Cependant, fidèle à son habitude, Chaput travaille comme un forcené avec son entraîneur personnel de longue date, Yves Ethier. Les aspects de la puissance afin que les jambes puissent supporter des présences de 45-60 secondes demeurent la priorité.

Une fois rendu à ce stade de fatigue et d’épuisement, il s’agit de pouvoir continuer à pousser pendant 15 à 20 secondes pour s’assurer de pouvoir terminer la présence. C’est ce que j’essaie d’imiter dans le gymnase avec mes entraînements.

S’il se taille un poste, il souhaite s’imposer avec son aspect physique, parfait pour le bottom-6, qui compte déjà sur Byron, Plekanec, Scherbak, Hudon, Shaw ou Armia. Quoique Byron et Shaw amorceront la prochaine campagne sur la liste des éclopés. Chaput est fort physiquement, il a des aptitudes défensives raffinées, donc il pourrait devenir une option séduisante.

En rafale

– La position numéro 17 revient à Cayden Primeau.

– Il y a 30 ans, Wayne Gretzky et Magic Johnson faisaient la « une » ensemble.

– Le 16 août, vous pourrez voir Patrick Roy de retour sur la glace.

– Cette équipe est en train d’écrire tout un chapitre à son histoire et celle des Majeures.

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Une vraie expérience client que le CH doit copier

L’excellent Ray Lalonde a présenté un autre podcast (Focus) très captivant puisqu’il vient vous toucher vous, les partisans. Que ce soit au hockey, au baseball, au basket-ball ou au football, les organisations ont un devoir important à accomplir : l’expérience client. Ce que les individus recherchent, c’est évidemment une expérience positive et non quelque chose qui les éloigne des amphithéâtres. Le produit que les organisations offres sur la glace, le terrain ou le « court » est certes important, mais les concessions alimentaires qui remplissent les arénas ou les stades sont également excessivement importantes.

La bouffe et les boissons, gazeuses ou alcoolisées, coûtent un bras et deux jambes dans un marché professionnel comme la Ligue nationale. Pensez à la bière, qui est 12 dollars et un pop-corn, que l’on vend 5 ou 6 dollars, alors qu’il coûte des peanuts à produire. Lorsqu’une équipe produit des résultats, ça fait un peu moins mal au coeur de payer 12 piastres pour une bière. Par contre, lorsque c’est moche comme le Canadien de l’an dernier, beaucoup de gens optent pour une caisse de 24 en gang, qu’ils boivent dans l’un des salons d’un membre du groupe.

Les Hawks d’Atlanta, une équipe de la NBA qui n’offre pas tellement un bon produit sur les planches depuis quelques années, ont compris une chose : faire en sorte que le client revienne dans l’amphithéâtre, malgré les performances moribondes. Comment? En offrant des réductions sur les produits que l’on bouffe et qu’on ingurgite. Même s’ils ont rénové le Philips Arena au coût de 195 millions de dollars, l’organisation ne s’est pas privée et elle a diminué ses prix de vente radicalement : un sac de chips à 1 dollar, les hot-dogs à 3$, la bière à 5 dollars et les boissons gazeuses à volonté pour seulement 4 petits dollars. C’est ça prendre soin de sa clientèle, être sensible et créer une expérience agréable pour les gens qui visitent le domicile de l’équipe. Le partisan est primordial pour cette concession.

Les organisations, comme le Master au golf, doivent se soucier de leur image et c’est en diminuant les prix ainsi qu’elles gagnent en popularité. Un beau papier à lire, n’est-ce pas monsieur Molson?

En rafale

– Une belle photo souvenir.

– Et voilà l’impact du Roy!

– Une blessure au poignet pour l’excellent Jakob Pelletier, qui pourrait rater le début de saison de la LHJMQ.

– Le genre de chute qui ne fait pas du bien.

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Les photos de la résidence secondaire de Max Pacioretty sont à couper le souffle

On a appris un peu plus tôt cette semaine que Max Pacioretty avait mis sa maison de Boca Rato, en Floride, en vente (au coût de 3,45 millions $).

Sait-il qu’il ne sera pas être échangé aux Panthers?

Lui a-t-on dit qu’il allait jouer pour une équipe du sud des États-Unis (ce qui rendrait sa résidence floridienne inutile)?

Ou a-t-il simplement réalisé qu’il aimait passer l’été à Montréal?

Les photos de la somptueuse demeure aux cinq chambres, quatre salles de bain, un gym et un (demi) terrain de basketball sont désormais disponibles. Les voici :

Rappelons que Max Pacioretty a vendu l’an dernier sa maison de la rive-sud montréalaise afin de s’installer dans une splendide (et grande) maison de Westmount.

Où habitera-t-il dans un an? Seul l’avenir nous le dira.

En rafale

– L’Impact pourrait attirer un attaquant de pointe intéressant entre le 1er et le 14 septembre.

– Anthony Duclair a hâte de jouer sous les ordres de John Tortorella. [TVASports]

– Éric Gélinas évalue sérieusement l’option de l’Europe/KHL. Il croyait aussi que Sylvain Lefebvre conserverait son emploi…

– Les fans montréalais pourront regarder un match préparatoire de Jesperi Kotkaniemi et son équipe finlandaise demain après-midi (sur le Web).

Bad luck pour l’attaquant québécois…

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Le grand coeur de Marc Bergevin

Il y a tellement de podcasts et de radios Web qu’il est parfois difficile de tout entendre… De tout écouter.

La gang d’HabsolumentFan a donc réalisé une petite trouvaille sur le Web hier. Le passage de Chantal Machabée au podcast Drette su’l tape (animé par David Beaucage) en avril 2017 a refait surface et une histoire impliquant Marc Bergevin attire notre attention.

Chantal Machabée avait profité de ce 90 minutes on air pour parler d’elle, elle qui doit généralement parler des autres (lire ici du Canadien de Montréal) lors de ses passages au micro.

Vers la fin de son entretien avec David Beaucage, elle a raconté une histoire personnelle impliquant le DG du Canadien. C’était la première fois qu’elle acceptait de parler de ça…

Voici l’histoire en question, racontée par Chantal Machabée… Une histoire qui nous fait découvrir une toute autre facette de Marc Bergevin et du Canadien de Montréal :

« On peut critiquer cette équipe-là pour toutes sortes de raisons mais au niveau administratif, au niveau personnel, c’est une équipe de première classe. Ils sont extraordinaires. Un moment donné, je suis à Columbus et ma mère est à l’hôpital, elle est aux soins intensifs. On ne sait pas si elle va passer la nuit puisqu’une opération qu’elle vient d’avoir a mal tourné. Ma soeur m’appelle. Je suis dans le corridor, c’est juste avant le match puis je pleure ma vie.. Je suis à Columbus, je suis loin et je ne peux pas être là. C’est soudain. C’est une opération qu’elle avait déjà eu mais celle-là, elle tourne mal et là on ne sait pas. Marc Bergevin vient me voir et me demande ce que j’ai. Je lui dis que ma mère est entre la vie et la mort et que je me sens tellement loin. Il me demande je m’en retourne quand. Je lui réponds que je serai à Montréal demain après-midi parce que nous, on ne voyage pas avec l’équipe. J’avais un vol (commercial) le lendemain, qui n’était pas un vol direct en plus. Bergevin m’a dit que ça ne marchait pas, qu’il fallait que je sois avec ma mère. « Va à l’hôtel et va chercher tes choses, fais ton checkout et tu vas t’en venir avec nous autres dans l’avion. Ce soir à minuit tu vas être au chevet de ta mère. » Alors Marc Bergevin m’a ramenée avec l’équipe pour que je puisse être avec ma mère. Je suis partie de l’aéroport, j’avais une voiture là et je suis allée directement à l’hôpital. Ça, je ne l’oublierai jamais. C’est le directeur général d’une équipe professionnelle, là. Il me voyait en larmes, lui il a perdu sa mère quand il était jeune et ça l’a énormément marqué. Il la pleure encore sa maman. Quand il a su que ma mère, on savait pas si elle était pour passer la nuit, ça l’a atteint beaucoup, ça l’a affecté. Ça, tu vois c’est la première fois que j’en parle. Mais ça, c’était extraordinaire et c’est ça, le Canadien de Montréal. »

Au final, la mère de Chantal Machabée s’en est sortie, mais ça n’enlève rien au superbe geste de Marc Bergevin.

Plusieurs personnes croient que le Canadien perçoit les journalistes comme des ennemis de l’organisation, mais ce n’est pas le cas. Du moins, ce n’est pas le cas avec tous les journalistes.

Marc Bergevin a beau être dur avec certains de ses joueurs et avec certains de ses homologues, il demeure un gars qui a les valeurs à la bonne place. Tant mieux!

En rafale

– Impact 2018 : Résumé du mercato d’été!

– Surprise! Jimmy Briand évoluera encore en ligue 1 française. #Girondins #Bordeaux

– Mark Stone ne veut pas nécessairement quitter Ottawa. Du moins, pas publiquement et officiellement…

– J’ai comme l’impression qu’il percera le top 10 sous peu, lui…

Hlinka – Gretzky : Le Canada et les États-Unis ont rendez-vous en demi-finale.

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Mais où en est Paul Byron avec sa réhabilitation?

Paul Byron s’est fait opérer à l’épaule droite le 18 avril dernier. À ce moment, on a spécifié que sa période de réhabilitation serait de six mois. Une opération qui a été réalisée par le Dr William Levine. Cela dit, la date prévue de son retour est fixée pour le 18 octobre environ, ce qui ferait en sorte qu’il ne sera pas en uniforme lors du début de la campagne 2018-19. Mine de rien, Byron demeure l’un des morceaux principaux sur l’échiquier… Souhaitons que sa rehab progresse plus rapidement que souhaiter, ce qui pourrait être le cas puisqu’il a chaussé les patins aujourd’hui.

Le petit Paulo a patiné avec fiston, pendant que sa fillette et sa conjointe observaient les deux hommes jouer au hockey ensemble. Ils se sont amusés. Rien n’a été fait à la vitesse et l’intensité d’un match de la Ligue nationale, mais Byron a jonglé avec le disque et exécuté quelques manoeuvres afin de fort probablement tester son épaule. Dans 10 jours, ça fera quatre mois qu’il est en rehab à la suite de cette chirurgie.

Faut-il s’affoler et espérer que le numéro 41 patinera le 3 octobre prochain à Toronto, contre les Maple Leafs de Toronto? Non, mais le voir sur la glace à ce temps-ci de l’année, ça demeure une étape de plus dans le processus de rééducation. Pour l’instant, s’il remplit les six mois prévus en totalité, il devrait renouer avec l’action le 17 octobre, contre les Blues de St.Louis, ou le 20 octobre contre les Sénateurs d’Ottawa au Centre Bell. Ce ne sont que des prédictions, cela dit.

Depuis deux ans, avec respectivement 22 et 20 buts, il termine au second rang des buteurs de la Sainte-Flanelle, ce qui démontre son importance au sein de l’alignement. Byron apporte une saveur à ce groupe trois couleurs, même s’il n’est pas un Claude Giroux.

En rafale

– Évidemment, Marc Bergevin fait ses devoirs en vue du prochain repêchage, où le Canadien pourrait encore une fois repêché tôt.

– Un petit retour sur l’une de nos nouvelles.

– Est-ce juste de lui octroyer le 18e échelon?

– Une expérience qui fera grandir encore Françoise Abanda.

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Cinq caractéristiques pour gagner une coupe : une seule pour le CH

Une équipe gagnante, de quelle façon une direction professionnelle doit-elle la bâtir?

En se basant sur les Blackhawks de Chicago, qui mise sur un noyau fort depuis une décennie? Quoique les restrictions du plafond salarial brisaient cette formation chaque fois qu’elle soulevait une coupe Stanley. L’année suivant cette victoire, le visage des travailleurs de soutien changeait et un ou deux pions primaires devaient quitter. Bref, la stabilité du noyau d’acteurs principaux a gagné trois trophées argentés.

Puis, les Penguins de Pittsburgh? Une belle façon aussi d’édifier quelque chose de puissant, de gagnant et d’intimidant. Une ligne de centre monstrueuse, un Kris Letang gérant une brigade défensive ordinaire, un gardien de but qui fait les arrêts clés et du gros bagage lors des tournois printaniers. Cette franchise a tout de même soulevé trois coupes entre 2009 et 2017. Pas mal!

OK. Et les Kings de Los Angeles, eux? Bien, leur size a aidé grandement à devenir les champions de 2012 et 2014, en plus d’un Drew Doughty, d’un Anze Kopitar ou d’un Jonathan Quick. Ils avaient beaucoup d’éléments pour une recette gagnante.

Dans le cas des Capitals, ce sont désormais eux le modèle de 2018. D’ailleurs, Brian MacLellan a décortiqué, via le site The Athletic, les cinq caractéristiques principales pour devenir une équipe aspirante : un centre de premier plan, un joueur qui peut changer l’histoire d’une rencontre, une brigade défensive offensive, un noyau avec une expérience en séries éliminatoires et le physique. Ajoutons à cela un gardien de premier plan en pleine possession de ses moyens.

The Athletic a donc analysé les équipes de l’Atlantique afin de comparer ces alignements-là aux Capitals de Washington. Évidemment, les équipes sont cotées sur cinq puisqu’on se basait sur les cinq caractéristiques énumérées par le DG des Caps.

Bruins de Boston : 4 sur 5
Lightning de Tampa Bay : 4 sur 5
Maple Leafs de Toronto : 3.5 sur 5
Sabres de Buffalo : 3 sur 5
Panthers de la Floride : 3 sur 5
Red Wings de Detroit : 2 sur 5
Sénateurs d’Ottawa : 2 sur 5
Canadien de Montréal : 1 sur 5

Le Canadien peut quasiment mériter un gros zéro, mais donnons une note positive à la défensive offensive (pour être gentil)… si Shea Weber est en uniforme. Le travail est colossal pour rivaliser avec des formations aspirantes, telle celle de Washington.

En rafale

– Opéré au genou, Jakob Chychrun peut désormais rechausser les patins.

– Filip Zadina sera évidemment en uniforme lors de ce tournoi.

– Comme les Ducks d’Anaheim, les Canucks auraient aussi leur maillot rétro.

– Dominic Oduro quitte pour San Jose.

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José Théodore et Mathieu Dandenault ne seront pas de retour à TVA Sports

Toute entreprise a comme objectif d’engranger des profits d’exploitation tôt ou tard.

TVA Sports n’échappe pas à cette règle.

Mais la station, lancée en septembre 2011, n’est jamais parvenue à atteindre la rentabilité à ce jour.

Durant ses six premières années de vie, la station sportive de Québecor a essuyé des pertes totales de 152 millions $, dont 21,3 millions lors de la saison 2016-17.

La station a aussi perdu environ 200 000 abonnés en 12 mois.

Bref, il était normal de s’attendre à quelques coupures importantes. Surtout avec le peu d’enthousiasme que l’on ressent vis-à-vis la saison 2018-19 du Canadien, l’énorme contrat qui lie TVA Sports à la LNH et les difficultés générales que connaît l’univers médiatique.

À l’instar du 91,9 Sports, TVA Sports a décidé de ne pas renouveler le contrat de certains de ses gros noms. José Théodore et Mathieu Dandenault se retrouvent donc agents libres sans restriction

Dandeneault était à TVA Sports depuis 2012 alors que Théo y était depuis 2014.

Selon Québecor, il y aurait eu des efforts de négociations qui n’ont pas abouti avec José Théodore. Quant à Dandenault, il aurait tout simplement été abandonné.

Ah oui… TVA Sports soutient que les départs de Théo et Dandenault n’ont rien à voir avec les récents résultats à l’antenne. Officiellement, on ne semblait donc pas 100 % satisfait de leur apport. On peut toutefois douter de cette version officielle. Douter, c’est un signe d’intelligence…

Ces trois hommes ne travaillent plus à TVA Sports désormais.(Crédit: Capture d’écran )

Hâte de voir si on remplacera les deux anciens du Canadien…

En rafale

– Alex Ovechkin a réitéré son intention de quitter la LNH et de retourner en Russie en 2021. [HFans]

– Les vedettes de la LNH se préparent…

– Ça ne s’invente pas…

– Johnny Manziel a attiré un nombre record de téléspectateurs sur ESPN/ESPN2.

– Super intéressant pour les fans (déçus) de l’Impact… #Mercato

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KHL – LNH : Un aréna plein de fissures et un autre inondé

Plusieurs personnes se demandent actuellement si le Centre Bell sera rempli lors des matchs réguliers en 2018-19. Rempli pour vrai… Et rempli au niveau du sommaire de la LNH!

Oui, le désintérêt envers les activités du Canadien pourrait faire mal à l’image et aux finances de l’équipe.

Mais au moins, le Centre Bell est en bon état et il ne menace pas de s’effondrer. L’aréna pourra accueillir les matchs du Canadien.

Bob Hartley entamera sa nouvelle vie de coach dans la KHL sans aréna d’envergure disponible pour y disputer ses matchs réguliers en 2018-19. En effet, l’Avangard d’Omsk, l’équipe avec qui il s’est entendu pour deux ans, a récemment appris qu’elle allait devoir disputer ses matchs locaux dans un aréna (un peu plus petit) près de Moscou, plus précisément à Balachikha… À 35 heures d’auto d’Omsk!

L’Omsk Arena a été inauguré en 2007 et peut contenir 10 000 spectateurs. Seulement 10 ans après son ouverture, elle doit être fermée pour cause de fissures à la structure. #PauvreBob

Quelques matchs seront disputés à l’extérieur à Omsk afin de permettre aux partisans de l’équipe de pouvoir la voir et la supporter.

À noter que l’Avangard n’est pas une équipe aussi moribonde que les Coyotes ou les Panthers dans la LNH. Elle a terminé au 2e rang de sa division la saison dernière, affichant la plus grosse foule moyenne de division (7 741).

Alexander Frolov, Alexander Perezhogin, Alexander Frolov, Sergei Kostitsyn, Vladimir Sobotka, Martin Erat, Michal Kempny et Jaromir Jagr ont tous porté les couleurs de l’Avangard.

Rendu là, je me demande pourquoi Régis Labeaume n’a pas offert le Centre Vidéotron et les vols gratuits à la KHL… #Hehe

Puisqu’il est question d’aréna problématique, sachez que le Scotiabank Arena, anciennement le Air Canada Centre de Toronto, a été inondé hier soir.

Espérons que les travaux pour assécher et réparer le tout seront brefs car la saison des Maple Leafs s’ouvrira dans un peu moins de deux mois.

Il y a toutefois de l’espoir à Toronto. Rappelons que le domicile des Flames avait été (énormément) inondé en juin 2013 et qu’il avait été prêt pour le début de la saison 2013-14 quand même.

Dossier à suivre quand même…

En rafale

– On peut donc garder espoir à Québec?

– Lars Eller et la Coupe Stanley sont au Danemark!

– Les jeunes Canadiens connaissent du succès.

– Pogba rejoindra-t-il Messi?

– Le mercato d’été dans la MLS se fermera tantôt. L’Impact a-t-il un joker dans sa manche? #PensePas

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Kyle Okposo accepterait de jouer pour le Canadien de Montréal

Les rumeurs, les spéculations… Elles sont beaucoup moins nombreuses au mois d’août, mais en fouillant intensément, elles se dénichent. Du côté de Buffalo, il y a beaucoup de matériel pour les journalistes du coin, comme le départ de Ryan O’Reilly, la sélection de Rasmus Dahlin ou l’ajout de Jeff Skinner tout récemment. Le prochain mouvement de Jason Botterill sera-t-il de sortir de contrat de Kyle Okposo?

Le 1er juillet 2016, il a paraphé un accord astronomique avec les Sabres de Buffalo. Un pacte de six ans et 42 millions de dollars, tout ça grâce à John Tavares, qui lui a permis de connaître des campagnes hors du commun. Comme il a fait avec P.A. Parenteau ou Matt Moulson. Bref, Okposo n’est pas un mauvais joueur de hockey, loin de là, mais est-il vraiment un homme à 42 millions $? La réponse est NON.

À partir de cette année, Okposo peut soumettre une liste de 15 organisations où il ne souhaite pas évoluer. Selon les rumeurs qui circulent, qu’elles soient véridiques ou non, le Canadien de Montréal figurerait sur la liste où il aimerait pratiquer son sport. On y retrouve entre autres les Canadiens, les Sharks, les Penguins… et même les Coyotes. Les Coyotes? Les Coyotes n’ont rien de sexy, pourtant!

Okposo a eu de graves problèmes de santé, ce qui a ralenti considérablement sa production, donc c’est, en quelque sorte, un poids encore plus lors à traîner. Avec toutes ces données, lequel des homologues de Botterill serait enclin de danser avec lui? Le Canadien a peut-être beaucoup de place sous la masse salariale, mais ça ne veut pas dire pour autant que Bergevin souhaite accueillir un contrat aussi lourd… Il a déjà ceux de Shea Weber et Carey Price à supporter.

Logiquement, le Canadien doit rebâtir et renforcer la fondation, donc ce n’est pas le type de morceau qu’il doit insérer sur son puzzle.

En rafale

– Ça, ça mérite le détour. Allez parcourir ce petit billet au sujet du Canadien et de Marc Bergevin.

– Mais qui croire?

– Ce n’est plus qu’une simple rumeur.

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Brian Burke s’est déjà senti mal face à Marc Bergevin

Suis-je un partisan de Brian Burke? Non, mais je ne déteste pas pour autant le personnage qui se pavane avec la cravate autour du cou en avion et même partout où il va, que ce soit à la télé au non. Et sa chevelure fait également jaser. D’ailleurs, sa fille lui a déjà lancé un message pas trop subtil au sujet de sa tignasse.

Pour mieux saisir la teneur de mes propos, visionnez cette vidéo, vous comprendrez rapidement.

Cela dit, je me fous bien de ses cheveux, de sa coupe et de la façon dont il se costume, moi, ce qui m’importe, c’est l’authenticité du bonhomme. Dans un article pondu par le site Habsolumentfan, on y rappelle les mots d’excuse que monsieur Burke a lancés au cerbère des Golden Knights de Vegas, Marc-André Fleury. En gros, Burke ne croyait pas que Fleury pouvait tenir une équipe pleinement sur ses épaules. À Vegas, il l’a fait sans Crosby et Malkin, donc Burke a souligné qu’il en était finalement capable. Bref, il s’est excusé publiquement!

Burke a également rencontré Marc Bergevin, il y a quelque temps, sur une passerelle, afin de s’excuser au sujet d’une vieille histoire. À l’époque où Bergevin enfilait l’uniforme et que Burke gérait une organisation, il s’est débarrassé du GM actuel du Canadien puisque selon les rapports de ses recruteurs, Bergevin était fini… mais il a joué plus d’une décennie à la suite de ce geste hâtif.

Je m’étais débarrassé de Bergevin parce que mon staff hockey m’avait dit qu’il ne pouvait plus jouer dans la LNH. Mais suite à cette décision, il a joué 12 années supplémentaires dans la LNH. Plusieurs années plus tard, je suis allé le voir sur la galerie de presse et je lui ai dit que j’étais désolé. – Burke

Voilà qui démontre l’une des provenances de tout cet amour qu’a Marc Bergevin envers les joueurs de soutien.

En rafale

– Brett Lernout nous parle de sa ville natale, Winnipeg. [NHL]

– Il n’a pas perdu de temps, Alexandre Picard.

– Sidney Crosby a 31 ans aujourd’hui. Déjà!

– Un petit texte qui vaut le détour si vous avez envie de rire un tantinet.

– J’adore les rêveurs!