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Molson doit-il prendre en charge le dossier Pacioretty?

Wow. L’article qu’a pondu monsieur Réjean Tremblay (JDM) me fait réellement saliver. Il a décidé de traiter le dossier Max Pacioretty et avec sa couleur, il apporte d’excellents points. Pacioretty a été développé et éduqué par le Canadien de Montréal. Trop souvent, on chiale que le Canadien ne développe pas ses espoirs… Pacioretty en est un. Il est l’un des « développés » toujours avec le grand club des Canadiens de Montréal. Subban est parti, Galchenyuk aussi et des rumeurs stipulent que Pacioretty pourrait ne pas amorcer la saison avec le Tricolore.

Pourtant! Le 67 indique son désir de conclure sa carrière à Montréal, il est toujours impliqué au sein de la communauté, malgré tout ce qui circule à son sujet. On dira ce que l’on voudra, mais le capitaine a du caractère…

Marc Bergevin semble se foutre royalement de son marqueur naturel, qui demeure le seul à inscrire des buts à profusion au sein de ce groupe. Comme Tremblay le souligne, Geoff Molson devrait s’impliquer dans ce dossier et octroyer un nouveau pacte à son capitaine… au lieu de peut-être le perdre pour rien en juillet prochain. Patch aurait envoyé un message texte (cette semaine) à un camarade de l’homme derrière les Lance et Compte :

« Rien n’a changé. J’espère et je veux terminer ma carrière à Montréal! »

Le sport professionnel, c’est un show, un spectacle et afin d’attirer des foules, ça prend des joueurs qui sont vendeurs. Rapidement, je pense à Alex Anthopoulos, qui a ramené la popularité du baseball à Toronto (et au Québec) grâce à des gars comme Jose Bautista et Josh Donaldson. Dans la NBA, les Lakers vendent leur prochaine campagne avec LeBron James et l’on sent déjà l’enthousiasme du côté de L.A.! Pacioretty demeure un acteur qui peut vendre des billets puisqu’il est un marqueur né. Sans lui, qui inscrirait les buts chez le Canadien? Pensez-y, des marqueurs de 35 buts, il n’en pleut pas.

La question dans tout ça : pourquoi lui manquer autant de respect? Il n’est peut-être pas le plus grand capitaine, mais il a d’autres grosses qualités, donc il mérite plus de respect. Un athlète qui ne reçoit pas d’amour de ses patrons, comment pensez-vous qu’il se sent… Ici, le problème n’est pas Max Pacioretty, mais bien Marc Bergevin.

Réjean le dit avec justesse : Max Pacioretty ne performe pas en séries, mais avant tout, le CH devrait y accéder…

En rafale

– Ouf… on est loin de ça actuellement.

– On explique l’augmentation pour la facture concernant le KeyArena.

– Un an et 2.5 millions avec l’Avalanche pour Patrik Nemeth.

– Je suis l’un d’eux!

– Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas!

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LeBron James serait intervenu dans une bagarre

Ce n’est rien d’inhumain lorsque deux individus en viennent à se bagarrer à la suite d’une sortie arrosée. Combien de fois êtes-vous sortis dans un bar, peu importe l’endroit, pour assister à une bataille en fin de soirée. C’est un fait qui se produit malheureusement trop souvent. On se donne des coups de poing parce qu’on a flirté avec la copine de l’autre, ou tout simplement parce qu’on visait la même dame.

Ici, je ne parle pas de moi…

Bref, tout récemment, LeBron James a dû s’interposer afin de stopper une bagarre impliquant l’un de ses anciens coéquipiers et un membre des Warriors de Golden State. Tristan Thompson aurait frappé Draymond Green lors d’une soirée organisée par King James puisque celui-ci aurait refusé de lui serrer la pince pour ainsi tourner la page sur ce petit chapitre. Green n’était donc pas l’agresseur principal puisque celui-ci souhaitait enterrer la hache de guerre.

Les rumeurs de cette petite lutte sont de plus en plus persistantes, donc les probabilités qu’elle se soit réellement produite sont de plus en plus officielles qu’officieuses. Cette empoignade se serait déroulée au LA nightspot Delilah, où une fête privée avait lieu pour le ESPY Awards, le 18 juillet dernier. Le pivot des Cavaliers a la mémoire longue et cet événement sur le « court » semble toujours le titiller, lui qui a carrément explosé.

Kevin Durant et LeBron James se sont imposés pendant cette lutte, eux qui auraient, semble-t-il, séparé les deux hommes… Parfois, les séquences sur le terrain se transportent à l’extérieur de celui-ci, alors que ça ne devrait pas être le cas. Mais bon, tout le monde est humain.

En rafale

– Ouf. Lire ce texte donne les larmes aux yeux.

– C’était prévu.

– Mais qu’est-ce que le « be bold »?

– Dans la catégorie des « kossé ça »!

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Ryan Callahan peut-il encore tenir le coup ?

Ryan Callahan n’a certainement pas connu des mois très faciles, ces derniers temps.

Malgré le fait qu’il ait joué une bonne partie de la saison, en plus de la majorité des séries éliminatoires avec le Lightning de Tampa Bay, le #24 a dû faire face à de nombreuses blessures, dont une assez sévère.

Le 15 décembre dernier, après un choc avec Oliver Ekman-Larsson, Callahan s’est déboîté une épaule. Il a su plus tard qu’il devait passer sous le bistouri pour la réparer…

Néanmoins, il ne voulait pas rester assis pour le bal printanier et a décidé de jouer malgré la douleur. L’ancien Rangers avait connu la même blessure du côté de New-York, et il n’y avait pas eu de problèmes dans la guérison…

Par contre, une question se pose : Callahan peut-il encore tenir le coup ? Il s’est entretenu avec The Athletic, à ce propos…

Pour lui, il était hors de question de rater les séries pour une deuxième année d’affilée et c’est pour cela qu’il a décidé de continuer à jouer malgré ses bobos.

Malgré mon bras qui tombait, j’allais être dans l’alignement partant pour aider l’équipe à gagner. C’est ce que je voulais.

– Ryan Callahan

Si ce ne sont pas les propos d’un guerrier, je ne sais pas ce que c’est…

Ryan Callahan apporte énormément à une équipe. Il joue avec énormément de hargne et d’agressivité. Le problème c’est qu’il a dû faire face à 3 opérations depuis 2 saisons. Son corps est extrêmement vulnérable. Il a pris de l’âge, et son contrat de 5,8M$ (qui se termine dans deux ans) est considéré par plusieurs comme handicapant pour les Bolts…

Il n’a récolté que 18 points en saison régulière, cette année…

Callahan en est toutefois conscient…

Tu as l’impression que tu peux être meilleur, contribuer plus mais ton corps te limite. C’était très difficile de ne jouer que 18 matchs la saison d’avant (…) mais en même temps, je suis encore plus motivé de revenir en bonne santé la saison prochaine.

– Ryan Callahan

En espérant pour lui que sa santé ne lui joue pas encore des tours malheureux…

En rafale

– Le CH ne sait pas encore…

– Il en aura !

– Ce n’est pas rien, gagner le Tour de France !

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Cam Ward dit les vraies choses au sujet des Hurricanes

Cam Ward n’avait certes plus la cote du côté de Raleigh, donc un nouveau départ était devenu nécessaire pour le cerbère, qui a passé 13 saisons dans l’uniforme de la Caroline. Il a tout de même joué 668 joutes et récolté 318 gains… mine de rien.

Mais depuis son parcours hallucinant et inhumain lors de la valse du printemps 2006, on n’a jamais revu cette étincelle dans ses yeux.

Oui, il a connu d’excellentes saisons de 2006 à 2012, étant même d’office pendant 74 joutes en 2010-11. Par contre, depuis, c’est plus laborieux et l’on a même tenté d’en faire un auxiliaire l’an dernier. Enfin bref, au début du mois, il a paraphé un accord d’un an et 3 millions de dollars avec les Blackhawks de Chicago.

Le gardien de 34 ans est donc le second de Corey Crawford, qui a passé beaucoup de temps sur les lignes de côté à cause d’une commotion cérébrale. D’ailleurs, il n’est pas encore remis à 100% de cette blessure au coco, ce qui pourrait amener Ward à entamer la campagne. Ce n’est pas une mauvaise chose… Mais où je m’en vais avec mes skis? Juste ici!

Sans trop le savoir et le vouloir (quoique…), il a lancé une petite pointe à l’organisation qui l’a sélectionné au 25e rang au total lors de l’encan 2002. Comme humain et fanatique de sport, je comprends entièrement la teneur de ses propos qui sont, ma foi, légitimes. Le gars a hâte de jouer pour une concession qui remplit son amphithéâtre, versus une autre qui n’a qu’une poignée de réels adeptes. Ce n’est peut-être pas cool pour les gens qui l’ont supporté pendant ces 13 années là-bas, mais ce n’est que la vérité.

Moi, des athlètes qui carburent à la pression et qui veulent que 20 000 personnes viennent les observer, je trouve cela très honorable. Pourquoi peindre quelqu’un dans un coin à cause de ce type de propos ? Bref, souhaitons-lui que le karma ne lui frappe tout de même pas en plein visage.

En rafale

– Le numéro 24 revient à Rinat Valiev.

– Les Phillies de Philadelphie visent les grands honneurs, c’est évident.

– Je me range évidemment du côté du King.

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Un autre Leaf pourrait partir vers St.Louis

Les Maple Leafs de Toronto ont une ligne de centre foudroyante, des ailiers de calibre, un gardien qui peut faire la besogne… mais cette équipe a un défaut majeur : une défensive peu étanche. Toutefois, avec le salaire monstrueux octroyé à Tavares (11 millions de dollars par année), les futures augmentations à des pions comme Auston Matthews, Mitch Marner et William Nylander, le nouveau DG des Leafs devra demeurer prudent.

Il souhaite peut-être conserver son jeune noyau offensif, mais s’il souhaite améliorer sa brigade, il devra fort probablement sacrifier l’un de ses joyaux. Cette équipe a dans l’idée de sortir Jake Gardiner afin de créer de l’espace supplémentaire pour les jeunots. Ai-je besoin de préciser une fois de plus que Gardiner a récolté 52 points l’an dernier et qu’il couchait sur la patinoire (moyenne de 22 minutes 32)?

Si les Leafs désirent au final de le conserver, Kyle Dubas devra trancher : conservera-t-il Marner ou Nylander?

On dirait bien que ça pourrait être lui! Capture d’écran YouTube

Ce matin, en parcourant un article, pondu originairement par Howard Berger, on en apprend un tantinet sur le possible « plan » de Dubas. Selon les informations de l’auteur, les Leafs et les Blues auraient ouvert un couloir de discussions. Colton Parayko serait vraisemblablement le joueur qui aurait séduit Dubas, surtout par sa défensive, sa constance et sa durabilité. En trois campagnes, il s’est absenté seulement à quatre reprises. D’autant plus qu’il peut noircir la feuille de pointage de façon somme toute régulière (33, 35 et 35 points lors de ses trois campagnes).

À 25 ans et 6 pieds 6 pouces, il serait la tour du CN de cette défensive en manque d’étoffe. Cependant, Nylander demeure un joueur énergique et électrisant. Il a récolté 61 points à chacune de ses deux dernières saisons, ce qui n’est pas à négliger. À 22 ans seulement, il a démontré beaucoup d’up-side, ce qui fait de lui une pièce remplie de potentiel qui n’a toujours pas atteint son plein régime. Par contre, Nylander n’a toujours pas paraphé un nouvel accord avec les Leafs… donc, ça peut peut-être indiquer quelque chose.

Bref, pour bouger un joueur de cette trempe, ça prendrait peut-être un peu plus que Parayko.

En rafale

– J’étais de passage au 91,9 Sports tôt ce matin afin de jaser des dernières transactions au sein de la MLB… et du dossier nébuleux « Harper ».

– Suivez Max Domi sur les réseaux sociaux aujourd’hui.

– Braden Holtby passe son moment avec la coupe Stanley, sûrement moins intense que son capitaine.

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2 récits en provenance de la KHL impliquant Talbot et Hartley

La KHL demeure une ligue particulière, si je peux m’exprimer ainsi.

Certains anciens joueurs de la LNH qui y ont évolué ont quitté rapidement puisqu’ils se sentaient complètement désorientés, surtout ceux qui sont passés par des équipes plus pauvres. À l’inverse, des gars comme Max Talbot y trouvent un domicile chaleureux leur permettant de jouer un hockey de haut niveau. Quoique le Québécois ne semblait plus dans les plans du Lokomotiv de Iaroslav puisque, selon Yvon Pedneault, le contrat de l’ancien des Penguins aurait été racheté. Est-ce le moment pour lui de s’en venir à Laval, avec le Rocket?

Une autre histoire de la KHL impliquant un autre francophone fait également la manchette. Récemment, Bob Hartley a décroché un boulot au sein de cette ligue, pour l’Avangard Omsk. Ce n’est pas une nouvelle bien fraîche, elle est même désuète, mais le nouveau dans ce dossier : le domicile de son équipe, édifié en 2007, ne sera pas prêt pour le lancement de la saison régulière, lui qui est en train de subir des travaux. La solution de rechange, où l’équipe a déjà joué quelques joutes, se nomme le Victor Bilanov Arena… mais lui aussi doit faire peau neuve.

Les autres options sont Mistichi et Balashika, même si l’équipe explore également d’autres endroits. Ce ne sera pas pour une joute seulement, mais bien quelques rencontres… la ligue devra toutefois accepter cette demande de l’organisation, qui se ramasse dans le pétrin à quelques semaines du début de la campagne 2018-19. On parle même de jouer entièrement la prochaine saison sous un autre toit.

Donc, Bob Hartley est tombé au sein d’une organisation qui n’a pas de domicile fixe en vue de la prochaine campagne. Souhaitons que ses deux ans avec eux se passent mieux que ce début un tantinet décousu. Ou, souhaitons-lui un emploi au sein de la LNH qu’il puisse revenir en Amérique…

En rafale

– Jarome Iginla est l’un des humains les plus vrais.

– Une autre histoire qui est en train de s’effriter.

– Un deuxième séjour d’une courte durée.

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2.65M$ séparent Cody Ceci et les Sénateurs

Les Sénateurs d’Ottawa ainsi que le défenseur Cody Ceci échangeaient leurs papiers avec un arbitre en prévision de la séance d’arbitrage de mercredi.

Évidemment, la demande et l’offre n’allaient aucunement se ressembler et un écart considérable était à prévoir…

C’est ce qui a été annoncé. Deux extrêmes.

Ceci demanderait un salaire annuel de 6 millions de dollars, tandis que les Sénateurs offrent 3.35 millions de dollars. Bien évidemment, Ceci exagère BEAUCOUP pour faire monter les enchères, mais ce qui est offert par Ottawa est également assez bas. Quoique certains diront qu’elle est beaucoup plus logique, puisque les performances de Ceci sont critiquées depuis longtemps…

Avec de telles demandes, on dirait presque qu’il ne veut plus jouer à Ottawa. Normal?

À titre de comparaison, Jacob Trouba demandait un salaire de 7 millions de dollars, tandis que les Jets ont rempli les documents pour 4 millions. L’arbitre a tranché à 5.5 millions de dollars.

Ceci mérite-t-il près du même salaire octroyé à Jacob Trouba? Non. Mais mérite-t-il de gagner environ ce que Tom Wilson a obtenu récemment? 

Je ne sais pas… Je vous dirais presque que oui, mais mes collègues ne sont pas d’accord. C’est une question d’importance, de besoin, d’impact, d’âge et de relation entre les deux équipes.

Il est dur de se baser sur certains contrats pour juger la valeur d’un joueur, puisque plusieurs ententes se contredisent.

En théorie, l’arbitre devrait trancher autour de 4 à 4.5 millions de dollars, soit plus près de l’offre des Sénateurs que de l’offre de Ceci. Ne soyez pas non plus surpris si c’est moins.

Il y a toutefois une autre chose à prendre en compte : un contrat à court terme, ça coûte plus cher qu’un contrat à long terme, puisqu’à long terme, l’argent est garanti et une certaine sécurité financière vient avec. 

Mais la sécurité n’est pas assurée, avec Ceci, qui a beaucoup de difficulté à être constant. 

On verra bien!

En Rafale

– Zemgus Girgensons a contribué à l’achat de son ancien club junior.

– Un peu plus de deux mois.

– Bonne chance!

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L’anecdote de Luke Richardson

Luke Richardson, le dernier entraîneur adjoint embauché par le Canadien de Montréal, est reconnu pour son étoffe de guerrier et de gars qui ne reculait pas devant rien. Pour évoluer 20 ans au sein de la Ligue nationale, ça prend certes du talent, mais lui, à l’instar de Marc Bergevin, n’était pas reconnu pour ses habiletés. Il était davantage un joueur de caractère qu’un joueur flashy.

Comme le font régulièrement les joueurs du Canadien qui débarquent à Montréal, il a « construit » le prototype de joueur qu’il croit ultime. Évidemment, il est question, pour la plupart des choix, d’anciens joueurs et non des Connor McDavid de ce monde… Pour lui, une vision de Gretzky, la paire de mains de Rick Middleton, la vitesse de Todd Marchant, la force de Dave Andreychuk, le tir de Brett Hull et le coeur de Jean-Gabriel Pageau font son joueur ultime.

Il n’a pas évolué avec Pageau, puisqu’il y a une différence d’âge considérable entre les deux hommes, mais il a entraîné celui-ci. Puis, pour Richardson, Pageau est l’exemple parfait d’un joueur avec BEAUCOUP de coeur. Il le prouve lors des danses printanières, lui qui lève son niveau de jeu d’un ou même deux crans.

Lors de son résumé du joueur ultime, Richardson a livré une petite anecdote au sujet de Brett Hull, qui hurlait à ses coéquipiers de l’époque de passer la rondelle plus fort. Lui, il voulait des passes très rapides afin que son lancer soit encore plus foudroyant :

« Des gars m’ont dit que lorsqu’ils lui passaient la rondelle, il leur hurlait de la passer plus fort. La passe n’était jamais trop forte pour qu’il décoche sur réception. »

Brett Hull a inscrit pas moins de 741 buts en carrière, la plupart sur un lancer sur réception, donc de gros cris sur la surface glacée, il y a eu des tonnes de copies.

En rafale

– C’est loin, mais en même temps, c’est très près. L’été passe comme un coup de vent!

– Charlie Lindgren nous parle de sa ville natale.

– Il a du fun, le P.K.!

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5 destinations potentielles pour Max Pacioretty

Que se passe-t-il avec le dossier Max Pacioretty? À ce moment-ci de l’été, c’est le silence radio, même si plusieurs rumeurs intenses indiquent que Marc Bergevin ne parle plus à son capitaine, le 67 est toujours un membre officiel de l’équipe.

Qui ne se demande pas où il évoluera dans le futur? Entre chums, c’est le genre de débat qui se passe lors d’une soirée autour d’un feu. Joey Alfieri, de NBC Sports, nous amène plus loin dans ce débat. Il suggère cinq formations où Patch pourrait poursuivre sa carrière.

Par contre, avec la situation houleuse entre les deux hommes, les homologues de Bergevin pourraient tenter de profiter de cette situation afin d’obtenir les services du capitaine aux rabais. MB doit bien jouer ses cartes s’il souhaite obtenir un « as » en retour de son « roi ». C’est une tâche plutôt ardue…

Cela dit, voici les destinations potentielles de Max Pacioretty, selon Alfieri : Chicago, Edmonton, Los Angeles, New Jersey et San Jose. On sait que Bowman et Bergevin entretiennent une relation amicale et depuis quelques années, les deux hommes ont souvent dansé ensemble. Donc, placer le nom de la ville des vents parmi les cinq formations potentielles n’est qu’un calcul 1+1. Les Hawks ont un espace de manoeuvre, mais quel joueur du show pourraient-ils refiler au Canadien? Là est la question!

À Edmonton, le nom principal demeure celui de Ryan Nugent-Hopkins, certes, mais les demandes de Bergevin semblent être plus élevées, comme Leon Draisaitl, par exemple. Ça prendrait plus que « juste » Pacioretty pour ça… Les Kings de Los Angeles, malgré l’avortement des dernières discussions, je vous rappelle qu’un deal était en place, ne seraient toujours pas écartés du portrait. Évidemment, les Sharks de San Jose, une autre formation de la Californie où Pacioretty aimerait habiter, sont également dans ce derby depuis longtemps.

Celle qu’on entend le moins, la concession des Devils, pourrait peut-être damer le pion aux autres équipes impliquées. Ray Shero est un homme agressif et depuis son arrivée au New Jersey, il a complètement changé l’identité de cette équipe. Un groupe jadis étiqueté comme « défensif » et peu excitant. C’est tout le contraire aujourd’hui et ce clan est très respecté dans le circuit. Pacioretty est natif de New Canaan, pas trop loin du domicile des Devils. Mais une fois de plus, que pourraient offrir les Devils pour Pacioretty? Zajac? Johansson?

Un dossier qui suscitera la curiosité jusqu’au bout.

En rafale

– Erik Karlsson est de retour à 100%.

– J’espère bien!

– L’histoire des Guerrero est tout simplement singulière.

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Le grand regret de LeBron James

(chronique)

Un athlète, ce n’est pas un superhéros, un être sans émotion, ou un individu sans âme… c’est avant tout un être humain comme toi, vous et moi. Que ce soit un joueur de basket, de hockey ou de baseball, ils ont une vie loin des lentilles et celle-ci est souvent vue ainsi : « Qu’ils ne pleurent pas, ils gagnent une montagne de millions! »

Hey, ça fait quoi s’il empoche autant de cash? Ils ont un talent inné et peuvent se sentir choyés du métier unique qu’ils pratiquent.

Levez la main ceux qui rêvaient de devenir un joueur professionnel à l’âge de 10 ou 11 ans?

Toutes les mains sont dans les airs? C’est ce que je croyais.

LeBron James demeure l’idole d’un peuple et l’athlète le plus populaire en Amérique, selon moi. Mais comme mes lignes en introduction l’indiquent, il est avant tout un être humain, qui vit des émotions et qui trébuche ou fléchit les genoux lors de certains impondérables.

King James s’est d’ailleurs confié, sans filtre, et sa multitude de confidences se retrouve à travers cette vidéo-ci :

C’est fort, HBO!

James relate certains moments de sa vie à l’extérieur du court. Il souligne d’ailleurs que pour la première fois, l’été passé, il a eu la chance singulière de suivre son fiston à temps plein, ce qui a rendu ses mains très moites puisqu’il était nerveux pour son fils de 13 ans (aujourd’hui 14 ans). Pendant qu’il était dans les gradins à le zieuter avec un ballon en main, il s’est chamaillé avec une maman également présente dans les estrades.

Saviez-vous que lorsque le 23 était gamin, il était le premier à mentionner à sa mère de calmer son intensité dans les estrades? Donc, à la suite de cette petite lutte verbale, LeBron a indiqué à sa mère : « Je te comprends, maman! » Évidemment, il a offert ses excuses à la dame en question, il a une réputation à protéger tout de même.

Au passage, Bron a partagé son petit regret de la vie : celui d’avoir donné son nom à son fils. Parce que son enfant n’a pas besoin d’être lui et vivre à la hauteur de son talent bien à lui, vu qu’ils pratiquent le même sport, soit le basketball.

Ce genre d’histoire amène tellement une facette encore plus séduisante au sport.

En rafale

– Une excellente nouvelle pour l’organisation.

– Encore un billet touchant et juste au sujet de Jarome Iginla.