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Des sportifs qui font une tonne de « cash » grâce à Instagram

Parlons d’argent un peu ce matin. Le fameux diction « l’argent ne change pas le monde », c’est de la foutaise. L’argent, ça change les gens… Les personnes plus riches ne vivent pas comme celles de la classe moyenne. 

Pourquoi est-il question de cash en ce vendredi matin? Parce que j’ai récolté plusieurs dossiers où les dollars sont le sujet principal. Commençons avec la ville de Seattle, qui se prépare tranquillement à accueillir une concession de la Ligue nationale.

Au départ, les travaux afin de rénover l’amphithéâtre (KeyArena) devaient coûter environ 600 millions de dollars. Finalement, on devra ajouter un petit 100 millions de dollars afin de compléter lesdits travaux. Le tout s’amorcera en octobre afin d’être prêt d’ici deux ans.

Restons toujours dans le vif du sujet… l’argent! Cette fois-ci, parlons plutôt du cash qu’empochent certains athlètes grâce à Instagram. Les sportifs de nos jours ne font pas qu’empocher le salaire qu’ils ont avec leur équipe ou leurs commandites… ils en font aussi ailleurs que là. Les joueurs de soccer ont la cote sur Insta puisque parmi les 10 mieux rémunérés sur ce réseau social, sept sont des joueurs de foot.

Celui qui trône au sommet de ce palmarès est évidemment Cristiano Ronaldo, qui empoche 750 000$ grâce au 130 millions d’adeptes qui suivent ses activités sur Instagram. Conor McGregor se présente le bout du nez au 8e échelon avec des revenus de 125 000$ par publication. Dans le cas de Stephen Curry, qui a 21 millions de suiveux, il empoche 110 000$ chaque fois qu’il publie quelque chose. Si j’étais Curry, avec la piastre qu’il empoche via Instagram, il devrait publier plus souvent qu’aux trois jours. En même temps, je dis cela… mais je ne dis rien!

En rafale

– Voilà la preuve que le Canadien recherche un centre depuis TRÈS longtemps, héhé.

– Une belle histoire, ce Max Domi.

– Mon meilleur chum se dirige vers New York afin de contempler son équipe, les Yankees. Malheureusement pour celui-ci, Aaron Judge ne sera pas de cette rencontre.

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Les Alouettes de Montréal se sont-ils plantés?

Hier, nous avons publié, sur notre page Facebook, une vidéo de Johnny Manziel puisque celui amorçait officiellement son règne avec les Alouettes de Montréal. Le Québec et la ville de Montréal étaient en liesse grâce à la venue de ce jeune joueur polarisant…

Soudainement, j’ai senti une vague d’amour envers les Alouettes. Une vibe que je n’avais pas senti depuis les belles années d’Anthony Calvillo. Bref, toute la publicité a été faite autour de Manziel… Pour une rare fois depuis longtemps, le stade débordait et cette tonne de partisans brûlait d’impatience. Ce matin, ces gens brûlent encore ce matin puisque Mike Sherman n’a pas cru que c’était le bon moment pour le « sortir ».

Les gens se sont déplacés au domicile des Alouettes afin de contempler la nouvelle coqueluche. Tout le monde le réclamait. Tout le monde souhaitait le voir fouler le terrain. Puisqu’il n’a pas participé à beaucoup d’entraînement avec sa nouvelle formation, Sherman a pris la décision de ne pas l’humilier contre les Eskimos d’Edmonton, qui l’ont finalement remporté 44-23.

Voici la déclaration de l’entraîneur, recueilli par RDS :

J’ai senti que je ne devais pas envoyer Johnny dans la mêlée. Je n’allais pas mettre sa carrière en jeu après seulement une journée d’entraînement. Quand tu commences à écouter les partisans, ça ne prend pas de temps que tu en deviens un, a mentionné Sherman. C’est comme présenter une pièce de théâtre sur Broadway après seulement une répétition. Ça ne fonctionne pas.

Est-ce que je le comprends? Absolument, surtout avec la fiche médiocre des Moineaux. Si le résultat avait été positif et que les Alouettes étaient en train de remporter la rencontre peut-être que l’entraîneur aurait pris la décision d’utiliser Manziel. Le jeune homme est demeuré sur les lignes de côté, le visage un brin dérangé, pendant que la foule hurlait son nom. Pour le spectacle, même si les Alouettes n’étaient pas sur Broadway, la multitude de gens méritait de le voir. Pourquoi? Parce qu’on a vendu cette joute-là avec Manziel afin d’attirer une grosse foule. Ç’a fonctionné, mais on a déçu BEAUCOUP de gens.

Bref, les organisations de Montréal ne cessent de décevoir leurs partisans…

En rafale

– Le paternel d’Anze Kopitar est désormais un recruteur des Kings de Los Angeles.

– C’est une bonne chose de voir ce noyau de leaders passer du temps ensemble pendant la saison estivale.

– Deux vidéos très intéressantes à visionner.

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Un top-25 presque parfait, mais…

Mon ancien collègue, Nicolas Cloutier, qui oeuvre désormais sur TVA Sports, a pondu un billet très intéressant au préalable.

Un top-25 des meilleurs joueurs âgés de moins de 25 ans.

Jonathan Drouin s’y retrouve-t-il? Max Domi s’est-il déniché une place à travers ce classement? On le sait, le circuit Bettman est devenu une ligue où les jeunes s’imposent de plus en plus. Au sommet de ce scrutin, inutile de vous souligner que le numéro 97 des Oilers d’Edmonton y siège bien tranquille, sans soucis.

Connor McDavid n’est pas uniquement le meilleur joueur de moins de 25 ans, il est tout simplement le nouveau « meilleur » joueur au monde, lui qui a surpassé Sidney Crosby, selon plusieurs.

En trois campagnes dans le grand show, sa récolte de points est monstrueuse. Son compteur indique 256 points, dont 87 buts, en 209 rencontres. Il sort fraîchement de deux saisons successives où il a récolté au moins 100 points.

À la position numéro 2, l’ancien collègue suggère Nathan MacKinnon. Mac, qui patine à la vitesse du vent, a démontré toute l’étendue de son grand talent lors de la dernière campagne, où il a récolté un total impressionnant de 97 points en 72 rencontres. Un train. Une machine à ramasser des points, j’en conviens… Mais, ici, je ne peux pas être en harmonie, même si j’adore l’ancien des Mooseheads. C’est ardu de critiquer ce choix, mais je me dois de livrer le fond de ma pensée et mettre mon grain de sel. Pour moi, c’est Auston Matthews, le second de ce palmarès.

Bien que le prodige des Leafs se situe au troisième rang et que la différence est minime entre le train de Denver et lui, à mon avis, Matthews se devait de siéger au second rang. Le phénomène de l’Arizona a enfilé 40 buts dès son entrée dans le show à l’âge de 19 ans.

En 2017-18, malgré beaucoup de temps à l’infirmerie, il a conclu la saison avec 63 points en 62 rencontres. Un rythme d’un peu plus d’un point par match et une cadence qui a été cassée à cause de cette fameuse blessure à l’épaule.

Pour le restant du top-25, je n’ai rien à débattre… sauf peut-être l’absence de Max Domi et Jonathan Drouin, héhé.

En rafale

– Le dossier de Manziel a fait jaser, mais celui de Briand soulève encore plus la passion.

– Wow! 80 millions de dollars, dont 50 millions garantis, pour Taylor Lewan.

– Félicitations à toutes ces personnes de 60 ans qui osent!

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Un problème pour les Leafs

Le plan des Maple Leafs semble très simple au sujet de Jake Gardiner : le bouger par peur de le perdre pour rien. Avec une structure salariale serrée, surtout depuis l’ajout de John Tavares, on explore les options concernant le défenseur de 28 ans. Les deux clans se sont d’ailleurs rencontrés afin de jacasser du futur de celui-ci. Un tracas parmi tant d’autres. Il ne faut pas omettre que des jeunots comme Auston Matthews, William Nylander (RFA en ce moment) et Mitch Marner devront prolonger leur contrat… C’est beaucoup de cash à venir, ça! Selon Jim Parsons, du site The Hockey Writers, Gardiner est l’élément à sacrifier.

Pour revenir à Gardiner, il est le meilleur brigadier du noyau défensif faible des Maple Leafs de Toronto. L’arrière a connu une brillante campagne en 2017-18 avec une récolte impressionnante de 52 points en 82 rencontres. En plus de ça, il ne visite pas l’infirmerie souvent, lui qui n’a raté que huit rencontres lors des cinq dernières années. En sept rencontres printanières en 2018, il n’est parvenu qu’à ramasser seulement deux mentions d’aide. Peu importe, il demeure sans aucun doute une pièce principale de ce groupe et son départ créerait un trou béant…

Je pense que cette nouvelle direction avec Dubas, Brandon Pridham et Laurence Gilman essayera de ne pas perdre de bons joueurs pour rien sur le marché des agents libres. Cela signifierait de décider maintenant s’il souhaite signer Jake Gardiner ou le transiger et récupérer quelque chose en retour… – Parsons

Ils ont amorcé cette stratégie à la suite des départs de Tyler Bozak vers Saint-Louis, James van Riemsdyk qui est retourné du côté de Philadelphie et Leo Komarov qui a rejoint les Islanders de New York.

Pat Brisson est l’agent de Gardiner et le clan sera sans doute à la recherche d’un contrat à long terme, ce qui pourrait ne pas cadrer dans le système salarial des Leafs de Toronto. C’est triste, mais Dubas doit trouver une solution afin de conserver ses louveteaux… donc de sacrifier le meilleur défenseur de l’équipe semble la solution au futur problème.

Pourquoi ne pas valser avec le Canadien dans ce cas-ci? La brigade a justement besoin d’un défenseur gaucher de ce calibre.

En rafale

– Mine de rien, Jarome Igina a joué son 1500e match à Montréal.

– Est-ce que ça pourrait devenir la solution avant de bouger Gardiner?

– Le moment où Kevin Garnett a volé la vedette à Jarome Iginla.

– C’est beaucoup d’argent à un aussi jeune âge.

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Un gars de 37 ans se fait passer pour le proprio des Bruins (qui a 78 ans)

(chronique, opinion)

Tout le monde connaît le propriétaire particulier des Bruins de Boston, Jeremy Jacobs? On entend régulièrement parler de lui lorsque l’on suit le moindrement les activités de la Ligue nationale. Jeffrey Jacobs, vous le connaissez, lui? Quel est le lien de parenté avec l’homme de 78 ans? Son fils, son petit-fils? Qu’a-t-il fait au juste, ce Jeffrey! Jeffrey, qui a 37 ans, s’est fait passer pour Jeremy, qui je vous répète, est âgé de 78 ans.

Comment les gens ont-ils pu croire cet homme? Il faut être naïf en TA pour croire une telle plaisanterie, même ma femme n’y croirait pas. Quoique… Cela dit, ce récit s’est passé à Wilton, dans un village/ville du Connecticut. À la suite d’une tempête dévastatrice l’an dernier, Jeffrey a vu un arbre s’étendre directement sur son domicile. Aussitôt, il a contacté un contracteur afin que celui-ci passe chez lui régler les dégâts. En jasant avec cette entreprise, Jeffrey a constaté que son interlocuteur capotait sur les Bruins de Boston… donc, il s’est fait passer pour Jeremy et a demandé d’envoyer la facture chez les Bruins. Wow! On parle de 5000$!

Mais ce n’est pas tout. Il s’est essayé également avec les policiers. Il s’est fait capter au volant avec son cellulaire en main… et avec les policiers qui l’ont intercepté, il leur a dit qu’il était le proprio des Oursons. B*tard, la prochaine fois qu’un monsieur de la loi m’arrêtera, je vais me ferrai passer pour Jonathan Drouin. Why not? Il a évidemment passé pour un épais en se retrouvant avec les menottes aux poignets. Même un partisan moyen est au courant de l’âge du vieux Jeremy Jacobs.

Mais comme on dit, ou plutôt comme je dis : « Qui ne risque rien ne risque pas pantoute! »

En rafale

– Une vision différente explique le tout.

– Brian Burke n’est pas intéressé au poste libre des Canucks de Vancouver.

– Un texte intéressant au sujet d’Alexandre Picard.

– Des fois, Jacques Villeneuve devrait fermer son clapet.

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Il n’y a que les fous qui ne changent pas d’idée

Tout comme la NHL, la NBA vit sa saison morte avant d’amorcer une nouvelle campagne. Par contre, au niveau du basket, l’action est beaucoup plus divertissante, à mon humble avis.

Dans la Ligue nationale, le gros mouvement fut sans aucun doute John Tavares qui est débarqué à Toronto. À Toronto, la ville a également été ébranlée par le départ du prince de la ville, DeMar DeRozan.

Les Raptors, c’est BIG aussi dans la Ville-Reine, surtout lorsque la pièce obtenue en retour, Kawhi Leonard, ne souhaitait pas évoluer à Toronto quelques minutes après le traité. Enfin bref, ce n’est pas une nouvelle fraîche ça!

Le nouveau, dans ce cas-ci, c’est le petit changement d’attitude de Leonard, qui semble de plus en plus à l’aise avec sa nouvelle formation. Sans dire qu’il souhaitera prolonger son séjour avec les Raps, il est du moins plus heureux qu’au départ. Certes plus heureux que Kyle Lowry, qui vient de perdre son meilleur copain.

Où je m’en vais avec mes skis? À Toronto. Selon les nouvelles récoltées par ESPN, Leonard ne serait pas enclin à se présenter à Vegas, pour le camp estival de Team USA, la semaine prochaine. Le numéro 2 souhaite focaliser son énergie sur les Raptors. Vous n’avez pas la berlue, Leonard se concentre sur les Raptors et sa mise en forme pour SON équipe.

D’autant plus que celui qui pilote les États-Unis n’est nul autre que son ancien pilote chez les Spurs, Gregg Popovich, avec qui la relation n’est pas au beau fixe. Le concubinage entre les deux hommes est effritée, ce n’est plus un secret de Polichinelle. À l’inverse, DeMar souhaite se rendre à Vegas dans le but de développer une relation saine avec son futur coach.

Donc, le résultat final de ce brouhaha, Leoanard ne veut plus jouer sous la gouverne de Gregg Popovich et DeRozan souhaite fortifier sa relation avec celui-ci. Une preuve que le temps finit toujours par faire son oeuvre.

En rafale

– Craig Conroy se souviendra toute sa vie de Jarome Iginla.

– Est-il triste du départ… ou était-il sarcastique?

– Il est bon, Jeff Petry!

– J.A. Happ pourrait devenir un membre des Yankees de New York.

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La vision du Canadien lors de la deuxième ronde de 2013

Un de nos lecteurs nous a envoyé une statistique intéressante au sujet d’Artturi Lehkonen. Lorsque l’un de ceux-ci nous partage une donnée aussi séduisante, je me dois d’en faire un texte pour le féliciter de cette trouvaille.

Qu’a-t-il fait le Finlandais? Rien de bien spécial, mais de souligner qu’il est le meilleur marqueur des joueurs sélectionnés en deuxième ronde en 2013, ça vaut le détour assurément.

Avec un total de 49 points, dont 30 buts, en 139 rencontres, il se retrouve devant des joueurs comme Adam Erne, Jacob de la Rose ou Nic Petan, tous des gars sélectionnés bien avant lui. Lehko a été le 55e choix de cette cuvée et il s’impose comme un choix judicieux du Canadien de Montréal.

En troisième ronde, toujours en 2013, Jake Guentzel, Anthony Duclair et même Sven Andrighetto ont été des choix intéressants, qui, aujourd’hui, jouent à temps plein au sein de la LNH.

Capture d’écran via HockeyDB

Encore plus positif, Jacob de la Rose et Lehkonen sont ceux qui ont disputé le plus de matchs de cette deuxième ronde de 2013. Donnons du crédit au Canadien, il le mérite amplement sur ces deux coups-là!

Restons encore dans le passé, en 2013… C’est aussi cette année-là que Jonathan Drouin a été sélectionné au troisième échelon par le Lightning de Tampa Bay. Parmi les joueurs du premier tour de cette cuvée, il figure au neuvième rang des meilleurs pointeurs (de la première ronde) avec un total de 141 points en 241 matchs. Mine de rien, qui pointe tout juste derrière lui au dixième rang? Max Domi, avec un total de 135 points en 222 matchs. Avec ses 303 points en 374 joutes, Nathan MacKinnon siège au premier rang.

Le positif dans tout ça, ça demeure la position des joueurs du Canadien parmi cette cuvée. Drouin et Domi n’ont pas été sélectionnés par le bleu-blanc-rouge, mais aujourd’hui, ils sont deux jeunes joueurs revêtant cet uniforme. À partir de là, Drouin, Domi et Lehkonen doivent continuer de progresser et ajouter encore plus de points à leur fiche afin de guider le Canadien vers quelque chose de plus glorieux.

En rafale

– Un excellent point.

– Que se passera-t-il avec le dossier « Roberto Osuna »? Un dossier nébuleux et une patate chaude, donc ce n’est pas évident de jongler avec ça.

– Comme le mentionne si bien le collègue Nilton : vive la transparence.

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Une seule tache au dossier de Jarome Iginla

Jarome Iginla demeure l’un de mes joueurs favoris de tous les temps avec Peter Bondra, Jeremy Roenick, Markus Naslund et Alex Ovechkin.

Un guerrier, un vrai et l’un des meilleurs leaders de son temps selon plusieurs de ses pairs. Iggy a couronné sa dernière campagne au sein de la LNH avec un uniforme des Kings de Los Angeles sur le dos. Avec eux, en 19 joutes régulières, il a marqué six buts et amassé trois mentions d’aide. Les Kings voulaient un vétéran pour les aider à atteindre les séries, lors du printemps 2017, ce qui n’a pas fonctionné au final.

Cela dit, comme vous la savez sans doute, le 30 juillet prochain, les Flames de Calgary accueilleront leur ancien capitaine pour la conférence de presse de son « retrait ». Le robuste ailier droit, aujourd’hui âgé de 41 ans, aura passé 20 campagnes au sein de cette grande ligue. Avant de jouer pour les Penguins, les Bruins, l’Avalanche et les Kings à la fin de son parcours, il a passé 16 ans avec un uniforme enflammé sur le dos. Il a carrément marqué l’histoire de cette concession et son numéro devrait être retiré encore plus rapidement que le Lightning a retiré celui de Martin St.Louis. C’est du moins mon feeling. Selon vous, à quel moment son numéro 12 sera suspendu au plafond du domicile des Flames de Calgary, le Scotiabank Saddledome?

En carrière, Iginla affiche un compteur avec des chiffres monstrueux : 1300 points, dont 625 buts, en 1554 matchs. Il a également passé 1040 minutes au cachot, tout en laissant tomber les gants lorsque le moment s’y présentait. Un guerrier qui n’a jamais eu peur de faire ce type de boulot « pas plaisant ».

Il aimait se mettre le nez là où ça fait mal. La seule ombre à son dossier… Il n’a jamais soulevé le fameux trophée argenté nommé Stanley. Souhaitons que sa carrière remplie de succès ne soit pas mise aux oubliettes à cause de cet exploit non réussi. Son nom mérite amplement de se retrouver au Temple de la renommée du hockey.

Voici donc sa carrière et ses honneurs individuels :

En rafale

– Le nouveau personnel continue à prendre forme du côté des Islanders de New York.

– Un nouveau pacte de deux saisons pour le jeune homme de 21 ans.

– Rappel : Les Yankees ont acquis le releveur Zach Britton… donc, les Red Sox se sont empressés de répliquer.

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Carey Price est l’éléphant dans la pièce

Quelle est la plus grande question du moment chez le Canadien? Qui sera le centre numéro un? Qui prendra la place de Shea Weber? Mais encore? Comment se comportera Carey Price lors de la prochaine campagne? Bam! Le cerbère québécois a figuré sur la liste des éclopés, tout en présentant une étoffe très chancelante lorsqu’il était au sein de l’alignement. C’est simple, comme disent les anglophones : Carey Price is the elephant in the room. Voici un résumé (en français) d’une excellente chronique qu’a pondu l’excellent Brendan Kelly de The Gazette.

T’sais, on nous parle de cette fameuse mauvaise attitude, mais on a pas mal les mêmes pions sur l’échiquier actuellement, outre Alex Galchenyuk ou Daniel Carr. Par contre, si Carey Price connaît une saison reluisante en 2018-19, le mot attitude sera jeté aux poubelles, même si celle-ci ne change pas. Bref, on ne parle pas de ça. On ne parle pas de Price. Tout le monde évoque la perte de Weber, l’ajout de Domi, mais personne ne parle d’un homme qui n’était pas dans son assiette pendant la saison 2017-18. Tout indique qu’il rebondira, selon Marc Dumont, un spécialiste des statistiques avancées.

Est-ce que Price pourrait avoir le syndrome José Théodore? Ne jamais rebondir d’une mauvaise saison à la suite de plusieurs bonnes saisons… Quoi? C’est aussi possible que Théo, non? Price a été terrible l’an dernier pour une raison inconnue. Plusieurs rumeurs ont couru, mais rien n’a été confirmé. Bon! On a dit qu’il était fatigué… Il est devenu arrogant avec les journalistes… Pis moi, lorsque Geoff Molson et Marc Bergevin ont parlé d’attitude en avril, lors du bilan de saison, c’est le premier nom qui m’est venu en tête.

L’argument de la « mauvaise » défensive ne passe pas dans ce cas-ci… tout comme l’argument suivant, rapporté par Stéphane Waite :

Je lui ai beaucoup parlé cet été et j’aime son ton de voix, j’aime sentir qu’il a hâte de revenir!

Le ton de la voix… Pis quoi encore? La manchette cachée de cet entretien avec Waite est plutôt le nombre de rencontres où Price sera d’office. On parle entre 50 et 60 joutes, ce qui donnera beaucoup de boulot au Finlandais Antti Niemi. Si Price ne rebondit pas, Niemi demeure une excellente police d’assurance.

En rafale

– Il n’est pas mauvais le petit Kotkaniemi.

– Dwayne Wade a reçu une offre monstrueuse de la Chine.

– Kawhi Leonard a un pourcentage de bonheur peu élevé.

Pascal Siakam est tout de même heureux de l’addition de Leonard, l’un des meilleurs joueurs du circuit lorsqu’il est en forme.

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Carey Price est l’éléphant dans la pièce

Quelle est la plus grande question du moment chez le Canadien? Qui sera le centre numéro un? Qui prendra la place de Shea Weber? Mais encore? Comment se comportera Carey Price lors de la prochaine campagne? Bam! Le cerbère québécois a figuré sur la liste des éclopés, tout en présentant une étoffe très chancelante lorsqu’il était au sein de l’alignement. C’est simple, comme disent les anglophones : Carey Price is the elephant in the room.

T’sais, on nous parle de cette fameuse mauvaise attitude, mais on a pas mal les mêmes pions sur l’échiquier actuellement, outre Alex Galchenyuk ou Daniel Carr. Par contre, si Carey Price connaît une saison reluisante en 2018-19, le mot attitude sera jeté aux poubelles, même si celle-ci ne change pas. Bref, on ne parle pas de ça. On ne parle pas de Price. Tout le monde évoque la perte de Weber, l’ajout de Domi, mais personne ne parle d’un homme qui n’était pas dans son assiette pendant la saison 2017-18. Tout indique qu’il rebondira, selon Marc Dumont, un spécialiste des statistiques avancées.

Est-ce que Price pourrait avoir le syndrome José Théodore? Ne jamais rebondir d’une mauvaise saison à la suite de plusieurs bonnes saisons… Quoi? C’est aussi possible que Théo, non? Price a été terrible l’an dernier pour une raison inconnue. Plusieurs rumeurs ont couru, mais rien n’a été confirmé. Bon! On a dit qu’il était fatigué… Il est devenu arrogant avec les journalistes… Pis moi, lorsque Geoff Molson et Marc Bergevin ont parlé d’attitude en avril, lors du bilan de saison, c’est le premier nom qui m’est venu en tête.

L’argument de la « mauvaise » défensive ne passe pas dans ce cas-ci… tout comme l’argument suivant, rapporté par Stéphane Waite :

Je lui ai beaucoup parlé cet été et j’aime son ton de voix, j’aime sentir qu’il a hâte de revenir!

Le ton de la voix… Pis quoi encore? La manchette cachée de cet entretien avec Waite est plutôt le nombre de rencontres où Price sera d’office. On parle entre 50 et 60 joutes, ce qui donnera beaucoup de boulot au Finlandais Antti Niemi. Si Price ne rebondit pas, Niemi demeure une excellente police d’assurance.

En rafale

– Il n’est pas mauvais le petit Kotkaniemi.

– Dwayne Wade a reçu une offre monstrueuse de la Chine.

– Kawhi Leonard a un pourcentage de bonheur peu élevé.

Pascal Siakam est tout de même heureux de l’addition de Leonard, l’un des meilleurs joueurs du circuit lorsqu’il est en forme.