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Le plan idéal pour qu’on accepte Lucic à Montréal

Les rumeurs. Les spéculations. Les débats entre chums au sujet des transactions que l’on ferait si l’on était dans les bottines de Marc Bergevin. Malheureusement, ou heureusement, on ne chausse pas ses beaux souliers

cirés. Où je m’en vais avec mes skis? Vers la proposition fictive suggérée par Mathias Brunet, qui pourrait changer l’image du Canadien. Puis, il n’est pas question de réaliser une transaction impliquant Max Pacioretty, mais plutôt des choix afin d’acquérir un leader.

Parce que oui, Milan Lucic est un grand leader malgré sa baisse de régime et malgré qu’il soit un ancien Bruins qu’on a appris à détester.

Revenons à cette suggestion en provenance du champ gauche. Lucic, le 10e choix au total en retour d’un espoir et de quelques choix de 2e et 3e ronde. Vite fait, le 10e choix devient intéressant pour l’organisation et Lucic apporte un leadership important dans le vestiaire (faut bien lui trouver un rôle). Par contre, malgré le 10e choix impliqué dans les spéculations de Brunet, Lucic vient également avec un salaire monstrueux, ce n’est pas négligeable.

En plus de ça, lorsqu’il est question « d’espoir » impliqué… euh, on parle de qui chez le Canadien? Nikita Scherbak? Will Bitten? À moins que ce soit Michael McCarron… Vous savez bien que je fais de la comédie ici. Toutes ces suggestions, elles deviennent nombreuses à l’aube de deux événements d’envergure qui est au programme de la LNH, je parle ici du repêchage et de l’ouverture des agents libres. Mais au bout du compte, c’est Marc Bergevin qui détient la vérité et la solution auxdits problèmes de cette organisation.

Bref, mon père devrait m’appeler d’ici peu pour me dire : « Ti-Gars, y parle de Lucic à Montréal ». Et je devrai lui expliquer qu’encore une fois, ce ne sont que des souhaits d’un spécialiste.

En rafale

– Un témoignage très poignant et actuel au sujet des commotions cérébrales.

– Pour ceux qui le désirent, il est désormais possible de suivre Nicolas Deslauriers via Instagram.

– Drôle de contrat de Karl Alzner, qui a assuré ses arrières.

– Mais où se ramassera LeBron James la saison prochaine?

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CH : Sélectionner Brady Tkachuk?

La période consacrée au repêchage se rapproche de plus en plus. Mais, malgré cela, on ne connaît aucunement le plan que le Canadien a dressé pour cet encan. Marc Bergevin et son groupe opteront-ils pour un jeune défenseur avec un potentiel immense? Ou, en suivant la logique, sélectionneront-ils le meilleur joueur disponible au 3e rang, tout simplement ? Mais qui sera le meilleur élément toujours dans les gradins lorsque le Canadien parlera?

L’ancien pilote des Huskies de Rouyn-Noranda, André Tourigny, s’est présenté sur les ondes du 98.5 Sports afin de jaser d’un certain Brady Tkachuk. Aujourd’hui, Le Tou guide les 67’s d’Ottawa, donc il a eu la chance de bien observer et décortiquer certains des futurs tops espoirs en vue du prochain repêche. Par exemple, il est sans équivoque au sujet d’Andrei Svechnikov. Quand je dis sans équivoque… il le classe dans la même catégorie que Rasmus Dahlin.

Il a toutes les qualités. Il a un physique imposant; c’est un bon patineur; il a une bonne vision du jeu; il marque beaucoup de buts et fait des passes. C’est un très bon joueur. On ne peut pas contester le talent de Dahlin, mais Svechnikov est dans la même veine. C’est assurément un choix numéro deux pour le repêchage. – Tourigny

Donc, entre les lignes, Tourigny indique de ne pas sélectionner Filip Zadina au 2e ou 3e rang. Toujours selon ses dires, Svechnikov est nettement au-dessus de la moyenne et rend tous ses coéquipiers meilleurs. Au rang du Canadien, on retrouve potentiellement Filip Zadina et… Brady Tkachuk. Si André était en poste comme dépisteur en chef du Canadien de Montréal, il opterait, sans aucune hésitation, pour Brady Tkachuk.

Il n’en existe pas des gars de même. [?] On peut trouver des défenseurs, mais des attaquants comme Brady, c’est rare. Son frère Matthew (ailier gauche pour les Flames de Calagry) dit qu’il est beaucoup plus robuste que lui. Il a 31 points en 40 matchs à Boston. Il a joué à l’université à 17 ans, contre des joueurs plus vieux que lui. Il est capable de patiner, frapper, déranger et compter. – Tourigny

Donc, Marc, go pour Brady?

En rafale

– Lui, il était apprécié par les athlètes professionnels.

– TVA Sports a manqué d’audace en ne mettant pas le Canadien de Montréal parmi les choix.

– Très content pour mon vieux chum Anthony Marcotte!

– Une belle histoire à parcourir.

– Quelle excellente nouvelle : le Canada, les États-Unis et le Mexique organiseront la Coupe du Monde en 2026. Est-ce que les joutes auront lieu au Stade olympique?

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CH : Le prix à payer pour Noah Hanifin

Revenons un brin sur les rumeurs où le nom de Noah Hanifin se retrouve. Ces rumeurs deviennent un tantinet plus intéressantes lorsqu’elles concernent le Canadien de Montréal.

Le jeune arrière de 21 ans, qui déborde de talent, se retrouve parmi certaines spéculations. Je ne comprends toutefois pas pourquoi un « buzz » est créé autour d’un joueur qui devrait être le futur des Hurricanes de la Caroline.

Mais bon… Elliotte Friedman avance que les Canes tentent de se départir du défenseur. Bref, jouons au jeu.

Combien devrait « débourser » Marc Bergevin afin de décrocher les services du jeune gaucher? Tiens, tiens, c’est exactement ce que recherche le DG et son groupe : un défenseur gaucher qui bouge ses pieds et la rondelle afin d’évoluer à la gauche de Shea Weber. En plus de ça, il n’a que 21 ans, donc ça vaut la peine de penser à inclure des choix au repêchage. Est-ce qu’un gars comme Hanifin vaut le troisième choix au total que détient le Canadien? Une cinquième sélection au total, qui a de l’attitude et qui joue comme un Scott Niedermayer (style similaire), ça doit se payer quelque part.

Dans le cas de Félix Séguin, le premier nom qui est venu en tête au descripteur de TVA Sports demeure Max Pacioretty. Les rumeurs à son sujet coulent à flot également, donc ça devient un calcul mathématique un peu trop facile. Toutefois, en zieutant plus loin et en analysant la transaction de Dougie Hamilton, qui a été obtenu en retour d’un premier choix (15e au total), Séguin donne raison à mon pronostic. Un jeune défenseur de 21 ans, ça se paie ainsi, selon moi… et non contre un joueur qui frôle la trentaine et qui sort d’une campagne laborieuse.

Logiquement, Hanifin se paie avec le choix que détient le Canadien et peut-être d’autre chose impliquée, mais en gros, la valeur de Hanifin ressemble à cela.

En rafale

– S’il te plaît, Marc, ne fait pas une deuxième erreur… après celle impliquant Karl Alzner.

Voilà ce qui « aurait » du sens au sujet de Johnson. 

– Lou Lamoriello sait bien s’entourer, il prépare le futur de la concession.

– Le Canadien sera certes sur la route à la fin du mois de décembre.

– J’adore le rouge! ROCK THE RED!

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Alex Ovechkin a célébré avec le peuple

Je me dois de revenir sur le dossier Ovechkin puisque même si le capitaine des Caps a enfin tenu la Coupe Stanley à bout de bras, en plus de dormir en cuillère avec elle, des gens continuent de le peinturer dans un coin sans arrêt. Certains ne sont pas capables de lui donner du crédit… Avant, ces gens-là disaient :  Il a combien de Coupes Ovechkin? Maintenant, ils disent : Il n’a qu’une seule coupe Ovechkin. Come on!

D’autres s’amusent à le basher par sa façon unique de célébrer cette première. On l’a vu fêter avec DJ Tiesto, on l’a vu boire dans la Coupe alors que ses coéquipiers le tenaient. On l’a vu dans le lit avec la Coupe. On l’a vu plonger dans l’eau d’une fontaine… on l’a vu ingurgiter de la bière en ondes alors qu’il était au Nationals Park et on l’a aussi vu complètement rater son tir protocolaire. Ouin, pis? Est-ce que tous les joueurs sont obligés de fêter cela de façon aussi sobre que Sidney Crosby ou Jonathan Toews? Non. Aucune règle n’indique ceci.

J’ai adoré ce qu’a dit Jay Filosa lors du dernier épisode des Columnists : il a fêté avec le peuple. Il a célébré avec des centaines de partisans. N’oubliez pas une chose, ça fait 30 ans que la ville de Washington n’a pas gagné.

Ovechkin, c’est un émotif, un passionné et il fête la Coupe Stanley comme il joue sur la glace… ça, ce sont les propos très justes de Tony Marinaro.

Au final, il a fermé le clapet de ses dénigreurs et il a prouvé qu’un capitaine russe pouvait réussir à rafler un championnat. Pourquoi continuer à s’acharner sur lui? Steven Stamkos, Claude Giroux et Max Pacioretty ont soulevé combien de Coupes Stanley, eux?

En rafale

– Ce gars-là est tout simplement incroyable.

– Je pense que tout le monde est pleinement d’accord avec ça, je me trompe?

– La petite signature du jour :

DSP est un autre héros des Capitals de Washington.

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Les péripéties d’Ilya Kovalchuk

Outre John Tavares, l’un des joueurs autonomes sans restriction qui fait le plus jaser dans la LNH présentement est Ilya Kovalchuk.

Kovy a quitté les Devils en 2013, soit seulement trois ans après avoir signé son contrat de 15 ans avec ceux-ci. Il a pris ce jour-là sa retraite du hockey nord-américain… Crachant par le fait même sur 67 millions $ garantis.

Mais après avoir disputé cinq saisons complètes à St.Petersburg, le voilà qui effectuera un retour dans la LNH (à 35 ans).

Qu’est-ce que l’on sait sur ce retour?

1. Ilya Kovalchuk et sa conjointe regardent d’abord et avant tout pour jouer en Californie ou dans la région new-yorkaise. Les Rangers, les Devils (son ancienne ville), les Islanders (Lou Lamoriello), les Sharks et les Kings étaient donc au départ les cinq équipes les plus susceptibles d’accueillir l’attaquant russe.

2. Les palmiers de la Floride pourraient aussi s’avérer être un attrait pour sa famille et lui.

3. On raconte que Kovalchuk voudra gagner à court terme. Oubliez donc les équipes en reconstruction alors…

4. Selon Richard Labbé, le Canadien aurait eu des chances de signer Kovalchuk s’il avait pu conserver les services de Radulov (et s’il n’avait pas connu une saison aussi atroce).

5. Ilya Kovalchuk se serait informé sur le Canadien et la vie montréalaise à Alex Kovalev. Il aurait donc au minimum (selon Georges Laraque) un petit intérêt pour le Canadien (ne serait-ce que pour l’aider à négocier, hehe). Rappelons que c’est le CH qui avait obtenu les services de Radulov lors de son retour en Amérique.

6. En avril dernier, un journal russe rapportait que Kovalchuk avait signé une entente préliminaire avec les Rangers. Un contrat de deux ou trois ans qui rapporterait environ six millions par saison à Kovalchuk. Bizarre pour une équipe en reconstruction, mais bon…

7.
Certains journalistes ont vu dans cette rumeur-là un simple moyen pour Kovalchuk de mieux négocier avec un club contender.

8. Le 30 mai dernier, Ilya Kovalchuk a décidé de remplacer son agent. Il est passé de Puck Agency (Jay Grossman) à CAA Hockey (Pat Brisson et J.P. Barry). S’il y avait une entente préliminaire, elle ne tenait visiblement plus…

9. Le prochain contrat de Kovalchuk devrait contenir quelques bonis à la performance (35 ans et plus).

10. À un certain moment, on a ajouté le nom des Blues à la liste des équipes intéressées à Kovalchuk.

11. Kovalchuk a rencontré les Kings et les Sharks au cours des dernières heures.

12. Il faut aujourd’hui ajouter le nom des Red Wings de Detroit, des Bruins de Boston, des Stars de Dallas (Radulov) et des Ducks d’Anaheim à la liste des équipes intéressées aux services de Kovalchuk. Les Maple Leafs et les Canadiens ne seraient pas/plus dans le portrait. Les Red Wings, qui ont beaucoup d’espace sous le plafond salarial, seraient particulièrement agressifs…

Rappelons que les Red Wings avaient aussi démontré un grand intérêt envers Alexander Radulov avant d’être coiffé au final par le Canadien. Même s’ils avaient osé offrir un contrat de deux ans à Radulov selon les infos de l’époque…

13. On m’a confié hier que Kovalchuk pourrait toucher jusqu’à huit millions $ par saison (avec des bonis à la performance). Kovy a marqué plus de 30 buts lors de ses deux dernières campagnes en Russie. Il a aussi obtenu 78 et 63 points…

14. Selon Pierre LeBrun, les top contenders sont désormais : Kings, Bruins, Rangers et Sharks.

À noter que Kovalchuk peut discuter avec qui il veut présentement, mais qu’il doit attendre le 1er juillet avant de signer un contrat officiel de la LNH.

Avec quelle équipe s’entendra-t-il selon vous?

(Crédit: YouTube (capture d’écran))

En rafale

– Alex Ovechkin est prêt pour le défilé de 11h à Washington!

– Nicolas Deslauriers a eu de la chance?

– La petite signature du jour…

– Le jeune espoir Rasmus Sandin disputera visiblement la prochaine campagne en Suède.

– Tu penses, Richard?

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LNH : Corey Perry racheté?

Dans moins de 96 heures, les organisations de la Ligue nationale pourront désormais racheter les contrats lourds qui traînent dans leur structure salariale. Chez le Canadien, qui mérite un tel sort? Karl Alzner, héhé! Farce à part, mais pas tant que ça, jasons plutôt des Ducks d’Anaheim, qui pourrait racheter le contrat de… Corey Perry.

Le Canadien n’est plus l’ombre de lui-même et disons que son manque de vitesse et de fluidité est en train de le rattraper. C’est comme un retour d’âge, avec tous les jeunots qui patinent à la vitesse du vent. La campagne passée, il n’a inscrit que 17 buts. En 2016-17, il a enfilé seulement 19 buts en 82 joutes. Pourtant, lors de sa carrière, avant ces deux campagnes moches, il demeurait un poison lorsqu’il gravitait près de la peinture des gardiens adverses.

Lors de la saison 2010-11, il s’est démarqué avec une saison électrisante où il a inscrit 50 filets. Incluant cette saison de 50 buts, il a franchi à six reprises le plateau des 30 buts (ou plus). Au total, son compteur indique 366 buts, 400 mentions d’aide, pour un total de 766 points.

Ce printemps-ci, en seulement quatre petites joutes printanières, il n’a cumulé AUCUN point. AUCUN. Ça devient ardu de remporter une série contre des Sharks affamés lorsque l’un de tes meilleurs effectifs n’est plus l’ombre de lui-même. À 33 ans, disons qu’il a fait plein contact avec un mur, ce qui n’est toujours pas le cas avec son grand camarade, Ryan Getzlaf, qui est encore en mesure d’offrir de bonnes performances.

Perry détient un contrat valide jusqu’au 1er juillet 2021. Chaque saison, il empoche un salaire moyen, devenu monstrueux aux yeux de la direction, de 8,625 millions de dollars par campagne. C’est d’ailleurs lui qui se retrouve au sommet de la liste des salariés de la franchise. Normal que son nom commence à circuler au niveau des rachats. Si jamais Bob Murray passe à l’action, est-ce que ce sera le moment pour Marc Bergevin de passer lui aussi à l’action en embauchant Perry? Quoique ce n’est pas le type de joueur dont recherche le Canadien…

En rafale

– On peut nommer cela un duel clairement illégal.

– Puisqu’il est question de basketball, voici de quelle façon LeBron James pourrait choisir sa prochaine destination.

– Je trouve ça triste pour Eugenie Bouchard, qui chute sans arrêt au classement.

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Un joueur de Vegas devra être sacrifié pour Karlsson

Erik Karlsson est passé à deux doigts d’aboutir à Vegas en février dernier. Les Sénateurs et les Golden Knights auront finalement manqué de temps…

Karlsson, un peu comme Pacioretty à Montréal, entamera la dernière année de son contrat en 2018-19. Il touchera une importante augmentation salariale l’été prochain et tout indique que Pierre Dorion et l’agent de Karlsson ne croient pas en venir à une nouvelle entente.

Et disons que la relation entre Erik Karlsson et son proprio n’est pas à son meilleur…

En février, les Sénateurs auraient refusé (selon Elliotte Friedman) une offre énorme pour les services de Karlsson. Nick Suzuki ou Erik Brannstrom, Bobby Ryan et un ou deux choix de premier tour (si Karlsson signe une prolongation de contrat ou non). Mais Pierre Dorion voulait Cody Glass (et non Suzuki ou Brannstrom).

Tous s’entendaient pour dire que les Golden Knights (et quelques autres équipes) allaient revenir à la charge en juin. Nous sommes en juin…

Il ne faut pas oublier les Predators, qui pourraient aussi laisser aller P.K. Subban en retour d’Erik Karlsson (selon les rumeurs)…

Eh bien, Michel Langevin (qui en est à sa dernière semaine à l’antenne du 91,9 Sports) a confié que l’aventure Karlsson était terminée à Ottawa.

La seule façon de voir Karlsson demeurer à Ottawa, c’est si Daniel Alfredsson et ses partenaires viennent à acheter (très rapidement) la concession des Sens. Mais on risque de manquer de temps…

Selon les plus récentes infos, Karlsson aimerait demeurer à Ottawa et viserait un contrat (à long terme) de 12 millions $ par année.

Rappelons que le projet de construire un nouvel amphithéâtre en plein centre-ville (Plaintes LeBreton) n’avance pas.

Revenons à Erik Karlsson et les Golden Knights…

Toujours selon Friedman, les bases du deal raté en février seraient toujours en vie. Si jamais les Golden Knights acceptent de sacrifier Cody Glass, on pourrait avoir un deal entre les deux équipes. On parlerait alors d’une entente du genre Erik Karlsson (et Bobby Ryan?) vs Cody Glass, Colin Miller (ou un autre défenseur top four) et un choix de premier tour.

Mais George McPhee acceptera-t-il de laisser partir Glass?

6’2… 19 ans seulement… 102 points en 64 rencontres la saison dernière dans la WHL… Centre droitier qui pourrait jouer dans la LNH dès la saison prochaine…

C’est un pensez-y-bien!

En rafale

– Evgeny Kuznetsov est vraiment passé près de remporter le Conn-Smythe!

– Ce serait plutôt un choix de 2e ronde (et non de première) qu’une équipe peut espérer obtenir pour prendre le lourd contrat de Milan Lucic…

– On disait la même chose de Karl Alzner il y a un an… Et on avait raison! Il ne faut pas toucher à Jack Johnson!

– Braden Holtby et Alex Ovechkin sont allés passer du temps avec Jimmy Fallon.

– Un souvenir marqué à jamais!

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Samuel Girard a « planté » sa Camaro

Lors du début du mois de juin, James Wisniewski a été sérieusement blessé lors d’un accident de la route. Ça s’est passé dans l’Ohio et Big Wiz a eu quelques cotes perforées, alors que son ami et golfeur professionnel, Bud Cauley, a eu un poumon perforé, plusieurs fractures aux cotes et une fracture à la jambe gauche.

Plus près de chez nous, à Roberval, au Lac-Saint-Jean, le défenseur de l’Avalanche du Colorado Samuel Girard roulait en soirée dans le parc des Laurentides… et il s’est endormi sur la roue. Par contre, contrairement à Wisniewski et Cauley, il n’a subi aucune blessure. Sa maman a confirmé que son fiston se portait bien : «Il a été chanceux dans sa malchance!»

L’auto qui a mangé la claque est une belle Chevrolet Camaro noire, gracieuseté de Duchesne Auto d’Alma grâce à un partenariat entre les deux clans. Girard est l’image de marque de l’entreprise automobile depuis quelques semaines. Une entente qui sera valide jusqu’au 31 décembre 2018. Mais comme l’adage le dit : la santé avant tout. L’entreprise est heureuse que Girard se porte bien :

Il était allé à Québec pour participer à des ?uvres de charité. C’est un garçon qui a un grand c?ur. Il n’y a pas de vitesse ou d’alcool là-dedans. Il s’est endormi et a quitté la route. Maintenant, il doit se reposer! – Jean-Michel Duchesne

Le garage fournira une autre voiture à Girard d’ici peu.

Je vous rappelle que le jeune a été impliqué, en quelque sorte, dans la transaction « Duchene », justement, l’hiver dernier. Avec l’Avalanche, il a récolté 20 points en 68 rencontres, ce qui est une excellente éclosion.

En rafale

– On se pose tous la question… Idéalement, il a sa place en arrière du banc des Capitals de Washington.

– Quelle histoire !

– Il n’a pas perdu de temps à se dénicher du travail.

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Un Shaw qui a de la valeur

Avec sa charpente de 6 pieds et 3 pouces, Marc Bergevin a profité de cette saison pitoyable afin d’ajouter Logan Shaw à son groupe. Un joueur de centre de 25 ans qui n’a jamais réellement trouvé de niche au sein de la Ligue nationale, mais il y a toujours une formation qui lève la main pour obtenir ses services, comme l’a fait Marc Bergevin. Le DG du Canadien l’a réclamé au ballottage afin de le greffer au noyau. Shaw aura récolté un total de six points en 30 joutes dans un maillot du Canadien.

Le deuxième petit Shaw du Canadien est l’un des agents libres avec restriction du CH et l’on ne connaît pas le plan de Bergevin dans ce dossier-là. Par contre, une chose semble certaine, du moins, pour les croyants des statistiques séduisantes : Logan Shaw aurait une certaine valeur. Il semblerait qu’on n’exploite pas le « talent » de Shaw suffisamment, lui qui a terminé au sixième rang au niveau des lancers par tranche de 60 minutes. Il s’est retrouvé devant des joueurs comme Alex Galchenyuk et Jonathan Drouin dans cette catégorie.

Ajoutons à cela que selon Marc Dumont, plusieurs de ses tirs provenaient directement d’une zone de pointage. Au niveau des cercles des mises en jeu, il a trouvé une façon de s’améliorer puisqu’il est passé de 23.5% avec les Ducks à 47.3% avec le Canadien. À partir de là, est-ce que c’est suffisant afin de souhaiter conserver ses services? Disons que le risque est très faible, donc Bergevin n’a rien à perdre.

Il a 25 ans, il est polyvalent et il fait une bonne besogne sur une quatrième combinaison, donc ce serait logique que Shaw revienne enfiler un chandail bleu-blanc-rouge en vue de la campagne 2018-19. Matt Cane croit que Shaw pourrait décrocher un pacte de deux ans à environ 800 000$ par campagne.

En rafale

– Il a créé son propre site Web.

– Un nom de plus en plus populaire.

– Euh… Ça m’enlève les mots de la bouche.

– Qui a dit que c’était « plate » la ligue Can-Am? Mat Latos, un ancien de la MLB, a certes des talents de lutteur.

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Wayne Simmonds revient dans les rumeurs

Max Pacioretty, 29 ans, entamera la dernière année de son contrat ultra avantageux aux yeux de son équipe en octobre prochain. Il vient de connaître une saison décevante avec une récolte de seulement 0,58 point par match. Puisqu’il risque d’exiger une forte hausse salariale (et qu’il aura droit à l’autonomie complète dans un an), on évoque énormément la possibilité de le voir être échangé à une autre équipe durant l’été. Disons que les rumeurs d’échange le concernant ne datent pas d’hier…

On pourrait réécrire le même paragraphe en changeant le nom de Max Pacioretty par celui de Wayne Simmonds et en ajoutant 0,03 à la moyenne de point par match mentionné dans le texte.

Selon Renaud Lavoie, Wayne Simmonds pourrait bel et bien être disponible au cours des prochains mois. S’il ne signe pas une prolongation de contrat au cours/début du mois de juillet, il faudra inévitablement le placer parmi les joueurs qui pourraient changer d’adresse ensuite. Avant le début de la saison? Pendant la saison? Au trade deadline?

Simmons n’a pas connu de bonnes séries face aux Penguins et il a été ralenti par de sérieuses blessures.

Il touchera (en 2018-19) un salaire de 5 millions $, mais ne comptera que 3,975 millions $ sur la masse salariale de son équipe.

Peut-on rêver (comme on l’a souvent fait) à Wayne Simmonds à Montréal?

Il faudrait que l’attaquant des Flyers ait la Ville de Montréal sur la liste de non-échange (12 équipes) ou qu’il accepte de la lever pour aboutir ici…

Que les Flyers reçoivent une offre jugée acceptable de la part de Marc Bergevin…

Et que Wayne Simmonds accepte de signer un nouveau contrat illico presto avec le CH. Parce que non, Marc Bergevin ne va pas offrir la lune aux Flyers en retour d’un joueur qui n’a plus qu’un an de contrat.

Et disons que le CH a très peu de chances de faire partie des acheteurs en février prochain. #JoueursDeLocation

Pour résumer, Wayne Simmonds pourrait finalement quitter les Flyers sous peu (à moins de signer une prolongation de contrat) et Montréal aura fort probablement de l’intérêt, mais risque de se faire coiffer au final. Un scénario de déjà-vu, vous ne trouvez pas?

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