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Une autre promesse du propriétaire des Golden Knights

Les Golden Knights travaillent comme s’ils étaient au sein de la ligne depuis 1909. Cette franchise n’a rien d’une équipe fraîchement pondue, via le repêchage d’expansion. Elle a récolté 51 gains pour un total de 109 points et elle bataille actuellement contre les féroces Capitals de Washington. Sans omettre la mentalité de Bill Foley, le propriétaire majoritaire de l’équipe, qui n’est pas du genre à bâtir pendant des années avant de compétitionner.

Ils sont en pleine écriture d’une histoire singulière et même une fois que le trophée sera gagné, par l’une ou l’autre des formations, les Knights continueront à composer leur histoire. Au repêchage, cette équipe sera active, elle qui détient encore plusieurs choix… Par contre, ce sera lors de l’ouverture du marché des agents libres que ça se mettra à brasser pour vrai.

Foley, alors en entrevue avec Pierre Lebrun, a PROMIS que son groupe allait être actif sur le marché. Yes. Dira la multitude de fans québécois que cette équipe est venue charmer. D’ailleurs, lorsque la saison 2018-19 s’amorcera, est-ce que ces fans temporaires des Knights reviendront se ranger derrière le Canadien? Ou resteront-ils à Vegas (au sens figuré)?

Le plan de cette équipe était d’atteindre les séries éliminatoires d’ici trois ans… disons que le proprio a de quoi être stupéfait et jeter les plans de départ aux oubliettes. Ils sont là et la saison « conte de fées » que les joueurs ont connue pourrait attirer de grosses pointures à partir du 1er juillet. Quoique l’équipe pourrait se concentrer sur les dossiers de James Neal, David Perron et William Karlsson, qui devraient commander une hausse salariale significative. Jusqu’où George McPhee sera prêt à aller.

On analyse déjà les futurs agents libres et Foley ne se gênera pas pour sortir le cash afin d’améliorer son groupe. En plus de ça, ils ont beaucoup de place sous le plafond salarial, donc ils sont équipés pour damer le pion aux autres organisations.

En rafale

– Est-ce vraiment une bonne nouvelle pour les Knights? Le filet est à Marc-André Fleury, personne d’autre.

– Rappel aux directeurs généraux de la LNH.

– Le cash est une partie très importante également, on ne peut pas le nier.

– C’est simple, mais c’est comme ça qu’une équipe parvient à remporter un championnat.

– Encore des mots au sujet de John Tavares.

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Rien ne va plus pour Martin Reway

Martin Reway connaît un parcours très houleux depuis deux ans, lui qui, je vous le rappelle, a eu des ennuis de santé. Une inflammation du muscle cardiaque qui lui a causé de gros ennuis de santé. Enfin, bref, on connaît cet épisode triste de sa vie. Une fois tout ça derrière lui, il a repris l’entraînement de façon progressive et il est même parvenu à se présenter en Amérique pour le camp d’entraînement de 2017… et Bon Dieu que ç’a été laborieux pour le jeune homme.

À la fin du mois d’octobre, il a plié ses vêtements afin de rentrer en Europe. Le Canadien et lui ont annoncé un divorce, donc il n’est plus un membre de l’organisation. Les deux clans se sont entendus pour mettre fin au contrat le liant à l’équipe. Avec le Rocket, il peinait à reprendre son rythme de croisière et il n’aura finalement récolté que deux mentions d’aide en cinq joutes.

Une fois de retour en Europe, il a conclu son année avec le Slovan Bratislava, une formation qui évolue au sein de la KHL. Une fois de plus, le rythme a manqué le rendez-vous et avec une récolte de six points en 18 matchs, la concession n’a évidemment pas retenu ses services en vue de la campagne 2018-19. Les options deviennent rares pour le petit Reway… qui devrait fort probablement se contenter d’un niveau inférieur comme la ligue slovaque.

C’est triste qu’une carrière ait pris ce type de tournant, mais du même coup, personne ne peut contrôler l’apparition d’une infection soudaine. Avec le recul, Martin Reway deviendra certes un meilleur humain avec ce type de chapitre qui s’est présenté à lui à un aussi jeune âge.

En rafale

– Personne ne sera surpris : le séjour de Brian Gionta est terminé avec les Bruins de Boston.

– Mais quelle bonne nouvelle pour les Capitals de Washington! Quoiqu’il y en a également une mauvaise.

– Une autre histoire intéressante au sujet des Golden Knights de Vegas.

– L’assistant de Pierre Dorion a été inculpé pour harcèlement.

– Ça bouge au sein de la LHJMQ, voici un résumé.

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Le sort du Canadien n’est pas seulement entre les mains de Marc Bergevin

Le repêchage de la Ligue nationale est dans trois semaines… déjà. Tous les directeurs généraux, les recruteurs et les spécialistes en la matière dorment peu d’heures afin de bien dessiner le plan qui sera mis à exécution les 22 et 23 juin du côté de Dallas. Au Texas, Marc Bergevin attendra le choix des Hurricanes de la Caroline avec impatience puisque le choix de Timmins et lui, le troisième au total, déprendra de la sélection des Canes.

Mais pour qui optera Don Waddell?

Une chose est certifiée Mike Bossy jusqu’à présent : Rasmus Dahlin deviendra un membre des Sabres de Buffalo.

Cela dit, Waddell est appuyé par l’excellent Tony MacDonald, le directeur du recrutement des Canes, qui a réussi plusieurs bons coups lors des dernières années, dont Sebastian Aho. Par contre, n’écartons pas Rick Dudley, qui a passé beaucoup de temps à parcourir les espoirs pendant son séjour à Montréal. Il connaît la poutine, le bonhomme. D’ailleurs, Dudley est un grand partisan du Russe Andrei Svechnikov, donc les Canes pourraient opter pour celui-ci. Ce qui serait une « bonne » nouvelle pour le Canadien, non?

Les autres espoirs ciblés sont sans aucun doute Filip Zadina et Brady Tkachuk, qui d’autres? À Montréal, on semble pencher vers Zadina. Du moins, les partisans et le principal intéressé semblent convaincus que c’est lui qu’a besoin le Canadien de Montréal. En Caroline, c’est un attaquant qui sera ciblé au premier tour puisque la brigade défensive a un futur très rayonnant.

Au sujet de Zadina, n’oubliez pas une chose : l’organisation des Canes pourrait le sélectionner afin de le réunir à son chum Martin Necas. Puis, pour ce qui est du jeune Tkachuk, Waddell a déjà dirigé le paternel à l’époque. Donc, au final, il n’y a absolument rien de clair dans le plan des Hurricanes, du moins, publiquement. Le Canadien réussira-t-il à mettre son plan A à exécution, ou devra-t-il se tourner vers son plan B? Tout dépend des Hurricanes!

En rafale

– Le format des séries pourrait changer puisque l’attente du format actuel prend fin cette année. [HF]

– P.K. Subban n’est pas le seul joueur de la LNH sur les bancs de Harvard, Big-Z s’y retrouve également… et il a l’air plus tranquille que P.K.!

My classmate, big Z ??? @zeechara33 @harvard @harvardhbs @hbsexeced @anitaelberse #Harvard #BEMS

Une publication partagée par P.K. Subban (@subbanator) le 31 Mai 2018 à 6 :58 PDT

– La petite signature du jour :

Une autre petite signature du côté de la KHL.

– Une opération à l’épaule fera en sorte qu’il ratera le début de la prochaine campagne.

– Une bonne question!

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LNH : Doug Weight et ses adjoints seraient congédiés

Les Islanders ont confirmé le 21 mai dernier l’embauche de Lou Lamoriello, 75 ans, à titre de président des opérations hockey. À ce jour, Lamoriello a déjà rencontré le clan Tavares… Et selon ce qui se dit en coulisses, il aurait déjà commencé de nouvelles négociations avec l’agent de ce dernier.

Selon certaines sources près du dossier, l’Association des Joueurs mettrait beaucoup de pression afin que Tavares signe un contrat de 15 millions $ par saison (pour 8 ans). Ça ferait monter l’échelle salariale de la LNH d’un coup sec…

Quelques jours plus tard, on apprenait que Garth Snow (DG) et Doug Weight (coach) n’avaient toujours pas été contactés par Lamoriello et que leur avenir avec l’équipe était incertain.

De plus, ni Snow ni Weight n’a été mis au courant des discussions entre Lamoriello et le clan Tavares.

Jean-Charles Lajoie a divulgué des informations exclusives au cours des dernières heures (sur les ondes du 91,9 Sports). Selon ce qui lui a été permis d’apprendre, Doug Weight et tous ses adjoints seraient sur le point d’être congédiés par Lamoriello. On parlerait en heures ou en jours tout au plus. Le grand ménage s’en viendrait du côté de Long Island/Brooklyn

Il est trop tôt pour connaître l’identité des éventuels successeurs cependant…

Toujours selon Jean-Charles, Garth Snow devrait survivre à ces coupures importantes. Cependant, tout porte à croire qu’il occupera un poste sans réel pouvoir…

« Si mes informations sont exactes, et je n’ai aucune raison de penser qu’elles ne le sont pas, Lou Lamoriello prépare le ménage à Long Island. Va survivre en principe, et je dis bien en principe, vaillamment tabletté, Garth Snow, qui au fond avait tendu la main au fils de Lamoriello en lui offrant un emploi. Ce serait donc un peu indécent de le sacrer dehors lui aussi. »

Il faut aussi comprendre que le contrat de Garth Snow posséderait plusieurs clauses rendant son congédiement difficile et risqué pour les Isles.

Rappelons que des rumeurs parlent aussi d’une possible réunion Lamoriello – Kovalchuk… Comme quoi l’été 2018 sera intéressante pour les partisans des Islanders.

En rafale

– Les plans B sont vraiment moins intéressants que les plans A…

– Sting et Shaggy chanteront demain soir…

– Guy Lafleur a encore une fois un propos controversé… Et il n’a pas peur de le crier haut et fort.

– Des joueurs de la KHL attendent encore après leurs chèques de paye…

– Cet ancien du Rocket de Laval (try-out en 2017-18) retourne chez lui et prend la route de la KHL.

– Les transactions sont maintenant officiellement permises dans la LHJMQ.

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Benoît Groulx pourrait faire le saut dans la LNH

Il n’y a pas que dans la LNH où les séries battent leur plein présentement. La série finale de la Coupe Calder (Ligue américaine) s’ouvrira demain à Toronto. Elle opposera les Marlies aux Stars.

Les Marlies ont remporté leurs deux dernières séries 4 à 0. Ils sont en mission.

L’un de ces balayages a été enregistré face au Crunch de Syracuse, l’équipe de Benoit Groulx. Il s’agissait d’une surprise (et d’une déception) chez le Crunch. Le club-école du Lightning a tout de même connu une superbe saison de 46-22-3. Se faire balayer en deuxième ronde n’est certes pas assez satisfaisant…

Benoit Groulx, entraîneur-chef du Crunch, est donc en congé depuis quelques semaines déjà. Certains aimeraient bien le voir être nommé adjoint à Claude Julien prochainement…

Mais Groulx n’est pas un ancien défenseur et il ne possède aucune expérience dans le show. Deux pré-requis pour remplacer Jean-Jacques Daigneault selon ce qui nous a été permis d’apprendre…

Alors, que réserve l’avenir à Benoit Groulx?

Steve Yzerman a montré la porte à deux des adjoints de Jon Cooper hier. Rick Bowness et Brad Lauer. Bowness, un homme très apprécié dans le milieu du hockey, a été congédié, alors que Lauer a tout simplement vu son contrat ne pas être renouvelé.

Le Lightning serait à la recherche de nouvelle voix et de nouvelles idées.

Benoit Groulx, un excellent entraîneur aux yeux d’à peu près tout le monde dans le milieu, serait l’un des candidats pour seconder Jon Cooper. S’il obtient une telle promotion, il s’agira d’un premier séjour dans la LNH pour Groulx. Et j’ai bien l’impression que Julien BriseBois trouverait un autre entraîneur francophone de qualité pour diriger le Crunch…

Yzerman n’a toutefois pas encore parlé avec Benoit Groulx – les départs n’ont été annoncés qu’hier -, mais il a confié qu’il allait certainement considérer l’option d’amener son entraîneur de la Ligue américaine avec le grand club.

Le Lightning voit Benoit Groulx d’abord et avant tout comme un entraîneur-chef. L’équipe est persuadée qu’il sera un jour head coach dans la LNH. Mais un séjour comme adjoint derrière le banc du Lightning pourrait être une étape très intéressante dans ce cheminement…

Malheureusement (pour la famille Groulx), le Lightning n’a que très peu de chances de repêcher Benoit-Olivier Groulx (fils de Benoit). L’équipe a échangé son seul choix de 1ere ronde…

En rafale

– En verra-t-on une seule cet été? #Rare

– Hallender représenterait un choix (très) intelligent pour le Canadien (en 2e ronde).

– Les Alouettes ont perdu leur premier match préparatoire hier soir (27 à 7). Sauront-ils faire pire que les Habs et l’IMFC?

Maudite bonne question…

– Quel geste technique! Une virgule parfaitement exécutée!

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Tom Wilson a un petit quelque chose de Montréal

Pendant une finale de la Coupe Stanley, les amateurs, qui continuent à suivre le hockey malgré l’absence du Canadien, finissent par se ranger d’un côté ou de l’autre. Cette finale actuelle, ce sont les Golden Knights qui ont le dessus sur la Caps de Washington. Il n’est pas question des résultats sur la surface glacée ici, mais bien du nombre de Québécois en rangée derrière l’une des deux équipes en finale.

Suis-je le seul de notre province qui encourage Alex Ovechkin et les siens?

Parmi les siens, il y a Lars Eller… qui devient une pièce importante du puzzle lorsqu’il joue en pleine possession de ses moyens. Outre Eller, Félix Séguin a rapporté toutes les autres belles histoires de cette équipe menée de mains de maître (Barry Trotz).

Hormis Eller, Devante Smith-Pelly est lui aussi un ancien du Canadien de Montréal qui se bat actuellement pour la Coupe Stanley. DSP, comme on le surnomme, avec 72 mises en échec depuis le début de cette valse, figure au quatrième rang de cette catégorie. Pas mal. À sa façon, lui aussi a trouvé le moyen de s’impliquer et de jouer son rôle de façon parfaite.

Parlons maintenant du mal-aimé de cette troupe, Tom Wilson. Le Québec apprend à détester l’un des joueurs les plus appréciés à Washington. Puis, savez-vous quoi? Son paternel est natif de Montréal puisqu’il a vu naissance dans la métropole… et le chalet familial des Wilson se retrouve en Estrie (Fitch Bay). Pour sa part, ce premier choix des Capitals en 2013 a vu le jour à Toronto… et il a 12 points en 18 matchs au compteur. Pas mal pour un matamore nouveau genre.

Personne ne changera d’avis au sujet de Wilson, mais ce petit brin d’histoire est toujours cool à partager.

En rafale

– Un contrat d’entrée de deux ans pour Niko Mikkola.

– Un vieux souvenir du « coach ».

– Ça, on peut clairement dire que c’est désuet.

– Un Nadal triste pour son équipe.

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On pleure Lars Eller à cause d’Andrew Shaw

En zieutant la finale de la Coupe Stanley, on est tous subjugués (dixit Isabelle Boulay) par le rendement qu’offre Lars Eller, malgré sa bourde lors du premier duel (rater un filet ouvert). Le Danois a récolté un total de 16 points en 21 matchs lors de ce tournoi printanier. Lors du deuxième affront, il a marqué en plus d’obtenir deux mentions d’aide.

Pendant ce temps, le coco fragile d’Andrew Shaw se repose, tout en faisant jaser. C’est dommage pour la petite peste du Canadien, mais on jase de lui, même s’il ne danse pas en ce moment, à cause de Lars Eller. Pourquoi? Parce que les Caps de Washington ont payé, le 24 juin 2016, deux choix de premier tour afin d’acquérir le centre de 29 ans. Avec le choix de 2017, Marc Bergevin et son groupe ont sélectionné Joni Ikonen, alors que l’espoir de 2018 sera sélectionné cette année.

Marc Bergevin s’est ensuite tourné vers Chicago, son ancien « domicile », dans le but de rapatrier Andrew Shaw. Il a aussi payé deux choix de deuxième tour, mais deux choix de 2016, où Stan Bowman a sélectionné Chad Krys et Alex DeBrincat. DeBrincat a marqué un total de 28 buts et récolté 52 points en 82 matchs dès son entrée dans le show.

Ce n’est pas Lars Eller directement qui nous titille, mais plutôt l’acquisition de Shaw, un joueur de 25 ans avec un corps de 40 ans (dans le sens qu’il est magané). Surtout qu’avec les choix obtenus en retour, Alex DeBrincat a tourné le fer dans la plaît chaque fois où l’on voyait un fait saillant l’impliquant. En ce moment, ce sont les faits saillants où l’on retrouve Lars Eller qui nous chatouille.

Donc, au final, ce n’est pas Lars Eller lui-même qui nous enrage, mais toute la mathématique des échanges effectués par Marc Bergevin ce 24 juin 2016.

En rafale

– Puisqu’il est question de Lars Eller, voici un autre article intéressant à son sujet.

– Les Caps sont plus négligés qu’eux, pourtant… Tout pour faire une belle histoire.

– Ces joueurs-là décrocheront-ils un contrat?

– Et sans les arrêts spectaculaires de Marc-André Fleury pendant les séries, les Golden Knights en seraient où?

– Sans doute de faux sourires…

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Don Cherry souhaite le retour des Nordiques

Maudit qu’on a du (gros) fun à regarder la finale de la Coupe Stanley. Un spectacle… Des matchs intenses et serrés… Des buts à l’emporte-pièce… Des arrêts spectaculaires… De solides checks

Combien d’entre-vous êtes toujours 100 % Vegas malgré la victoire des Capitals hier soir?

Ceci dit, le meilleur spectacle aux yeux et aux oreilles des gens de Québec, il est venu au premier entracte. Lors de son segment Coach’s Corner avec Ron MacLean, Don Cherry a choisi de parler (en bien) de la Ville de Québec… Tout ça devant Gary Bettman. Cherry, davantage reconnu jusque là pour ses propos parfois anti-francophones, a confronté le commissaire de la LNH en pleine heure de grande écoute. En deux minutes, il s’est emparé d’un énorme capital de sympathie (immédiat) chez les gens de Québec.

Cherry a clairement embarrassé Bettman…

Cherry a d’abord entamé son segment en rappelant que Québec a toujours été incroyable pour lui. Il n’y a jamais eu de rivalité dans aucun sport comme celle entre Montréal et Québec jadis.

Sans nommer implicitement Québecor, Cherry a indiqué que celui-ci faisait bien les choses jusqu’ici. Ils ont été corrects, ils se sont fermé la bouche et ils n’ont pas dit un mot. Ils ont un amphithéâtre neuf de 18 000 sièges et ils sont prêts maintenant.

Cherry a aussi tenu à minimiser le sérieux des propos de Jeremy Jacobs (sans le nommer lui non plus). Rappelons que le propriétaire des Bruins s’était montré très pessimiste quant aux chances de voir Québec revenir dans la LNH à court ou moyen terme récemment…

Ron MacLean a alors invité Gary Bettman à se joindre à la conversation on air.

Bettman a dû patiner devant autant de vérité lancée par Don Cherry. Il a parlé de problèmes logistiques, prenant bien soin de rappeler que Jeremy Jacobs a le droit d’être sceptique, mais qu’il n’a qu’un vote dans de telles circonstances. Et que la LNH n’est pas dans un processus d’expansion présentement… #SeattlePourtant?

Bettman a tenté de dévier le sujet, parlant notamment du veston de Cherry… Mais ce dernier a ramené la discussion sur Québec. Selon Cherry, la Ville de Québec serait en mesure de soutenir une équipe et doit être considérée.

Visiblement, et Gary Bettman n’a pas tort là-dessus, la popularité de Don Cherry vient d’augmenter dans la Belle Province! Confronter Gary Bettman live on tv en plein milieu des séries, c’est quelque chose! Surtout quand au final, tu ne fais que dire la vérité.

En rafale

– Andrei Markov a reçu sa médaille de la Coupe Gagarine.

Hehe!

– Ça va beaucoup mieux à Ottawa (USL) qu’à Montréal…

– Quand l’improbable survient!

– Zinedine Zidane a surpris tout le monde en démissionnant de son poste d’entraîneur-chef du Real Madrid. Tout ça cinq jours à peine après sa 3e Ligue des champions consécutives. Zidana a confié qu’il n’allait pas se chercher un nouvel emploi tout de suite. [LeMonde]

Vous pouvez lire plusieurs citations intéressantes ICI.

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Zadina se voit à Montréal… avec Plekanec

Tous les dirigeants ou presque sont à Buffalo présentement pour la semaine du NHL Combine. Les meilleurs espoirs en vue de l’encan du 22 et 23 juin prochain passent des tests physiques et des entrevues ces jours-ci.

Filip Zadina, le 3e meilleur espoir sur pratiquement toutes les listes des experts, a rencontré le Canadien cette semaine. Il rencontrera aussi la direction des Hurricanes aujourd’hui.

Rappelons que les Canes pourraient surprendre tout le monde et sélectionner Zadina au 2e rang. Ça laisserait Andrei Svechnikov au Canadien…

Par contre, il ne faut pas trop accorder d’importance à qui interview qui. Il y a quand même au moins neuf équipes qui ont décidé d’interviewer Rasmus Dahlin… Et les chances de le voir porter un autre uniforme que celui des Sabres en octobre sont très minces.

Zadina a confié à La Presse qu’il aimerait bien être le premier attaquant sélectionné le 22 juin. Attention! Il n’a pas dit qu’il voulait être repêché au 2e rang pour ne pas être un Canadien

Il a simplement confié qu’il se voit au même niveau que Svechnikov et qu’il aimerait bien sortir avant lui. Il est très motivé à l’idée de faire mieux que lui… Et croit qu’il a toujours fait mieux que lui lorsqu’ils se sont affrontés (aux Mondiaux Jr et lors du matchs des meilleurs espoirs). #Confiance

Zadina sait que sa principale arme, c’est son tir. Mais c’est aussi celle de Svechnikov.

Rappelons que Zadina s’est abonné au compte Instagram du Canadien… Et à celui des Hurricanes après la loterie. Rappelons aussi que son compatriote tchèque (et ami) Martin Necas appartient aux Hurricanes.

Zadina aimerait bien jouer avec Necas… Mais il y a aussi l’un de ses compatriotes tchèques avec qui il pourrait jouer à Montréal : Tomas Plekanec.

Le jeune ailier voit Plekanec comme un mentor… Un babysitter. Les deux hommes sont entrés en contact au cours des dernières semaines et communiquent régulièrement depuis. L’un sera-t-il le centre de l’autre?

Au final, Zadina aimerait bien jouer devant les gradins garnis du Centre Bell. Les attentes et la pression ne lui font pas peur.

Il a noté que les gens du Canadien se sont montrés très sérieux lors de leur entretien cette semaine. Si les Hurricanes ne repêchent pas Zadina, les chances de le voir aboutir à Montréal sont grandes. À moins bien sûr d’assister à un choix surprise de la part de Bergevin et Timmins

En rafale

– Le Canadien disputera un autre match préparatoire à Québec (le 20 septembre prochain face aux Capitals). [Canadiens]

– Triste liste, non?

– Avis aux intéresssés(es).

– Donadel (encore) sur la touche?

– La différence de gabarit est incroyable!

– Zidane voulait plus de pouvoir décisionnel?

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CH : Rinat Valiev à Montréal

Alors qu’une multitude de spéculations le renvoyait du côté de la Russie, voilà que le défenseur Rinat Valiev vient de parapher un nouveau pacte avec le Canadien de Montréal. Un salaire garantie s’il évolue au sein de la KHL en plus.

Souvenez-vous de cette rumeur qui circulait depuis la fin de saison (moche) du Canadien de Montréal.

Cela dit, avec tous les gauchers avec le Canadien, ira-t-il évoluer sous les ordres de Joël Bouchard du côté de Laval? Je crois bien que ce sera le cas puisque devant lui, on retrouve, sur le flanc gauche : David Schlemko, Karl Alzner, Mike Reilly, Jordie Benn, Victor Mete, David Skleni?ka, Michal Morav?ík et même Matt Taormina.