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Matt Murray et Tristan Jarry se partageront la tâche face aux Flyers

Il n’y a pas que les Canadiens et les Maple Leafs qui s’affronteront aujourd’hui à Toronto. Les Flyers et les Penguins aussi. Ces deux rivaux de longue date (bataille de la Pennsylvanie) croiseront le fer à 16h00.

Il sera intéressant de voir un peu comment la formation des Pens sera construite car les gars qui sauteront sur la glace aujourd’hui risquent fort d’être les mêmes que samedi soir lors du match #1 (à l’exception du défenseur et de l’attaquant d’extra permis aujourd’hui).

La première question qui nous vient en tête avec les Penguins, c’est l’identité du gardien qu’ils enverront dans la mêlée face au Canadien.

Tristan Jarry a connu une meilleure saison 2019-20 que Matt Murray.

(Crédit: HockeyDB.com)

Mais Matt Murray possède plus d’expérience (notamment en séries), il a entamé la saison comme gardien de but #1 et il fait davantage partie du core. Lui enlever le filet pourrait déranger certains vétérans de l’équipe.

Autant Jim Rutherford que Mike Sullivan ont récemment laissé sous-entendre au cours des derniers jours que Murray allait être le gardien de but partant.

Par contre, Murray se serait désabonné du compte Instagram des Penguins, il est détesté par plusieurs partisans des Penguins et son avenir semble être loin de Pittsburgh si l’on se fie aux différentes rumeurs qui circulent depuis des mois.

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Premier match depuis le 10 mars ce soir pour le Canadien

Dur à croire, mais le Canadien disputera un match amical face aux Maple Leafs ce soir… sur les ondes de TVA. #GameDay

La rencontre débutera vers 20h08 et sera aussi présentée sur TVA Sports, Sportsnet, NHL Network et au 98,5 FM.

TVA et TVA Sports présenteront même un avant-match d’une heure pour cette rencontre « historique ». Il s’agira d’un premier match pour le Canadien depuis le 10 mars dernier (quatre mois et demi).

On peut dire que le CH est chanceux d’affronter les Maple Leafs lors de son seul match préparatoire. Pourquoi? Parce que la formation des Leafs ressemble beaucoup à celle des Penguins. Difficile de trouver une meilleure préparation…

L’attaque torontoise est très rapide et talentueuse, tout spécialement au centre, et le power play des Leafs a de quoi faire mal paraître toute unité d’infériorité numérique un tantinet endormie.

Matthews, Tavares et Kerfoot, les trois premiers centres des Maple Leafs… ça ressemble à Crosby, Malkin et McCann.

Autant les Leafs que les Pens peuvent compter sur du talent et de l’expérience sur le bottom six

Et ces deux formations possèdent un gardien de but d’expérience qui est inconstant par moments, de même qu’une brigade défensive qui n’est pas à la hauteur de son groupe d’attaquants.

Voici à quoi devraient ressembler les Maple Leafs ce soir :

On aura droit à un match où l’exécution ne sera probablement pas à point – il y aura de la rouille, c’est certain -, mais où la rivalité entre les deux équipes agrémentera assurément le spectacle. L’historique entre les deux équipes ne peut pas s’oublier… même en temps de pandémie. #Rivalité

Au final, si le coach voit les joueurs tenter de mettre en pratique ce qu’ils pratiquent depuis deux semaines, ça ira pour lui.

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Cole Caufield doit suivre une courbe de progression à la Max Pacioretty

Avant même de commencer le texte, j’entends les critiques. Celles qui veulent que « la progression de Max Pacioretty l’a mené sous d’autres cieux » et que ce n’est pas ce que personne veut pour Cole Caufield.

Évidemment, je vais me concentrer sur la progression de l’espoir. Jusque-là et lors de ses premières années, ça fonctionnait bien pour le jeune marqueur. C’est quand il a été nommé capitaine qu’il a signé son arrêt de mort.

Tout ça pour dire que Cole Caufield, lui aussi un marqueur, doit se développer convenablement. Et en ces temps de pandémie, ce ne sera pas forcément facile puisque les matchs de la NCAA ne sont pas assurément joués.

Dans un mailbag de The Athletic, Arpon Basu a répondu à une question sur le développement de Cole Caufield. Le journaliste pense, comme cela a déjà été soulevé, que le jeune marqueur pourrait possiblement jouer dans la OHL si jamais la NCAA n’était pas en mesure de relancer ses activités.

Pourquoi? Parce que s’il n’était pas prêt en mars à faire le saut chez les pros, il ne le sera pas après une pandémie. C’est juste logique.

Et c’est là que les comparaisons avec Max Pacioretty entrent en ligne de compte. Les années avant le moment où il s’est établi à temps plein dans la ligue ont été importantes pour lui.

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Alexander Romanov se dit insatisfait de ses performances dans la KHL

Depuis quelques jours, Alexander Romanov est arrivé à Toronto. Il est bien évidemment placé en isolement, lui qui arrive de la Russie.

Et force est d’admettre que la LNH prend la COVID-19 vraiment plus au sérieux que la MLB, qui ne semble pas vraiment s’en faire avec l’éclosion de cas chez les Marlins de Miami.

Et tout d’un coup, tout le monde comprend la décision du gouvernement canadien de refuser l’accès au pays aux Jays.

Tout ça pour dire que la MLB prend ça moins au sérieux que la LNH. Dans une entrevue accordée dans un média russe, le défenseur a avoué qu’il y avait en permanence quelqu’un devant sa porte. Il est donc condamné à rester dans sa chambre sans aucune espèce de forme d’exception.

Et c’est très bien comme ça. La LNH n’a aucun cas présentement et il ne faut pas que ça change.

C’est donc ce qui fait en sorte qu’il n’a pas autre chose à faire que de s’entraîner dans sa chambre selon le plan personnalisé que lui a envoyé le Canadien, question qu’il ne fasse pas que skyper sa blonde et écouter Netflix.

Au moins, il a le temps de donner des entrevues.

Il a affirmé ne pas vraiment connaître les gars du club, sauf Paul Byron (rencontré l’été passé). Il lit beaucoup sur le club afin d’arriver préparé lorsqu’il pourra jouer. Il affirme savoir que le club est puissant et que l’attaque et la défensive sont très bonnes.

Pousse, mais pousse égal.

En s’entraînant avec Alexander Radulov, cela lui a permis d’en apprendre sur Montréal. Il affirme avoir reçu de nombreux conseils utiles, mais n’a pas dit lesquels. On ose croire que les commentaires ne sont pas si négatifs, compte tenu du fait qu’il a failli resigner à Montréal.

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Claude Julien se prépare à retrancher environ cinq joueurs

Lorsque Claude Julien s’est adressé aux médias sur l’heure du lunch, il a indiqué qu’il prévoyait réduire son groupe de 30 joueurs plus près du nombre pour les matchs à la suite du duel hors-concours disputé contre Toronto mardi.

On parle donc ici de gars qui sont dans la bulle, donc ils devront demeurer au sein de celle-ci et peut-être s’entraîner seuls puisqu’ils ne pratiqueront pas avec le groupe qui formera l’équipe. Toutefois, les gars pourront se promener sur l’étage du Canadien sans problème puisque ceux-ci doivent bien se loger. Bref, environ cinq joueurs devraient écoper, dont fort probablement Michael McNiven, deux ou trois attaquants et deux ou trois défenseurs.

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Si Peter Chiarelli arrive en Arizona… Taylor Hall ne reviendra pas

Avec le retour du hockey qui est en train de se dessiner, Elliotte Friedman aura encore plus de matériel afin de remplir ses excellentes 31 Pensées. D’ailleurs, à l’intérieur de celle qu’il a édifiée aujourd’hui, il est question, évidemment, des Coyotes de l’Arizona, qui se sont ramassés sans directeur général subitement. Le jeune John Chayka, qui devait devenir un prodige, a quitté ses fonctions et la formation cherche à le remplacer hâtivement. Qui a l’étoffe de tenir les guides d’une formation aussi énigmatique? Monsieur Peter Chiarelli, cet homme aux neuf vies qui a détruit un brin les Oilers d’Edmonton en croyant qu’échanger Taylor Hall était la solution?

Chayka et l’organisation auraient eu un débat animé face à une situation (avoir testé des joueurs éligibles au repêchage illégalement?) et l’ex-DG, après maintes réflexions, a opté pour quitter un nid devenu peu confortable pour lui. Bref, à partir de là, certains ont osé coller le nom de Peter Chiarelli aux Coyotes de l’Arizona. Mais ceux qui attachent son nom aux ‘Yotes doivent aussitôt « détacher » celui de Taylor Hall puisque Chiarelli s’est débarrassé de Hall (lorsque les deux étaient avec les Oilers d’Edmonton) comme un vulgaire chiffon.

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Un premier entraînement dans la bulle pour le Canadien

Les joueurs du Canadien ont tenu leur premier entraînement dans la bulle torontoise ce matin. ils ont pour l’occasion foulé la glace du Ford Performance Centre vers 10h00. Ce complexe contient trois patinoires de dimension nord-américaine et une autre de dimension olympique. Bien évidemment, le CH s’est entraîné sur une surface de 200 pieds par 85 pieds.

Claude Julien n’avait pas touché à ses quatre trios offensifs, misant clairement sur la constance.

Est-ce que Max Domi pourrait bel et bien entamer la série face aux Penguins au centre de la quatrième unité (aux côtés de Weise et Weal)? La réponse est oui.

Tatar – Danault – Gallagher
Drouin – Suzuki – Armia
Byron – Kotkaniemi – Lehkonen
Weise – Domi – Weal

Hudon – Poehling – Evans – Belzile

On se doute que le coach ne brisera pas son premier trio, qui fait du bon boulot depuis deux ans.

On sait qu’il a vanté le potentiel et la confiance qu’il avait envers le trio composé de Drouin, Suzuki et Armia.

Et il a récemment confié qu’il ne voyait pas le trio de Weise, Domi et Weal comme un réel quatrième trio, mais plutôt comme une façon de s’assurer d’avoir un bon trio en tout temps face aux puissants Penguins.

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L’étage du Canadien au Royal York a été transformé en « Habs Country »

Chacune des 24 équipes de la LNH toujours en vie est arrivée sur son étage d’hôtel respectif à Toronto ou à Edmonton.

L’organisation des Predators a placé des photos de famille de chacun de ses joueurs dans leur chambre d’hôtel respective.

Les Maple Leafs ont transformé leur étage du Royal York en véritable espace des Leafs. Le logo de l’équipe et le bleu royal sont partout!

N’allez pas croire que seules ces deux équipes-là ont décoré leur espace d’isolement… leur château fort. Toutes les équipes ont transformé leur étage respectif en base personnelle.

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Réjean Tremblay prédit une élimination rapide des Penguins

Quatre mois plus tard, revoici le hockey de la LNH! TVA Sports et le 98,5 FM se préparent à nous présenter nous hockey éliminatoire dès samedi. Demain soir, on aura droit à un match préparatoire entre le Canadien et les Maple Leafs. Rappel : ce matin sera présenté sur les ondes de TVA dès 20h00… avec un avant-match d’une heure au préalable.

Les joueurs du Canadien s’entraîneront pour la première fois dans leur bulle torontoise ce matin. 10h00 au Ford Performance.

Il n’y a pas une seule équipe qui possède une cote plus généreuse que le Canadien parmi les 24 formations en séries. Le CH possède les plus faibles probabilités de remporter la Coupe Stanley… mais aussi les plus faibles chances de passer la ronde de qualification.

Mais qu’en pensent les journalistes des deux équipes (Penguins et Canadien)?

À Pittsburgh, six journalistes (sur six sondés) ont prédit une victoire des Penguins en trois ou en quatre matchs.

La plupart d’entre-eux croient que Malkin aura de meilleures séries que Crosby et que Jared McCann (troisième joueur de centre) sera la carte cachée des Pens.

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Brad Marchand refusera de prendre l’ascenseur si un joueur adverse s’y trouve

On a appris tout récemment que la LNH avait demandé aux joueurs des différentes équipes d’éviter de fraterniser entre eux dans leur bulle.

Ça tombe bien, parce que les joueurs avaient demandé la même chose la ligue, soit de faire tout en son pouvoir pour éviter les moments où différentes équipes se croiseront. C’est quand même les séries de la LNH

Pour le Canadien, ça risque d’être compliqué par moments. Sept équipes logent présentement au Royal York, ce qui en fait l’hôtel le plus achalandé des quatre dans les bulles (Toronto et Edmonton).

Caroline, New York (2X), Toronto, Floride, Columbus et Montréal y logent tous. Chaque équipe possède son propre étage.

Phillip Danault – qui n’était vraiment pas chaud à l’idée de revenir jouer au hockey en plein été au départ – a confié que vivre dans une bulle représentera tout un défi mental

Mais pour Brad Marchand, c’est la possibilité de devoir fraterniser avec l’ennemi qui semble le déranger le plus.

L’attaquant des Bruins, qui partage actuellement l’Hôtel X avec les Flyers, les Penguins, le Lightning et les Capitals, n’a aucunement l’intention de fraterniser avec ses adversaires.

« L’idée première est d’apprendre à se détester le plus rapidement possible. D’aucune façon, je ne vais saluer un rival. D’ailleurs, comment peux-tu fraterniser au lendemain d’un match âprement disputé? Après tout, on compétitionne pour la Coupe Stanley, ce n’est pas le moment de faire du social. » – Brad Marchand, aux journalistes bostoniens

S’il croise un joueur d’une autre équipe en attendant l’ascenseur, il va même aller jusqu’à attendre le prochain ou prendre les escaliers.