Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Bahamas : Passion golf

Des expériences inoubliables
En effet, quelle expérience enivrante de pratiquer sa passion dans la douceur de la brise tropicale en écoutant le chant des oiseaux ! Ici, le clapotis des vagues des eaux cristallines et les plages de sable immaculé sont toujours à portée de fer.
Les parcours, d’excellent niveau, offrent de superbes défis que les golfeurs du monde entier sont heureux de relever ; les massifs de bougainvillées, les hibiscus et les flamboyants bordent les greens, tandis que les lézards paressent sur les fairways et que les papillons multicolores voltigent autour de vous. Les Bahamas figurent dans le PGA Tour et le PGA d’Amérique ; de prestigieux tournois y sont organisés chaque année.
 
Nassau et Paradise Island
Ocean Golf & Beach Resort : dessiné par Tom Weiskopf et géré par Troon Golfs, il s’agit d’un parcours 18 trous de championnat qui offre des sensations inégalées dans le cadre exceptionnel du One&Only Resort à Paradise Island.

Cable Beach Golf Course : situé sur New Providence, voilà l’un des parcours 18 trous de championnat parmi les meilleurs des Caraïbes. Son tracé déroule des fairways spacieux, agrémentés de buttes et d’une magnifique succession de lacs ; et il est ponctué de greens bien protégés. Les quatre tees de départ s’adaptent à tous les niveaux de jeu.
 
The Abacos
Treasure Cay Golf Course : conçu par Dick Wilson, ce parcours 18 trous s’avère tout à fait technique et difficile. Avec soixante-six bunkers, le vent de l’océan et des fairways longs et étroits, il représente un formidable défi pour tous les golfeurs.

The Abaco Club on Winding Bay : c’est un parcours 18 trous tropical dans un site de toute beauté. Là, dans un cadre privilégié, les fairways se déploient le long de trois kilomètres de plage de sable et de dunes. Et le club house, en hauteur, offre des vues à couper le souffle sur les eaux turquoise de la baie.
 
Great Exuma
Four Seasons Golf Club : signé Greg Norman, ce parcours 18 trous est niché dans les dunes ou dans la mangrove. Son tracé, vraiment d’une étonnante beauté, suit le littoral, offrant des vues exceptionnelles sur l’océan et sur la péninsule rocheuse d’Emerald Bay.
 
Eleuthera

Cotton Bay Club : ce 18 trous, que l’on doit à Robert Trent John Jr, se joue sur un terrain relativement plat, avec de larges greens et des fairways soulignés d’arbres tropicaux. Les trous situés en bordure de plage sont très agréables à jouer.
 
Grand Bahama Island
The Reef Golf Course : dessiné par Robert Trent Jones, Jr., ce links est classé parmi les trois meilleurs parcours des Caraïbes. Avec ses larges fairways, ses bunkers traîtreusement positionnés et des lacs qui protègent les greens sur treize trous, ce parcours est un vrai défi. Sans oublier le vent océanique qui est toujours de la partie !

The Lucayan Golf & Country Club : conçu par Dick Wilson en 1962, c’est un parcours 18 trous exigeant qui demande de la précision. Les greens bien protégés et les fairways larges qui « s’éparpillent » à plaisir dans les sous-bois tropicaux sont une particularité du Lucayan Golf & Country Club. Un parcours difficile lorsque le vent souffle.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Mexique : Un paradis nommé Riviera Maya

Les sites incontournables

Cancun
A deux heures d’avion de Mexico, cette station touristique créée il y a quelques années est située sur un cordon de sable entre la mer des Caraïbes et la lagune de Nichupté. Cancun, dont le nom en maya signifie « récipient à l’extrémité de l’arc en ciel », s’étend sur une longueur de 22 km et bénéficie d’un climat subtropical avec un ensoleillement agréable toute l’année. Parmi les magnifiques plages de sable blanc bordées par des eaux cristallines, Playa Linda, Playa Langosta et Playa Tortugas, rivalisent de beauté pour vous offrir des moments de pur bonheur.
 
Playa del Carmen
A l’extrémité nord orientale de la péninsule du Yucatan, cette station balnéaire cosmopolite dispose de grandes et magnifiques plages comme Coco Beach, mais aussi d’un parcours de golf 18 trous, le club de golf de Playacar, réalisé au milieu d’une jungle tropicale parsemée de vestiges mayas. Aux environs : ne manquez pas le superbe parc aquatique de Xel-Ha.
 
L’île de Cozumel
A Playa del Carmen, les ferries pour l’île de Cozumel (« lieu des oiseaux » en maya) partent d’un quai proche de la place centrale. A l’époque des Mayas, l’île de Cozumel (47 km de long pour 17 km de large) était un centre cérémoniel où l’on vénérait Ixchel, déesse de la Fertilité, de la Raison, de la Médecine et de la Lune. A San Miguel de Cozumel, le musée de l’Ile de Cozumel est passionnant à découvrir ; il présente sa faune et sa flore et retrace son histoire. Quelques visites intéressantes : le parc national de Chankanaab et son jardin botanique, les ruines mayas de El Cedral ou la réserve écologique de Punta Sur.
 
Chichen Itza
Cette ville sacrée est en réalité constituée de deux cités : l’une gouvernée par les Mayas du VIe au Xe siècles, et l’autre créée par les Mayas et les Toltèques vers l’an 1000. Là, vous allez découvrir El Castillo, une pyramide monumentale qui fait 24 mètres de hauteur et comporte neuf étages. Ses quatre faces comptent 365 marches qui représentent les jours de l’année solaire ; et un escalier étroit mène à un temple intérieur particulièrement remarquable. Il est consacré à Kukulcan, le serpent à plumes qui fut l’un des dieux les plus importants de la culture toltèque.
 
 
Le saviez-vous ?
Les tortues de Akumal
A Akumal, ville balnéaire aménagée dans une ancienne plantation de cocotiers, la plage, superbe, est un lieu de ponte des tortues vertes et vous pourrez aussi y voir passer des requins-baleines au large de la côte.
 
Le serpent de Chichen Itza
A Chichen Itza, pendant les équinoxes du printemps et de l’automne (mars et septembre), vous pourrez assister à un phénomène étonnant : l’ombre du soleil projette la forme d’un énorme serpent qui semble descendre sur la façade de la pyramide El Castillo.
 
 
Les coups de coeur
L’Isla Mujeres, petite île proche de la barrière de corail. Pour la plongée sous-marine, c’est un site remarquable.
Explorer la Réserve de la Biosphère de Sian Ka’an inscrite au patrimoine mondial par l’Unesco.
Découvrir Tulum, seule cité fortifiée maya située sur la côte.
 
 
A savoir avant de partir
La meilleure période : de novembre mai.
Quelques précautions : ne buvez que de l’eau en bouteille capsulée et évitez les jus de fruit vendus dans la rue.
N’oubliez pas d’emporter des vêtements légers, des lunettes de soleil, une crème solaire haute protection et un répulsif anti-moustiques.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Hawaii : Les feux de la mer

Les sites incontournables
 
Île d’Oahu, l’île capitale
Oahu est le centre névralgique de l’archipel, une île qui cultive ses contrastes. D’un côté, Honolulu, capitale ultra moderne, très américaine avec sa ligne de gratte-ciel, son quartier chinois gardé par des lions de bronze et son quartier historique autour du palais Iolani. De l’autre, Waikiki, la plus fameuse plage de l’océan Pacifique, capitale mondiale du surf. Sans oublier Pearl Harbor et le mémorial de l’USS Arizona dédié aux marins qui ont péri à son bord en 1941 ou encore le centre culturel polynésien qui présente les peuples, les us et coutumes et les légendes de la Polynésie.
 
Hawaii, la Grande Île
La Grande île est une île toute jeune, moins d’un million d’années, née de la rencontre de cinq volcans : le Kohala, l’Hualalai, le Mauna Loa, le Mauna Kea et le Kilauea, le volcan le plus actif de la planète! Elle offre des paysages d’une diversité folle : pics enneigés et forêts luxuriantes, plages de sable noir et champs de lave désolés, plantations de café et stations balnéaires.
 
Île de Maui, un condensé des beautés hawaïennes
Située à une heure de vol d’Honolulu, Maui est le fruit du mariage de deux volcans aujourd’hui éteints, l’Elke et l’Haleakala, qui forment un grand huit. Leurs flancs verdoyants sont des jardins d’Éden où fruits et fleurs poussent à profusion. La partie ouest de l’île, très prisée des touristes, offre des plages sublimes à Ka’anapali. Pour accéder à la partie orientale, plus sauvage, il faut emprunter la route de Hana : 600 virages, 54 ponts et des cascades innombrables! Ici, le majestueux Hale’a’kala culmine à 3 055 mètres. La beauté à l’état brut!
 
Kauai, « l’île Jardin »
La plus occidentale des îles principales est aussi la plus ancienne d’Hawaii : le volcan Waialeale qui a formé l’île s’est éteint il y a six millions d’années. Ciselée par l’érosion, Kauai est entaillée de vallées inaccessibles et par le fantastique canyon de Waimea, surnommé le « Grand Canyon du Pacifique ». Le plus beau sentier de randonnée de l’archipel longe les falaises en dents de scie de la côte de Na Pali qui plongent à pic dans des eaux turquoise.
 
 
Le saviez-vous?
 
Une foi à déplacer la barrière
La Kawaiaha’o Church est la plus ancienne église en pierre d’Oahu. Elle est constituée de 14 000 blocs de corail d’un poids moyen de 500 kg. Chaque bloc a été retiré de la barrière de corail par des plongeurs en apnée, entre 3 et 6 mètres de profondeur.
 
Dévoué jusqu’à la mort
L’île de Molokai abrite une ancienne léproserie. C’est là qu’un prêtre belge, le père Damien, soigna les lépreux avant de succomber lui-même à la maladie. C’est aujourd’hui un parc historique qui se visite uniquement en compagnie d’un guide. On y accède à dos de mule, à pied ou en petit avion.
 
 
Les coups de cœur
– Le parc national des Volcans où le volcan Kilauea assure un spectacle fascinant de lave et de feu.
– Les plus grosses vagues surfées du monde sur la côte nord d’Oahu.
– Une excursion d’observation de baleines, de décembre à mai au large de Maui.
– Nager avec les tortues marines dans la baie La Pérouse à Maui.
– Le musée Bernice Pauahi Bishop, muséum d’histoire naturelle et culturelle de l’État d’Hawaï sur l’île d’Oahu.
 
 
À savoir avant de partir
La meilleure période : l’été est chaud et ensoleillé sur les côtes occidentales et l’hiver, de décembre à mars, est plus arrosé, c’est la saison du surf.
Quelques précautions : attention aux courants parfois violents.
N’oubliez pas d’emporter une crème de protection solaire, des lunettes de soleil et un chapeau, de bonnes chaussures de marche.
Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

À la découverte des Bahamas

Les sites incontournables

Hospitalité et art de vivre à Nassau
Sur l’île de New Providence, Nassau, la capitale, est un port franc réputé pour ses achats hors taxes. Ici, ne manquez pas de parcourir Bay Street, l’artère historique, pour ses boutiques de luxe. Mais aussi le marché de la Vannerie (Straw Market), le seul endroit où l’on marchande, The Bahamas Historical Museum, le Pompey Museum consacré à l’histoire de l’esclavage, Balcony House, la plus ancienne maison en bois de Nassau ou la National Art Gallery.
 
Un kaléidoscope enchanteur
Reliée au centre ville de Nassau par deux ponts, Paradise Island décline des plages idylliques, un golf et le plus grand casino des Caraïbes. Remarquables : le Cloître Français, les dauphins de Blue Lagoon Island et l’aquarium d’Atlantis. Autre île paradisiaque, Grand Bahama incite à profiter de tous les sports nautiques. Sans oublier la possibilité de nager avec les dauphins du centre Unexso.
 
Rêves d’absolu
Les Out Islands, avec leurs plages immaculées, leurs jardins de corail et leurs villages authentiques sont idéales pour les passionnés de nature préservée. Visitez Abaco, la capitale de la plaisance ; Eleuthera, le paradis des amoureux ; Harbour Island, avec la plus célèbre des plages de sable rose ; The Exumas pour The Exuma Cays Land et Sea Park, le refuge de nombreuses espèces terrestres et marines ; San Salvador, sommet émergé d’une montagne sous-marine.

Enfin, vous prendrez plaisir à découvrir les trésors de Andros, la plus grande et aussi la moins fréquentée des Bahamas ; de Inagua, le paradis des oiseaux avec les 60 000 flamands roses qui nichent à Lake Windsor ; de Bimini, capitale de la pêche au gros ; de Cat Island avec ses plages sauvages, ses collines et ses forêts denses.
 
Une pléiade d’activités
Dans ce havre de douceur, préparez-vous à vivre des expériences uniques : observation des oiseaux, nage avec les dauphins, sports nautiques… La liste semble sans fin. Les pêcheurs au gros ou à la mouche se retrouvent aux Bahamas pour pêcher dans les eaux poissonneuses peuplées de marlins bleus, mérous, albulas (le superbe bonefish transparent)… Les quatre parcs nationaux de Grand Bahama offrent également de magnifiques sorties à thème pour un écotourisme de qualité. Et, bien sûr, aux Bahamas, plus de 1 000 sites de plongée sous-marine invitent à de fantastiques explorations d’une faune et d’une flore d’une grande richesse.
  
Le saviez-vous ?
Souvenez-vous d’Hemingway…
Les eaux qui entourent l’île de Bimini doivent leur célébrité à Ernest Hemingway qui en fit le lieu du récit du « Vieil Homme et la Mer ».
 
People to people
Pour accueillir les visiteurs, il existe un programme personnalisé baptisé « People to People » qui favorise les rencontres avec les habitants. Unique en son genre, il est gratuit et permet de découvrir la chaleur et l’authenticité des Bahaméens. 
  
Les coups de coeur
La Balcony House, la plus ancienne maison en bois de Nassau.
Se marier dans le Cloître français du XIVe siècle.
Une plongée près de la « Langue de l’Océan », une faille de1 800 m.
Assister à la parade du Junkanoo (carnaval), en décembre à Nassau
Un safari nature dans un des parcs nationaux de Grand Bahama.
  
A savoir avant de partir
La meilleure période : toute l’année
Quelques précautions : ne boire que de l’eau en bouteilles, sans glaçons. Evitez de consommer des aliments peu ou pas cuits.
N’oubliez pas d’emporter vos médicaments habituels, une petite pharmacie (anti-moustiques et anti-diarrhéiques, collyre), des lunettes de soleil, de la crème solaire…

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

France – L’Alsace et les marchés de Noël

Strasbourg
Le fameux « Christkindelsmärik » est le plus ancien marché de Noël de France. Depuis 1570, il enchante les nuits de l’avent de ses lumières magiques. De la place Kléber et son gigantesque sapin scintillant à la place Broglie, de la place des Meuniers aux marches de la cathédrale, les chalets richement décorés scintillent dans la nuit. Vous y découvrirez tous les décors de Noël et l’artisanat typique. Ne manquez pas de savourer les fameux « bredele » de Noël et le pain d’épices accompagnés d’un vin chaud. L’ambiance est à la joie et les chants de Noël résonnent dans l’air.
 
Kayserberg
La cité impériale de Kaysersberg se pare à Noël de ses beaux atours. Dans un cadre médiéval authentique du XVIIe siècle, toutes les façades sont pavoisées de lumière! Les artisans exposent leurs savoir-faire : verre soufflé, jouets en bois, poterie, décorations florales… Sans oublier les gourmandises et spécialités gastronomiques…
 
Riquewihr
Riquewihr, l’un des « plus beaux villages de France », est un véritable enchantement pendant la période des festivités de Noël. Les rues sont illuminées de guirlandes et décorées de sapins. Les maisons s’ornent de décorations de toutes sortes… À chaque coin de rue, la tentation est grande de déguster les friandises traditionnelles, les spécialités alsaciennes et le vin chaud.
 
Ribeauvillé
Charmante cité de la route des Vins d’Alsace, Ribeauvillé puise dans son histoire pour offrir aux visiteurs enchantés un marché de Noël médiéval, unique en son genre. Dominée par les ruines des châteaux des seigneurs de Ribeaupierre, la « cité des ménétriers » s’anime des chants des baladins. Ici, les danseurs et jongleurs tiennent le haut du pavé; manants et gueux amusent les badauds… De la tour des Bouchers à l’ancienne halle aux blés, de la maison des Ménétriers en passant par la Grand’rue, petits et grands se régalent de gourmandises sucrées et salées, dans une ambiance médiévale bon enfant. À ne pas manquer!
 
Colmar
Ville d’art et d’histoire, Colmar se pare à Noël de mille feux! Il faut flâner le long des rues étroites de la vieille ville et explorer les cinq marchés de Noël illuminés : marchés de la place des Dominicains, de la Petite Venise, de l’Ancienne douane… Mais aussi découvrir la patinoire illuminée de la place Rapp, la boîte à lettres géante du Père Noël, entendre les contes et assister aux concerts… Pour l’occasion, toute la ville se transforme en un conte de Noël!
 
Sélestat et le sapin de Noël
Associé aux rites païens du solstice d’hiver, le sapin a une longue histoire. Au IVe siècle, l’église instaure la célébration de la naissance du Christ, le 25 décembre. La légende de saint Boniface qui, abattant un chêne à Noël, épargne un jeune sapin associe définitivement notre sapin à la fête de Noël. On trouve la première mention du sapin « arbre de noël » en 1521 à la Bibliothèque Humaniste de Sélestat. Au XIVe siècle, les sapins se parent de pommes et de confiseries. Puis, au XVIIe siècle apparaissent les premiers sapins illuminés de lampes à huile en coquilles de noix. Le marché de Noël de Sélestat est installé au pied de l’église Saint-Georges avec pléthore de gaufres, pain d’épices et « bredele » à volonté. Sans oublier le fameux vin chaud à la cannelle!
Catégories
Dossier moyen (600 mots)

À la découverte du Maroc

Les sites incontournables

Marrakech
A l’ombre d’une palmeraie millénaire, au pied de l’Atlas, Marrakech ceinte de ses remparts rouges est une extraordinaire ville spectacle. Les palais, les monuments au passé chargé d’histoire et les souks ont fait de Marrakech la capitale touristique du sud marocain.

Grouillante de vie, la place Jemâa el Fna est l’âme de la ville impériale : ici, saltimbanques, diseuses de bonne aventure, charmeurs de serpent, musiciens, animent la ville de jour comme de nuit. Dans les souks qui forment un monde de couleurs, de saveurs et de senteurs épicées, la médersa Ben Youssef éblouit par la richesse de ses décors. La Koutoubia, érigée au XIIe siècle, est la plus impressionnante mosquée de la ville ; son minaret culmine à 77 mètres.
 
Les autres villes impériales
A Fès, les ruelles en labyrinthe de la médina Fès el-Bali sont le cœur de la ville ; Fès abrite de très beaux monuments religieux : la médersa Bou Inania, la médersa Attarine et l’imposante mosquée Karaouiyine.

Rabat, dominant du haut de ses remparts l’oued Bou Regreg et l’océan Atlantique, est une capitale prestigieuse où l’histoire imprègne chaque pierre de la kasbah des Oudaïa. Une belle promenade vous mènera de la tour Hassan, au mausolée de Mohamed V en passant par le Palais Royal et le musée Archéologique qui abrite les trouvailles des fouilles de Volubilis.

Meknès, le « Versailles marocain », est l’une des plus belles cités impériales avec ses remparts percés de grandioses portes ouvragées. Le palais Jamaï qui abrite le musée des Arts marocains, la médersa Bou Inania, un chef-d’œuvre hispano-mauresque, la mosquée En Nejjarine, les terrasses ombragées et les jardins font de Meknès une ville éblouissante.
 
Ouarzazate, la porte du désert
A l’orée du désert, sur fond de cimes enneigées du Haut-Atlas, Ouarzazate est le point de départ idéal pour une randonnée à pied, en 4 x 4, en VTT ou à dromadaire. Les oasis et les montagnes recèlent des trésors ; on peut y admirer la palmeraie de Skoura, les vertigineuses parois des gorges du Dadès et du Todra. Les kasbahs avec leurs murs et leurs tours en pisé vous transporteront dans un monde où le temps s’est arrêté.
 
 
Le saviez-vous ?
Entrez dans la danse !
Le moussem est une fête populaire qui associe célébration religieuse et fantasia colorée avec chevaux et intrépides cavaliers. Les danses et les chants en costumes traditionnels y sont à l’honneur.
 
Du mythe à la réalité
Selon la mythologie grecque, c’est dans les grottes qui portent son nom, au cap Spartel près de Tanger, qu’Hercule se reposa après avoir accompli ses douze travaux ; une ouverture sur l’océan y dessine les contours de l’Afrique !
 
 
Les coups de coeur
Se laisser dorloter dans un somptueux hammam.
Remonter le temps dans la ville antique de Volubilis, près de Meknès.
Une méharée dans les dunes de Merzouga, près d’Erfoud.
Profiter des longues plages de sable d’Agadir.
Dégustez un thé à la menthe au mythique café Hafa, à Tanger.
 
 
A savoir avant de partir
La meilleure période : le printemps et l’automne.
Quelques précautions : ne buvez que de l’eau en bouteille capsulée et évitez les jus de fruit vendus dans la rue. N’ayez pas de contacts avec les chiens. Côté vêtements, une tenue correcte est conseillée pour visiter les mosquées.
N’oubliez pas d’emporter des lunettes de soleil, de la crème solaire, une petite pharmacie (anti-moustiques et anti-diarrhéiques, collyre).

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

San Francisco : La culture de la tolérance

Les sites incontournables
Le Golden Gate Bridge
Long de 2 789 mètres, le Golden Gate Bridge, dont les deux principaux câbles contiennent 129 000 kilomètres de fil, est le plus célèbre des ponts suspendus au monde. Inauguré en 1937, il relie la pointe nord de la péninsule de San Francisco à Sausalito, à la pointe sud du comté de Marin. Avec sa couleur mythique « orange international », c’est la vedette de l’entrée de la baie de San Francisco. Il est accessible aux piétons et aux cyclistes avec, à gauche et à droite, Alcatraz, la ville, le Pacifique, le Bay bridge… Avec ou sans brouillard, voici une balade à ne pas manquer!
 
Des pélicans et des hommes
L’île d’Alcatraz située dans la baie doit son nom à la colonie de pélicans qui fréquentait les lieux. Elle fut successivement forteresse militaire au XIXe siècle, prison militaire puis prison fédérale de haute sécurité de 1934 à 1963. Elle a acquis ses lettres de noblesse en 1934 en accueillant Al Capone. Depuis 1973, Alcatraz est un musée auquel on accède par un ferry au départ de Fisherman’s Wharf. Au passage, remarquez le phare d’Alcatraz. C’est le plus vieux phare en activité de toute la côte ouest des États-Unis.
 
Un tramway nommé… ?
Le cable-car de San Francisco est le dernier de son espèce, le dernier tramway tracté par un câble en mouvement sous la chaussée! Ce câble est entraîné par un moteur central et la cabine du tramway s’y agrippe avec une grande pince. La silhouette du cable-car partant à l’assaut des collines est une image emblématique de San Francisco. Un musée lui est consacré. Allez-y en cable-car!
 
Des quartiers mythiques
Mission, le plus ancien quartier de San Francisco, est aussi l’un des plus animés. C’est ici que les Franciscains espagnols fondèrent la mission Dolorès. Le Castro est le quartier historique du mouvement gai américain, le fief d’Harvey Milk. Les rues sont bordées de maisons victoriennes arborant le drapeau arc-en-ciel. La nuit, la fête y bat son plein. Haight-Ashbury est un endroit mythique où sont nés les mouvements hippies, skinheads et les raves. Si l’esprit n’est plus, Haight-Ashbury reste un quartier sympathique avec des cafés, des restaurants, des boutiques de vêtements… Ancien quartier des pêcheurs et des industries alimentaires, Fisherman’s Wharf séduit aussi les touristes. On y trouve des restaurants et des boutiques de souvenirs. C’est d’ici que partent les bateaux pour Alcatraz. Vous repèrerez au bruit (et à l’odeur) les otaries en liberté, installées sur la jetée de bois de Pier 39.
 
 
Le saviez-vous?
Twin Peaks, une question d’interprétation
D’après les Indiens, ces deux collines étaient autrefois un couple qui se disputait et qui a été séparé par une flèche. Quand les Espagnols sont arrivés, ils y ont vu la poitrine d’une femme et les ont baptisées « los pechos de la choca », les seins de l’Indienne.
 
Du nouveau dans Castro
Le premier musée consacré à l’histoire du mouvement gai aux États-Unis vient d’ouvrir ses portes dans Castro : le Gay Lesbian Bisexual Transgender History Museum.
 
 
Les coups de cœur
– Alamo Square et les très victoriennes Seven Painted Ladies.
– Lombard Street : la plus tortueuse au monde!
– L’architecture « tombée du ciel » du Contemporary Jewish museum de Daniel Libeskind.
– Le quartier chinois, à visiter de bonne heure le samedi ou dimanche matin.
– Les musées : San Francisco Museum of Modern Art et California Palace of the Legion of Honor.
 
 
À savoir avant de partir
La meilleure période : le printemps et l’automne sont parfaits. L’été est le domaine du brouillard.
Quelques précautions : le soir, évitez Tenderloin, South of Market (Soma) et le sud de Mission.
N’oubliez pas d’emporter une petite laine et un plan pour arpenter la ville à pied.
Catégories
Dossier moyen (600 mots)

À la découverte de l’Argentine

Les incontournables

Buenos Aires
A l’embouchure du rio de Plata, la ville fondée par le conquistador Pedro de Mendoza en 1536 dégage, malgré son effervescence, une atmosphère teintée de nostalgie. En passant par la place de Mai, où bat l’histoire de Buenos Aires, vous admirerez le théâtre Colon ; vous passerez devant le « Tortoni », le plus ancien café littéraire de la ville, avant de faire une halte sur la très élégante Plaza Libertador San Martin. Pénétrer dans le quartier de San Telmo aux nombreuses maisons coloniales, c’est s’immerger dans le berceau historique du tango. Et l’ambiance bohême du quartier de la Boca avec ses maisons de bois et de zinc aux couleurs éclatantes, ses ateliers d’artistes et ses petits restaurants italiens vous ravira. Aux environs, vous découvrirez la vie des mythiques gauchos de la Pampa en visitant les immenses estancias de San Antonio de Areco.
 
Les chutes d’Iguazu
Dans le parc national d’Iguazu, cette merveille de la nature formée de 275 chutes d’eau qui se déversent en cascades sur un front de plusieurs kilomètres relie l’Argentine au Brésil. La vision de la plus impressionnante d’entre elles, la Gorge du Diable qui se jette avec fracas de quelque 80 m de haut, est inoubliable. Amplifiant ce panorama grandiose, l’exubérante forêt tropicale abrite une flore et une faune d’exception parmi lesquels des lianes orchidées, des perroquets et des toucans, des jaguars et des tatous ou encore des caïmans… Sensations garanties !
 
La Patagonie
Aux confins du continent sud-américain, cet immense territoire bordé par la cordillère des Andes s’étire jusqu’à la mythique Terre de Feu et se découvre au fil de paysages envoûtants balayés par les vents. Dans le parc Nahuel Huapi, les lacs et les montagnes rivalisent de beauté. Surnommée la « Suisse » de l’Argentine, Bariloche est réputée pour son délicieux chocolat. Au départ de Puerto Bandera, une excursion en bateau vous fera découvrir les couleurs miroitantes du gigantesque glacier Upsala (595 km2). Et la péninsule Valdès se révèle le paradis des mammifères et oiseaux marins.
 
Le saviez-vous ?
Parlons géographie…
L’Argentine est le huitième plus grand pays au monde. Toit des Amériques, l’Aconcagua culmine à 6 959 m. L’Argentine se divise en quatre zones géographiques : les Andes, le Nord et la Mésopotamie argentine, la Pampa et la Patagonie. La Terre de Feu doit son nom à Ferdinand de Magellan. Ici se déguste la meilleure viande au monde et des vins de qualité.
 
Le sens des mots
Que signifie « argentum » ? Argent. Ce nom latin fut donné à ce territoire par les conquistadores espagnols en raison des objets en argent que leur offrirent les indigènes à leur arrivée dans la région du Rio de la Plata, en 1516. Portenos ? Nom donné aux habitants de Buenos Aires : « ceux du port ». Asados ? Grillade de bœuf. Maté ? Cette infusion stimulante est la boisson nationale.
  
Les coups de coeur
Une croisière dans les fjords de Patagonie.
Une initiation au tango dans une milonga de Buenos Aires.
Une chevauchée à travers la Pampa.
Un trekking dans le parc d’Iguazu.
Le survol des lacs du Bariloche en parapente.
  
A savoir avant de partir
La meilleure période : d’octobre à mai.
Quelques précautions : en Patagonie, les températures peuvent varier très subitement et il faut se préparer à des températures variant de 25 à 0° dans la même journée.
N’oubliez pas d’emporter un maillot de bain et une doudoune, de la crème solaire et un coupe-vent, des lunettes de soleil, une petite trousse à pharmacie (anti-moustique, collyre)…

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Royaume-Uni : Londres – Le paradis du shopping

Les soldes
Deux périodes sont à privilégier pour les bonnes affaires : les soldes d’hiver en janvier et celle d’été en juillet. Les prix sont souvent divisés par deux, voire plus, et cela dès le premier jour. Tous les magasins, du plus chic au plus basique, se transforment alors en joyeux bazars. Ambiance cool. Ici, au pays du flegme, pas de panique… Si vous manquez ces rendez-vous annuels, rassurez-vous, toute l’année des promotions et autres rabais s’offrent à vous, dans tous les quartiers de la capitale.
 
Les grands magasins
Institution autant que magasin, la visite d’Harrods à Knightsbridge évidemment s’impose. Les prix y sont à la hauteur de sa réputation : c’est le luxe pharaonique ! Le Food Hall est à conseiller pour acheter les thés « maison » dans leurs boîtes vertes. En sortant du magasin, aller voir, au coin d’un escalier, la stèle érigée par le maître des lieux à la mémoire de son fils Dodi El Fayed et de Diana Spencer.

Plus bourgeois, moins touristique, et particulièrement prisé des Londoniens, Harvey Nichols, son proche voisin, est largement ouvert aux créateurs. Selfridges, sur Oxford Street, est le grand magasin par excellence de la mode. Liberty sur Regent Street séduit par sa façade Tudor et ses imprimés fleuris inimitables. Peter Jones de Sloane Square a le charme discret des magasins cossus. Ses rayons cuisine et linge de maison sont irrésistibles. Et Marks & Spencer, chaîne à prix doux, offre de bonnes surprises aux rayons enfants et lainages.
 
Arpentez King’s Road…
Moins touristique qu’Oxford Street, moins snob que Bond Street, moins ostentatoire que South Kensington et moins courue que Knightsbridge, le quartier de Sloane Square et King’s Road à Chelsea sont parfaits pour un shopping familial. Quelques bonnes maisons : Hackett et ses polos rayés pour les messieurs, Hobb’s, Jigsaw et L.K. Bennett pour les vêtements (grandes tailles possibles) destinés aux dames coquettes, Trotters et Petit Bateau pour les enfants. Pour des cachemires à prix compétitifs : Brora. Pour leurs collections raffinées : Bamford et Joseph. Des valeurs sûres : Penhaligon’s pour leurs eaux de toilette incroyables, Body Shop et Boots pour les soins corporels, Peter Jones, Heal’s et Habitat pour la maison.
 
Les musts so british
Difficile de faire un choix. Voici toutefois des établissements « coups de cœur » pour certaines catégories de produits. Pour les thés : Fortnum & Mason (SW1). Le temple centenaire des parapluies : James Smith and sons (WC1). Les chemises sur mesure : Turnbull & Asser (SW1). Daunt Books (W1U), vaste librairie edwardienne. Hamleys (W1), incomparable magasin de jouets. Conran Shop (SW3), le magasin du gourou de la décoration. Smythson (W1), le roi du papier à lettres. Et toujours Church’s, incontournable pour les chaussures, Burberrys pour ses trench-coats et Paul Smith pour ses costumes.
 
Les marchés aux puces et les charity’s shops
A Londres, les marchés aux puces, ouverts le week-end, proposent le pire et le meilleur. On y trouve des vieilles fripes « seventies », de la vaisselle, de l’argenterie, des bijoux artisanaux, des gravures et une multitude d’objets hétéroclites pour amateurs de brocante et d’« antiques ». Portobello (W11) est le plus connu. Découvrir aussi Camden (NW5) et Brick Lane (E1). Quant aux charity’s shops, elles sont nombreuses et recyclent parfois des vêtements de grandes marques.