Catégories
Nouvelles quotidiennes

Trois idées de séjours pour découvrir l’hiver du Grand Nord

Cet hiver, au lieu de s’envoler au soleil, pourquoi ne pas braver le froid et découvrir la beauté féérique des paysages du Grand Nord? Revêtus de leur manteau blanc, les pays scandinaves se visitent aussi en cette saison, à la découverte de leurs richesses culturelles et d’une nature sauvage et immaculée.

Croisière d’Oslo vers le Nord 
La compagnie maritime Hurtigruten inaugure ce nouveau voyage qui permet de longer l’ensemble de la côte norvégienne, depuis la capitale Oslo jusqu’à Kirkenes tout au Nord, à bord du paquebot MS Trollfjord. Chaque jour, des escales font découvrir les villes de Norvège comme Kristiansund et son centre historique du 17e siècle, Haugesund, berceau historique des rois de Norvège ou encore la cité royale de Trondheim. Des arrêts et excursions font aussi profiter des plus spectaculaires paysages, du Lysefjord et sa vertigineuse falaise de Preikestolen à la nuit polaire de Kirkenes, en passant par les aurores boréales du Cercle polaire et les îles Lofoten. www.hurtigruten.fr

Partager la vie d’un éleveur de rennes en Suède
Secret Planet, spécialisé dans les voyages en petits groupes, propose une immersion dans la vie des Samis, une ethnie d’éleveurs de rennes en Laponie suédoise. Chez un couple lapon, les voyageurs partagent leur quotidien comme la capture de rennes au lasso, l’attelage et la conduite de traîneau ou encore la pêche au saumon et découvrent leur culture. Ski dans la neige vierge et sauna traditionnel sont aussi au programme. www.saiga-voyage-nature.fr

Un chalet en famille en Laponie
Voyageurs du Monde propose un séjour dans un des chalets traditionnels de l’hôtel Iso Syote situé au nord-est de la Finlande, dans une région sauvage de Laponie. L’occasion de s’essayer en famille aux activités de plein air dans des paysages immaculés, comme des excursions en motoneige, traîneau à chiens ou encore la pêche sur glace sur un lac gelé. À proximité, des pistes de ski alpin et de ski nordique accueillent aussi les fans de glisse.  www.voyageursdumonde.fr

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Une Cité de la gastronomie verra le jour à Paris-Rungis en 2020

La future Cité de la gastronomie à Rungis, en banlieue parisienne, devrait voir le jour dans six ans pour un coût anticipé d’au moins 60 à 70 millions d’euros, a affirmé Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d’Île-de-France.

Une mission de préfiguration doit être mise en place dans les semaines qui viennent « afin de définir, dans moins d’un an, de quoi sera composée cette cité », a-t-il affirmé à l’AFP.

« Il y aura certainement une école de formation à l’excellence culinaire, il y aura un lieu d’exposition, il y aura bien sûr des lieux de restauration » et un centre multimédia, a-t-il avancé.

Le site, appelé aussi Rungis-Orly, a été sélectionné par le gouvernement en juin, avec Dijon et Tours, comme un des trois membres d’un réseau de Cités de la gastronomie pour promouvoir la culture alimentaire et le patrimoine gastronomique, distingué en 2010 par l’UNESCO qui a inscrit le « repas gastronomique des Français » au patrimoine de l’humanité.

Le mois dernier déjà, un premier bâtiment spécifiquement dédié à la gastronomie a été inauguré à Rungis (Val-de-Marne) pour accueillir des entreprises spécialisées, associées au marché de gros de produits frais des halles de Rungis.

Pour ce qui est de la future cité, « tout est à imaginer », dit Jean-Pierre Blat, directeur général du tourisme Paris Île-de-France : « un musée de la gastronomie, des espaces d’affaires, des ateliers créatifs, d’éducation et de formation ».

On visera également à « avoir un lycée international de la restauration à Paris-Rungis comme on a le lycée international de l’hôtellerie à Lausanne », ajoute M. Blat.

La cité sera « un lieu de promotion de l’histoire de la gastronomie et de la lutte contre la malbouffe », selon le responsable du tourisme pour qui le secteur sera particulièrement générateur d’emplois.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Une Cité de la gastronomie verra le jour à Paris-Rungis en 2020

La future Cité de la gastronomie à Rungis, en banlieue parisienne, devrait voir le jour dans six ans pour un coût anticipé d’au moins 60 à 70 millions d’euros, a affirmé Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d’Île-de-France.

Une mission de préfiguration doit être mise en place dans les semaines qui viennent « afin de définir, dans moins d’un an, de quoi sera composée cette cité », a-t-il affirmé à l’AFP.

« Il y aura certainement une école de formation à l’excellence culinaire, il y aura un lieu d’exposition, il y aura bien sûr des lieux de restauration » et un centre multimédia, a-t-il avancé.

Le site, appelé aussi Rungis-Orly, a été sélectionné par le gouvernement en juin, avec Dijon et Tours, comme un des trois membres d’un réseau de Cités de la gastronomie pour promouvoir la culture alimentaire et le patrimoine gastronomique, distingué en 2010 par l’UNESCO qui a inscrit le « repas gastronomique des Français » au patrimoine de l’humanité.

Le mois dernier déjà, un premier bâtiment spécifiquement dédié à la gastronomie a été inauguré à Rungis (Val-de-Marne) pour accueillir des entreprises spécialisées, associées au marché de gros de produits frais des halles de Rungis.

Pour ce qui est de la future cité, « tout est à imaginer », dit Jean-Pierre Blat, directeur général du tourisme Paris Île-de-France : « un musée de la gastronomie, des espaces d’affaires, des ateliers créatifs, d’éducation et de formation ».

On visera également à « avoir un lycée international de la restauration à Paris-Rungis comme on a le lycée international de l’hôtellerie à Lausanne », ajoute M. Blat.

La cité sera « un lieu de promotion de l’histoire de la gastronomie et de la lutte contre la malbouffe », selon le responsable du tourisme pour qui le secteur sera particulièrement générateur d’emplois.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

L’été commencera à Rio avec un topless collectif sur la plage d’Ipanema

Plus de 2000 personnes ont déjà confirmé sur Facebook leur présence à un topless collectif sur la plage d’Ipanema à Rio, au premier jour de l’été austral (le 21 décembre), au Brésil, pays du Carnaval, mais où les seins nus sont bannis sur les plages.

C’est une jeune femme de 23 ans, Ana Rios, spécialisée dans la production d’événements, qui est à l’initiative de ce « Toplessaço » pour « un été sans marques et sans hypocrisie » dans un pays où l’on voit défiler des femmes dans la tenue d’Ève pendant le carnaval, mais où l’on peut se faire insulter si on a les seins nus sur la plage, rapporte le quotidien de Rio, O Dia.

Ana Rios a expliqué au journal que l’idée lui était venue pendant la « Marche des salopes », organisée en juillet dernier en pleine visite du pape François dans le cadre des Journées mondiales de la jeunesse catholique, face à la réaction agressive d’une bonne partie de la population.

Mais c’est récemment, lorsque l’actrice Cristina Flores, 37 ans, a été interpellée par la police pour « attentat à la pudeur » parce qu’elle posait pour des photos sur la plage, sans le haut de son bikini, pour la promotion d’une pièce de théâtre, qu’Ana Rios a décidé de créer l’événement.

« À Rio, se montrer seins nus est considéré comme un délit. J’ai toujours trouvé bizarre cette attitude puritaine au Brésil où à une époque de l’année (le Carnaval), on voit des femmes nues partout, sur les couvertures de revues dans les kiosques à journaux », explique Mme Rios, militante de l’organisation de défenses des droits de l’homme, Amnestie internationale.

Plusieurs hommes ont confirmé leur présence par « solidarité », et Ana Rios a appelé à étendre le mouvement à d’autres plages de Rio où porter un string est en revanche considéré comme complètement normal.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

L’Espagne rend hommage en 2014 au Greco, 400 ans après sa mort

« Il s’agit d’un projet extrêmement ambitieux », a expliqué le président de la Fondation Le Greco, Gregorio Marañon, en présentant cette commémoration, qui comprendra également des concerts, des représentations théâtrales ainsi que la publication de travaux de recherche consacrés au peintre.

Avec les deux expositions phares de cette année, à Tolède et au Musée du Prado de Madrid, « nous allons témoigner de la renaissance il y a cent ans de la figure du Greco et de l’énorme influence qu’il a exercée », a-t-il ajouté.

Né en Crète en 1541, Doménikos Theotokopoulos, dit Le Greco, s’est établi à Tolède après s’être formé à la peinture en Italie. C’est dans cette ville du centre de l’Espagne qu’il est mort le 7 avril 1614. De son atelier sont sortis d’innombrables portraits de nobles ainsi que de grandes peintures d’inspiration religieuse, comme celles qui ornent la Cathédrale de Tolède. Son oeuvre, caractérisée par des personnages aux silhouettes allongées, était tombée dans l’oubli après sa mort.

« Pendant trois siècles, ce fut un parfait inconnu, comme s’il n’avait jamais existé », a souligné Gregorio Marañon, rappelant que ce fut seulement à la fin du XIXe siècle qu’un petit groupe d’intellectuels le ressuscita.

« Ces cent dernières années, nous avons assisté à un phénomène surprenant », a-t-il ajouté, Le Greco « étant devenu l’un des grands maîtres qui ont le plus influencé la peinture du XXe siècle », « des impressionnistes à Jackson Pollock en passant par Picasso, tous se sont inspirés de son oeuvre ».

L’influence qu’a exercée le maître s’exprimera dans l’exposition Le Greco et la peinture moderne, du 24 juin au 5 octobre au Musée du Prado, qui rassemblera aussi de mars à juin les livres de la bibliothèque personnelle du peintre.

À Tolède, pour l’exposition Le Greco de Tolède, seront réunies du 14 mars au 14 juin 80 oeuvres provenant des plus grands musées du monde, auxquelles s’ajouteront des tableaux qui ornent les églises de la ville. Une autre exposition présentera des oeuvres du Greco et d’autres exécutées par ses élèves.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

La chaîne hôtelière Eklo, hyperéconomique, arrive en 2014 au Havre

« Eklo hotels donne à tous l’accès à des chambres de qualité, confortables et sécurisées à seulement 24 euros la nuit, près de 40 % moins cher que l’hôtellerie économique de référence, à destination des touristes nationaux et internationaux, des étudiants ou des professionnels en mission loin de leurs domiciles », assure la nouvelle chaîne dans un communiqué.

Emmanuel Petit, qui a travaillé durant 12 années au sein du groupe Accor, a créé le concept Eklo hotels, avec comme parrains Paul Dubrule et Gérard Pélisson, cofondateurs d’Accor. Se qualifiant de « chaîne hôtelière la plus économique de France », Eklo a pour ambition de « développer en France une nouvelle chaîne d’hôtels hyperéconomique, moderne et écoresponsable ».

Cette chaîne prévoit trois ouvertures en 2014. Un premier hôtel ouvrira ses portes en mars au Havre, un deuxième ouvrira « dans le courant de l’année » au Mans, et un troisième hôtel devrait ouvrir en fin d’année « dans une grande ville française ».

Les hôtels Eklo sont implantés « à proximité des centres-villes et systématiquement accessibles en transport en commun ». Chaque établissement compte une centaine de chambres.

Eklo Hotels assure que le confort reste « la priorité ». Et « le client paie uniquement ce qu’il consomme et fait son choix en fonction de ses besoins : petit déjeuner, accès à la télévision, WiFi, stationnement sécurisé ou encore serviettes. Chaque option va de 1 à 3 euros maximum », affirme la chaîne.

Enfin, la chaîne dit concevoir « des bâtiments basse consommation (BBC) en structure ossature bois », avec « un système constructif, rationalisé et industrialisé, qui permet des constructions très rapides et non polluantes ».

En octobre dernier, Olivier Devys, ex-cadre d’Accor avait annoncé la création, en partenariat avec Paul Dubrule, d’une nouvelle chaîne 4 étoiles, Okko, qui ouvrira mi-janvier à Nantes son premier hôtel, avec l’objectif d’atteindre 9 établissements d’ici 2017.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Le groupe hôtelier de luxe Hyatt se lance dans les séjours

Hyatt Ziva sera destinée aux vacances en famille ou en groupe, tandis que Hyatt Zilara sera réservée exclusivement aux adultes, offrant un cadre de détente et de relaxation.

Deux établissements sont déjà les fers de lance de ces nouvelles entités, le Hyatt Ziva Los Cabos et le Hyatt Zilara Cancún, tous deux situés au Mexique.

La société hôtelière, propriétaire de plus de 500 établissements de luxe dans le monde, entend avec ces nouveaux resorts « redynamiser les séjours traditionnels tout compris et agir comme un acteur important de l’innovation dans ce segment », indique un communiqué.

Pour cela, le groupe a étudié les attentes de ses clients pour différencier son offre de celle des hôtels-clubs offrant des séjours tout compris et l’amener vers des services plus haut de gamme.

Même en « tout inclus », la personnalisation et la flexibilité sont de mise, avec par exemple une plus grande communication avec le client dès la réservation, via les outils technologiques modernes comme les réseaux sociaux, afin qu’il puisse organiser son séjour et ses activités avant son arrivée.

Autre exemple, favoriser la « spontanéité » pendant le séjour en permettant au client de modifier les activités ou repas prévus.

Autre axe de développement, proposer des établissements plus ouverts sur l’extérieur et la culture locale, à travers la gastronomie, la musique et en proposant des activités permettant de découvrir le pays.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Avec Art Basel, Miami devient une galerie d’art contemporain à ciel ouvert

Artistes, marchands, millionnaires ou simples amateurs d’art du monde entier vont se presser jusqu’à dimanche dans la célèbre station balnéaire du sud de la Floride pour la douzième édition de cette foire, créée en 1970 à Bâle, et qui s’est exportée à Miami et à Hong Kong.

« Ce mouvement artistique qui a maintenant plus de dix ans nous a donné un renom dans le pays et dans le monde entier », a expliqué à l’AFP le maire de Miami, Tomas Regaldo, peu après avoir inauguré le Perez Art Museum, un bâtiment de 20 000 m² tout en baies vitrées donnant sur la baie de Biscayne et qui vient d’être ouvert au public.

Car au-delà de Miami Beach, la foire a « permis le développement d’autres quartiers de Miami, devenus aujourd’hui des capitales de la culture contemporaine », a fait valoir l’édile d’origine cubaine.

« Entre les hôtels, le tourisme et les achats d’oeuvres d’art, cette semaine rapporte à la ville de Miami quelque 200 millions de dollars », a-t-il ajouté.

L’art contemporain a investi l’espace public, prenant ses quartiers un peu partout : fresques sur les murs du centre, graffitis de Wynwood ou encore ours de couleur sur les trottoirs du quartier financier de Brickell.

À l’occasion d’Art Basel, la ville s’est enrichie de nouvelles installations, comme les bulldogs géants du Belge William Sweetlove qui font le guet sur le toit du Children’s Museum, ou encore une mâchoire spectaculaire d’alligator, « The Gator in the Bay », flottant dans la baie.

Pour les petites galeries, « c’est la semaine où le travail de toute l’année est en jeu », explique à l’AFP Veronica Induchaga, une galeriste du quartier de Brickwell. « Le plus important est d’attirer cette masse d’experts et d’acheteurs venus d’Europe et de villes comme New York ».

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Un site pour trouver les meilleurs billets d’avion pour le Mondial 2014

Le comparateur de voyages Skyscanner.fr lance un mini site affichant les meilleurs prix des vols pour le Brésil au moment de la Coupe du Monde de football en juin et juillet 2014. 

Décliné par groupes dans lesquels évolueront les équipes nationales, ce site permettra aux partisans de trouver instantanément les tarifs les moins chers pour des vols vers le Brésil, mais aussi à l’intérieur du pays, afin de suivre leur équipe lors des matchs organisés dans des villes différentes à chaque fois.

Pour l’instant, le site affiche pour chacun des huit groupes les tarifs des vols entre chaque ville où se joueront les matchs. Il faudra attendre le 6 décembre pour pouvoir suivre l’itinéraire de son équipe favorite (et les prix des vols associés), après que le tirage au sort de la FIFA ait réparti dans les groupes les 32 pays qualifiés pour le Mondial.

Le Brésil attend 600 000 visiteurs pour cet événement sportif international. Les matchs se dérouleront dans 12 villes, dont Rio, Sao Paulo, Porto Alegre, Manaus ou Brasilia. Pour relier ces destinations dans cet immense pays de 8,5 millions de km2, l’avion s’avère être le seul moyen de transport envisageable.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Le Louvre-Lens fait renaître la cité étrusque de Cerveteri

Le musée du Louvre-Lens s’intéresse à l’art étrusque, notamment à la cité antique de Cerveteri, dont le rayonnement dura plusieurs siècles avant qu’elle ne tomber sous la coupe de Rome en 273 av. J.-C.

Plus de 400 objets (vases peints, coupes, amphores, sarcophages…) sont exposés sur 1800 m2 pour Les Étrusques et la Méditerranée. La cité de Cerveteri. « On a un espace très ouvert, on circule très librement », se félicite Laurent Haumesser, conservateur en chef du Département des antiquités grecques, étrusques et romaines (Dager) du Louvre.

Cerveteri a été redécouverte au XIXe siècle, mais les fouilles ont continué aux XXe et XXIe siècles, et certains objets exposés ont été sortis de terre l’année dernière.

La plupart des vases dans les vitrines de la galerie sont extrêmement bien conservés. « Il y a un état de conservation qui est assez satisfaisant. Tout ce qui relève de l’art funéraire est privilégié puisque les vases sont déposés dans la tombe qui agit comme une sorte de conservatoire », souligne Laurent Haumesser.

« Et pour toutes les pièces qu’on présente il y a des décennies de travail sur la conservation et la restauration. L’emblème, c’est vraiment le sarcophage des Époux », qui date du VIe siècle av. J.-C., ajoute-t-il. Ce sarcophage en terre cuite, représentant un couple allongé, est l’une des pièces majeures de l’exposition.

Le choix chronologique pour l’exposition des oeuvres, principalement du IXe au Ier siècle av. J.-C. « est apparu comme le plus clair pour raconter l’histoire d’une cité. Mais il n’empêche pas une présentation thématique », explique Françoise Gaultier, directrice par intérim du Dager.

« C’est une civilisation qui est un peu absente des manuels scolaires », admet M. Haumesser. Avant d’assurer : « C’est une de ces cultures centrales pour comprendre la Méditerranée antique, il ne faut pas réduire la Méditerranée à Rome et aux Grecs ».

« Cerveteri a joué un rôle particulier comme passeur entre l’Orient, le Proche-Orient et l’Occident. C’était une cité très accueillante, très ouverte aux influences étrangères. Elle a contribué au développement de nos civilisations », renchérit Mme Gaultier.