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10 hôtels révélés au cinéma

Park Hyatt Tokyo et Chateau Marmont
Pour son premier long-métrage, Lost in Translation sorti en 2003, Sofia Coppola a posé sa caméra au Park Hyatt de Tokyo. Sept ans plus tard, elle remet les pieds dans un hôtel réputé, le Chateau Marmont à Los Angeles, et accouche de Somewhere. L’établissement, qui a vu défiler de nombreuses personnalités depuis son ouverture en 1929, reste un lieu cher de la réalisatrice.

Le Grand Hôtel Cabourg
Plusieurs scènes du film Coco avant Chanel (2009) d’Anne Fontaine ont été tournées en Normandie. La réalisatrice a finalement porté son choix sur un établissement réputé de Cabourg : le Grand Hôtel. Sur grand écran, Audrey Tautou déambule dans cet écrin qui avait eu les faveurs de l’écrivain Marcel Proust. L’atout majeur du lieu : ses 70 chambres donnent sur la mer ou les jardins fleuris de la propriété.

Bellagio
À Las Vegas, l’un des hôtels les plus réputés est le Bellagio, notamment grâce à ses fontaines extérieures. L’extravagance du lieu n’a pas échappé aux scénaristes hollywoodiens qui ne manquent pas d’en faire la promotion dans leurs films. De Ocean’s Eleven (2002) à The Hangover (2009), ces derniers participent à faire du Bellagio et de son casino une adresse incontournable de la ville du péché.

Giraffe
Lorsque la journaliste Carrie Bradshaw, campée par l’actrice américaine Sarah Jessica Parker, se faufile chez son grand amour Mister Big, elle se rend à l’hôtel Giraffe sur Park Avenue. Dans le premier volet de la saga cinématographique Sex and the City, l’appartement que celui-ci occupe est en réalité l’une des loges de ce luxueux établissement d’inspiration Art moderne niché au coeur de Manhattan.

Hôtel Fontainebleau
Dans le mythique Scarface de Brian de Palma (1983), Al Pacino joue les gros bras à l’hôtel Fontainebleau de Miami, en Floride. Cet établissement, qui comprend 1500 chambres, avait également attiré l’attention des producteurs de Bodyguard en 1992. Cet hôtel construit en 1954 est signé par l’architecte Morris Lapidus.

Grandhotel Pupp
Si l’agent britannique James Bond, alias Daniel Craig, se retrouve à l’Hôtel Splendide au Monténégro dans Casino Royale (2006), en réalité, c’est bien au Grandhotel Pupp en République Tchèque qu’ont été tournées ces scènes. La bâtisse du 18e siècle, située précisément à Karlovy Vary, comprend aussi bien des chambres contemporaines et design que décorées dans un style traditionnel.

Hôtel Beverly Wilshire
À la fin des années 1980, Julia Roberts et Richard Gere forment un duo étonnant au cinéma dans le film Pretty Woman. L’action se déroule à Los Angeles, notamment à l’hôtel Four Seasons Beverly Wilshire.

Taj Lake Palace
Dans un palais de marbre blanc d’Udaipur du 18e siècle s’élève l’hôtel de luxe Taj Lake Palace qui a servi de décor pour des scènes du James Bond Octopussy en 1983. Le monument qui repose au milieu du lac Pichola a séduit de multiples personnalités : Angelina Jolie, Brad Pitt ou encore Nicole Kidman.

Le Regina
Alors que l’hôtel 4 étoiles Regina à Paris avait d’ores et déjà séduit Luc Besson pour son film mythique Nikita en 1990, l’établissement a également fait les beaux jours de Doug Liman pour The Bourne Identity en 2002. Le Regina a depuis accueilli Les Femmes de l’ombre (2008) de Jean-Paul Salomé ainsi que Chéri (2009) du Stephen Frears.

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Les touristes chinois influent sur les prix des nuits d’hôtel

D’après une étude réalisée par Hotels.com, l’augmentation du nombre de touristes chinois a eu un impact sur les prix des nuitées.

« La hausse massive et rapide du nombre de touristes chinois voyageant à l’étranger est un phénomène qui a eu un énorme impact sur les prix des nuitées », a déclaré David Roche, président de Hotels.com dans un communiqué. Avec 83 millions de séjours réalisés en dehors de la Chine et 102 milliards de dollars dépensés, les voyageurs chinois se révèlent être la première source de visiteurs.

Ce phénomène explique-t-il à lui seul les évolutions des prix dans le monde de janvier à juin 2013, par rapport à l’année précédente sur la même période? Pas seulement si l’on en croit l’étude Hotel Price Index (HPI) réalisée par le site de réservations en ligne. La crise économique de 2008-2009 aurait encore eu des incidences sur le marché européen.

En effet, l’augmentation des prix d’hôtels est restée faible avec 1 %. Mais le fait que « la zone euro ait enregistré une croissance au cours des deux premiers trimestres 2013 est le signe d’une embellie », souligne David Roche.

Les plus fortes hausses ont été constatées en Amérique latine avec +7 %, suivie des Caraïbes avec +5 % et de l’Amérique du Nord avec +3 %. L’Asie est la seule région du monde à avoir connu un recul avec -2 %.

En moyenne, les prix des nuits d’hôtel ont augmenté de 2 % lors du premier semestre 2013, en comparaison à 2012 aux mêmes dates.

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Lisbonne : 5 bonnes raisons pour un City Break

Fraîchement nommée Meilleure destination City Break d’Europe lors de la 20e cérémonie des World Travel Awards, Lisbonne prouve qu’elle reste tendance et attractive. Découvrez les 5 raisons de se rendre dans la ville aux sept collines en cette fin de saison.

Lisbon Week : Du 21 au 28 septembre, la ville lance la deuxième édition de sa Lisbon Week, un événement résolument tourné vers l’art, la musique, l’histoire, la gastronomie, mais aussi l’environnement et l’architecture. À cette occasion, des lieux habituellement fermés au public accueillent des concerts, des expositions, des visites dans les rues de la ville. Un parcours gastronomique a également été élaboré par le chef José Bento Dos Santos. La grande majorité des activités proposées sont gratuites. Site : lisbonweek.com/en/

MUDE : Le Musée de la mode et du design de Lisbonne (MUDE) reste l’un des passages obligés pour tous les passionnés du genre. Depuis le 5 septembre et jusqu’au 26 janvier 2014, le lieu accueille une exposition temporaire à l’entrée gratuite baptisée Objet préféré. Les jeunes artistes du Fabrica Design Team ont travaillé autour de cette thématique proposée par le centre culturel belge Grand-Hornu. De cette réflexion sont nés 15 objets reflets de la créativité de ces talents prometteurs. Site : www.mude.pt

Arc de Rua Augusta : Depuis le 9 août, les badauds peuvent contempler la ville aux sept collines du haut de l’Arc de triomphe de la rue Augusta en accédant au belvédère via un ascenseur. Le monument, rénové et réhabilité, est désormais ouvert au public tous les jours de 9 heures à 19 heures (7 euros l’entrée; gratuit pour les moins de 5 ans). La vue donne sur la place du Commerce, la Baixa Pombalina, la Cathédrale, mais aussi le château de Saint-Georges et le Tage. Pour apprécier des vues panoramiques, les rendez-vous ont lieu également aux Miradors de São Pedro de Alcântara, Santa Catarina, Santa Luzia et de Nossa Senhora do Monte.

LX Expérience : LXFactory prend ses quartiers dans un ensemble industriel du 19e siècle de 23 000 m2 dédié aujourd’hui à la mode, l’architecture, la musique ou encore le design. Le lieu résolument branché comprend également des restaurants et des boutiques pour assouvir ses envies de shopping. L’espace accueille, entre autres, plusieurs collectifs spécialistes de l’art urbain, dont Wool à l’origine du Festival de Covilha. L’idée est de créer des parcours artistiques en ville, de pousser le public à suivre le processus de création et à organiser des conférences et des ateliers. Site : www.lxfactory.com/EN/

Centre culturel de Belém : Le quartier de Belém fait partie des incontournables lors d’une virée à Lisbonne. Les badauds ne manquent pas de visiter le Monastère — qui abrite entre autres le musée de la Marine — ou encore la fameuse Tour de Belém. Les 14 et 15 septembre, ils marqueront peut-être un arrêt au Centre culturel qui s’apprête à accueillir l’Opéra de Pékin, mais aussi la 27e édition du Young Musicians Prize Festival du 26 au 28 septembre. Et si ces rendez-vous ne suffisent pas, les Docks, deuxième site des nuits lisboètes, proposent une large offre de discothèques, de restaurants et de bars tendance pour passer de bonnes soirées. Sites : www.ccb.pt, www.belembarcafe.com

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Brésil : les vacanciers moins intéressés par l’hôtellerie traditionnelle

Si la tendance actuelle venait à se confirmer, les personnes qui se rendront au Brésil pour la Coupe du Monde de football de 2014 pourraient bien plébisciter les modes d’hébergement alternatifs afin de contourner l’hôtellerie et ses prix exorbitants.

Une étude récente commandée par le ministère brésilien du Tourisme (Embratur) montre que ces dernières années, les réservations d’auberges de jeunesse, de camping, d’appartements et de maison avaient gagné 6% au Brésil, pour représenter 17% du marché total de l’hébergement touristique, comme le rapporte la revue spécialisée eTurboNews. L’hôtellerie garde tout de même 51% de part de marché.

La recherche d’hébergement alternatif s’accroît alors que l’industrie hôtelière brésilienne est pointée du doigt parce qu’elle est accusée de gonfler ses prix pendant la Coupe du monde de la FIFA, jusqu’à 500%, ce qui pourrait fortement nuire à la réputation touristique du pays et décourager les touristes étrangers à faire le déplacement.

Il est conseillé aux personnes qui souhaitent se rendre au Brésil pour cette grande compétition internationale de réserver dès à présent, maintenant que la Coupe des Confédérations et que les Journées Mondiales de la Jeunesse sont terminées.

Selon le quotidien anglophone The Rio Times, de nombreux propriétaires proposent déjà leurs appartements à la location et se présentent comme une alternative plus spacieuse et parfois moins onéreuse.

Pour aider les amateurs de football à se loger à travers le Brésil, la FIFA a mis en place un site dédié à la location de chambres d’hôtel (hotels.fifa.com), et les sites de location d’appartements et de maison Homeaway et Roomorama.com proposent déjà des adresses partout dans le pays, pour l’événement qui se déroulera du 12 juin au 13 juillet 2014.

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Les compagnies aériennes se plient en quatre pour les enfants

Les enfants dans les transports en commun ont mauvaise réputation, et cela ne date pas d’aujourd’hui. Pour faire face à de potentielles nuisances sonores, on apprenait fin août que la compagnie aérienne à bas prix Scoot, filiale de Singapour Airlines, avait créé une zone ScootinSilence à bord de ses appareils, un espace interdit aux bruits et aux moins de 12 ans. Si le rapprochement entre le calme et l’absence de petites têtes blondes n’est pas mis en avant, il reste suggéré.

Les enfants et leurs parents sont-ils persona non grata en vol? Rien n’est moins sûr. Japan Airlines leur dédie son nouveau service Family Friendly pour tenter d’apaiser les tensions. Sur certains long-courriers, quatre sièges de la classe économique à l’arrière de l’avion seront réservés dès le 1er octobre aux parents désireux de canaliser un enfant un tantinet trop agité.

Du côté de la compagnie dubaïote Etihad Airways, on mise sur le service Flying Nanny pour apaiser les plus petits. 300 membres d’équipage ont déjà suivi une formation en Angleterre pour devenir des super-nounous de l’air. 60 autres personnes doivent rejoindre ce corps d’élite courant septembre. Et d’ici fin 2013, leur nombre devrait atteindre 500.

Leurs missions : occuper les enfants avec des ateliers créatifs comme le pliage d’origamis et la confection de marionnettes. Mais aussi assister les parents pour les aider, par exemple, à endormir leurs bambins.

Air France, quant à elle, transporte chaque année 2,7 millions d’enfants à bord de ses avions, dont 490 000 bébés. Elle développe une politique pour accompagner les familles, et cela avant même le décollage. Aux Aaéroports de Paris, des poussettes sont mises à disposition après le passage du filtre de police pour permettre aux parents de rejoindre plus facilement les portes d’embarquement. En collaboration avec la marque Babyzen, la compagnie commercialise la poussette Yoyo qui se plie aux dimensions d’un bagage accepté en cabine. 

À bord, les repas des enfants sont servis en premier quand des jeux — en fonction de leurs âges — leur sont distribués. Le personnel au sol et dans les airs est également formé pour rendre le voyage ludique. La compagnie a également en projet la refonte des pages « Famille » de son site internet pour présenter son offre de façon plus claire et lisible.

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Destinations : sur les traces de la princesse Diana

Le 2 octobre, les salles obscures donnent rendez-vous aux spectateurs pour découvrir le nouveau long-métrage d’Olivier Hirschbiegel, un biopic retraçant l’histoire d’amour de la princesse Lady Di avec le chirurgien cardiaque Hasnat Khan. L’action qui se déroule aussi bien à Londres que dans la campagne anglaise, invite les badauds à marcher dans les pas de Diana, incarnée à l’écran par l’Australienne Naomi Watts, dans l’univers feutré d’un club de jazz jusqu’aux salons des opéras en passant par un week-end nature dans l’East Sussex.

À Londres, les lieux marqués de l’empreinte de la princesse Diana ne manquent pas. Les gens qui souhaitent marcher dans ses pas peuvent se rendre à Kensington Palace où elle a longuement vécu, dans les jardins adjacents au palais où le Memorial en son honneur a été inauguré en 2000 ou encore dans le quartier de Knightsbridge où elle avait ses petites habitudes pour du lèche-vitrine ou un déjeuner au restaurant italien San Lorenzo.

À l’occasion du film Diana, le public découvrira probablement de nouveaux lieux associés à la princesse des coeurs. En effet, le tournage de ce long-métrage a mené les équipes aussi bien dans un club de jazz qu’à l’opéra en passant par des virées dans la campagne anglaise.

Ronnie Scott’s
La rumeur veut que la princesse Diana se coiffât d’une perruque brune pour rejoindre en toute discrétion le Dr Hasnat Khan dans ce club de jazz londonien ouvert 7 jours sur 7. Jusqu’à 3 heures du matin (minuit les dimanches), les passionnés de musique viennent écouter du jazz afro-cubain, du jive ou encore du funk. Site : www.ronniescotts.co.uk/

Royal Albert Hall
En tant que marraine du English National Ballet, la princesse Diana, qui était aussi une passionnée de la discipline, assistait régulièrement aux représentations données au Royal Albert Hall. La prestigieuse compagnie, qui vient d’annoncer la venue de six nouveaux danseurs, sera à l’affiche de la mythique salle de spectacles du 11 au 22 juin 2014 avec le ballet Roméo et Juliette. Site : www.royalalberthall.com

Royal Opera House
À l’occasion d’un gala de charité – reproduit dans le film -, la princesse Diana s’est rendue au Royal Opera House, une institution qui programme aussi bien opéras que ballets. Du 23 septembre au 12 octobre, le lieu présente notamment le spectacle Elektra, l’un des chefs-d’oeuvre de Richard Strauss. Site : www.roh.org.uk/news

Beachy Head
Au sud du parc national South Downs, l’équipe du film Diana a été aperçue à Beachy Head, où les falaises de craie sont reconnues pour être les plus hautes de Grande-Bretagne. C’est dans ce cadre que certaines scènes romantiques ont donc été tournées. En plus de roucouler sur la plage, d’autres activités attendent les visiteurs, comme la découverte du phare ou encore du Countryside center pour en apprendre plus sur l’histoire et la géologie de la région. Beachy Head attire également les touristes sportifs. Chaque année, en octobre, la ville accueille un marathon populaire au Royaume-Uni. Site : www.southdowns.gov.uk/

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L’hôtel Fabric : nouvelle adresse du design industriel à Paris

Le nouvel hôtel 4 étoiles, situé entre République et Bastille, affiche un design industriel revendiqué, faisant référence avec élégance et raffinement au passé ouvrier et populaire du quartier de Ménilmontant.

C’est dans le chic mais non prétentieux 11e arrondissement de Paris que l’hôtel Fabric a pris ses quartiers, rue de la Folie-Méricourt. Il prend place au numéro 31 dans un ancien atelier typique de ce quartier autrefois ouvrier. L’architecte Vincent Bastie, épaulé des décorateurs Agnès Louboutin et Patrice Henry, s’est d’ailleurs largement inspiré de la mémoire de ces rues pour l’aménagement de cet établissement.

Les structures métalliques, les grandes fenêtres à carreaux, les colonnes apparentes, mais aussi les murs de briques et les matériaux bruts rappellent les racines du style industriel. Un univers exploité dans chaque espace de cet hôtel ouvert au public depuis début juillet et officiellement inauguré le 23 septembre prochain.

Les 33 chambres (à partir de 153 euros la nuit) se révèlent graphiques, et les salles de bain sublimées par des carreaux de ciment. Le buffet du petit-déjeuner récupéré dans une mercerie vosgienne, le meuble à clapet restauré dans la réception ou encore les divers objets de décoration chinés dans les brocantes de la voisine rue Popincourt participent à donner un certain cachet à cette nouvelle adresse parisienne.

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Exposition AD Intérieurs : un hôtel parisien du XVIIe siècle transformé en haut lieu de la décoration

L’Enclos des Bernardins à Paris accueille du 7 au 22 septembre l’exposition AD Intérieurs. Pour cet évènement, 15 décorateurs connus mondialement pour leur travail ont transformé pièce par pièce cet hôtel particulier autour du thème de la métamorphose, offrant ainsi un véritable écrin design qui se veut à la fois artistique et fonctionnel. 

C’est dans le 5e arrondissement de Paris, derrière la façade classique de l’Enclos des Bernardins, un hôtel du XVIIe siècle, que le magazine de décoration AD a donné carte blanche à ses 15 décorateurs responsables d’un relooking pour le moins étonnant.

Bureaux, boudoirs, chambres, salons ou jardins, à chaque pièce son artiste. Et chacun y appose sa griffe autour d’une thématique choisie, qui permettra aux visiteurs de déambuler dans un lieu avant-gardiste, sans pour autant perdre de vue l’aspect pragmatique qu’un toit se doit d’offrir à ses hôtes.

Le public pourra donc admirer « le bureau enchanté » de Maria Pergay pour Fendi, « la chambre du Petit Prince » conçue par Vincent Darré, « le salon-salle à manger mythologique » signé Bruno Moinard ou encore « le jardin en reflets » imaginé par Chahan Minassian, parmi tant d’autres salles réinvesties en chefs-d’oeuvre du design.

L’exposition AD Intérieurs 2013 sera présentée au public du 7 au 22 septembre, tous les jours de 11 h à 19 h.

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Disneyland pris d’assaut par 200 riders

L’association Pari Roller invite les randonneurs à participer à une sortie dans les rues de Paris le 6 septembre. Une semaine plus tard, c’est à Disneyland que l’on retrouvera ces 200 patineurs qui auront l’occasion de rouler de nuit au sein du parc privatisé.

La nouvelle saison des randonnées parisiennes organisées par l’association Pari Roller démarre sur les chapeaux de roue. Le 6 septembre, elle convie les riders à participer à son événement de rentrée, en partenariat avec le parc d’attractions Disneyland Paris.

La course étant limitée à 200 personnes, les premiers arrivés vers 21 h sur la place Raoul Dautry dans le 14e arrondissement seront les premiers servis. Ils recevront des oreilles de Mickey lumineuses qui leur ouvriront les portes du célèbre parc la nuit du 13 septembre. Celui-ci sera par ailleurs privatisé pour l’occasion.

Toujours rollers aux pieds, les coureurs pourront découvrir le lieu ainsi que le spectacle Disney Dreams.

Malgré son aspect très urbain, ce sport, qui compte 50 millions de passionnés à travers le monde, se pratique bien au-delà des villes. La Fédération française de roller sports (FFRS) et les « Rando Verte Roller » donnent rendez-vous au public en pleine nature d’avril à octobre. Pour la cinquième édition, douze manifestations ont été programmées avec des niveaux de difficulté allant de « patineurs débrouillés » à « experts ».

Les deux dernières de l’année emmèneront les randonneurs en Champagne et sur la Côte d’Azur.

Le 6 octobre, c’est autour du lac du Der que 300 patineurs — familles, clubs, association — sont conviés à prendre part gratuitement à la dixième édition de la Roll’Der. Quand le 13 octobre, les pros de la glisse traverseront le village de La Londe avant de terminer leur course sur la plage de la Fossette au Lavandou dans le Var.

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Journées européennes du patrimoine : 10 visites inédites en France

À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, les visiteurs auront accès à de nombreuses merveilles culturelles en France. Chaque année, de nouveaux lieux chargés de trésors à découvrir s’embarquent dans l’aventure lors de ces deux jours exceptionnels. Une occasion pour le public de franchir une porte habituellement close ou de déceler des joyaux insoupçonnés au fil de ces visites inédites. Voici une sélection de 10 lieux qui ouvriront leurs portes pour la première fois les 14 et 15 septembre prochains.

Europe 1 (Paris) : La célèbre station de radio, carrefour historique et deuxième fréquence la plus écoutée en Ile de France, proposera pour la première fois au public de découvrir ses locaux et son fonctionnement, à travers plusieurs ateliers d’initiation au journalisme radio pour adultes comme pour enfants. Site : www.europe1.fr.

Les 100 ans de patrimoine roulant de la RATP (Ile-de-France) : Uniquement pour les Journées du patrimoine, la RATP réinvestira une ancienne gare de triage des années 1900 en banlieue parisienne pour exposer près d’un siècle de l’histoire des transports avec la présentation de bus à plateformes et à étages, de rames de métro en bois, du Sprague (premières rames en métal de Paris), des voitures de la ligne Nord-Sud, jusqu’aux rames de RER modernes. Les visites de 1 h 30 seront guidées pour comprendre l’évolution esthétique et technique des machines qui nous convoient depuis 100 ans. Site : www.ratp.fr.

La Fondation du doute (Centre) : Ce lieu rassemble sur près de 1500 m² quelque 300 oeuvres de 50 artistes pour illustrer le questionnement autour de l’art, ses limites et son caractère vivant. Des visites guidées sur le thème de l’humour et du happening sont proposées aux visiteurs ainsi qu’une projection Pour la protection de la grimace, patrimoine de l’humanité répertoriant des grimaces d’enfants. Site : www.fondationdudoute.fr.

L’Opéra-Théâtre de Clermont-Ferrand (Auvergne) : Après deux ans de rénovations, l’opéra-théâtre à l’italienne de Clermont-Ferrand fêtera sa réouverture lors des Journées européennes du patrimoine, avant même son inauguration les 20 et 21 septembre. Les visiteurs pourront admirer le travail de plusieurs artistes ayant contribué à redorer ce monument chargé d’histoire. En exclusivité, trente visiteurs pourront même assister à un spectacle-promenade qui les entrainera dans les coulisses réservées aux artistes et aux techniciens, des combles au plafond. Site : www.clermont-fd.com.

La maison natale de Victor Hugo (Franche-Comté) : Située sur la place qui a vu grandir Gustave Courbet et naitre Charles Nodier et les frères Lumières, la maison natale de Victor Hugo inaugurera le 13 septembre sa transformation en musée. Les visiteurs pourront découvrir une scénographie qui illustre les combats et les engagements de l’écrivain, penseur et poète au court de visites libres et commentées. Site : www.besancon.fr.

La chapelle Saint-Nicolas d’Harambels (Aquitaine) : À l’issue d’importants travaux de restauration, cette chapelle d’apparence rustique dans un style roman cache un intérieur très riche datant du XVIIe siècle dans lequel les visiteurs pourront admirer des voûtes lambrissées, des peintures, un retable monumental ou encore des tribunes à balustres. La chapelle Saint-Nicolas fut classée monument historique en 2001. Site : www.patrimoine-de-france.com.

Le château de Chambly (Picardie) : Le château de Chambly est un domaine privé de 140 hectares datant du XIXe siècle, comprenant un bâtiment monumental orné de colombages typiques de la région, un grand haras et ses écuries ainsi qu’une chapelle. Habituellement fermé au public, le château autorisera les visites libres et proposera des démonstrations de techniques et savoir-faire. Site : www.chateau-chambly.com.

Les mines d’argent de Tellure (Alsace) : Depuis le Xe siècle et pendant 1000 ans, les mines d’argent ont été exploitées dans le massif minier du Neuenberg, classé monument historique depuis 2004. Pour les 30es Journées européennes du patrimoine, le public sera guidé par une troupe de comédiens et un conférencier pour retracer la vie des mineurs au XVIe siècle. Site : www.tellure.fr.

La cité du vitrail (Champagne-Ardenne) : La cité du vitrail permet d’appréhender le patrimoine vitré de l’Aube du Moyen-âge à nos jours à travers des installations au sein de l’Hôtel-Dieu-le-Comte et d’une frise chronologique et interactive dans la chapelle voûtée permettant de projeter aux murs quelque 50 vitraux lors de visites libres et guidées. Site : www.cite-vitrail.fr.

L’enceinte de la muraille gallo-romaine de Chalon (Bourgogne) : Face à l’instabilité croissante des provinces romaines à l’époque du Bas-Empire, l’antique ville de Chalon-sur-Saône se dota d’une enceinte pour se protéger. Elle est longue d’environ 1,3 km et comporte plusieurs tours circulaires renfermant quelques bases antiques encore visibles aujourd’hui. Un guide conférencier assurera les visites de l’enceinte. Site : www.chalon-sur-saone.net.