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Le calligraphe Seihaku Akiba dévoile sa chambre Zen au Park Hotel de Tokyo

Dans le cadre de Artist in Hotel, l’établissement a confié quatre de ses chambres à quatre artistes japonais pour qu’ils les transforment en véritables œuvres d’art.

L’art fait partie intégrante de la philosophie véhiculée par le Park Hotel situé dans le quartier de Shiodome, à Tokyo, au Japon. L’établissement 4 étoiles a développé le concept Art Colours afin d’initier le public à la culture nippone. Il propose ainsi, tout au long de l’année, une multitude de rendez-vous dans son atrium, son restaurant ou encore ses chambres.

Si jusqu’au 1er septembre, les visiteurs peuvent contempler les créations de l’exposition Yokai Tour, dédiée aux phénomènes étranges, ils sont également invités à dormir dans une véritable œuvre d’art. La chambre Zen, réalisée par l’artiste Seihaku Akiba, est ainsi offerte à la réservation depuis le 1er août. Le calligraphe, qui travaille généralement autour de la thématique de la prière, vient de donner ses derniers coups de pinceau dans le cadre du projet Artist in Hotel.

Au total, quatre chambres sont destinées à être transformées. Sumo de Hiroyuki Kimura, qui met à l’honneur les célèbres lutteurs japonais, accueille déjà des visiteurs depuis février 2013. Concernant les deux autres chambres, à découvrir en novembre 2013 et février 2014, les noms des artistes ainsi que les thématiques développées n’ont pour l’heure pas encore été révélés.

Site : www.parkhoteltokyo.com.

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TripAdvisor va lancer une plate-forme pour hôtels indépendants et chambres d’hôtes

Le site internet de conseils entre voyageurs TripAdvisor a annoncé jeudi (1er août) un partenariat avec 210 moteurs de recherche pour le lancement d’une nouvelle plateforme, TripAdvisor Connect, destinée aux hôtels indépendants et chambres d’hôtes.

Cette plateforme doit être lancée « cette année », indique TripAdvisor dans un communiqué, sans autre précision.

« L’engagement de ces systèmes de réservation en ligne signifie que plus de 135 000 hôtels indépendants et chambres d’hôtes dans le monde pourront bénéficier du moteur de comparaison des prix sur TripAdvisor », indique le groupe.

Les 210 signataires représentent 48 pays, selon TripAdvisor.

Pour Jay Karen, le patron de PAII (Professional Association of Innkeepers International), cette initiative constitue « un grand pas en avant ». Selon lui, il semblerait que « des millions de visiteurs de TripAdvisor » passent « à côté » d’offres de chambres d’hôtes lorsqu’ils font leurs recherches par date de séjour, « en raison du manque de connectivité de notre industrie ».

TripAdvisor va « diviser en trois » l’offre que les systèmes de réservation peuvent fournir à leurs clients.

TripAdvisor Connect permettra aux hôtels et chambres d’hôtes de profiter du service d’affichage du trafic de TripAdvisor.

Avec TripAdvisor Connect Plus, ils auront en plus un rapport automatique de commentaires, qui sera intégré à la plateforme.

Et TripAdvisor Connect Premium apportera en sus un compte-rendu d’activité pour mesurer le retour sur investissement.

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Agritourisme : quand les agriculteurs partagent leur univers avec le grand public

3 % des agriculteurs s’adonneraient à l’agrotourisme (chiffre de 2010 du ministère de l’Agriculture), c’est-à-dire qu’ils mèneraient une activité touristique complémentaire. Ces formules permettent souvent aux voyageurs de prendre part aux tâches quotidiennes de la ferme. Au menu : traite des vaches, conduite des troupeaux, labours ou même moisson.

En mode ferme bio
La ferme bio de Salins-les-Bains, à 650 mètres d’altitude, ouvre ses portes au public pour des séjours découvertes. Les visiteurs sont conviés par les propriétaires à mettre la main à la patte. Les novices participent à nourrir et soigner les animaux, assistent à la traite des vaches ou aident à donner la tétée des petits veaux. L’hébergement a lieu dans une bâtisse respectueuse de l’environnement : l’eau chaude sanitaire est produite à partir de panneaux solaires quand des panneaux photovoltaïques en toiture fabriquent de l’électricité. Site : www.jura-tourisme.com

À la découverte des escargots
C’est en Haute-Normandie que Sandrine Thierry convie le public à découvrir l’élevage des gastéropodes dans sa ferme aux escargots. La visite d’une heure (4 euros par adulte et 2 euros pour les 4-14 ans) comprend un passage à l’atelier de reproduction, à l’écloserie à la pouponnière et au parc de croissance. L’hébergement s’effectue chez l’agricultrice qui dispose de deux chambres certifiées trois épis aux Gîtes de France. Site : www.fermeauxescargots.com

Sur les traces des alpagistes
Alpage en fête aura lieu le 7 août au lac de l’Arpettaz, dans la vallée d’Aigueblanche, en Savoie. Pour cette nouvelle édition, le public est invité à rencontrer les éleveurs de la région et à découvrir leurs spécialités autour d’animations. Un maître fromager partagera les secrets de fabrication du Beaufort quand les visiteurs pourront également s’initier à la traite des vaches avec les alpagistes, le tout en musique puisqu’un duo d’accordéonistes sera aussi de la partie.
Site : www.valmorel.com

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Échange 3 pièces parisien contre maison en Californie : le troc pour les vacances a la cote

Troquer sa maison normande contre une villa californienne, c’est possible. L’échange d’appartements et de maisons, le temps des vacances, est même une formule en plein essor, sous l’effet de la crise et du développement d’internet. Plus de 150 000 trocs de maisons et appartements sont attendus dans le monde en 2013.

La pratique est née dans les années 50, dans les milieux universitaires aux États-Unis. « Pas étonnant : les Américains sont très mobiles et ont peu de lien affectif avec leur logement », relève Josette Sicsic, spécialiste des comportements touristiques.

Le phénomène a ensuite gagné l’Europe. « Il a été fortement dynamisé avec l’arrivée d’internet à la fin des années 90, qui a permis de diffuser en ligne les annonces. Et ces dernières années, la crise a joué comme accélérateur », note Mme Sicsic.

Le numéro un mondial HomeExchange, né en 1992, revendique 75 000 échanges en 2012 et en prévoit jusqu’à 90 000 en 2013 entre ses 47 000 membres, via une quinzaine de sites dont TrocMaison. HomeLink, né en 1953, a enregistré 35 000 échanges l’an dernier.

Certains sites sont spécialisés, comme LoveHomeSwap, qui donne dans les maisons de prestige. Tous se rémunèrent grâce aux frais d’adhésion. Pas de commissions prélevées sur les trocs puisque ceux-ci sont gratuits.

« Les locataires peuvent aussi échanger. Ce n’est pas une sous-location », précise Alexandra Origet du Cluzeau, directrice de la communication de HomeExchange.

Les champions de cette pratique sont les Américains. Suivent dans l’ordre les Français, les Espagnols, les Canadiens et les Italiens, selon une étude récente de l’Université de Bergame (Italie).

La motivation première est d’éviter une dépense, mais il y en a d’autres, comme la recherche d’une expérience culturelle authentique et conviviale.

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Le tourisme catastrophe : 5 endroits incontournables

La Nouvelle-Orléans, ravagée par l’ouragan Katrina, le Rwanda, meurtri par un génocide, ou encore le Japon, touché par la violence d’un tsunami, demeurent des destinations touristiques en vogue. L’histoire des catastrophes qu’elles ont essuyées attire de nouveaux voyageurs.

La Nouvelle-Orléans
1464 morts. 80 % de la ville inondée. Des milliards de dollars de dégâts. Voici le triste bilan enregistré par La Nouvelle-Orléans, en Louisiane, après le passage de l’ouragan Katrina, en août 2005. Cette destination, connue pour son jazz, son Gumbo (plat traditionnel composé de riz, fruits de mer, épices, légumes baignant dans une sauce) et son fleuve Mississippi, a de nouveau croisé des voyageurs rapidement après la catastrophe. En 2007, 70 % des touristes étaient de retour. Désormais, entre les visites du quartier français, le musée vaudou et le musée dédié à la Seconde Guerre mondiale se sont glissés des Katrina Tour à bord de bus. Les passagers découvrent notamment les quartiers fortement touchés par la catastrophe.

L’est du Japon
Le 11 mars 2011, la ville portuaire de Rikuzentaka, au nord-est du Japon, a été ravagée par un tsunami, né au large de l’océan Pacifique à la suite d’un séisme. Les eaux se sont engouffrées dans la cité, faisant plus de 300 victimes et laissant derrière elles le chaos. Au milieu de cette scène apocalyptique, un seul pin de 27 mètres de haut est resté debout, parmi une forêt initialement composée de 70 000 arbres. Mais ce miraculé n’a finalement pas résisté. Il a cependant été reconstitué grâce à un budget de 2 millions de dollars. Ce symbole de la ville déplace désormais les touristes.

Le Rwanda
Si le Rwanda se révèle une destination du tourisme d’aventure avec ses randonnées, ses safaris ou encore ses parcs nationaux, le pays fait également partie des destinations de référence du tourisme catastrophe en raison du génocide qui a causé la mort de 800 000 personnes en 1994. Plusieurs sites commémoratifs, à l’instar du Jardin mémorial du génocide de Gisozi à Kigali, ont intégré les parcours touristiques organisés par les voyagistes.

Tchernobyl
La zone interdite de Pripiat, située à quelques kilomètres de la centrale nucléaire de Tchernobyl, fait figure de site touristique. Le voyage d’une journée dans le périmètre de sécurité — les lieux décontaminés — permet d’approcher le fameux réacteur 4 qui est entré en fusion le 26 avril 1986. Ici, il est interdit de s’éloigner du guide et de ramasser ou de toucher quoi que ce soit.

L’île du Giglio
Le 13 janvier 2012, le paquebot Costa Concordia s’est abîmé sur l’île du Giglio, située dans l’archipel toscan. 32 personnes ont trouvé la mort dans le naufrage de ce bateau de 114 500 tonnes. Pourtant, en juillet 2012, 80 000 personnes se sont rendues sur l’île pour voir l’épave de 290 mètres de long. Cette année-là, la commune a enregistré une augmentation de 30 % de sa fréquentation. Le site attirera-t-il toujours les touristes lorsque l’épave aura été remorquée? Événement prévu pour septembre prochain.

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Le Laura Ashley Manor Hotel ouvre à 20 minutes de Londres

La marque d’ameublement britannique Laura Ashley, connue pour ses imprimés floraux, est devenue la nouvelle maison de design à entrer sur la scène hôtelière avec un hôtel-boutique dans la campagne anglaise.

À une vingtaine de minutes de Londres en train, Laura Ashley Manor Hotel à Elstree dans l’Hertfordshire s’étend sur près de cinq hectares. L’hôtel pourrait être décrit comme le cottage anglais parfait et luxueux : les clients pourront séjourner dans une maison à colombages style Tudor du XVIe siècle avec une façade couverte de rosiers grimpants typiques d’un jardin anglais, un étang et des bois sur la propriété. 

L’ouverture de l’hôtel marque les 60 ans de la marque.

Anciennement connue sous le nom Edgwarebury Hotel, la propriété a déjà été utilisée comme décor de tournage pour Sophia Loren.

Les terrains de tennis ont été transformés en un échiquier géant qui accueille les visiteurs à leur arrivée et sur lequel on peut jouer de vraies parties d’échecs. Une tonnelle de roses est idéale pour des photos de mariage parfaites, et un joli jardin permet de boire un thé à quatre heures sur la pelouse.

S’il fait beau, les clients pourront même apercevoir le Canary Wharf & Docklands, The Sard, la BT Tower et le Wembley Stadium à Londres.

L’hôtel-boutique dispose de 49 chambres décorées par les articles des collections Laura Ashley Home, un restaurant, un bar et des lieux pour les mariages, les réceptions et les conférences.

Chaque chambre dispose d’un téléviseur HD et du WiFi gratuit, et le restaurant Cavendish sert un mélange intéressant de cuisines anglaise et malaisienne.

Laura Ashley n’est pas la première marque de design à se lancer dans le monde de l’hôtellerie : les maisons Missoni, Armani et Versace ont également des hôtels à leur nom.

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L’Espagne, bientôt numéro 1 du tourisme de santé en Europe?

Devenir le chef de file du tourisme de santé, l’Espagne y songe sérieusement. Et le pays ne fait pas que tergiverser sur la question.

D’après Ubifrance, cinq associations espagnoles de santé et de tourisme viennent de s’allier pour former un pôle de compétitivité dans le domaine du tourisme de santé. L’objectif est clair : attirer les patients dans leurs centres de soins ainsi que dans leurs infrastructures touristiques. Ce marché, qui représente déjà un chiffre d’affaires de 191 millions de dollars pour l’Espagne, pourrait du coup passer à 683 millions de dollars.

Sur ce segment, la France a elle aussi de belles cartes à jouer. Elle compte parmi les destinations thermales phares en Europe. On y recense une quarantaine d’instituts de thalassothérapie et une centaine d’établissements thermaux, qui accueillent chaque année environ 550 000 curistes. Depuis quelques années, elle doit toutefois faire face de plus en plus à cette concurrence venue des pays du sud.

Thermalisme à Orense
La ville d’Orense, en Galice, est considérée comme une référence en thermalisme grâce à ses eaux aux propriétés curatives. Plusieurs centres, proposant massages, hydrothérapie ou encore traitement antistress, y sont établis. Site : www.balneariosdegalicia.com.

Bains de boues naturelles
La station thermale El Raposo, située à Puebla de Sancho Pérez, dans la région de Badajoz, est spécialisée dans les soins de bains de boues naturelles, appliqués entre autres pour les traitements rhumatologiques. Massages thérapeutiques, douches d’aromathérapie ou encore étuves de vapeur figurent également à la carte du centre qui jouxte un hôtel trois étoiles. Site : www.balneario.net.

Cure en boutique hôtel
La boutique hôtel Île de la Lagune, à Saint-Cyprien, dans le Languedoc-Roussillon, est équipée d’un spa, mais également d’un centre de thalassothérapie. L’établissement propose des cures à la demi-journée ou à la semaine comprenant modelage et soins individuels. Une série de prestations à la carte est également délivrée au sein du centre. Pour remédier aux jambes lourdes, il propose notamment une séance de 25 minutes de pressothérapie. Site : fr.hotel-ile-lagune.com.

L’expérience somato-relaxologie
Pour bénéficier d’une séance de somato-relaxologie en Charente-Maritime, le rendez-vous a lieu au Thalazur de Royan, l’un des cinq centres du Club Thalasso (Escale Thalasso-Spa à La Rochelle, Relais Thalasso de Sainte-Marie-de-Ré, Thalassa Sean & Spa de l’Île d’Oléron et Thalasso Relais & Château à la Flotte-en-Ré). Il s’agit d’un modelage du corps de 52 minutes pour réapprendre à être à l’écoute de son corps.

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Que faire à l’occasion du 100e anniversaire de la Petite Sirène danoise

Le Danemark s’apprête à célébrer le centenaire de la Petite Sirène de Copenhague, une sculpture inaugurée le 23 août 1913. L’événement peut être l’occasion de se rendre dans la capitale danoise qui ne manque pas de manifestations culturelles.

Si Paris a pour symbole la tour Eiffel, la ville de Copenhague, au Danemark, est associée à la statue d’une sirène trônant sur un rocher dans le port. Celle-ci, qui n’est autre que la personnification de l’héroïne du conte de fées de l’écrivain Hans Christian Andersen, s’apprête à souffler ses 100 bougies.

À cette occasion, des sirènes hautes en couleur faites de chair et d’os partiront à la rencontre du public à dès le 23 août et jusqu’au 6 septembre. Elles donnent rendez-vous aux curieux dans plusieurs villes européennes et internationales, telles Hambourg, Amsterdam, Londres, Oslo, Rome, Beijing, Shanghai, Stockholm, Sydney et Tokyo. Une sirène passera également par Paris, à la Maison du Danemark, située sur les Champs-Élysées.

Copenhague reste elle aussi attrayante. Pour cause, à la même période, elle accueille plusieurs manifestations, dont un festival de la gastronomie et une foire d’art contemporain. 

Copenhague Cooking
Du 23 août au 1er septembre, la capitale danoise accueille Copenhague Cooking, un festival gastronomique mettant à l’honneur la nouvelle cuisine nordique. Au programme de cet événement, on compte des ateliers pour enfants, de grandes tablées installées le long des canaux pour partager un moment de convivialité ou encore la dégustation de hot-dogs gourmets chez DØP. Site : www.copenhagencooking.com.

Foire d’art contemporain
Du 30 août au 1er septembre aura lieu la Foire d’art contemporain de Copenhague, au Forum. Plus de 57 galeries présenteront leur travail aux visiteurs. Cette rencontre annuelle reste l’un des meilleurs moyens pour les passionnés d’art contemporain de se tenir au courant de l’actualité de la scène danoise. Site : artcopenhagen.dk/.

Le quartier des musées
Inauguré en mars 2013, le Parkmuseerne, alias le quartier des musées, de Copenhague abrite plusieurs institutions culturelles de la ville, à l’image de la Galerie Nationale danoise, du musée d’histoire naturelle du Danemark, de la Collection David, du château de Rosenborg, de la Collection Hirschsprung, etc. Pour passer d’un musée à l’autre, les visiteurs déambulent près du Jardin botanique, du jardin royal et du Østre Anlæg. Site : www.parkmuseerne.dk.

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Tourisme créatif : une tendance qui a la cote

Depuis 2010, la ville de Paris envisage de se positionner parmi les chefs de file du tourisme créatif. Avec Rome et Barcelone, elle est même à l’origine d’un réseau international baptisé Creative Tourism Network.

En décembre 2012, la capitale française a tenu un colloque sur la question en présence de spécialistes comme Greg Richards, professeur d’étude du loisir à l’Université de Tilburg, aux Pays-Bas. Celui-ci a constaté que le tourisme culturel représentait jusqu’à 40 % des voyages touristiques internationaux. Pourtant, il a souligné que les touristes ont également « besoin de ressentir une expérience, c’est-à-dire de sentir, goûter et toucher la culture ». Afin d’orienter ce nouveau public, plusieurs initiatives ont vu le jour, dont la création de points info sur le web.

À Paris
Afin de promouvoir l’offre artistique à Paris et sa région, le site www.creativeparis.info a été lancé dès février 2012. Il recense les stages et ateliers en gastronomie, mode, danse, chant ou même art du jardinage pour découvrir la capitale de manière différente. Jusqu’en octobre 2013, il est par exemple envisageable de s’inscrire à des cours de cuisine gratuits donnés sur les marchés de Paris. En septembre, ces derniers auront lieu notamment sur le marché Saint-Honoré, dans le premier arrondissement. Une inscription préalable est nécessaire sur ffcuisineamateur.org.

À Biot
Située entre Cannes et Nice, la ville de Biot se targue d’être, après Paris, la deuxième destination creative friendly française. Avec sa vingtaine de créateurs qui ouvrent volontiers leurs portes au public, la cité veut miser sur un tourisme participatif. Reconnue pour son savoir-faire dans le domaine du verre, Biot compte plusieurs maîtres-verriers désireux de partager avec les visiteurs cette tradition. Les ateliers d’art de Didier Saba, Antoine et Pierre Pierini ou encore de la verrerie de Biot restent accessibles aux touristes. Site : www.biot-tourisme.com.

À Barcelone
C’est à Barcelone qu’a eu lieu la conférence inaugurale du Creative Tourism Network, en décembre 2010. À l’instar de Paris, la ville a également lancé depuis le site www.barcelonacreativa.info pour orienter les touristes en quête de nouvelles expériences. Si ces derniers peuvent suivre des cours de danse et de mosaïque grâce aux divers ateliers référencés, ils sont également invités à la méditation, au yoga, à la sculpture ou encore à la peinture à l’atelier L’Estudi d’Arts, un centre de formation et de création artistique ouvert au public. Des stages au milieu des bois, dans la région de Girone, sont également proposés aux plus intéressés.

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Les grands aquariums suscitent l’intérêt du public

Alors que L’Océarium de Croisic s’apprête à accueillir son 6 millionième visiteur, plusieurs parcs débloquent des fonds pour améliorer leurs installations et s’attirer les faveurs des touristes.

En août, l’aquarium L’Océarium du Croisic, en Loire-Atlantique, devrait franchir la barre des 6 millions de visiteurs. Un moment attendu par le musée qui compte célébrer dignement l’événement. Lorsque le 6 millionième touriste entrera sur le site, il recevra un accès à vie à L’Océarium, ainsi qu’un séjour pour deux personnes au Relai Thalasso de La Baule, au Château Tourelle.

L’aquarium construit en 1992 reçoit environ 250 000 personnes par an. Afin de répondre à la demande du public, attiré de plus en plus par l’univers sous-marin, le musée s’est agrandi en 1994 puis en 1998. En 2003, le pavillon des requins d’Australie a ouvert ses portes. En 2008, c’est un lagon qui a été créé pour recevoir les espèces des récifs coralliens.

D’autres parcs ne lésinent pas non plus sur les investissements. Le centre d’études océanographiques de Banyuls devrait injecter 11 millions d’euros pour sa reconstruction d’ici 2016, alors que la commune de Canet est prête à débourser 6 millions d’euros pour rénover également son aquarium qui attire 120 000 visiteurs par an, rapporte le quotidien Midi Libre.

Lumière sur les requins à Monaco
Le musée océanographique de Monaco attire chaque année quelque 670 000 visiteurs, parmi lesquels 120 000 jeunes de moins de 18 ans, venus contempler les 90 bassins de l’institution. Ici, 6000 spécimens sont plongés dans un million de litres d’eau de mer, pompés chaque jour au pied du Rocher de Monaco. Depuis le 8 juin 2013, et pour une durée de deux ans, le public est invité à découvrir l’exposition Requins, durant laquelle une rencontre avec le squale est prévue en fin de parcours. Le bassin caresse, mis en place pour l’occasion, permet aux plus téméraires de toucher sur le dos ou le flanc les requins Pyjama, Léopard rayé ou encore Émissole tachetée.
Site : www.oceano.org

Les loutres à l’honneur à Brest
Depuis son ouverture en 1990, le centre de culture scientifique et technique de la mer Oceanopolis Brest a accueilli 9 millions de visiteurs. Le lieu de 9000 m² qui comprend à l’origine trois pavillons thématiques (marin polaire, tropical et tempéré) a ouvert un nouvel espace en avril 2013. Ce dernier, situé en extérieur, est dédié en partie aux loutres d’Europe. La zone « Nord-Est Atlantique » est composée d’un bassin de 100 m3 d’eau de mer, d’un enclos végétalisé de 80 m² ainsi que de trois flaques d’eau douce pour permettre aux loutres de dessaler leur fourrure.
Site : www.oceanopolis.com

Le Cineaqua by night à Paris
Ce sont dans les jardins du Trocadéro, à Paris, que le Cineaqua abrite 10 000 spécimens des fonds marins dans ses 43 bassins. Le lieu, qui a ouvert ses portes en 2006 et affiche plus de 2 millions de visiteurs au compteur, propose tous les premiers samedis du mois une nocturne de 19 h à 22 h. Celle-ci comprend la visite de l’aquarium ainsi qu’une coupe de champagne (ou une boisson sans alcool). La prochaine est prévue le 3 août.
Site : www.cineaqua.com