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Le musée Würth d’Erstein, écrin d’une passion pour l’art

En pleine zone industrielle, au sud de Strasbourg, se dresse un musée d’art contemporain : l’un des quinze édifiés à travers l’Europe par l’entrepreneur allemand Reinhold Würth, surnommé le « roi de la vis », pour qui art et affaires vont de pair.

Le musée Würth d’Erstein est l’un des trois plus grands musées de son groupe, avec ceux de Schwäbisch Hall (Allemagne) et La Rioja (Espagne). Tous sont construits à proximité immédiate d’une filiale de cette multinationale spécialisée dans les vis, écrous et fixations en tous genres.

Le résultat est pour le moins surprenant : le siège administratif de Würth France et son centre logistique côtoient ainsi un parallélépipède de béton brut et de verre, aux éclairages savamment étudiés pour mettre au mieux en valeur sculptures et toiles des plus grands noms de l’art contemporain.

Entre le flanc gauche du musée et le siège administratif un jardin paysager de cinq hectares et son étang où évoluent des carpes ajoutent une touche de nature à l’ensemble.

Ouvert en 2008, le musée d’Erstein a battu cette année ses records de fréquentation avec 42 000 visiteurs à ce jour pour son exposition L’appel de la Forêt, qui présente pêle-mêle un arbre emballé de Christo et des œuvres graphiques du Britannique David Hockney, de l’expressionniste Max Beckmann et du surréaliste Max Ernst, exclusivement tirées de la collection Würth.

Celle-ci compte aujourd’hui 16 000 œuvres de quelque 2500 artistes, dont une importante concentration d’œuvres d’Anselm Kiefer, Beckmann, Ernst et Christo, qui tournent dans les différents musées du groupe. S’y ajoutent depuis peu des peintures de maîtres anciens, comme la Madonne de Darmstadt, de Hans Holbein le jeune (1526/1528).

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Saumur accueille ses Grandes Tablées

Au coeur de la ville de Saumur, un grand restaurant à ciel ouvert prendra place le 31 juillet et le 1er août prochain : il s’agit de l’édition 2013 des Grandes Tablées du Saumur Champigny.

À l’heure où le ministère de l’Agriculture propose la création d’un label favorisant l’organisation de grands rassemblements autour de la gastronomie et du terroir, les vignerons saumurois en sont déjà à la treizième édition des Grandes Tablées, prônant convivialité et terroir.

Sur les bords de Loire, près de 3000 personnes, habitants et touristes, devraient s’attabler chaque soir pour déguster les plats préparés par les 200 bénévoles avec des produits locaux. Le menu déclinera une terrine au Champigny, un croquant de légumes à l’huile de noix, une glace à la fraise de la vallée ou encore des viennoiseries au Champigny. 4000 bouteilles de Saumur-Champigny accompagneront ces repas.

Ces banquets se feront en musique, accompagnés de six groupes de rock, de jazz ou de chanson française. 

Renseignements et réservation auprès de l’office de tourisme.

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Londres, sur les traces du bébé royal

Un bébé embrase tout un royaume et bien au-delà. Avec l’arrivée prochaine du prince ou de la princesse de Cambridge, Londres attire un nombre croissant de touristes désireux de prendre part à cet heureux événement. D’après une étude réalisée par le site Lastminute.com, les réservations de vols ont grimpé de 17 % en direction de la capitale britannique la dernière semaine de juin par rapport à l’année précédente, pour des séjours couvrant le mois de juillet. La même tendance se dessine du côté des réservations d’hôtels qui ont affiché +13 %. Les touristes français n’échappent pas à la Royal Baby Mania : leur nombre aurait augmenté de 12 %. Parmi les visiteurs les plus enthousiastes, les Italiens. Leurs réservations de vols pour Londres affichent +118 %. Nul doute qu’ils ne manqueront pas de suivre le parcours le plus « royal » du moment.

Pause culturelle au Museum of London

Comme pour rappeler que cette naissance s’inscrit dans un contexte historique, le Museum of London organise jusqu’en octobre 2013 A Royal Arrival. Une exposition gratuite célébrant la venue prochaine du nouveau membre de la famille royale. À cette occasion, le musée présente des pièces portées par des enfants de la Couronne sur plus de 400 ans d’histoire. Au cœur de la collection, des moufles en dentelle de George III et un tablier de pouponnière qui aurait appartenu à la reine Victoria. Des chaussures de ses enfants, les princesses Beatrice et Alice et le prince Leopold, figurent également parmi ces objets rarement dévoilés au public. 

Séance shopping chez Harrods et cie

La très chic maison Harrods a choisi de fêter la grossesse de Kate Middleton en mettant en vente une série d’objets à la gloire du Royal baby. Sur une assiette vendue 29,95 livres sterling pièce (environ 35 euros) est ainsi écrit en lettres dorées que le grand magasin « célèbre le premier enfant du duc et de la duchesse de Cambridge ». Harrods n’est pas la seule enseigne à rentabiliser cette naissance, d’autant que le couple royal lui-même a donné son accord pour que tasses, peluches, coques de portable et autres soient estampillés Royal baby.

Relève du prénom à Buckingham Palace

Comme le veut la tradition britannique, les informations concernant l’enfant, notamment son sexe et son poids, seront indiquées sur un chevalet en bois et en or situé dans la cour du palais de Buckingham. L’acte de naissance, signé par le médecin, sera remis en main propre au conducteur d’un véhicule qui se rendra directement au palais. 21e siècle oblige, le trajet devrait être filmé par une équipe de la chaîne d’information Sky News à bord d’un hélicoptère. Quant à la missive, elle sera aussi publiée sur les comptes officiels Twitter et Facebook de la famille royale.

Moment de détente à Kensington Gardens

Pour échapper à l’agitation de la ville, rendez-vous est pris dans les jardins de Kensington, l’un des parcs royaux de la capitale anglaise. Le lieu offre une vue sur le palais de Kensington, où le duc et la duchesse de Cambridge occupent un appartement. Mais pas seulement. En effet, les jardins abritent plusieurs monuments dont la célèbre statue représentant le personnage de fiction Peter Pan ainsi que le Prince Albert Memorial réalisé à l’initiative de la reine Victoria pour son époux décédé. Un hommage y a également été rendu à Lady Diana. Une aire de jeux porte le nom de la princesse dévouée à la cause des enfants.

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Cinq lieux historiques pour redécouvrir Paris à pied

Quartiers et histoires de Paris… à pied est un nouveau guide édité par la Fédération française de randonnée. Douze balades proposent de découvrir la capitale à travers ses monuments connus et méconnus, parfois insolites, mêlant petites histoires à la grande histoire.

Ces itinéraires sont inspirés des Panamées, des balades gratuites et ouvertes à tous organisées chaque troisième jeudi du mois par la FFRandonnée de Paris. Daniel Ramey, son président, a sélectionné cinq de ses lieux préférés à découvrir.

Le pont Neuf
Réalisé entre la fin du XVIe siècle et le début du XVIIe siècle, le pont Neuf compte 12 arches enjambant la Seine. Au-dessus de chacune d’elles s’alignent des mascarons, de petites sculptures représentant des figures humaines. Sur les 384 présentes sur le pont, une seule représente le visage d’une femme.

Le Bœuf sur le Toit
Ce club, lieu mythique du jazz français, a été nommé ainsi sur les conseils de Jean Cocteau, d’après le titre d’un morceau de Darius Milhaud inspiré d’un air du Brésil, où le compositeur a vécu. Les deux artistes et leurs amis s’y réunissaient régulièrement pour des concerts improvisés. Succès et clientèle affluant, il n’était pas rare que des spectateurs rejoignent la scène pour jouer un morceau. D’où l’expression « faire un bœuf ».
34, rue du Colisée, 8e arrondissement.

La fontaine Carpeaux
Située dans le jardin des Grands Explorateurs, près de l’avenue de l’Observatoire, on y passe à côté sans forcément y faire attention. Pourtant, ses sculptures sont splendides, et les mouvements des personnages et des chevaux sont parmi les plus finement réalisés. Le point de vue depuis la fontaine offre une perspective de choix sur le jardin et le palais du Luxembourg, et de l’autre côté, sur l’Observatoire.

La Rotonde de la Villette
Elle abrite aujourd’hui une brasserie à la mode, mais la Rotonde est une ancienne barrière d’octroi du mur d’enceinte conçu par Ledoux juste avant la Révolution, qui entourait Paris et permettait de percevoir l’impôt sur les marchandises entrant dans la capitale. Elle est l’un des quatre vestiges encore visibles de ce mur. C’est à cause d’elle si le tracé de la ligne 2 du métro est sinueux du côté de Stalingrad. Pour pouvoir la conserver, le tracé a dû dévier son axe plusieurs fois pour la contourner.
6-8, place de Stalingrad, 19e arrondissement.

Quartier Mouzaïa – Danube
Dans le 19e arrondissement, la rue de Mouzaïa est connue pour ses belles villas et ses petites allées ombragées bordées de fleurs. Ses airs de campagne se retrouvent jusqu’en direction de la place de Rhin-et-Danube, où trois rues aux noms républicains se rejoignent : rue de la Liberté, rue de l’Égalité et rue de la Fraternité.

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Le meilleur barman du monde est espagnol

David Rios, barman au Jigger Cocktail, à Bilbao, a été sacré meilleur barman au monde lors de la finale du concours Diageo World Class 2013, à Barcelone.

Parmi 44 représentants de la mixologie mondiale, l’Espagnol de 28 ans s’est démarqué en finale grâce à l’équilibre des notes franches et du soupçon d’amertume de son cocktail Le Gold Basque Punch, à base d’un mélange de Johnnie Walker Gold Reserve, de vodka, de Picon, de jus de pamplemousse et de Kumquat.

Cette année, la cinquième édition du Diageo World Class, organisée par l’alcoolier Diageo Reserve, invitait 15 000 barmans internationaux à se distinguer. Quarante-quatre pays ont organisé leur sélection nationale afin d’élire un représentant destiné à concourir lors de la finale mondiale.

L’événement s’est tenu en juillet sur le paquebot Azamara Journey, qui a sillonné la côte méditerranéenne de Monte-Carlo à Ibiza, avant de s’établir à Barcelone pour la grande finale.

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Vacances de dernière minute : Lisbonne parmi les moins chères

Selon le site de voyage TripAdvisor, 970 $ est le prix moyen d’une semaine à Lisbonne pour une location comprenant 2 chambres.

 

Basée sur les destinations estivales les plus consultées actuellement, cette étude montre que la capitale portugaise est la plus accessible des villes européennes populaires cet été. En comparaison, le prix moyen d’une semaine à Barcelone est de 1 520 $, 1 585 $ à Rome et 1 605 $ à Paris.

Pour un départ de dernière minute, le site recommande la période du 24 août au 7 septembre, les locations encore offertes y étant plus nombreuses. Pour préparer son séjour à Lisbonne, voici quelques idées de visite et bons plans.

Les incontournables

Le quartier de Belém et la magnifique tour de Belém, symbole de l’art manuélin dressé à l’embouchure du Tage, sont une étape à ne pas rater. Les amateurs d’art contemporain apprécieront une visite du Museu Coleção Berardo, et les gourmands ne manqueront pas une pause dans la pâtisserie Pastéis de Belem pour goûter les fameux pastéis de nata.

Autre classique, les ruelles étroites du quartier traditionnel de l’Alfama et le Castelo São Jorge, qui offre l’un des plus beaux panoramas sur la ville. Une visite au musée du Fado s’impose, et pour découvrir l’histoire de la ville, le nouveau Lisboa Story Center propose une visite interactive.

Le bon plan

Lisbonne est bâtie sur sept collines, les rues pentues y sont fréquentes, comme dans l’Alfama. Le tramway s’avère indispensable pour y accéder! La Lisboa Card, offerte à l’office de tourisme, permet d’avoir un accès illimité aux transports en commun et propose des tarifs réduits pour les principaux musées et monuments.

L’échappée belle

Pour une escapade d’une journée en bord de mer, direction la station balnéaire de Sintra. Située à 25 km de Lisbonne, elle est accessible en train depuis la gare de Rossio. Ses paysages entre mer et montagne font le charme de ce lieu de villégiature, longtemps prisé des souverains portugais.

Sortir le soir 
Le quartier populaire de Bairro Alto s’encanaille la nuit, on y vient pour ses bars et ses maisons de fado. Dans le quartier Docas, les anciens docks au bord du Tage, on s’attable en terrasse jusqu’à des heures tardives. Côté musique, les amateurs de jazz apprécieront le festival Out Jazz, des concerts gratuits les vendredis et dimanches soirs organisés un peu partout dans la ville dans les parcs ou sur les places publiques jusqu’à fin septembre.

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L’opéra gourmand du Grand Palais pour la Fête de la Gastronomie

À l’occasion de la Fête de la Gastronomie, le Grand Palais accueillera deux dîners d’exception les 20 et 21 septembre orchestrés par une quinzaine de grands chefs.

Le vendredi 20 septembre, le dîner Gala Belle Époque prendra place sous la nef du Grand Palais pour rendre hommage au raffinement de la gastronomie française. Les plats se succèderont dans un ballet minutieusement travaillé, chacun préparé par un grand chef.

Les convives dégusteront par exemple un foie gras de canard aux épices, figues et noisettes préparé par Michel Roth (Ritz, Paris) ou encore un lièvre à la royale concocté par Philippe Zeiger (Le Pot d’Étain, près de Belfort).

Le samedi 21 septembre promet une expérience visuelle tout autant que gustative, avec le dîner White Experience. Les chefs Amandine Chaignot (Hôtel Raphaël, Paris), Jérôme Bigot (Les Grès, Bourgogne) et Jonathan Blot (Acide Macaron, Paris) déclineront tous des plats monochromes autour du blanc. Le menu prévoit entre autres un voile blanc de seiche et yaourt maison au jasmin, un dos de lieu jaune émulsion de coquillage ou une création roquefort au chocolat blanc.

Cette opération Grand Palais Gourmand, sur réservation, est destinée à financer deux œuvres caritatives, soit l’association contre la leucémie Laurette Fugain et le Samusocial de Paris.

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Des vols en zeppelin au-dessus de l’Île-de-France dès le 4 août

Un drôle de paquebot blanc flottant au-dessus du parc du château de Versailles? À partir du 4 août, la société Airship commercialisera des vols en zeppelin au-dessus de l’Île-de-France, un privilège rare pour les touristes, car il n’existe que trois dirigeables de ce type.

 

« Après cinq années d’efforts, on y arrive enfin! », s’enthousiasme Éric Lopez, président d’Airship, société implantée à Neuilly-sur-Seine.

L’idée de commercialiser des vols de dirigeable en France est venue d’une rencontre avec le directeur de la société Zeppelin et d’un coup de cœur pour ces « paquebots volants » qui séduisent de nombreux touristes en Allemagne autour du lac de Constance.

« Quand j’ai découvert cet appareil magique, cette nouvelle forme de vol unique, innovante, sans bruit, sa grande sécurité et sa maîtrise technologique, je me suis dit pourquoi pas autour de Paris, première destination touristique mondiale », explique Éric Lopez, qui a travaillé pendant 20 ans pour des compagnies aériennes.

Contrairement à un hélicoptère, les trois moteurs d’un zeppelin sont éloignés de la cabine, ce qui fait que le dirigeable « fait moins de bruit qu’un lave-vaisselle ».

Aujourd’hui, seulement trois zeppelins, construits à Friedrichshafen (Baden-Württemberg), existent dans le monde. L’un des trois sera loué par Airship.

Au départ de l’aérodrome de Pontoise — Cormeilles-en-Vexin, quatre parcours sont prévus : Vexin, château de Chantilly, boucles de la Seine et Versailles.

Le dirigeable, d’une longueur semblable à un A380 (75 m), volera à 300 mètres de hauteur avec 12 passagers à bord à environ 80 km/h de moyenne.

Et dans ces dirigeables de nouvelle génération, l’hélium, gaz inerte et ininflammable, a remplacé l’hydrogène, à l’origine de la retentissante catastrophe du Hindenburg en 1937 dans le New Jersey, qui avait annoncé la fin de l’âge d’or de ces machines volantes.

Aussi, Dominique Fouda, porte-parole de l’Agence européenne de sécurité aérienne (EASA), indique que les « les zeppelins, comme les avions et les hélicoptères, répondent à des exigences réglementaires fixées par l’EASA en Europe qui visent à assurer la sécurité des passagers et des surfaces survolées. »

La Direction générale de l’aviation civile a également donné son feu vert, soulignant que « toutes les autorisations de survol ont été délivrées », selon son porte-parole, Eric Héraud.

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L’aéroport d’Heathrow fête les 50 ans de Doctor Who

Pour fêter les 50 ans de la première diffusion de cette série de science-fiction anglaise devenue culte, l’aéroport international de Londres a organisé divers événements estampillés Doctor Who pour les passagers en transit, comme une séance de dédicaces avec Jenny Colgan, l’auteur du roman Doctor Who: Dark Horizons, paru en 2012.

 

À partir de cette semaine, les voyageurs qui passeront par le hub londonien pourront se glisser dans la machine à voyager dans le temps de la série culte, la TARDIS, qui ressemble à une cabine téléphonique.

De plus, le Terminal 5 de l’aéroport accueillera des représentations sur scène de l’indicatif musical de la série par le London Philharmonic Orchestra, ainsi que des expositions d’accessoires vus à la télé et des expériences en réalité augmentée en lien avec la série.

Doctor Who est apparu à la télévision anglaise en 1963. Arrêtée en 1989 faute d’audience, la série a été relancée en 2005 sur la BBC. France 4 se charge actuellement de sa diffusion française et propose la septième saison depuis mai. La BBC a récemment annoncé qu’une huitième saison était prévue pour 2014.

C’est une semaine agitée à l’aéroport londonien, car en plus de cet anniversaire, les autorités ont décidé de préparer 1 000 t-shirts pour fêter la naissance de l’enfant de William et Kate. Lorsque l’annonce officielle sera faite, les 1 000 premiers passagers arrivant à Heathrow recevront un t-shirt violet à l’effigie de la couronne d’Angleterre avec le message « Nous fêtons une nouvelle arrivée très particulière ». L’annonce se fait toutefois attendre.

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Hôtel Indigo prévoit l’ouverture d’un premier établissement en France

Le groupe hôtelier ouvrira l’une de ses boutiques-hôtels dans le quartier de l’Opéra à Paris en 2014. Ce sera le premier établissement de la marque à s’implanter en France.

Situé à proximité de l’Opéra Garnier, l’établissement comprendra 54 chambres, un bar et un restaurant haut de gamme ainsi qu’un centre de conditionnement physique. Les travaux de rénovation du bâtiment actuel permettront de créer un décor caractéristique de l’architecture parisienne.

Cette chaîne d’hôtels, détenue par le Britannique InterContinental Hotels Group, s’attache à respecter les particularités culturelles de chaque ville et de chaque quartier où elle s’implante à travers le monde.

La marque possède une cinquantaine de boutiques-hôtels internationalement, dont une dizaine en Europe. Elle prévoit l’ouverture de 14 établissements supplémentaires sur le Vieux Continent d’ici 5 ans.