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Le somptueux château du film Ridicule rouvre après 7 ans de travaux

Le château de Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne), haut lieu de tournage de films et ancienne résidence des chefs d’État étrangers en France, doit rouvrir au public samedi (6 juillet) près de sept ans après l’effondrement d’un plafond d’époque rongé par un champignon.

En septembre 2006, vingt mètres carrés du plafond de son Salon chinois s’étaient effondrés, sans faire de victime. Un cache-pot en porcelaine de Sèvres du XVIIIe siècle avait été brisé.

Un champignon lignivore, dont le développement avait probablement été favorisé par l’humidité, avait grignoté le bois, alimentant une polémique sur le mauvais entretien de ce bâtiment historique construit entre 1703 et 1707 et propriété de l’État.

Restauration de papiers peints, de lustres ou de grilles, renforcement de dalles et de plafonds, réfection de parquets… la remise à niveau a duré près de sept ans et coûté 6,2 millions d’euros (environ 85 millions de dollars).

Le château doit avoir plus ou moins retrouvé l’aspect qu’il avait lorsque le général de Gaulle en fit une résidence officielle des chefs d’État étrangers en visite en France.

Une vingtaine d’entre eux, principalement africains, y ont séjourné de 1959 à 1969 : le roi marocain Hassan II, l’empereur centrafricain Jean-Bedel Bokassa ou encore le président sénégalais Léopold Sédar Senghor.

Le château a aussi servi de décor à de nombreux films, dont parmi les plus récents Marie-Antoinette de Sofia Coppola (2006), Ridicule de Patrice Leconte (1994) ou Le promeneur du Champ-de-Mars de Robert Guédiguian (2004).

Le château doit ouvrir au public samedi à 15 h, après son inauguration par la ministre de la Culture Aurélie Filippetti. Après un week-end gratuit, la visite coûtera 7,50 euros (plein tarif).

Le château, ancienne propriété des ducs de La Vallière, est situé à moins de 20 kilomètres de Paris, et le Centre des musées nationaux espère en faire « une destination phare du tourisme patrimonial (…) en Île-de-France ».

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Une exposition dédiée à Amy Winehouse au Jewish Museum de Londres

« Amy était incroyablement fière de ses racines judéo-londoniennes. Alors que certaines familles partent à la mer les jours de beau temps, nous allions toujours dans l’East End de Londres », explique le frère de la chanteuse, Alex Winehouse, en introduction à une exposition au Jewish Museum de Londres consacrée à Amy Winehouse.

« C’est qui nous étions, et ce que nous étions. Nous n’étions pas religieux, mais traditionnels. J’espère que, dans ce lieu des plus appropriés, le monde pourra voir l’autre visage, non seulement d’Amy, mais aussi de la famille juive type. »

Cette exposition, qui ouvre ses portes le 3 juillet, coïncide avec l’anniversaire de la mort de la chanteuse (survenue le 23 juillet 2011). Elle est organisée jusqu’au 15 septembre à Camden Town et développe quatre thèmes : le Judaïsme, la famille et le foyer, Amy et Londres, et Amy icône de mode.

Cette rétrospective photo et vestimentaire de la star explore aussi l’influence qu’a eue la grand-mère de la chanteuse, qui a été en couple avec Ronnie Scott, célèbre propriétaire d’un club de jazz à Londres, qui a programmé Ray Charles en tout début de carrière.

Pour plus d’informations, visitez le site du musée.
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Une exposition dédiée à Amy Winehouse au Jewish Museum de Londres

« Amy était incroyablement fière de ses racines judéo-londoniennes. Alors que certaines familles partent à la mer les jours de beau temps, nous allions toujours dans l’East End de Londres », explique le frère de la chanteuse, Alex Winehouse, en introduction à une exposition au Jewish Museum de Londres consacrée à Amy Winehouse.

« C’est qui nous étions, et ce que nous étions. Nous n’étions pas religieux, mais traditionnels. J’espère que, dans ce lieu des plus appropriés, le monde pourra voir l’autre visage, non seulement d’Amy, mais aussi de la famille juive type. »

Cette exposition, qui ouvre ses portes le 3 juillet, coïncide avec l’anniversaire de la mort de la chanteuse (survenue le 23 juillet 2011). Elle est organisée jusqu’au 15 septembre à Camden Town et développe quatre thèmes : le Judaïsme, la famille et le foyer, Amy et Londres, et Amy icône de mode.

Cette rétrospective photo et vestimentaire de la star explore aussi l’influence qu’a eue la grand-mère de la chanteuse, qui a été en couple avec Ronnie Scott, célèbre propriétaire d’un club de jazz à Londres, qui a programmé Ray Charles en tout début de carrière.

Pour plus d’informations, visitez le site du musée.
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L’ancienne maison parisienne de Serge Gainsbourg va ouvrir ses portes

À partir de septembre, les fans de Serge Gainsbourg pourront visiter l’ancien hôtel particulier de « l’homme à la tête de chou », rue de Verneuil à Paris, dont la façade, longtemps recouverte de graffitis à sa gloire, est en cours de rénovation.

L’auteur-compositeur-interprète et cinéaste français a vécu dans cet hôtel de 1969 jusqu’à sa mort, en 1991.

Jean-Pierre Prioul, un ami de la famille et superviseur des travaux, sera le guide de ces visites, lui qui a eu « la chance de connaître Serge et [d’avoir] plein d’anecdotes et de choses à raconter ».

« Tout est resté en place à l’intérieur. Il ne manque que le personnage! », explique-t-il à l’AFP.

La fille du chanteur et de l’actrice Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg, actuelle propriétaire de la maison, avait tenté en 2011 d’en faire un musée, mais le projet nécessitait trop de travaux.

L’endroit est assez étroit et contient plusieurs objets de valeur, selon M. Prioul. Seuls ceux qui seront prêts à s’acquitter d’un droit d’entrée, après avoir réservé en ligne, pourront découvrir l’intérieur de la demeure de l’artiste par petits groupes de trois.

En attendant, le mur derrière lequel se cache la maison, auparavant recouvert de graffitis, est en train d’être repeint en blanc. Mais d’ici deux semaines, les fans pourront le décorer à nouveau, insiste M. Prioul.

Du vivant de Serge Gainsbourg, des messages et des dessins en son honneur décoraient le mur, et il leur en était reconnaissant. « Il sortait et il regardait les nouveautés, il en tenait compte », se souvient Jean-Pierre Prioul. Mais au fil du temps le mur a été recouvert par des affiches politiques et des tags. « Il y avait des gens qui n’avaient rien compris du tout à l’esprit de la maison », souligne M. Prioul.

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L’ancienne maison parisienne de Serge Gainsbourg va ouvrir ses portes

À partir de septembre, les fans de Serge Gainsbourg pourront visiter l’ancien hôtel particulier de « l’homme à la tête de chou », rue de Verneuil à Paris, dont la façade, longtemps recouverte de graffitis à sa gloire, est en cours de rénovation.

L’auteur-compositeur-interprète et cinéaste français a vécu dans cet hôtel de 1969 jusqu’à sa mort, en 1991.

Jean-Pierre Prioul, un ami de la famille et superviseur des travaux, sera le guide de ces visites, lui qui a eu « la chance de connaître Serge et [d’avoir] plein d’anecdotes et de choses à raconter ».

« Tout est resté en place à l’intérieur. Il ne manque que le personnage! », explique-t-il à l’AFP.

La fille du chanteur et de l’actrice Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg, actuelle propriétaire de la maison, avait tenté en 2011 d’en faire un musée, mais le projet nécessitait trop de travaux.

L’endroit est assez étroit et contient plusieurs objets de valeur, selon M. Prioul. Seuls ceux qui seront prêts à s’acquitter d’un droit d’entrée, après avoir réservé en ligne, pourront découvrir l’intérieur de la demeure de l’artiste par petits groupes de trois.

En attendant, le mur derrière lequel se cache la maison, auparavant recouvert de graffitis, est en train d’être repeint en blanc. Mais d’ici deux semaines, les fans pourront le décorer à nouveau, insiste M. Prioul.

Du vivant de Serge Gainsbourg, des messages et des dessins en son honneur décoraient le mur, et il leur en était reconnaissant. « Il sortait et il regardait les nouveautés, il en tenait compte », se souvient Jean-Pierre Prioul. Mais au fil du temps le mur a été recouvert par des affiches politiques et des tags. « Il y avait des gens qui n’avaient rien compris du tout à l’esprit de la maison », souligne M. Prioul.

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Le Mama Shelter bientôt à Bordeaux

L’hôtel créé par Serge Trigano et dont le design est signé Philippe Starck implantera sa quatrième adresse française à Bordeaux en octobre prochain.

La marque hôtelière compte depuis 2008 un établissement deux étoiles à Paris dans le 20e arrondissement et s’est implantée à Lyon puis Marseille au courant 2012. En janvier 2013, le Mama Shelter a inauguré son premier hôtel à l’étranger, à Istanbul.

La même équipe reste aux commandes de cette nouvelle réalisation bordelaise, le design étant assuré par Philippe Starck. L’hôtel sera situé dans le centre historique de la ville, place Saint-Christoly, sur le site de l’ancienne Tour du gaz.

Le lieu restera fidèle à son concept d’hôtellerie abordable et branchée. Le hall d’accueil, qui accueillera un bar, une pizzeria, une scène et même un baby-foot, est conçu comme un lieu de vie et de rencontre. « Il n’y aura pas de ségrégation, on y trouvera des jeunes et des moins jeunes. C’est un village dont la respiration ne s’arrête jamais », expliquent les responsables.

Les 97 chambres sont réparties sur cinq étages.

Le Mama Shelter prévoit par ailleurs d’ouvrir un établissement à Los Angeles en 2014, à proximité d’Hollywood.

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Envolez-vous avec la navette spatiale Atlantis

Après s’être envolée vers l’espace pour trente-trois missions, la navette spatiale Atlantis passe maintenant sa retraite en tant qu’attraction touristique pour les astronautes dans l’âme et les mordus de l’espace au Kennedy Space Center en Floride.

Ceux qui voudraient être astronautes pourront maintenant vivre leur rêve au Kennedy Space Center Visitor Complex, récemment rénové, avec désormais la navette spatiale Atlantis comme son attraction-vedette.

Inclinée pour simuler un voyage dans l’espace, la navette spatiale a encore les marques, les brûlures et la « poussière interstellaire » de sa dernière mission. Les portes de la soute sont grandes ouvertes pour laisser entrevoir l’intérieur de la navette.

Parmi les points forts de l’attraction, les visiteurs pourront vivre une expérience de simulation de lancement pendant laquelle ils seront « attachés » et pourront profiter de la vue, des bruits et des sensations ressenties lors d’un lancement de navette spatiale.

Les futurs astronautes aspirants pourront également pratiquer leurs connaissances de vol en faisant atterrir l’orbiteur, s’accrochant aux stations spatiales internationales et en manipulant le Canadarm sur les simulateurs d’entrainement.

« Avec les répliques haute-fidélité, les simulateurs et activités interactives en lien avec tous les aspects et toutes les réussites de la navette, y compris le télescope spatial Hubble et la station spatiale internationale, les visiteurs ne pourront trouver des conditions de vie et de travail dans l’espace plus fidèles, à moins de postuler dans le corps d’astronautes », explique Bill Moore, directeur du Kennedy Space Center Visitor Complex.

Au total, l’attraction de la navette spatiale Atlantis propose plus de soixante expériences multimédias et interactives, telles que des activités sur écran tactile et des simulateurs high-tech qui permettent aux visiteurs de marcher dans un espace virtuel et ressentir les sensations d’apesanteur.

La toute dernière addition a été construite pour marquer les trente ans du projet de navette spatiale de la NASA et fait partie d’un projet de dix ans concernant le complexe des visiteurs.

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Envolez-vous avec la navette spatiale Atlantis

Après s’être envolée vers l’espace pour trente-trois missions, la navette spatiale Atlantis passe maintenant sa retraite en tant qu’attraction touristique pour les astronautes dans l’âme et les mordus de l’espace au Kennedy Space Center en Floride.

Ceux qui voudraient être astronautes pourront maintenant vivre leur rêve au Kennedy Space Center Visitor Complex, récemment rénové, avec désormais la navette spatiale Atlantis comme son attraction-vedette.

Inclinée pour simuler un voyage dans l’espace, la navette spatiale a encore les marques, les brûlures et la « poussière interstellaire » de sa dernière mission. Les portes de la soute sont grandes ouvertes pour laisser entrevoir l’intérieur de la navette.

Parmi les points forts de l’attraction, les visiteurs pourront vivre une expérience de simulation de lancement pendant laquelle ils seront « attachés » et pourront profiter de la vue, des bruits et des sensations ressenties lors d’un lancement de navette spatiale.

Les futurs astronautes aspirants pourront également pratiquer leurs connaissances de vol en faisant atterrir l’orbiteur, s’accrochant aux stations spatiales internationales et en manipulant le Canadarm sur les simulateurs d’entrainement.

« Avec les répliques haute-fidélité, les simulateurs et activités interactives en lien avec tous les aspects et toutes les réussites de la navette, y compris le télescope spatial Hubble et la station spatiale internationale, les visiteurs ne pourront trouver des conditions de vie et de travail dans l’espace plus fidèles, à moins de postuler dans le corps d’astronautes », explique Bill Moore, directeur du Kennedy Space Center Visitor Complex.

Au total, l’attraction de la navette spatiale Atlantis propose plus de soixante expériences multimédias et interactives, telles que des activités sur écran tactile et des simulateurs high-tech qui permettent aux visiteurs de marcher dans un espace virtuel et ressentir les sensations d’apesanteur.

La toute dernière addition a été construite pour marquer les trente ans du projet de navette spatiale de la NASA et fait partie d’un projet de dix ans concernant le complexe des visiteurs.

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La Corée du Nord veut se doter d’une station balnéaire

Après avoir incité ses ouvriers à accélérer le développement d’une station de ski, le chef nord-coréen Kim Jong-un s’intéresse à une ville portuaire industrielle qu’il souhaite transformer en un lieu de villégiature balnéaire.

Selon des documents déclassifiés obtenus par la publication sud-coréenne JoongAng Ilbo, la Corée du Nord aurait entamé la transformation de la ville de Wonsan (située sur la côte est du pays) en trois nouveaux districts : un quartier financier, un quartier consacré au divertissement et aux sports, et un dernier dédié aux touristes.

Ville portuaire et base navale, Wonsan était l’une des destinations de vacances favorites de Kim Jong-il. Sa construction constitue donc un geste du fils pour honorer l’une des dernières volontés de son père.

En 2007, Kim Jong-il avait rejeté la proposition du président sud-coréen Roh Moo-hyun de faire de cette ville un complexe industriel au motif qu’il s’agissait d’une « destination de vacances ».

Selon une source du journal, le gouvernement prévoit la fermeture des usines automobiles et des chantiers navals en service pour mener à bien ce projet.

Pour tenter de faire de l’ombre à la Corée du Sud, qui organisera les Jeux olympiques d’hiver à Pyeongchang en 2018, le chef avait lancé un appel patriotique à accélérer le développement de la station de ski du mont Masik, situé à 20 kilomètres de Wonsan.

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La Corée du Nord veut se doter d’une station balnéaire

Après avoir incité ses ouvriers à accélérer le développement d’une station de ski, le chef nord-coréen Kim Jong-un s’intéresse à une ville portuaire industrielle qu’il souhaite transformer en un lieu de villégiature balnéaire.

Selon des documents déclassifiés obtenus par la publication sud-coréenne JoongAng Ilbo, la Corée du Nord aurait entamé la transformation de la ville de Wonsan (située sur la côte est du pays) en trois nouveaux districts : un quartier financier, un quartier consacré au divertissement et aux sports, et un dernier dédié aux touristes.

Ville portuaire et base navale, Wonsan était l’une des destinations de vacances favorites de Kim Jong-il. Sa construction constitue donc un geste du fils pour honorer l’une des dernières volontés de son père.

En 2007, Kim Jong-il avait rejeté la proposition du président sud-coréen Roh Moo-hyun de faire de cette ville un complexe industriel au motif qu’il s’agissait d’une « destination de vacances ».

Selon une source du journal, le gouvernement prévoit la fermeture des usines automobiles et des chantiers navals en service pour mener à bien ce projet.

Pour tenter de faire de l’ombre à la Corée du Sud, qui organisera les Jeux olympiques d’hiver à Pyeongchang en 2018, le chef avait lancé un appel patriotique à accélérer le développement de la station de ski du mont Masik, situé à 20 kilomètres de Wonsan.