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Le Shangri-La Paris rejoint le cercle des Palaces français

Le prestigieux hôtel de l’Avenue Iéna à Paris (16e arrondissement) s’est vu décerner la « distinction Palace », décernée par Atout France, l’agence de développement touristique du pays, aux plus luxueux établissements de France.

Moins de quatre ans après son ouverture dans la capitale, le grand hôtel rejoint le cercle fermé des établissements les mieux classés de Paris et de France.

Le groupe Shangri-La Hotels & Resorts a ouvert le Shangri-La Hotel, Paris, son premier hôtel en Europe, le 17 décembre 2010. L’hôtel propose à ses clients 101 chambres et suites offrant pour la plupart une vue imprenable sur la tour Eiffel.

À ce jour, treize adresses en France arborent cette distinction, remise aux hôtels les plus exceptionnels.

À Paris, seuls six autres établissements ont été gratifiés, à savoir le Park Hyatt Paris Vendôme, le Meurice, le Royal Monceau, le Bristol, le Four Seasons George V et le Plaza Athénée.

Les autres palaces se trouvent à Saint-Tropez (Château de la Messardière, Hôtel Byblos), à Biarritz (Hôtel du Palais), à Courchevel 1850 (Cheval Blanc et les Airelles), à Ramatuelle (La Réserve Ramatuelle) et à Saint-Jean Cap Ferrat (Grand-Hôtel du Cap Ferrat).

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Londres, la ville la plus visitée au monde

La capitale britannique deviendrait cette année la première destination touristique au monde, devant Bangkok (Thaïlande), première l’an dernier. Paris serait troisième, selon l’index annuel MasterCard Global Destinations Cities.

D’après ce classement, qui prend en compte les arrivées touristiques ainsi que les dépenses des voyageurs, Londres devrait accueillir cette année 18,7 millions de visiteurs, contre 18,37 millions pour Bangkok. La destination britannique occupe la place de tête pour la troisième fois en quatre ans. Bangkok s’est octroyé ce titre une fois, l’an dernier.

Paris, de son côté, s’affiche à la 3e place avec 15,57 millions de touristes attendus cette année. Ces vacanciers, de loisirs ou professionnels, devraient dépenser quelque 12,5 milliards d’euros. Le Top 5 est complété par Singapour (12,47 millions de visiteurs) et Dubaï (11,95 millions).

Globalement, l’Europe est présente dans le Top 20 avec huit destinations : Istanbul (7e), Barcelone (11e), Amsterdam (12e), Milan (13e), Rome (14e) et Vienne (17e).

L’Index MasterCard Global Destination Cities propose un classement de 132 villes reposant sur l’analyse du nombre d’arrivées totales de visiteurs internationaux et des dépenses effectuées par ces visiteurs dans leur ville de destination. Ce classement donne aussi les prévisions de croissance en nombre de visiteurs et passagers en 2014.

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Georges, le petit curieux, nouvel ambassadeur de New York auprès des familles

Après Charlie (des BD Où est Charlie?), le petit singe du dessin animé a été choisi pour promouvoir la destination auprès des tribus.

Georges (en anglais Curious George), que les enfants peuvent suivre dans ses aventures en dessin animé, devient ainsi le 6e ambassadeur officiel du programme familial de la Grande Pomme.

Depuis 2009, New York s’appuie sur des personnages connus des plus jeunes pour attirer les familles, et dévoiler toutes les activités réalisables lorsque l’on visite la ville avec des enfants, de tous âges.

Les voyageurs peuvent découvrir en ligne tous les bons plans de Georges. Zoos, aquariums, parcs, mais aussi informations pratiques ont été recensés.

L’an dernier, 16,7 millions de visiteurs sont venus en famille, soit une hausse de 3,1 % par rapport à 2012. NYC & Company, l’organisme du tourisme de la destination, souligne que depuis le lancement de ce programme, il y a cinq ans, « le taux de fréquentation des familles a connu une progression de 26,5 % pour une part s’élevant à 30,8 % du nombre global de visiteurs ».

Découvrir les conseils de Georges, le petit curieux : www.nycgo.com/curious-george/

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Google Street View à bord d’un paquebot de la Royal Caribbean

Après avoir emmené ses appareils photo en haut du Burj Khalifa, le plus haut gratte-ciel du monde situé à Dubaï, et dans des domaines viticoles du Bordelais l’année dernière, Google ajoute maintenant un paquebot à sa collection de cartes virtuelles.

Pour les néophytes de ce genre de vacances, les photos montrent l’énormité même des bateaux de croisière.

Pour les habitués, ces nouvelles images jouent le rôle d’une brochure virtuelle pour le navire, mettant ainsi en valeur certaines chambres et suites en cabine.

La technologie immersive et interactive emmène les visiteurs sur les différents ponts du paquebot, le long de la Royal Promenade, bordée de boutiques et de restaurants, qui fait presque toute la longueur du bateau, et à Central Park, un parc extérieur plus grand qu’un terrain de football qui abrite plus de 12 000 arbres et plantes.

Plus de 20 000 photos ont été prises sur 60 heures et huit jours avec un reflex numérique basique, un objectif fish-eye et un trépied.

Les visiteurs peuvent aussi faire un tour virtuel du simulateur de surf Flowrider, de la patinoire intérieure ou de la Zip Line, une tyrolienne sur laquelle les amateurs de sensations fortes peuvent glisser le long des 9 ponts au-dessus des autres vacanciers.

Faites un tour sur le paquebot : http://bit.ly/1vS3otM.

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Après l’hôtellerie, Airbnb s’attaque à la restauration

Le site de location d’appartements et de maisons entre particuliers lance un programme pilote à San Francisco, sa ville américaine d’origine, via lequel il invite le public à organiser des repas chez soi pour arrondir ses fins de mois.

Directement sur la plateforme internet, les volontaires peuvent proposer des menus préparés directement chez eux. Le repas complet, comprenant entrée, plat et dessert, est affiché au tarif recommandé de 25 $.

De son côté, Airbnb retient une commission sur les additions. Si le projet est rentable et séduit les voyageurs, il pourrait être étendu à d’autres villes au monde.

Le concept de « restaurant à la maison » ou repas collaboratif n’est pourtant pas nouveau. En France, des sites tels que Super Marmite, Cookening ou encore Live my Food sont des exemples.

À l’étranger, il existe un Restaurant Day en Finlande, où un jour dans l’année (variable selon les années), le public peut décider de transformer son appartement ou sa maison en restaurant. Le Japon est également friand de la tendance, qui s’est aussi répandue en Pologne ou encore aux Pays-Bas.

Lancé en 2008 à San Francisco, Airbnb propose plus de 600 000 logements dans plus de 34 000 villes et 192 pays. En 2014, plus de la moitié des voyageurs Airbnb ont séjourné en Europe. 11 millions de voyageurs ont déjà réservé par le site, dont un million de Français.

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Les Bordelais prennent possession du Pibal, vélo-patinette signé Starck

L’idée du Pibal (d’après le nom de l’alevin de l’anguille, la pibale, pour sa fluidité de mouvement) est celle d’un hybride, permettant de passer rapidement d’un mode cycliste à un mode piéton-patinette, pour s’adapter au centre-ville de Bordeaux, où cyclistes et piétons se côtoient et souvent se frôlent.

Fabriqué en aluminium par l’usine Peugeot à Romilly-sur-Seine (Aube), le Pibal est doté d’un repose-pied évoquant la patinette, d’un ample porte-bagages, et de petites astuces comme une bande réfléchissante sur les pneus jaunes, au contraste marqué avec le cadre gris.

« Il est jaune flashy, c’est très sympa même si ça choque un peu, car on n’a pas l’habitude de les voir, mais ils vont bientôt se fondre dans le paysage avec les autres vélos de Bordeaux », s’est enthousiasmé Simon Villain Guillot en prenant possession de son Pibal. « Il va falloir apprendre à faire de cette patinette, car elle est différente de celle pour enfants », a-t-il dit, estimant que « Bordeaux est une ville adaptée pour le vélo ».

La difficulté majeure, avait expliqué Philippe Starck lors de la présentation des prototypes, a été de « réaliser une patinette, qui requiert en fait un vélo coupé en deux, tout en gardant une rigidité, sans déborder sur le poids ou le prix. Changer l’architecture d’un vélo, ça ne se fait jamais, et on comprend pourquoi », avait ajouté le designer, qui a collaboré à titre gracieux, inspiré de suggestions des Bordelais.

Peugeot avait accepté sa réalisation « pour montrer qu’on peut toujours revisiter le concept du vélo », même si la marque, présente dans les cycles depuis 1882, attend davantage du Pibal un impact d’image que de retombées commerciales.

Selon la mairie de Bordeaux, la pratique du vélo a triplé en 10 ans et la ville, avec plus de 10 % des déplacements quotidiens de ses habitants à vélo, s’est hissée dans le peloton de tête des capitales cyclables.

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Où admirer le feu d’artifice du 14 juillet à Paris

Parc de Belleville (20e)
Créé sur les hauteurs de la colline de Belleville, ce parc de 45 000 m² offre une vue panoramique imprenable sur la capitale. Accès libre. Plus d’informations : http://www.mairie20.paris.fr/

Tour Montparnasse (15e)
Le 56e étage et la terrasse panoramique du 59e étage du monument permettent d’admirer Paris sous tous les angles, notamment donc la tour Eiffel. Tarif : 14,50 € par adulte (fermeture des caisses à 23 h). Plus d’informations : http://www.tourmontparnasse56.com/

Butte Montmartre (18e)
Le point culminant de Paris invite à contempler la Dame de Fer et tous les monuments de la ville. Accès libre.

Bar La Vue Hyatt Regency Paris Étoile (17e)
Culminant à 140 mètres d’altitude, ce bar porte bien son nom puisqu’il invite à se délecter du spectacle du 14 juillet sans en perdre une miette. Tarif : 60 € par personne pour le menu spécial 14 juillet (sur réservations – minimum six personnes). Plus d’informations : http://www.parisetoile.regency.hyatt.com

Les Ombres – Musée du Quai Branly (7e)
Ce restaurant gastronomique avec ses grandes baies vitrées fait face à la tour Eiffel. Son nom est d’ailleurs une référence aux jeux de lumière provoqués par l’imposante structure métallique du monument, sa voisine. Tarif : à partir de 42 € par personne (sur réservations). Plus d’informations : http://www.lesombres-restaurant.com/fr/

Terrass’ en haut – Hôtel Terrass’ (18e)
Au 7e et dernier étage de cet hôtel 4 étoiles, le bar lounge est excellente tribune pour contempler le feu d’artifice de manière privilégiée, car il donne sur la tour Eiffel. Tarif : à partir de 16 € par personne (sur réservation). Plus d’informations : http://www.terrass-en-haut.com/

Raphaël la Terrasse – Hôtel Raphaël (16e)
La terrasse panoramique de cet hôtel 5 étoiles avec sa vue panoramique sur Paris et la tour Eiffel est un endroit idéal pour admirer le spectacle pyrotechnique, tout en dînant. Tarif : menu à 90 € (sur réservations). Plus d’informations : http://www.raphael-hotel.com

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Dans la jungle ougandaise, les gorilles protégés par les touristes

La forêt de Bwindi abrite quelque 400 gorilles de montagne, soit à peu près la moitié de la population de cette espèce dans le monde. Dans cette région reculée, ce sont les revenus du tourisme qui aident à protéger les grands singes, que les paysans chassaient par le passé pour défendre leurs champs.

« Pour protéger cette espèce menacée, nous devions montrer le bénéfice économique lié aux gorilles », explique Charles Tumwesigye, vice-directeur chargé de la conservation au sein de l’Autorité ougandaise pour la faune sauvage (UWA, publique).

« Le tourisme a débuté comme un moyen de montrer aux populations que les gorilles peuvent avoir une importance économique, que nous pouvons en tirer des revenus pouvant améliorer notre quotidien », dit-il.

L’Ouganda et deux de ses voisins, le Rwanda et la République démocratique du Congo (RDC), sont les seuls pays où vivent aujourd’hui ces gorilles de montagne.

Mais le privilège de les voir dans leur milieu a un prix : environ 600 dollars le « permis de pistage » dans la forêt de Bwindi.

Savoir que cet argent aide à protéger les gorilles « aide à avaler la pilule », confie Blaise Peccia-Galleto, un touriste français. Et puis, dit-il, les visiteurs ont le sentiment de vivre ici « quelque chose de vraiment à part ».

Les menaces qui naguère pesaient sur les gorilles de montagne – guerre, destruction de leur habitat et maladie, notamment – étaient telles que leur disparition était quasiment programmée pour la fin du siècle dernier. Pourtant, leur population a augmenté ces dernières décennies, largement grâce à l’intensification des efforts pour les protéger.

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Dubaï veut construire le plus grand centre commercial du monde

Le « Mall of the world » (Mall du monde), qui s’étendra sur une superficie de 743 000 mètres carrés, sera relié à un réseau de rues commerçantes dont la température sera contrôlée, a annoncé le gouvernement de Dubaï dans un communiqué.

Le complexe du Mall du monde comprendra également « le plus grand parc d’attractions à thème couvert du monde » ainsi qu’un quartier culturel abritant des théâtres, et sera relié à une centaine d’hôtels et appartements meublés.

« Les promenades de sept kilomètres de long qui relieront tous les bâtiments resteront ouvertes pendant l’hiver et seront couvertes l’été » pour échapper à la chaleur de l’émirat, où les températures frôlent les 50 degrés de juin à septembre.

Le gouvernement n’a pas précisé à quelle date les travaux doivent débuter pour ce projet, dont est chargé Dubai Holding, appartenant au souverain de Dubaï, cheikh Mohammed ben Rached Al Maktoum.

« Nous avons des ambitions plus larges que celles d’avoir un tourisme saisonnier. Nous voulons faire des Émirats une destination touristique tout au long de l’année », a expliqué le souverain, cité dans le communiqué.

Dubaï espère par ce projet gigantesque attirer 180 millions de visiteurs par an.

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À New York, une exposition pour ne plus avoir peur des araignées

L’arachnophobie, la peur irrationnelle des araignées, touche des dizaines de millions de personnes dans le monde, en particulier des femmes. C’est une des phobies les plus communes du monde occidental.

Pourtant, selon les scientifiques, les aranéides à huit pattes, tarentules et scorpions inclus, ne sont pas dangereux pour les humains, éloignent les insectes et peuvent même aider à soigner certaines maladies.

Vingt espèces vivantes sont les stars de la nouvelle exposition du Musée d’histoire naturelle à New York, qui abrite déjà habituellement la plus grande collection d’araignées au monde.

Spiders Alive! (Araignées vivantes!), présentée jusqu’au 2 novembre, permet aux visiteurs d’approcher araignées, tarentules et scorpions, de poser des questions et d’évoquer leurs peurs.

Le conservateur de l’exposition, Norman Platnick, arachnologue de réputation mondiale, invite tout particulièrement ceux qui en ont peur à venir les découvrir.

« Je pense que la peur est une chose apprise, et c’est irrationnel », explique-t-il en imputant la faute aux parents et aux médias.

Spiders Alive! présente ses araignées comme des « créatures jolies et fascinantes, extrêmement utiles à l’homme ».

En tuant de nombreux insectes, elles ont permis à l’homme de se développer, explique Norman Platnick.

Sans elles, les populations humaines seraient moins nombreuses, voire inexistantes.

Plus anciennes que les dinosaures, elles ont commencé à évoluer il y a plus de 300 millions d’années.

Une des araignées exposées au Musée d’histoire naturelle de New York a été emprisonnée dans la résine il y a 20 millions d’années. Un fossile calcaire d’araignée date d’il y a 100 millions d’années.

Si beaucoup d’espèces possèdent des glandes à venin, moins de 1 % des 43 000 espèces connues sont dangereuses pour l’homme, selon le musée.

Et elles ne sont pas non plus enclines à mordre ou à se battre. Selon Norman Platnick, beaucoup sont trop petites pour pénétrer la peau humaine, et les morsures de celles qui le peuvent n’auront quasiment pas d’effet.