Catégories
Dossier moyen (600 mots)

À la découverte de la Chine

La Cité Interdite
Véritable merveille architecturale construite en 1420, la « Cité Pourpre Interdite» étend ses célèbres palais impériaux rouges aux toits de tuiles jaunes vernissés en forme de pagode sur plus de 72 hectares. Les hauts murs rouges, couleur symbole de joie et de fête, qui entourent ce vaste ensemble sont percés de quatre portes monumentales que nul ne pouvait franchir sans autorisation de l’empereur.

En pénétrant dans l’enceinte de l’ancienne ville impériale où se succédèrent vingt-quatre empereurs et leur cour, vous découvrirez les splendeurs incroyablement bien préservées des dynasties Ming et Qing.

Palais, pavillons qui abritaient femmes, concubines et eunuques, cours et jardins composent un ensemble de plus de 9 000 pièces. Dans le palais de l’Harmonie Suprême, le plus grand d’entre eux, vous admirerez le trône du dragon recouvert d’or, siège impérial. Dressées à l’entrée des palais, des statues de lionnes, symbole de la continuité, semblent toujours monter la garde.
 
Le Palais d’Eté et les Jardins de l’Empereur
Situé à une vingtaine de kilomètres de Pékin, ce gigantesque parc vallonné qui servait de résidence estivale à la famille impériale et à son entourage est un chef-d’œuvre de l’art des jardins paysagers chinois. Dans l’air pur de ces « petites montagne », une promenade le long de l’immense lac Kunming qui occupe les trois quarts des 290 hectares du palais est féerique et, l’hiver, les Pékinois s’offrent de belles glissades sur ses eaux gelées.
Il faudrait plusieurs jours pour visiter les innombrables palais, pavillons et jardins qui s’élèvent dans ce parc. Vous y verrez de purs joyaux comme le bateau de marbre, un salon de thé érigé selon les désirs de l’impératrice Cixi, la pagode Yu Fen sur la colline Yu Quan qui offre un panorama étourdissant, la galerie couverte, le pont aux dix-sept arches…
 
La Grande Muraille
« Celui qui n’a pas gravi la muraille n’est pas un brave », affirme un adage chinois à propos de cette construction militaire qui étend ses fortifications escarpées sur plus de 6 500 km.

Situé à 70 km de la capitale, le site de Badaling est l’un des mieux restauré avec ses tours de guet carrées et ses fortins militaires qui jalonnent « La muraille infinie ». L’assaut de centaines de marches de ce tronçon considéré comme le premier passage crucial peut commencer, offrant des perspectives extraordinaires sur ce chemin de garde qui sinue à travers la montagne verdoyante. Les sites de Mutianyu et de Simatai sont également des points de départ d’excursions remarquables.
  
Le saviez-vous ?
Les hutongs
Les hutongs, étroites ruelles des vieux quartiers de la capitale chinoise, étaient autrefois des chemins qui reliaient les points d’eau. En effet, le mot hutong vient du mot mongol « hottog » qui signifie « puit ». Aujourd’hui, beaucoup ont été détruits.
 
Spécial patrimoine mondial de l’Unesco
L’ancien Empire du Milieu compte pas moins de 29 sites inscrits au patrimoine mondial par l’Unesco, preuve de sa richesse architecturale et historique exceptionnelle.
  
Les coups de coeur
Une promenade au marché d’antiquités de Tianjin.

Un séjour balnéaire à Qingdao, surnommée « l’île verte ».

Prendre le téléphérique jusqu’au sommet du pic Xiangshan qui dévoile un panorama époustouflant jusqu’aux gratte-ciels de Pékin.

La visite des tombeaux des Ming qui gisent dans un splendide cirque naturel.

Découvrir le « Nid d’Oiseaux » l’un des sites olympiques où se déroulent les Jeux Olympiques 2008.
 
A savoir avant de partir
La meilleure période : printemps et automne.
Quelques précautions : pour des raisons de sécurité, il est conseillé de visiter la Grande Muraille à partir des sites indiqués par les autorités. Attention aux pickpockets à Pékin.
N’oubliez pas d’emporter des vêtements adaptés à la saison : il peut faire très chaud, très froid et les pluies sont parfois torrentielles.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Bali : Les temples et lieux sacrés

Les dieux et les fêtes
Les Balinais sont restés hindouistes dans l’Indonésie musulmane, mais ils ont intégré l’animisme et le culte de la nature de leurs ancêtres. Leur panthéon reconnaît de nombreuses divinités faisant l’objet de vénération. Le calendrier balinais recense de nombreuses célébrations, la plus importante (tous les 210 jours) est le Galungan. Trois jours de ferveur pour les pèlerins apportant des offrandes, du riz, des fleurs, de l’encens aux dieux.
 
Besakih
Temple « mère », les anciens y vénéraient le dieu du volcan. Sous les royaumes hindouistes du XIVe siecle, il est devenu le temple le plus sacré de Bali (au pied du mont Agung). On y vénère Brahma le créateur, Vishnu le protecteur, Shiva le destructeur… Une route pavée mène aux 170 sanctuaires repartis en terrasses. Visitez-le lors d’une fête religieuse (une cinquantaine dans l’année) qui anime, par ses processions, la rigueur des lieux.
 
Pura Kehen
Un dragon terrifiant vous accueille en haut d’un monumental escalier orné de sculptures en pierre volcanique et flanqué d’éléphants. Ses mains griffues arrêtent les mauvais esprits. Sanctuaire en trois terrasses du XIe siècle, Pura Kehen est le deuxième plus grand temple de Bali.
 
Lac Bratan
Ulun Danu est un temple hindo-boudhiste qui reflète la silhouette de son toit étagé, en onze paliers, dans les eaux calmes du lac Bratan. Consacré à la déesse des Eaux, c’est l’un des plus élégants lieux de méditation de Bali. Le paysage est nimbé de sérénité, parfois contrariée par l’arrivée des cars de visiteurs.
 
Uluwatu
Dans la presqu’île de Bukit, voisin des hôtels de Nusa Dua, ce petit temple du IXe siècle se niche en haut d’un étroit promontoire surplombant l’océan. Vous le découvrirez en haut d’un escalier bordé de frangipaniers. Il est dédié aux dieux de la mer, mais ce sont les singes qui en sont les gardiens malicieux.
 
Tanah Lot
Autre temple marin fondé au XVe siècle par un prêtre brahmane, Tanah Lot est construit sur un rocher en pleine mer au large de Kediri. Très fréquenté par les touristes venant admirer la splendeur de ses couchers de soleil, allez plutôt le découvrir le matin.
 
Sangsit
Au nord-est de Singaraja, le Pura Beji de Sangsit est un temple consacré à la déesse du Riz. De style baroque flamboyant propre au nord de l’île, il a été construit au XVe siècle.
 
Mengwi
Le Pura Taman Ayoun, de l’ancienne capitale royale de Mengwi, est un temple tranquille entouré de douves, érigé au XVIIe siècle.
 
Gunung Kawi
La « montagne des poètes » est un site grandiose qui abrite un temple du XIe siècle taillé dans le flanc de la roche volcanique. Vous y verrez d’étranges tombeaux, monuments funéraires glorifiant les familles royales dans l’au-delà et des bassins de purification alimentés par les sources montagnardes.
 
Taman Ayun
Mont sacré situé au sud de Bali, c’est aussi le plus haut, il culmine à 3 142 m. Siège des dieux, il est le point de convergence de toute la spiritualité de l’île régissant l’orientation des temples et des autels. Vous pouvez accéder à son temple après une ascension d’une bonne heure.
 
Goa Gadjah
La « grotte de l’éléphant » de Bedulu est une crevasse qui servait d’ermitage aux moines au XIe siècle. Découverte en 1923, elle tient son nom d’un monstre sculpté, nanti d’oreilles de pachyderme, d’yeux exorbités et de dents menaçantes. Il est devenu le masque balinais le plus populaire. D’autres créatures fantastiques hantent le lieu.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

À la découverte de Bali

Les sites incontournables

Les stations balnéaires
Au sud de Denpasar la capitale, Kuta, ancien village de pêcheurs lancé par les hippies des « seventies », est devenu le lieu branché idéal pour un shopping effréné de batiks, de vêtements, de masques, de souvenirs… Voisine, Legian plus chic et plus calme, est une station prisée. Sanur, resort hôtelier embourgeoisé, est resté proche des Balinais. Enfin la presqu’île de Nusa Dua, isolée au sud de l’île, avec ses golfs, ses hôtels et spa de luxe, demeure exclusive.
 
Entre splendeurs naturelles et temples étonnants
En visitant le parc national de Bali Barat et la région de Tabanan, au Nord, vous apercevrez des paysans labourant les rizières aidés de buffles lourdauds et des femmes repiquant le riz. Sur le lac Bratan, allez voir le temple de Ulun Danu, beau sanctuaire hindouiste.
Le Gunung Batur ancien volcan, accroche le temple de Tegeh Karipan à son flanc, vous grimperez 300 marches pour y accéder. Le lac Batur et les sources chaudes de Toya Bungkah donnent lieu à des cérémonies rituelles.
N’oubliez pas de faire l’ascension du Gunung Agung qui culmine à 3 142 m, à l’est de l’île. C’est le mont sacré des Balinais. Vous l’escaladerez en 6-7 h, avec de bonnes chaussures et un (vrai) guide. Dans les environs, le temple de Besakih, le plus gigantesque et le plus sacré de l’île, abrite 170 sanctuaires.
 
Ubud, village d’artistes
Village d’artistes et gardien des traditions, Ubud et sa région comptent de nombreuses galeries spécialisées dans la peinture naïve locale. Le palais est un ensemble de gracieux pavillons au cœur de jardins luxuriants. La grotte de l’Eléphant, ermitage du XIe siècle, est creusée dans la roche.
  
Le saviez-vous ?
Traditions
Bali est la seule île d’Indonésie à être restée essentiellement hindouiste. Les combats de coqs, interdits depuis 1981, sont pourtant encore pratiqués dans les villages. Le limage des dents se pratique toujours ; les incisives sont limées afin de leur enlever leur agressivité apparente. Les Balinais tournent le dos à la mer, royaume des esprits maléfiques, et se tournent vers le sommet sacré du mont Agung.
 
Le sens des mots
Le « sarong » est une étoffe qui se drape sur les hanches, indispensable pour pénétrer dans les temples. Le « gamelan » est un orchestre qui met en scène les tambours dont le mythique « barong ». Le « banian » est l’arbre sacré des villages et des temples.
  
Les coups de coeur
Les cortèges de Balinais aux sarongs multicolores qui portent des fleurs, des fruits et de l’encens aux divinités.
Le coucher de soleil sur le temple marin de Tanah Lot.
L’ascension du mont Batur et du mont Agung pour le panorama impressionnant sur Bali.
  
A savoir avant de partir
La meilleure période : Bali a une saison sèche de mai à novembre-décembre et une pluvieuse de janvier à avril. Préférez mai, septembre et octobre, mois moins fréquentés.
Quelques précautions : attention aux singes qui peuvent parfois être agressifs et voleurs. La location de voiture avec chauffeur est à recommander, car les routes sont complexes.
N’oubliez pas d’emporter des vêtements légers en coton, un vêtement de pluie, une lampe de poche, vos médicaments, des crèmes solaires, un chapeau et une petite pharmacie.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Bahamas : Passion golf

Des expériences inoubliables
En effet, quelle expérience enivrante de pratiquer sa passion dans la douceur de la brise tropicale en écoutant le chant des oiseaux ! Ici, le clapotis des vagues des eaux cristallines et les plages de sable immaculé sont toujours à portée de fer.
Les parcours, d’excellent niveau, offrent de superbes défis que les golfeurs du monde entier sont heureux de relever ; les massifs de bougainvillées, les hibiscus et les flamboyants bordent les greens, tandis que les lézards paressent sur les fairways et que les papillons multicolores voltigent autour de vous. Les Bahamas figurent dans le PGA Tour et le PGA d’Amérique ; de prestigieux tournois y sont organisés chaque année.
 
Nassau et Paradise Island
Ocean Golf & Beach Resort : dessiné par Tom Weiskopf et géré par Troon Golfs, il s’agit d’un parcours 18 trous de championnat qui offre des sensations inégalées dans le cadre exceptionnel du One&Only Resort à Paradise Island.

Cable Beach Golf Course : situé sur New Providence, voilà l’un des parcours 18 trous de championnat parmi les meilleurs des Caraïbes. Son tracé déroule des fairways spacieux, agrémentés de buttes et d’une magnifique succession de lacs ; et il est ponctué de greens bien protégés. Les quatre tees de départ s’adaptent à tous les niveaux de jeu.
 
The Abacos
Treasure Cay Golf Course : conçu par Dick Wilson, ce parcours 18 trous s’avère tout à fait technique et difficile. Avec soixante-six bunkers, le vent de l’océan et des fairways longs et étroits, il représente un formidable défi pour tous les golfeurs.

The Abaco Club on Winding Bay : c’est un parcours 18 trous tropical dans un site de toute beauté. Là, dans un cadre privilégié, les fairways se déploient le long de trois kilomètres de plage de sable et de dunes. Et le club house, en hauteur, offre des vues à couper le souffle sur les eaux turquoise de la baie.
 
Great Exuma
Four Seasons Golf Club : signé Greg Norman, ce parcours 18 trous est niché dans les dunes ou dans la mangrove. Son tracé, vraiment d’une étonnante beauté, suit le littoral, offrant des vues exceptionnelles sur l’océan et sur la péninsule rocheuse d’Emerald Bay.
 
Eleuthera

Cotton Bay Club : ce 18 trous, que l’on doit à Robert Trent John Jr, se joue sur un terrain relativement plat, avec de larges greens et des fairways soulignés d’arbres tropicaux. Les trous situés en bordure de plage sont très agréables à jouer.
 
Grand Bahama Island
The Reef Golf Course : dessiné par Robert Trent Jones, Jr., ce links est classé parmi les trois meilleurs parcours des Caraïbes. Avec ses larges fairways, ses bunkers traîtreusement positionnés et des lacs qui protègent les greens sur treize trous, ce parcours est un vrai défi. Sans oublier le vent océanique qui est toujours de la partie !

The Lucayan Golf & Country Club : conçu par Dick Wilson en 1962, c’est un parcours 18 trous exigeant qui demande de la précision. Les greens bien protégés et les fairways larges qui « s’éparpillent » à plaisir dans les sous-bois tropicaux sont une particularité du Lucayan Golf & Country Club. Un parcours difficile lorsque le vent souffle.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Bahamas : Passion golf

Des expériences inoubliables
En effet, quelle expérience enivrante de pratiquer sa passion dans la douceur de la brise tropicale en écoutant le chant des oiseaux ! Ici, le clapotis des vagues des eaux cristallines et les plages de sable immaculé sont toujours à portée de fer.
Les parcours, d’excellent niveau, offrent de superbes défis que les golfeurs du monde entier sont heureux de relever ; les massifs de bougainvillées, les hibiscus et les flamboyants bordent les greens, tandis que les lézards paressent sur les fairways et que les papillons multicolores voltigent autour de vous. Les Bahamas figurent dans le PGA Tour et le PGA d’Amérique ; de prestigieux tournois y sont organisés chaque année.
 
Nassau et Paradise Island
Ocean Golf & Beach Resort : dessiné par Tom Weiskopf et géré par Troon Golfs, il s’agit d’un parcours 18 trous de championnat qui offre des sensations inégalées dans le cadre exceptionnel du One&Only Resort à Paradise Island.

Cable Beach Golf Course : situé sur New Providence, voilà l’un des parcours 18 trous de championnat parmi les meilleurs des Caraïbes. Son tracé déroule des fairways spacieux, agrémentés de buttes et d’une magnifique succession de lacs ; et il est ponctué de greens bien protégés. Les quatre tees de départ s’adaptent à tous les niveaux de jeu.
 
The Abacos
Treasure Cay Golf Course : conçu par Dick Wilson, ce parcours 18 trous s’avère tout à fait technique et difficile. Avec soixante-six bunkers, le vent de l’océan et des fairways longs et étroits, il représente un formidable défi pour tous les golfeurs.

The Abaco Club on Winding Bay : c’est un parcours 18 trous tropical dans un site de toute beauté. Là, dans un cadre privilégié, les fairways se déploient le long de trois kilomètres de plage de sable et de dunes. Et le club house, en hauteur, offre des vues à couper le souffle sur les eaux turquoise de la baie.
 
Great Exuma
Four Seasons Golf Club : signé Greg Norman, ce parcours 18 trous est niché dans les dunes ou dans la mangrove. Son tracé, vraiment d’une étonnante beauté, suit le littoral, offrant des vues exceptionnelles sur l’océan et sur la péninsule rocheuse d’Emerald Bay.
 
Eleuthera

Cotton Bay Club : ce 18 trous, que l’on doit à Robert Trent John Jr, se joue sur un terrain relativement plat, avec de larges greens et des fairways soulignés d’arbres tropicaux. Les trous situés en bordure de plage sont très agréables à jouer.
 
Grand Bahama Island
The Reef Golf Course : dessiné par Robert Trent Jones, Jr., ce links est classé parmi les trois meilleurs parcours des Caraïbes. Avec ses larges fairways, ses bunkers traîtreusement positionnés et des lacs qui protègent les greens sur treize trous, ce parcours est un vrai défi. Sans oublier le vent océanique qui est toujours de la partie !

The Lucayan Golf & Country Club : conçu par Dick Wilson en 1962, c’est un parcours 18 trous exigeant qui demande de la précision. Les greens bien protégés et les fairways larges qui « s’éparpillent » à plaisir dans les sous-bois tropicaux sont une particularité du Lucayan Golf & Country Club. Un parcours difficile lorsque le vent souffle.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

À la découverte des Bahamas

Les sites incontournables

Hospitalité et art de vivre à Nassau
Sur l’île de New Providence, Nassau, la capitale, est un port franc réputé pour ses achats hors taxes. Ici, ne manquez pas de parcourir Bay Street, l’artère historique, pour ses boutiques de luxe. Mais aussi le marché de la Vannerie (Straw Market), le seul endroit où l’on marchande, The Bahamas Historical Museum, le Pompey Museum consacré à l’histoire de l’esclavage, Balcony House, la plus ancienne maison en bois de Nassau ou la National Art Gallery.
 
Un kaléidoscope enchanteur
Reliée au centre ville de Nassau par deux ponts, Paradise Island décline des plages idylliques, un golf et le plus grand casino des Caraïbes. Remarquables : le Cloître Français, les dauphins de Blue Lagoon Island et l’aquarium d’Atlantis. Autre île paradisiaque, Grand Bahama incite à profiter de tous les sports nautiques. Sans oublier la possibilité de nager avec les dauphins du centre Unexso.
 
Rêves d’absolu
Les Out Islands, avec leurs plages immaculées, leurs jardins de corail et leurs villages authentiques sont idéales pour les passionnés de nature préservée. Visitez Abaco, la capitale de la plaisance ; Eleuthera, le paradis des amoureux ; Harbour Island, avec la plus célèbre des plages de sable rose ; The Exumas pour The Exuma Cays Land et Sea Park, le refuge de nombreuses espèces terrestres et marines ; San Salvador, sommet émergé d’une montagne sous-marine.

Enfin, vous prendrez plaisir à découvrir les trésors de Andros, la plus grande et aussi la moins fréquentée des Bahamas ; de Inagua, le paradis des oiseaux avec les 60 000 flamands roses qui nichent à Lake Windsor ; de Bimini, capitale de la pêche au gros ; de Cat Island avec ses plages sauvages, ses collines et ses forêts denses.
 
Une pléiade d’activités
Dans ce havre de douceur, préparez-vous à vivre des expériences uniques : observation des oiseaux, nage avec les dauphins, sports nautiques… La liste semble sans fin. Les pêcheurs au gros ou à la mouche se retrouvent aux Bahamas pour pêcher dans les eaux poissonneuses peuplées de marlins bleus, mérous, albulas (le superbe bonefish transparent)… Les quatre parcs nationaux de Grand Bahama offrent également de magnifiques sorties à thème pour un écotourisme de qualité. Et, bien sûr, aux Bahamas, plus de 1 000 sites de plongée sous-marine invitent à de fantastiques explorations d’une faune et d’une flore d’une grande richesse.
  
Le saviez-vous ?
Souvenez-vous d’Hemingway…
Les eaux qui entourent l’île de Bimini doivent leur célébrité à Ernest Hemingway qui en fit le lieu du récit du « Vieil Homme et la Mer ».
 
People to people
Pour accueillir les visiteurs, il existe un programme personnalisé baptisé « People to People » qui favorise les rencontres avec les habitants. Unique en son genre, il est gratuit et permet de découvrir la chaleur et l’authenticité des Bahaméens. 
  
Les coups de coeur
La Balcony House, la plus ancienne maison en bois de Nassau.
Se marier dans le Cloître français du XIVe siècle.
Une plongée près de la « Langue de l’Océan », une faille de1 800 m.
Assister à la parade du Junkanoo (carnaval), en décembre à Nassau
Un safari nature dans un des parcs nationaux de Grand Bahama.
  
A savoir avant de partir
La meilleure période : toute l’année
Quelques précautions : ne boire que de l’eau en bouteilles, sans glaçons. Evitez de consommer des aliments peu ou pas cuits.
N’oubliez pas d’emporter vos médicaments habituels, une petite pharmacie (anti-moustiques et anti-diarrhéiques, collyre), des lunettes de soleil, de la crème solaire…

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Australie : La grande barrière de corail

Un paysage de rêve
Au large de l’Etat du Queensland, situé dans le nord-est de l’Australie, s’étend sur plus de 2 000 kilomètres une véritable merveille de la nature. La Grande Barrière de Corail représente le plus vaste ensemble de récifs coralliens et d’îles au monde. The Great Barrier Reef offre des décors fabuleux, entre le bleu turquoise de l’océan Pacifique, les fonds tapissés de coraux, les poissons, les oiseaux, les cocotiers et le sable blanc. La concentration et la diversité des espèces lui confèrent une réputation planétaire dans le secteur de la plongée sous-marine. La Grande Barrière de Corail est inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, mais est aussi considérée comme étant la huitième merveille du monde touristique grâce à des aménagements de tout premier plan à la fois luxueux et admirablement intégrés au cadre naturel.
 
Une merveille de la nature
Le récif est l’œuvre de minuscules animaux primitifs, les coraux. Ce sont de minuscules animaux primitifs d’environ un centimètre de diamètre, proches des étoiles de mer, qui secrètent à l’extérieur de leur corps un squelette de calcaire qui peut grandir selon les espèces de 1 à 10 cm par an. Les milliards de squelette imbriqués depuis des millénaires les uns aux autres forment les gigantesques cathédrales sous-marines qui soutiennent la base des récifs coralliens. L’accumulation de ces squelettes finit par former d’immenses massifs qu’on appelle récifs. Certains récifs sont vieux de plusieurs millions d’années.Il existe des coraux de toutes les couleurs et formes qui offrent un spectacle sous-marin extraordinaire et un refuge pour des dizaines de milliers d’espèces différentes, le tout dans des eaux entre 21 et 29,5 degrés. Néons, poissons clown, castagnoles, étoiles de mer… : 400 espèces de coraux de toutes les formes et toutes les couleurs abritent plus de 1 500 espèces de poissons et crustacés.
 
Un chapelet d’îles
Le Reef ne forme pas une muraille continue, mais est composé d’un assemblage complexe de récifs. Entre le récif proprement dit et la côte, le lagon est parsemé de plus de 900 îles et îlots de toutes tailles. Deux d’entres elles, Green Island au Nord, et Heron Island au Sud sont entièrement coralliennes. Les îles aménagés pour le tourisme sont reliés à des « gateways », des portes d’accès sur la côte, par avion, hélicoptère ou bateau. Les principaux points de départ des excursions sont Cooktown, Hinchinbrook, Townsville, Mackay, et Cairns, la capitale mondiale de la pêche.
 
De nombreuses activités
De nombreuses activités sont proposées pour permettre à chacun de découvrir la région à son rythme : balade sur les îles, croisière en bateau, observation des oiseaux, plongée sous-marine ou simplement avec masque et tuba. Quelle que soit la période de l’année, le climat de la région est agréable et la température de l’eau ne descend que rarement en-dessous des 20 degrés. Le nec plus ultra reste la découverte du Reef à la voile en louant sur place un bateau pour une croisière de quelques jours ou pourquoi pas de quelques semaines ! Pour les néophytes de la régate, de nombreuses croisières sont quotidiennement organisées autour de l’archipel de Whitsunday. Toutes les formules existent. Hydravion, survole en hélicoptère, plongée sous-marine pour observer les requins de jour comme de nuit, ou encore découverte de la faune avec masque et tuba, vous avez l’embarras du choix. Les amateurs de photographie se régaleront en réalisant de merveilleux clichés des fonds sous-marins.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

À la découverte de l’Australie

Les sites incontournables

Des villes magiques
Capitale pleine de vie de la Nouvelle Galles du Sud, Sydney mérite une halte de quelques jours. Dans le centre ville, promenez-vous dans The Rocks pour découvrir les abords animés du Sydney Harbour Bridge et le célèbre Opera House, symbole de l’Australie. A Darling Harbour, visitez le National Maritime Museum, le Gavala Aboriginal Art and Education Centre et l’Aquarium avant de vous reposer dans le Jardin Chinois. Et puis, depuis Sydney, vous pouvez aussi faire une excursion aux Blue Mountains ou à Port Stephens pour ses plages paradisiaques.
A Canberra, la capitale de l’Australie, vous découvrirez la Parliament House ou la National Gallery of Australia, et aux environs, les vignobles du Canberra District, le parc national de Namadgi, sans oublier le lac Burley Griffin, et les Gibraltar Falls.

A Melbourne (Victoria), ne manquez pas le Victoria Arts Center, le Melbourne Museum, les Royal Botanical Gardens, et le Queen Victoria Market. A Adélaïde (Australie-Méridionale), l’Aboriginal Cultures Gallery du South Australian Museum, et, aux environs, le National Aboriginal Cultural Institute (Tandanya). A Hobart (Tasmanie), le quartier de Battery Point, les Royal Tasmanian Botanical Gardens, et le célèbre Tasmanian Museum and Art Gallery.
 
L’incroyable Centre Rouge
Le Centre Rouge, situé dans le Territoire du Nord, représente un « must ». Rendez-vous à Alice Springs. Là, prenez tout d’abord la rue principale, Todd Street Mall, pour chiner dans les galeries d’art aborigène. Ensuite, vous irez au Royal Flying Doctor (bureau des médecins volants) et à la School of the Air (école de l’air) pour comprendre la vie des habitants des fermes isolées de l’Outback (intérieur du pays). Magnifiques : le Alice Springs Desert Park et sa grande variété de plantes et d’animaux du désert, Kings Canyon pour ses panoramas à couper le souffle.

Maintenant Ayers Rock (Uluru), la montagne sacrée des Aborigènes. Autre symbole de l’Australie, il s’agit d’un rocher gigantesque de 348 m de hauteur et de 9 km de circonférence qui se dresse dans le Uluru-Kata Tjuta National Park.
 
Cap sur l’Etat du Soleil
Au Queensland, la Grande Barrière de Corail, qui s’étend sur 2 000 km de long, est un lieu unique pour les passionnés de plongée sous-marine. Entre Cairns et Brisbane, capitale décontractée et attachante du Queensland, plus de 600 îles posées sur l’eau comme un collier de perles s’offrent aujourd’hui à votre imagination. A vous de choisir ! Lizard Island : un lieu d’exception. Bedarra Island : une terre privée pour vivre des moments inoubliables. L’archipel des Whitsundays : 74 îles entourées d’eau cristalline. Heron et Lady Musgrave : des sites mondialement connus pour la plongée sous-marine. Fraser Island : pour ses étendues sauvages de sable avec d’énormes dunes.
 
Le saviez-vous ?
Réjouissances à Sydney
Sydney, entre shopping, animations et spectacles, est un festival de réjouissances. N’oubliez pas d’aller déguster des huîtres de roche dans l’un des nombreux restaurants qui donnent sur le port avant de partir en ferry faire du surf à Manly ou à Bondi Beach.
 
Intense et spectaculaire
Voici deux moments inoubliables d’un voyage en Australie : assister au lever ou au coucher du soleil avec l’Uluru en arrière-plan, faire une randonnée à travers la Valley of the.
  
Les coups de coeur
La culture et des traditions aborigènes.
La plongée sous-marine (Grande Barrière de Corail).
Le sens inné de l’hospitalité australienne.
Des vins de qualité et des trésors gastronomiques.
 
A savoir avant de partir
La meilleure période : d’avril à mai et de septembre à octobre.
Quelques précautions : ne pas prendre les animaux (requins, méduses, araignées, scorpions et autres serpents) à la légère !
N’oubliez pas d’emporter des lunettes de soleil, de la crème solaire, une petite pharmacie, une moustiquaire si vous souhaitez camper, des vêtements amples et longs pour le soir, ainsi qu’un maillot de bain !

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Argentine : Safari en Terre de Feu

Toute la magie d’une terre préservée
Archipel composé de l’île Grande également appelée Terre de Feu et d’une vingtaine d’autres plus petites, la Terre de Feu fait partie de la Patagonie dont elle est cependant séparée par le détroit de Magellan. C’est le navigateur portugais du XVIe siècle qui lui donna le nom de Tierra de Fuego après avoir aperçu des colonnes de fumées s’élever dans le ciel alors qu’il recherchait un passage vers l’Ouest.
 
Entrez dans les légendes…
Ces terres de légendes indiennes ont gardé leur magie intacte, offrant leur beauté presque irréelle au voyageur. A la poésie qui émane des hautes falaises plongeant dans les eaux, des fjords escarpés ou des glaciers immaculés qui se parcourent à traîneau ou à ski se mêle un sentiment d’éternité. Et la rencontre de baleines, de phoques, de morses ou de dauphins au cours d’une promenade en bateau procure des émotions puissantes. Hôtes des vastes estancias, les chevaux attendent les cavaliers tandis que les moutons pâturent dans des mers de verdure à peine distraits par un vol de cormorans.
 
La capitale de la Terre de Feu
Ultime étape avant le cap Horn, Ushuaia, capitale de la Terre de Feu, est la ville la plus australe du monde. Située au bord du canal de Beagle qui relie l’Atlantique au Pacifique et dominée par les superbes monts Martial, elle offre une fabuleuse combinaison entre la mer, les glaciers, la montagne et les forêts. C’est un formidable point de départ pour de multiples excursions comme le trekking en forêt, les ballades enneigées ou les promenades en catamaran.
 
A partir d’Ushuaia
L’anse d’Ushuaia déroule un paysage fantastique de fjords, de falaise et de plages. En haut du glacier Le Martial que l’on atteint par un télésiège, la vue panoramique sur le canal de Beagle et la ville d’Ushuaia est unique. En cheminant sur la passerelle qui surplombe le port d’Ushuaia on pénètre dans le quartier de la Mission où s’établirent les premiers colons. Souvenir d’un passé révolu, le Presidio, ancien bagne légendaire, a été transformé en musée maritime. Et le célèbre musée du Bout du Monde témoigne de la richesse culturelle des derniers Indiens. Dressé sur un îlot du canal de Beagle, le phare des Eclaireurs se détache en larges bandes rouges et blanches. Le soir, on déguste les succulentes « centolla », les araignées de mer géantes qui abondent dans le canal. Le canal Beagle rejoint l’île Alicia, célèbre pour ses nombreux cormorans impériaux. Plus au large, l’île de Los Lobos avec ses loups de mer, l’île de los Parajos peuplée d’oiseaux comme les cormorans où les îles Bridges sont des excursions remarquables.
 
Le parc national de la Terre de Feu
Dominé par le sommet enneigé du mont Condor, à la frontière avec le Chili, c’est ici que se termine la route venant de Buenos Aires distante de quelque 3 000 km. Une multitude d’espèces peuplent ce paradis animalier. Ici, l’élégant guanaco, semblable au lama en plus fin et plus véloce, le renard rouge, la loutre se mélangent aux espèces introduites par l’homme comme le vison, le renard gris ou le castor. Les oiseaux aussi sont de la fête : de l’albatros hurleur au condor jusqu’au petit colibri, du flamand rose aux aigles et aux faucons, ou encore aux perruches, le parc abrite une centaine d’espèces.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

À la découverte de l’Argentine

Les incontournables

Buenos Aires
A l’embouchure du rio de Plata, la ville fondée par le conquistador Pedro de Mendoza en 1536 dégage, malgré son effervescence, une atmosphère teintée de nostalgie. En passant par la place de Mai, où bat l’histoire de Buenos Aires, vous admirerez le théâtre Colon ; vous passerez devant le « Tortoni », le plus ancien café littéraire de la ville, avant de faire une halte sur la très élégante Plaza Libertador San Martin. Pénétrer dans le quartier de San Telmo aux nombreuses maisons coloniales, c’est s’immerger dans le berceau historique du tango. Et l’ambiance bohême du quartier de la Boca avec ses maisons de bois et de zinc aux couleurs éclatantes, ses ateliers d’artistes et ses petits restaurants italiens vous ravira. Aux environs, vous découvrirez la vie des mythiques gauchos de la Pampa en visitant les immenses estancias de San Antonio de Areco.
 
Les chutes d’Iguazu
Dans le parc national d’Iguazu, cette merveille de la nature formée de 275 chutes d’eau qui se déversent en cascades sur un front de plusieurs kilomètres relie l’Argentine au Brésil. La vision de la plus impressionnante d’entre elles, la Gorge du Diable qui se jette avec fracas de quelque 80 m de haut, est inoubliable. Amplifiant ce panorama grandiose, l’exubérante forêt tropicale abrite une flore et une faune d’exception parmi lesquels des lianes orchidées, des perroquets et des toucans, des jaguars et des tatous ou encore des caïmans… Sensations garanties !
 
La Patagonie
Aux confins du continent sud-américain, cet immense territoire bordé par la cordillère des Andes s’étire jusqu’à la mythique Terre de Feu et se découvre au fil de paysages envoûtants balayés par les vents. Dans le parc Nahuel Huapi, les lacs et les montagnes rivalisent de beauté. Surnommée la « Suisse » de l’Argentine, Bariloche est réputée pour son délicieux chocolat. Au départ de Puerto Bandera, une excursion en bateau vous fera découvrir les couleurs miroitantes du gigantesque glacier Upsala (595 km2). Et la péninsule Valdès se révèle le paradis des mammifères et oiseaux marins.
 
Le saviez-vous ?
Parlons géographie…
L’Argentine est le huitième plus grand pays au monde. Toit des Amériques, l’Aconcagua culmine à 6 959 m. L’Argentine se divise en quatre zones géographiques : les Andes, le Nord et la Mésopotamie argentine, la Pampa et la Patagonie. La Terre de Feu doit son nom à Ferdinand de Magellan. Ici se déguste la meilleure viande au monde et des vins de qualité.
 
Le sens des mots
Que signifie « argentum » ? Argent. Ce nom latin fut donné à ce territoire par les conquistadores espagnols en raison des objets en argent que leur offrirent les indigènes à leur arrivée dans la région du Rio de la Plata, en 1516. Portenos ? Nom donné aux habitants de Buenos Aires : « ceux du port ». Asados ? Grillade de bœuf. Maté ? Cette infusion stimulante est la boisson nationale.
  
Les coups de coeur
Une croisière dans les fjords de Patagonie.
Une initiation au tango dans une milonga de Buenos Aires.
Une chevauchée à travers la Pampa.
Un trekking dans le parc d’Iguazu.
Le survol des lacs du Bariloche en parapente.
  
A savoir avant de partir
La meilleure période : d’octobre à mai.
Quelques précautions : en Patagonie, les températures peuvent varier très subitement et il faut se préparer à des températures variant de 25 à 0° dans la même journée.
N’oubliez pas d’emporter un maillot de bain et une doudoune, de la crème solaire et un coupe-vent, des lunettes de soleil, une petite trousse à pharmacie (anti-moustique, collyre)…