Ce sont des protestataires en accord avec le groupe antigouvernemental de l’Alliance populaire pour la démocratie (PAD) qui sont à l’origine de ce désagrément.
Le PAD occupait, à ce moment, les bureaux du premier ministre Samak Sundaravej depuis près d’une semaine, faisant ainsi pression dans le but de le voir démissionner après avoir obtenu son titre il y à peine sept mois.
C’est la force utilisée par les services de l’ordre qui ont permis de mettre fin à ce calvaire des voyageurs, dissipant ainsi la frustration des touristes qui ne désiraient pas être mêlés à une histoire politique qui ne les regardait pas.