Divorcé de Jennifer Lopez depuis janvier 2025 après seulement deux ans de mariage, Ben Affleck semble prêt à tourner la page… et il semblerait qu’il ait toujours eu l’oeil sur une autre icône hollywoodienne: Angelina Jolie.
Selon le Daily Mail, l’acteur et réalisateur aurait depuis longtemps un faible pour la star. Lorsqu’un ami lui a récemment demandé quelle était sa star de cinéma préférée, Ben a nommé sans hésiter l’ex de son bon ami, Brad Pitt!
«Ben a toujours pensé qu’elle était très sexy et il admire la manière dont elle a mené sa carrière. Il l’a décrite comme une femme intelligente», affirme une source.
Mais l’attirance ne s’arrête pas à l’apparence ou au charisme d’Angelina.
«Il trouve aussi génial qu’elle ait réalisé des films, tout comme lui avec The Town ou Argo. Ils auraient certainement beaucoup à se dire autour d’un repas!», ajoute la source.
Ce nouveau crush arrive alors qu’une autre source confiait en février dernier au magazine People que Ben sortait de manière occasionnelle, mais que la romance n’était pas sa priorité du moment, préférant se concentrer sur son travail — lui qui a actuellement trois films en développement et deux en production!
L’acteur a récemment été lié à Kathleen ‘Kick’ Kennedy, la fille de RFK Jr, une rumeur que son représentant a fermement démentie auprès de People:
«Il n’y a rien de vrai là-dedans. Je ne sais même pas s’ils se connaissent.»
TMZ rapportait d’ailleurs que Ben avait trouvé toute cette histoire avec Kennedy «ridicule et folle», se disant «frustré» et «agacé» par la couverture médiatique d’une telle rumeur.
Reste maintenant à voir si cette nouvelle rumeur va se concrétiser… ou si les deux intéressés choisiront de la démentir.
Sébastien et Audrey de Survivor QC partagent leur premier baiser public
C’est un moment que plusieurs fans attendaient avec impatience! Bien que leur relation ait été rendue publique en fin février dernier, Audrey Morissette et Sébastien D’Astous, tous deux révélés dans la deuxième saison de Survivor Québec, ont toujours préféré la discrétion… jusqu’à maintenant!
Lors du tout premier Gala des Fantastiques, animé par Véronique Cloutier, le couple a offert un moment tendre et inattendu alors que la fameuse «kiss cam» s’est arrêtée sur eux. Ils ont alors échangé un doux baiser qui a immédiatement fait réagir la foule.
Audrey et Sebastien ont assiste au gala accompagnee d’André, Déborah ainsi que Marilou de leur saison.
Depuis la fin de Survivor Québec, le couple ont chacun repris leurs activités professionnelles, tout en nourrissant leur relation loin des projecteurs. Ce petit moment capté prouve toutefois que, même s’ils se font rares en public, leur complicité est bien réelle.
Et qui sait?
Peut-être que cette apparition ouvrira la porte à d’autres moments partagés à deux… en public!
En effet, le comédien est officiellement fiancé à sa conjointe Danielle Brokopp, et le couple attend également leur premier enfant!
Dans une série de magnifiques clichés partagés sur Instagram, on peut voir les amoureux rayonnants de bonheur. Une bague de fiançailles étincelante est bien en évidence, tout comme les photos d’échographies, qui confirment l’arrivée prochaine d’un petit bébé.
«💍…», lance-t-il en marge des photos qui dévoilent par elles-mêmes les bonnes nouvelles.
Ce revirement spectaculaire survient après des mois de déclin pour les Libéraux sous Justin Trudeau, qui ont vu leur popularité chuter face aux conservateurs.
Selon les plus récentes projections de 338Canada en date d’avril 2025, le Parti Libéral de Mark Carney est en voie de remporter une majorité à la Chambre des communes avec 196 sièges, dépassant largement le seuil de 172 requis.
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Le Parti Conservateur et Pierre Poilievre obtiendrait 120 sièges, tandis que le Bloc Québécois en récolterait 17. Le NPD serait relégué à 8 sièges, et le Parti Vert n’en conserverait que 2.
Ces chiffres confirment un renversement spectaculaire du paysage politique en quelques mois, alors que les libéraux étaient donnés perdants en début d’année.
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L’arrivée de Carney, ancien gouverneur de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre, a redonné un élan au Parti Libéral, qui atteint désormais 44% des intentions de vote.
Capture338canada.com
Cette progression s’explique en partie par la réaction des Canadiens aux menaces tarifaires et aux déclarations agressives de Donald Trump à l’égard de la souveraineté du Canada.
Face à cette situation, la réponse ferme de Mark Carney semble avoir davantage convaincu l’électorat que la tentative hésitante de Pierre Poilievre de prendre ses distances avec l’ancien président américain.
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Face à Carney, le chef conservateur Pierre Poilievre éprouve des difficultés à conserver l’élan de son parti, qui jouissait encore tout récemment d’une avance confortable dans les intentions de vote. Son image reste ternie par des déclarations controversées et une ligne politique souvent perçue comme calquée sur celle de Donald Trump, ce qui freine sa capacité à élargir son électorat.
Selon Philippe J. Fournier de 338Canada, les libéraux ont désormais 55% de chances de remporter une majorité, contre moins de 1% en janvier.
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Les Canadiens sont appelés aux urnes le 28 avril prochain.
La guerre commerciale déclenchée par l’administration Trump contre la Chine a franchi une nouvelle étape, avec une prise de parole directe de Xi Jinping sur le sujet et l’entrée en jeu de Tesla.
Trump Tariffs Live: China hits back at US by increasing tariffs to 125%. Follow our live coverage here reut.rs/3G33Ea6
Pour la première fois depuis le début de l’escalade tarifaire entre la Chine et les États-Unis, le président Xi s’est exprimé, affirmant que la Chine «n’a pas peur», alors que Pékin porte ses droits de douane sur les produits américains à 125% dans un nouvel épisode de la guerre commerciale.
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La Chine a déclaré ne pas vouloir dépasser 125%, estimant qu’une nouvelle escalade serait inutile. Elle a également critiqué la stratégie de Trump, fondée exclusivement sur la pression tarifaire, y voyant la preuve d’une tactique d’intimidation menée par un tyran pour forcer la main à ses partenaires commerciaux.
«Il n’y a pas de gagnants dans une guerre commerciale, et s’opposer au reste du monde ne mène qu’à l’isolement», a déclaré Xi dans ses premiers commentaires publics sur la situation.
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En estimant qu’il n’était pas nécessaire de poursuivre l’escalade tarifaire, Xi a déclaré qu’il préférait «se concentrer sur la bonne gestion des affaires intérieures».
Du côté des États-Unis, l’entreprise Tesla, dirigée par le milliardaire Elon Musk, allié de Trump, semble directement touchée par la guerre tarifaire.
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En réaction, la société a cessé de prendre des commandes en Chine pour deux de ses modèles importés, soit le SUV Model X et la berline Model S.
Selon Reuters, Tesla aurait même retiré les boutons «commander maintenant» de son site chinois, ainsi que les fonctionnalités de commande sur son mini-programme accessible via l’application chinoise WeChat.
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Bien qu’Elon Musk affirme fièrement que Tesla est le véhicule le plus «American-made», l’entreprise reste fortement dépendante de fournisseurs étrangers, en particulier chinois, pour des composants essentiels comme les matériaux de batteries.
Cette dépendance, combinée aux tensions commerciales et aux controverses entourant Musk, rend l’avenir de Tesla incertain, notamment face aux décisions imprévisibles que pourrait prendre Donald Trump.
Pour l’occasion, le numéro 99 était d’ailleurs présent, afin de célébrer cet exploit du Russe, car c’est une page colossale de l’histoire qui s’est écrite. C’est un nouveau record qui ne risque pas d’être battu de sitôt, d’autant plus que le «Tsar» est encore actif à ce jour. Il devrait marquer une quantité considérable de buts, au cours des prochains matchs, voire même dans les années à venir.
Le tout était attendu depuis longtemps, alors qu’il s’agit définitivement du sujet de l’heure dans la LNH (outre Ivan Demidov).
D’ailleurs, la compagnie Budweiser Canada a concocté un produit très spécial, afin de souligner de manière cocasse cette marque légendaire d’Ovi. La compagnie internationale a effectivement créé une bière sans alcool, et ce, avec l’aide d’anciens gardiens de la LNH, dont l’ex gardien du Canadien de Montréal, Mathieu Garon.
Le concept est présenté dans l’optique de souligner l’identité des gardiens sur lesquels Ovechkin n’a pas réussi à enfiler l’aiguille, et Garon en fait partie, alors que la canette à son effigie porte le numéro 32, comme lui jadis. Et selon les statistiques gribouillées sur la canette en question, Garon aurait arrêté les 16 rondelles au total qu’Ovechkin aurait envoyé vers lui. Le slogan du produit se nomme d’ailleurs «ZERO of 895», faisant un clin d’œil au nombre de buts non-marqués par le principal intéressé.
Notons que le Québécois en a aussi profité au passage pour saluer l’accomplissement du capitaine des Capitals de Washington, étant l’artisan de 341 matchs joués dans la LNH, dont 43 avec la Sainte-Flanelle à titre de gardien auxiliaire.
Voilà qu’elle a récemment fait un retour dans la maison de Radio-Canada, dans le cadre d’une touchante entrevue accordée à Pénélope McQuade, où elle se confie avec sincérité sur la maladie qui l’a frappée.
Craignant d’être submergée par l’émotion en retournant à la maison de Radio-Canada, Julie affirme s’être entourée de personnes importantes à ses yeux pour vivre ce grand moment, dont son conjoint, Michel C. Auger.
En métro, en direction vers la maison de Radio-Canada après des mois d'absence, accompagnée de mon chum.
«(…) En ce moment, je vais vous dire, mon grand bonheur qui me reste dans la vie, c’est mes marches avec Hercule (son chien adoré) (…) Je suis partie de loin, parce que bon, oui, il y a eu le diagnostic en octobre, ça me semble déjà faire une éternité. Au début, c’est un choc, hein (…) Bon, il y a des traitements qui ont commencé très rapidement parce que c’est un cancer à prendre au sérieux. Pour les gens qui connaissent un peu le cancer du sein, le mien, c’est celui qu’on ne veut pas avoir: c’est un triple négatif, c’est un cancer très agressif. Le problème de ce cancer-là, c’est les récidives. Les récidives sont mortelles, et elles viennent vite, et c’est un cancer qui se traite mal. C’est un défi à ce niveau-là (…)», témoigne-t-elle avec courage, en ajoutant que son animal lui fait du bien, car elle n’a pas peur de le secouer avec ses émotions.
Inspirante par sa force incroyable, elle soutient d’ailleurs avoir le profond désir de se rappeler qu’elle est encore en vie, et qu’elle ne veut pas gaspiller une seule minute.
La journaliste et cheffe d’antenne d’ICI RDI traverse cette épreuve en même temps que sa sœur, elle aussi atteinte d’un cancer.
Nous lui envoyons tout notre amour, beaucoup de courage, et toutes les ondes les plus positives.
Le premier one-woman-show de Mélanie Couture, Pure Couture (2019), avait le propos joyeusement salace, salé, osé, imaginez le terme que vous voulez référant à tout ce qui tourne dans le bas de la ceinture et au-dessus des genoux. Pure Couture n’était pas pour les enfants de chœur!
Qu’en est-il de Ça change toute, son deuxième effort, dont la première avait lieu à l’Olympia de Montréal, mercredi soir? Disons simplement que Mélanie Couture continue de loger – fièrement, sans malaise – à la même enseigne. Une enseigne grivoise, qui hurle fort «16 ans et plus» en néons voyants.
«Je suis consciente que je parle plus de mes organes génitaux que de mes géniteurs, dans la vie», confirme d’ailleurs Mélanie, une fois son texte bien entamé.
Elle semble bien déterminée à prouver qu’elle n’a peur de rien et, surtout, d’aucun mot.
Mention spéciale à l’expression «fourche», d’ailleurs, qui pourrait charger un peu de temps supplémentaire à la fin de Ça change toute tant elle est récurrente.
Aux gens qui auraient envie de juger les femmes grosses qui se lèvent la nuit pour manger du gâteau, Mélanie Couture leur envoie un «f*ck you» bien senti.
«Qui se lève la nuit pour manger du chou kale…?»
Qui d’autre qu’elle pour s’inquiéter des menstruations des personnages féminins dans les films de zombies? Pour dénoncer que «l’orgasme du point G, c’est comme le porc effiloché, faut en revenir»? Ou pour s’insurger (très intelligemment, au demeurant) de manque de sexologues (son ancienne profession) dans les écoles?
Cela dit, l’épicé extra piment extra chauffant de Mélanie Couture ne sort pas de nulle part. C’est en parlant de l’éducation de ses garçons (elle a un «droit acquis» sur l’aîné de 22 ans, rencontré en même temps que le papa, et est «propriétaire» de son plus jeune depuis 8 ans), de son insomnie, de sa difficulté à prendre des bains vu sa corpulence, de la confiance en soi, des cours de formation personnelle et sociale et des profs d’arts plastiques, et alouette, que Mélanie ouvre son robinet à vulgarités. Autrement dit, des choses qui font partie de n’importe quelle vie.
Mais dans chacune de ces choses, sur la planète Mélanie Couture, il y a de l’obscénité à tirer.
Même au Céramic Café, le vase vulve est à l’honneur.
Mélanie Couture à la première de son spectacle Ça change toute, à l’Olympia de Montréal, le mercredi 9 avril 2025 / Crédit : Salomé Bengoufa-Maltais / Pomme Grenade
Rendons à Couture ce qui revient à Couture: son regard libidineux est très singulier. Il y a bien eu des Cathy Gauthier avant elle pour paver cette voie décomplexée dans les salles québécoises, mais façon Mélanie Couture, la luxure atteint des sommets peut-être encore jamais touchés.
Néanmoins, Ça change toute ouvre une parenthèse davantage intime sur la personne qu’est Mélanie Couture, une parenthèse qu’on aurait souhaité plus importante.
Oui, cette fois, l’humoriste raconte des parcelles de sa famille dans ce qui constitue l’un des meilleurs segments du spectacle. Dommage que celui-ci soit plutôt court et qu’il bifurque sans trop d’élégance, sans trop de lien, sur… les variations de types d’éternuements. Pas inintéressant, mais il est dommage d’interrompre brusquement la matière plus profonde pour retourner sans crier gare dans une trivialité déjà maintes fois explorée.
Comme si Mélanie Couture avait peur de réellement s’ouvrir et de se laisser aller à vraiment parler d’elle-même. Un défi à contempler en vue d’un troisième spectacle?
La portion des photos d’elle-même et de son petit garçon, qu’elle rebaptise selon son inspiration du moment, est un excellent filon. Et sa longue analyse toute personnelle de la pornographie – pour qui aime ce genre d’humour – fait mouche au parterre.
Vous aurez compris qu’une prestation de Mélanie Couture est une sorte d’écho à une chanson de Marie-Chantal Toupin où les chums de filles sortent en ville, dans une soirée de pitounes au centre-ville sans faire de bêtises (succès souvenir). Tout adulte aux oreilles pas trop chastes pourra y prendre son pied, bien sûr, mais avouons que Miss Couture doit causer un tabac dans les enterrements de vie de jeunes filles.
Nadine Massie: en demi-teinte
Mélanie Couture avait confié à sa pote Nadine Massie le soin de réchauffer sa salle en lever de rideau.
Peu sûre d’elle au début de son monologue, Massie a gagné en confiance lorsqu’est venu le temps d’attaquer le corps de son propos: sa nouvelle vie de maman monoparentale, avec un crochet pas du tout mauvais sur la littérature érotique, puis sur un rancart amoureux ayant viré en ghosting.
Un numéro inégal, mais néanmoins prometteur, livré par une artiste au potentiel apparent, qui doit simplement se muscler l’assurance pour vraiment avoir les deux mains sur son volant.
Mélanie Couture présente Ça change toute en tournée partout au Québec.
Consultez son site (melaniecouture.com) pour toutes les dates.
Du 11 au 13 avril prochains, rendez-vous au Grand Quai du Port de Montréal afin de prendre part à Plural, la foire d’art contemporain la plus importante au Québec.
Perlina Rossi-Brown
Les visiteurs auront l’occasion de découvrir, admirer et acquérir les créations de plus de 500 talentueux artistes. Le tout dans un cadre enchanteur: les teintes éclatantes des œuvres animent la galerie, vaste et épurée. Grâce à ses grandes vitrines, le Grand Quai est baigné de lumière naturelle. D’un côté, vous aurez une vue imprenable sur le fleuve; de l’autre, les gratte-ciels qui s’élèvent vers le ciel.
Perlina Rossi-Brown
Au premier étage du Grand Quai, se trouveront les kiosques de 37 galeries commerciales, provenant de Montréal, Toronto, Ottawa, Vancouver, Regina et Halifax. Vous pourrez y rencontrer leurs porte-paroles et échanger avec eux dans une ambiance conviviale.
Au deuxième étage, au Pavillon, sept espaces projet seront présentés par des galeries émergentes ou alternatives, chacune présentant le travail d’un ou deux artistes. Les exposants du Pavillon, originaires de sept villes canadiennes, ont été choisis par un comité de sélection pour leur travail remarquable et leur apport significatif au paysage de l’art contemporain canadien.
Le Pavillon de Plural accueillera également Le témoignage des matérialités sensibles. Cette exposition, regroupant les œuvres de 11 artistes, explore la fluidité de la mémoire; comment elle se tisse, se fragmente et se réinvente sans cesse.
De plus, de belles surprises vous attendent à l’occasion du 40e anniversaire de l’Association des galeries d’art contemporain (AGAC), l’ONG à l’origine de Plural. Un kiosque spécial sera dédié aux 40 ans de l’AGAC à la foire. À travers une sélection d’archives inédites, cette présentation relate l’histoire de cet organisme qui contribue à la prospérité du marché de l’art contemporain au Canada depuis 1985!
En plus des œuvres, la foire Plural vous offre une riche programmation de conférences, visites guidées et ateliers en cette troisième édition! Ces activités traitent de diverses questions qui façonnent le paysage de l’art contemporain aujourd’hui: techniques de mise en place d’un projet d’exposition, initiation au collectionnement de l’art contemporain, abstraction décoloniale, démarches artistiques actuelles autochtones, cripistémologies et plus encore!
Et, nouveauté cette année: les tables rondes en français seront accompagnées d’une interprétation en langue des signes québécoise (LSQ), et celles en anglais, en langue des signes américaine (ASL).
Soulignons qu’il s’agit de la troisième édition de la foire Plural. Anciennement Papier, la foire s’est réinventée sous un nouveau nom en 2021 afin de refléter la diversité des médiums qu’elle présente, ainsi que le pluralisme de voix auxquelles elle fait place.
Perlina Rossi-Brown
Pour participer à l’événement, vous avez le choix entre un laissez-passer de trois jours pour 60 $ ou une admission générale pour 25$. Les tarifs pour les personnes âgées et les étudiants sont réduits, respectivement à 23$ et 20$.
Une rencontre à ne pas manquer pour les passionnés d’art et de culture!
Alors non, vous ne retrouverez pas Gino dans vos matins, mais vous le verrez bientôt dans des situations pas mal plus précaires… et sûrement loin de sa zone de confort!
Ève-Marie Lortie ne s’est pas gênée pour lui rappeler qu’il avait déjà reçu plusieurs anciens campeurs… et qu’il avait toujours affirmé haut et fort qu’il ne ferait jamais cette aventure! Elle lui a donc demandé, mi-sérieuse mi-taquine, pourquoi il disait cela.
Capture TVA+/Salut Bonjour
«(…) C’était une diversion quand je vous disais ça, parce que je devais faire la saison deux (…) et je voulais tous vous surprendre en ne vous le disant pas. Et je n’ai pas fait la saison deux pour un problème d’horaire. À la toute fin, j’ai cédé ma place. Mais je me disais: Je vais peut-être faire la saison trois (…)», avoue le cachotier.
Capture TVA+/Salut Bonjour
«(…) J’avais envie de faire d’autres choses, j’avais envie d’aller ailleurs (…)», soutient-il.
Son ancien collègue Jean-Philippe Foisy n’a pas pu s’empêcher de le taquiner un peu, en lançant à la blague que Gino est un peu «pissou» et lui a alors demandé comment son aventure s’est-elle vraiment passée.
«(…) Il y a des choses auxquelles je m’attendais, mais il y a des choses auxquelles je ne m’attendais pas. La vie au camp, c’est dur (…) Je dormais peu, j’étais brûlé (…)», témoigne Gino.
Gino, que plusieurs campeurs qualifient de parfait, a tout de même laissé sortir son petit côté rebelle! Il a avoué avoir tenté de tricher en cachant une paire de sous-vêtements de rechange… qui a rapidement été découverte et confisquée par la production. Oups!
Même si ce fut une belle expérience déconnectée, sans cellulaire, où il a eu des conversations profondes et tissé des liens incroyables, Gino avoue avoir eu un moment de grand doute. Lors d’une épreuve particulièrement difficile, il a bien failli déclarer que son aventure s’arrêtait là.
Petite confidence en plus: Ève-Marie a révélé que l’une des plus grandes peurs de l’animateur, était d’être bougon… Et selon ses propres dires, il l’a peut-être un tout petit peu été par moments!
«(…) Le fait de ne plus être à Salut Bonjour, j’avais l’impression que je n’avais pas Salut Bonjour à protéger dans ce contexte-là. Je n’avais que moi. Et après une journée et demie, les caméras, je ne les voyais plus (…) Il y avait des matins où j’étais boubou, et ça paraissait. Ça durait 10 minutes, et j’ai assumé. Ce n’est pas grave (…)», assume-t-il, en riant.
Depuis la fin de son contrat à l’émission, Gino affirme profiter pleinement de son temps pour réaliser divers projets, voyager et prendre du recul. Mais une chose ne change pas: partout où il va, les gens continuent de lui parler de son ancien rôle d’animateur matinal… et de sa famille de Salut Bonjour.
Ne manquez pas le premier épisode de la nouvelle saison de Sortez-moi d’ici! ce dimanche 13 avril à 19 h 30, sur les ondes de TVA et TVA+.