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Soirées sans alcool, mais pas sans saveurs au Lloyd

Tous les mercredis et vendredis, dès 17h, c’est soirées faibles en alcool, mais hautes en saveurs au restaurant Lloyd!

Offrez-vous une occasion unique de découvrir des cocktails désalcoolisés créatifs et raffinés, méticuleusement réalisés avec les spiritueux Seedlip, leader dans l’art du mocktail.

Ces soirées pop up sans alcool sont le rendez-vous idéal pour ceux qui souhaitent vivre une expérience différente, alliant convivialité et bien-être.

Une façon saine et originale de savourer des créations inédites, le tout dans l’ambiance chaleureuse du restaurant Lloyd.

(Pour les toujours festifs, le menu alcoolisé restera tout de même en vigueur lors des soirées pop up.)

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Star Académie: Le «vieux couple» ne sera pas séparé!

Ce dimanche, Star Académie a offert un variété bien rempli, où les performances marquantes se sont enchaînées à un rythme impressionnant.

Parmi les invités spéciaux, Nathalie Simard, Ariane Moffatt et Ivan Doroschuk, le chanteur du groupe Men Without Hats, ont livré des moments musicaux mémorables. Leur passage a eu de quoi raviver de beaux souvenirs, notamment chez les parents des candidats présents en studio.

Mais le moment le plus attendu de la soirée était sans contredit celui des prestations des trois académiciens en danger: Joël, Victoria et Camille. Tous les trois ont offert des performances touchantes, chacun à leur façon, laissant transparaître leur évolution et leur passion pour la musique.

Avant de dévoiler le nom du candidat sauvé, Ariane Moffatt a surpris tout le monde en annonçant en direct la sortie de son nouvel album Airs de jeux, disponible dès maintenant, réalisant un fantasme et se les jouant à la Beyoncé.

Capture TVA+

C’est finalement Nathalie Simard qui a eu la stressante tâche d’annoncer que le public a choisi de sauver… Victoria!

Capture TVA+

Elle se joint donc à Katrine, Mia et Albert, toujours en course pour la grande finale qui approche à grands pas.

Victoria a su toucher les téléspectateurs avec son interprétation sentie de la chanson Mon mec à moi.

Une conclusion qui a sûrement fait sourire Garou, avec qui Victoria forme, comme on l’a appris ce soir, un «vieux couple» complice!

Félicitations à Victoria pour sa belle victoire, et bonne route à Joël et Camille, qui quittent l’académie avec la tête haute et de belles opportunités devant eux.

Que pensez-vous de ce choix?

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Solène et Félix d’OD s’offrent une soirée au Bordel Comédie Club

Solène Lucas et Félix Lévesque, les gagnants d’Occupation Double Mexique, se sont offert une soirée humoristique au Bordel Comédie Club à Montréal.

Le couple a choisi de passer une soirée haute en humour en assistant au Comédie Club, une soirée mettant en vedette cinq humoristes, dont les noms sont dévoilés uniquement lors du spectacle. La soirée s’est conclue avec une prestation de Simon Gouache.

Situé en plein cœur du Quartier Latin, Le Bordel Comédie Club est une véritable institution pour les amateurs de stand-up.

Divisé en deux salles, Le Bordel 1 (312 rue Ontario E.) et Le Bordel 2 (330 rue Ontario E.), l’établissement propose une programmation variée et accessible à tous les budgets:

  1. Open-Mic (10 $) : Un spectacle où des humoristes amateurs ou pros testent de nouveaux numéros.
  2. Gong Show : Concept où des humoristes débutants tentent d’impressionner trois juges.
  3. 60 minutes avec… : Un humoriste invité performe près d’une heure, précédé d’une première partie.
  4. Comédie Club Découvertes (15 $) : Une soirée où se mélangent humoristes d’expérience et talents émergents.
  5. Spectacle d’un artiste précis (20 $) : Pour ceux qui veulent voir leur humoriste favori.

Une soirée parfaite pour les amoureux du stand-up… et peut-être même une future tradition pour le couple d’OD!

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Hiveraganza de retour à Télé-Québec!

Télé-Québec vient de dévoiler une superbe nouvelle, en vue de la saison hivernale 2025-2026.

Hiveraganza, animée par Émilie Fournier, a été renouvelée pour une seconde saison, après son succès du calendrier 2024-2025. Ce programme célèbre l’hiver en force, alors que deux écoles québécoises, avec deux équipes de quatre élèves de secondaire un, s’affrontent dans de multiples défis physique et mentaux, dans le but de faire briller les blocs d’un fort géant. Un total de 48 écoles seront incluses dans la compétitions. Davantage d’informations sur la programmation seront partagées très bientôt, mais d’ici là, il faudra rester à l’affut.

Pour le deuxième volet de cette série enlevante, Hiveraganza se déplacera vers la baie de Beauport, dans la région de Québec, notre Capitale-Nationale, soit un endroit unique en son genre près du fleuve Saint-Laurent, alors que le tournage est déjà en cours.

Aussi, un tout nouveau concept débarquera dans ce prochain chapitre, soit celui du «blocage», un avantage qui empêche l’autre équipe de fonctionner pendant 15 secondes. De nouveaux jeux originaux sont également au programme, afin de prôner la diversité d’une année à l’autre.

Ainsi, dès l’hiver prochain, Télé-Québec, le poste numéro un des enfants québécois, offrira ce contenu tout neuf à ses téléspectateurs, alors qu’il est possible de suivre ses activités sur telequebec.tv, Facebook, YouTube, TikTok et Instagram.

À ne pas manquer!

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LEGO s’associe avec Pokémon et ça promet!

La rumeur est maintenant confirmée: Pokémon et LEGO se sont associés, afin de créer des ensembles à construire qui verront le jour dès 2026.

« Nous sommes ravis de travailler avec une marque dont les fans sont aussi nombreux et passionnés que ceux de Pokémon, et de nous associer pour offrir à nos publics communs ce qu’ils nous ont demandé», lance Julia Goldin, Directrice des produits et du marketing du groupe LEGO

LEGO et Pokémon ont d’ailleurs généré une vidéo pour mettre l’eau à la bouche des fans!

https://twitter.com/CentroLeaks/status/1901992436294971882

Pokémon célébrera ses 30 ans d’existence en 2026, donc on salue leur originalité, dans l’optique de surprendre les amateurs de la populaire franchise. On compte plus de 1000 Pokémons actifs en 2025, pour un total de neuf générations, ce qui nous éloigne vraisemblablement des 150 créatures originales qui sont sortis en 1995 au Japon!

Ça promet!

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Sophie Nélisse nous fait quelques confidences sur sa carrière!

De la belle visite qui se fait rare au Québec par les temps qui courent est «rentrée à la maison» il y a quelques jours: en vedette dans la nouvelle série L’indétectable, de Radio-Canada, Sophie Nélisse a pris le temps d’enchaîner les entrevues avec les médias québécois pour mousser la promotion de ce projet, entre une escale aux États-Unis et une autre en Italie. Nous en avons profité pour prendre des nouvelles de l’actrice québécoise et pour la questionner sur sa carrière américaine.

Dans L’indétectable, Sophie Nélisse incarne Stéphanie, une jeune femme prête à tout – et même à tenter des moyens illégaux – pour tirer d’embarras sa mère politicienne accusée d’avoir tenu des propos racistes dans un taxi. La dame jure avoir été victime d’un deepfake (hypertrucage numérique généré par l’intelligence artificielle, ou autre entourloupette technologique) dans la vidéo, devenue virale, qui la met en scène.

Les trois premiers épisodes de L’indétectable seront disponibles sur ICI TOU.TV EXTRA ce jeudi, 20 mars, et les trois suivants y seront déposés le jeudi 27 mars (date de l’anniversaire de 25 ans de Sophie Nélisse!).

Hollywood PQ: Sophie, d’abord, dis-nous un mot au sujet de L’indétectable. Qu’est-ce qui t’a intéressée dans cette série?

Sophie Nélisse: «C’est une histoire qui me semblait très contemporaine et importante à raconter. Tout ce qui touche l’intelligence artificielle, les deepfakes, c’est un fléau qui est de plus en plus prédominant. C’est important que les gens soient à l’affût et au courant de ce qui se passe, pour qu’on soit tous un peu plus alertes quand on consomme ce genre de contenus. Pour devenir conscients qu’on en consomme, en fait. J’aimais l’aspect un peu éducatif. C’est aussi très divertissant. On est au bout de notre chaise tout le long. Il y a deux histoires en parallèle, qui s’entrelacent. C’est très bien écrit, avec beaucoup de nuances.»

HPQ: As-tu développé une belle relation avec les autres acteurs de la série (Lynda Johnson, Pierre Curzi, Eve Lemieux, Kevin Houle, Pierre-Paul Alain, etc)?

S.N: «Oh oui! Avec tout le monde. C’est tellement une équipe formidable, gentille, généreuse… Lynda était comme une deuxième maman pour moi, sur le plateau. Elle-même a deux jeunes filles [ainsi qu’un garçon, tous en fin d’adolescence, NDLR]. C’était le fun, parce que j’avais des scènes avec tout le monde. Je suis le personnage qui se promène le plus; j’avais des scènes chez EFEK [la firme technologique que son personnage infiltre pour subtiliser des renseignements, NDLR], qui étaient complètement différentes des scènes en famille à la maison.»

HPQ: À quoi a ressemblé ton horaire professionnel dans la dernière année?

S.N: «On a tourné la troisième saison de Yellowjackets, qui est maintenant disponible sur Crave. Ç’a pris une grande partie de mon année, parce qu’on a tourné ça pendant six mois. Ensuite, j’ai directement fait L’indétectable à mon retour, qui a exigé un autre deux mois, en novembre et décembre. Ç’a rempli mon année!»

HPQ: Et quels sont tes projets pour 2025?

S.N: «Dans les prochaines semaines, je tourne un film américain en Italie, jusqu’en mai. Je ne sais pas si j’ai le droit d’en parler pour l’instant! (Sourire) Ensuite, je suis rattachée à quelques petits projets plus indépendants. Puis, j’irai travailler sur la quatrième saison de Yellowjackets; on n’a pas encore de confirmation, mais on risque d’en avoir! Reste à voir quand ça va commencer.»

HPQ: La plupart de tes engagements sont désormais du côté américain. As-tu un pied-à-terre pour habiter là-bas pendant tes séjours?

S.N: «Non, non. Je n’ai qu’un pied-à-terre à Montréal. Je fais des allers et retours là-bas. Surtout que les tournages n’ont pas toujours lieu aux États-Unis. Mon prochain tournage est à Rome, Yellowjackets est tournée à Vancouver.»

HPQ: Maintenant que tu fais carrière ailleurs, qu’est-ce qui te séduit dans le choix d’un projet au Québec?

S.N: «Les collaborateurs, généralement. J’adore tourner au Québec! C’est plus une question de disponibilité, si je suis à Montréal ou pas. Montréal garde une place très privilégiée dans mon cœur. D’être capable de tourner ici, de retravailler avec des gens avec qui j’avais déjà travaillé, de retrouver les équipes de Montréal, c’est comme retrouver une famille! Ça dépend de mon temps, de qui fait partie du projet, si c’est un réalisateur avec qui j’avais envie de travailler depuis longtemps, qui sont les autres acteurs…»

HPQ: Avec les réseaux sociaux, c’est d’autant plus facile de demeurer en contact avec le public québécois…

S.N: «Je pense que c’est pour ça que j’ai encore mon pied-à-terre ici. Le Québec, c’est d’où je suis, c’est ma famille. Il n’y a rien qui se compare au fait de tourner ici. Ça me fait vraiment plaisir de pouvoir revenir quand j’ai du temps. Avec les réseaux sociaux, j’ai la chance de continuer de faire des entrevues, des émissions de télé, d’être encore amie avec des réalisateurs et des acteurs d’ici…»

HPQ: À quoi ressemble ton mode de vie quand tu es en tournage dans des productions américaines?

S.N: «Honnêtement… C’est ce que j’aime le plus de ma job : il n’y a pas de structure! Il n’y a pas d’heures. J’ai été partie pendant un mois et je suis revenue avant-hier : j’ai fait New York, Los Angeles, Montréal, Los Angeles, Paris, Montréal… Ç’a été instable. Mais, après, je peux être six mois installée à Vancouver, sans quitter Vancouver. Chaque mois est différent! Mais c’est ce que j’aime.»

HPQ: As-tu l’impression que le fait d’avoir une carrière américaine et une crédibilité à Hollywood influence le genre de rôle qu’on t’offre maintenant ici, au Québec? Te propose-t-on des personnages plus matures?

S.N: «Hum… Je ne sais pas, c’est une bonne question. Je n’avais pas fait de série à Montréal depuis un moment. En fait, j’avais fait Aller simple : Survivre l’an dernier [à Noovo, écrite par les mêmes auteurs que L’indétectable, Annie Piérard, Bernard Dansereau et Étienne Piérard-Dansereau, NDLR]. C’est sûr que le fait d’avoir fait Yellowjackets m’a fait une belle transition vers l’âge adulte. À Montréal, je tournais beaucoup de rôles un peu plus jeunes; je trouve que j’ai aujourd’hui des rôles un peu plus matures, un peu plus sérieux, qui sont amusants. Mais j’aimerais beaucoup faire de la comédie! Si quelqu’un m’entend, j’aimerais vraiment faire de la comédie!»

HPQ: Et les rôles que tu obtiens aux États-Unis te plaisent?

S.N: «Oh oui! Oui, oui! Je pense qu’il s’agit de bien choisir, de ne pas trop vouloir me lier à un genre spécifique, de ne pas nécessairement trop faire d’horreur, d’être capable d’être versatile et de faire des rôles qui sont très différents les uns des autres.»

HPQ: Est-ce que le star système américain est exigeant? Difficile psychologiquement? As-tu l’impression que tu dois constamment guetter ton image?

S.N: «Je pense que chaque emploi vient avec ses difficultés. Ce n’est effectivement pas toujours aussi facile ou glorifiant qu’on se l’imagine. Ça vient avec ses challenges, certainement. Comme tout emploi…»

HPQ: Tu es devenue actrice à un très jeune âge. Est-ce que c’était un rêve pour toi, à tes débuts, de percer du côté anglophone? Ou c’est simplement arrivé «par la bande»?

S.N: «Oh non, c’est arrivé par la bande. Vraiment par hasard. Ce n’était même pas un rêve d’être actrice. Je suis tombée là-dedans de manière très aléatoire. C’est le film Monsieur Lazhar [sorti au cinéma en 2011, NDLR] qui m’a donné la chance d’auditionner pour La voleuse de livres [son premier film américain, du réalisateur Brian Percival, tourné en 2013, NDLR]. C’est ce qui a fait en sorte que j’ai percé. Après La voleuse de livres, il y a eu La fabuleuse Gilly Hopkins [où Sophie a joué avec Kathy Bates et Glenn Close, notamment, NDLR].»

HPQ: Et comment Monsieur Lazhar était arrivé dans ton parcours?

S.N: «J’avais auditionné, tout simplement. J’étais dans une agence, parce que je faisais des publicités pour avoir de la monnaie pour payer mes cours de gymnastique, parce que j’étais athlète, à l’époque. Et j’ai eu l’audition pour Monsieur Lazhar

HPQ: As-tu l’occasion de regarder beaucoup la télévision québécoise?

S.N: «Honnêtement, je n’ai pas le temps d’écouter rien! Je n’ai même pas encore eu le temps d’écouter la nouvelle saison de Yellowjackets, et c’est sorti il y a déjà plus d’un mois. The White Lotus est aussi sur ma liste. Je n’ai pas eu le temps de rien écouter dans les derniers mois!»

HPQ: As-tu un mot à dire, en terminant, sur la troisième saison de Yellowjackets?

S.N: «Je pense que c’est notre meilleure à date. Tout le monde semble vraiment content. C’est une saison vraiment le fun, parce que les filles sont rendues tellement loin dans leur mental, tellement loin de la réalité… Elles sont tellement rendues déconnectées et désabusées de leurs circonstances, on dirait, qu’elles sont prêtes à faire des actes encore plus horrifiants qu’on peut se l’imaginer. Ça devient encore plus dark, encore plus gore, mais presque le fun

(Psiiit! En ce qui concerne sa vie amoureuse, Sophie Nélisse semblait toujours vivre le parfait bonheur en début d’année… Plus de détails ici!)

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Un nouveau projet pour Véroniqua de L’île de l’amour

Véroniqua Caroline Dodd a récemment annoncé qu’elle lançait sa propre salle de yoga, Ômaura!

Afin d’obtenir plus d’informations sur la nature du projet ainsi que la date de lancement, nous avons directement contacté Véroniqua. Elle nous a expliqué que, 11 ans avant d’ouvrir son salon d’esthétique, elle avait suivi son cours de yoga niveau 1 pour devenir instructrice, avant de finalement se tourner vers le monde des affaires en se spécialisant dans la pose de cils.

«Mais, des années plus tard, me voici, c’est vraiment le yoga que je me vois faire comme [métier]. J’ai été chercher ma certification de YTT, qui va me permettre d’enseigner n’importe où dans le monde. Alors, je ne suis pas juste assignée au Québec, je vais pouvoir donner des [cours] n’importe où, je vais pouvoir faire des retraites un jour, c’est dans les plans aussi […].

«Pour le moment, le studio que j’ouvre, c’est un petit studio dédié à revenir aux bases du yoga. Je trouve qu’avec la popularité que ça a gagnée aujourd’hui, ce n’est plus personnalisé […]. Tu sais, le yoga, on vient vraiment faire une torsion, on vient twister nos organes. Je trouve qu’il manquait des cours one on one, et c’est ce que je vais offrir, ces cours privés, personnalisés.»

Véroniqua a continué en expliquant que ses cours seront aussi offerts en ligne et que le lancement aura lieu le 24 mars.

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Tracy Morgan malade en plein match des Knicks

Un événement très inusité s’est produit dans un match de la NBA, plus tôt cette semaine, soit durant le face-à-face entre les Knicks de New York et le Heat de Miami.

En effet, l’acteur et comédien américain Tracy Morgan a vécu un malaise durant la joute, lui qui a ultimement vomi lors de la deuxième demie. En fait, à la suite de cet incident, la rencontre a été interrompue pendant approximativement 10 minutes, alors que les employés ont dû prendre le temps de nettoyer les environs avant de reprendre les hostilités.

L’homme de 56 ans a dû se rendre aux urgences, à la suite de son malaise, ce qui en a inquiété plusieurs…

Selon Morgan, il a été victime d’une intoxication alimentaire, lui qui semblait avoir le moral au sommet, malgré cette situation impromptue. On peut également observer son soutien envers les Knicks, lui qui a un étuis de téléphone à l’effigie de la franchise américaine, mentionnant même à la blague qu’il a probablement porté chance à son équipe, compte tenu de leur victoire.

Notons que les New-yorkais l’ont emporté par la marque de 116 à 95 face aux Floridiens, au moins!

« Je vais bien maintenant et les médecins disent que c’était une intoxication alimentaire. Je remercie ma famille du Madison Square Garden d’avoir si bien pris soin de moi et je tiens à remercier l’équipe qui a dû nettoyer. Merci! Plus important encore, les Knicks ont maintenant un dossier de 1-0 quand je vomis sur le terrain, alors peut-être que je devrai le refaire en séries éliminatoires. » – Tracy Morgan, via Instagram (RDS)

On lui souhaite un prompt rétablissement et des moments plus doux, d’autant plus qu’il n’en est pas à ses premiers ennuis de santé, ayant notamment vécu une greffe de rein en 2010 et un traumatisme crânien en 2014, qui l’a plongé dans un coma après un accident de la route.

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Sondages, Trump et nouveau grand-père: Une période complètement folle pour Mario Dumont

Mario Dumont, de son propre aveu, ne «sort plus souvent», mais il avait fait une exception pour accompagner sa tendre moitié, Marie-Claude Barrette, à la première récente du nouveau spectacle d’Anthony Kavanagh (voyez nos photos du tapis rouge ici et lisez notre critique ici!), à l’Olympia de Montréal.

Il faut dire que la nouvelle vie de morning man de l’ex-politicien requiert de lui beaucoup de discipline, avec un cadran qui ordonne un réveil aux alentours de 4 h du matin. Mario Dumont avait pourtant longtemps – et à quelques reprises – refusé d’endosser cette fonction très exigeante. Mais, pour QUB radio, «les astres se sont alignés», dit-il.

Or, la nouvelle routine de Mario Dumont, qui est, depuis l’automne, en ondes tous les jours à QUB radio, au 99,5 (de 6 h à 9 h), à LCN (de 10 h à 12 h) et à TVA (de 11 h à 12 h), se passe «vraiment, vraiment, très, très bien», aux dires du principal intéressé. Celui-ci soutient avoir beaucoup de plaisir avec son équipe «en ondes et hors d’ondes». Même la traditionnelle petite chute d’énergie qui survient aux environs du mois de novembre, que tous les animateurs du matin connaissent bien, l’a semble-t-il épargné, nous a confié Mario Dumont en entrevue.

Et comment ce dernier réagit-il aux sondages d’écoute de la radio montréalaise, qui plaçaient encore QUB radio bonne dernière dans les résultats de la firme Numeris, en début de mois? Selon le quotidien La Presse, QUB radio récoltait cet hiver 2,1 % des parts de marché, contre 18,2 % pour le 98,5 et ICI PREMIÈRE, qui se tiennent actuellement au coude-à-coude. Même Pierre Karl Péladeau, propriétaire de QUB radio, est un fidèle auditeur du 98,5, comme en témoigne l’anecdote que nous vous rapportions ici…

«C’est une croissance impressionnante, si on regarde depuis le mois d’août», a relativisé Mario Dumont, en faisant référence au moment où QUB radio a fait le saut sur la bande FM, après six ans en format numérique.

«Il n’y a pas un mois qui n’est pas nettement en haut du précédent. Ça s’en va dans une seule direction. Souvent, quand les sondages sont diffusés dans les médias, on regarde l’ensemble; mais la croissance des heures de contenu de QUB, de jour, est quand même assez rapide. Si on considère qu’on partait de zéro à l’automne, qu’il n’y avait jamais eu de radio parlée au 99,5, ça s’installe assez rapidement. Il faut garder à l’esprit qu’une quotidienne, c’est sur des années que ça s’installe…»

L’environnement médiatique actuel, lui, a-t-il la patience d’attendre «des années» pour voir une émission décoller réellement, que ce soit à la radio ou à la télévision?

«On va le savoir! (rires) Moi, je l’ai, la patience…»

Mario Dumont et sa conjointe Marie-Claude Barrette / Crédit : Serge Cloutier

Du sang-froid et du sens de l’adaptation, il en faut également à Mario Dumont pour composer avec le rythme complètement fou qu’impose l’actualité depuis l’entrée en poste du président des États-Unis, Donald Trump, dont les sautes d’humeur monopolisent toute l’attention médiatique.

«C’est complètement fou», a estimé le chroniqueur. «Je sais que la population le vit de façon très anxiogène. Mais – c’est con à dire –, pour les cotes d’écoute en information, c’est un phénomène!»

Est-ce que la situation de guerre tarifaire créée par Trump depuis janvier se compare, pour les journalistes qui doivent en rendre compte, à celle de la pandémie de COVID-19, au début 2020?

«Il y a une différence majeure : c’est qu’en ce moment, les gens travaillent. Pendant la COVID, les chiffres étaient plus gros, mais les gens étaient à la maison. Il y a des journées où la conférence de presse de François Legault, à 13 h, faisait des cotes d’écoute de trois millions, comparables au Bye Bye! Mais au niveau de l’intensité, du fait que ça bouge d’heure en heure, il y a quelque chose qui se ressemble. Les gens sont curieux, soucieux d’anticiper ce qui s’en vient, ils veulent savoir ce qui se passe.»

De Donald Trump, Mario Dumont affirme qu’il est «un narcissique grave».

«Pour moi, il n’y a pas de doute. C’est un gars de show-business, qui veut attirer l’attention pour qu’on ne parle que de lui. Et ça marche : on est coincés là-dedans, on ne parle que de lui. Mais il menace nos emplois, nos entreprises, notre pays!»

Est-ce que les médias devraient alors cesser de jouer le jeu Trump et lui accorder moins d’intérêt?

Donald Trump (Photo by Andrew Harnik/Getty Images)

«Sais-tu quoi? Les matins où on se dit ça, les matins où on part en se disant qu’on va équilibrer, qu’on va parler de Trump, mais aussi d’autres choses, à 9 h, il met sur son réseau social, Truth Social, un message renversant, qui menace quelqu’un, qui pourrait créer une guerre… Et on est rembarqués malgré nous dans l’ampleur de ce qu’il dit.»

Heureusement, malgré ces temps d’incertitude, dans leur vie privée, Mario Dumont et Marie-Claude Barrette ont accueilli en 2024 un extraordinaire rayon de soleil: leur premier petit-enfant, un garçonnet prénommé Henri, dont ils sont complètement fous.

«Il a huit mois. Il commence à se traîner à quatre pattes. C’est merveilleux! On a des photos plein nos cellulaires», s’est attendri le fier grand-papa.

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Amir Khadir est «pogné avec une maudite Tesla»

Amir Khadir était de passage au micro de Mario Dumont à QUB afin de réagir à l’annonce choc de Gabriel Nadeau-Dubois, qui quitte la vie politique et Québec Solidaire à la fin de son mandat, ainsi que la vie politique, tout comme lui-même l’a fait dans le passé.

Après avoir expliqué ne pas avoir été surpris par cette annonce, compte tenu des difficultés des dernières années et du poids immense porté sur les épaules de Gabriel Nadeau-Dubois, Amir Khadir a enchaîné avec une réflexion critique sur un choix qu’il regrette aujourd’hui amèrement… l’achat d’une Tesla!

«(…) Elon Musk, c’est la pointe de l’iceberg. C’est un non-sens pour une démocratie (…)», lance-t-il, déplorant au passage la montée de la droite et l’enrichissement d’un petit groupe de personnes au détriment du bien commun.

Une remarque qui a fait réagir Mario Dumont, qui n’a pas manqué de lancer à la blague que les gens de gauche achetaient des Tesla… jusqu’au mois passé!

«Moi, je suis pogné avec une maudite Tesla (…) j’ai acheté ça avant qu’Elon Musk délire. On est pognés (…)», conclut-il, visiblement découragé!

Un échange savoureux qui en dit long sur le climat politique actuel…

En tout cas, si Mégane d’OD n’a pas honte de sa Tesla, Amir Khadir, lui, semble prêt à l’échanger contre un abonnement mensuel de la STM!