Beaucoup de gens confondent la Smart avec la voiture électrique que Ford a tenté en vain de distribuer ici il y a quelques années, la « Think City ». Il ne s’agit pas non plus d’une version hybride puisqu’elle est propulsée par un minuscule moteur diesel de 40 chevaux à peine.
La Smart est née de l’union du fabricant de montres Swatch et de fabricant Mercedes. Mais c’est bien Swatch qui a développé le concept en 1990 avant qu’il soit adapté par Mercedes et mis en marché en France en 1998.
Dès son lancement, la Smart a eu le succès que son concepteur espérait. Comme les États-Unis n’en veulent pas pour l’instant, le Canada recevra près de mille Smart et il semble qu’elles soient toutes vendues.
Voilà une bonne nouvelle pour les concessionnaires Mercedes qui la distribuent. Mais je me demande si tous ces clients ont tous pris le temps de faire un bon essai routier avant de signer le contrat. C’est d’ailleurs une chose que je suggère très fortement, et ce, avant d’acheter tout véhicule, quelle que soit la marque.
Dans le cas de la Smart, il est impératif de faire un essai routier puisqu’il ne s’agit pas d’une voiture traditionnelle et elle demande une conduite bien particulière. La nouvelle coqueluche de nos routes est disponible en deux modèles : cabriolet ou coupé. Vous avez le choix entre trois versions : Pure, Pulse et Passion. Si ces modèles deux places ne vous suffisent pas, une version quatre places et un miniutilitaire sport arriveront sur le marché québécois d’ici la fin de 2005.