Pour l’occasion, le numéro 99 était d’ailleurs présent, afin de célébrer cet exploit du Russe, car c’est une page colossale de l’histoire qui s’est écrite. C’est un nouveau record qui ne risque pas d’être battu de sitôt, d’autant plus que le «Tsar» est encore actif à ce jour. Il devrait marquer une quantité considérable de buts, au cours des prochains matchs, voire même dans les années à venir.
Le tout était attendu depuis longtemps, alors qu’il s’agit définitivement du sujet de l’heure dans la LNH (outre Ivan Demidov).
D’ailleurs, la compagnie Budweiser Canada a concocté un produit très spécial, afin de souligner de manière cocasse cette marque légendaire d’Ovi. La compagnie internationale a effectivement créé une bière sans alcool, et ce, avec l’aide d’anciens gardiens de la LNH, dont l’ex gardien du Canadien de Montréal, Mathieu Garon.
Le concept est présenté dans l’optique de souligner l’identité des gardiens sur lesquels Ovechkin n’a pas réussi à enfiler l’aiguille, et Garon en fait partie, alors que la canette à son effigie porte le numéro 32, comme lui jadis. Et selon les statistiques gribouillées sur la canette en question, Garon aurait arrêté les 16 rondelles au total qu’Ovechkin aurait envoyé vers lui. Le slogan du produit se nomme d’ailleurs «ZERO of 895», faisant un clin d’œil au nombre de buts non-marqués par le principal intéressé.
Notons que le Québécois en a aussi profité au passage pour saluer l’accomplissement du capitaine des Capitals de Washington, étant l’artisan de 341 matchs joués dans la LNH, dont 43 avec la Sainte-Flanelle à titre de gardien auxiliaire.
Voilà qu’elle a récemment fait un retour dans la maison de Radio-Canada, dans le cadre d’une touchante entrevue accordée à Pénélope McQuade, où elle se confie avec sincérité sur la maladie qui l’a frappée.
Craignant d’être submergée par l’émotion en retournant à la maison de Radio-Canada, Julie affirme s’être entourée de personnes importantes à ses yeux pour vivre ce grand moment, dont son conjoint, Michel C. Auger.
En métro, en direction vers la maison de Radio-Canada après des mois d'absence, accompagnée de mon chum.
«(…) En ce moment, je vais vous dire, mon grand bonheur qui me reste dans la vie, c’est mes marches avec Hercule (son chien adoré) (…) Je suis partie de loin, parce que bon, oui, il y a eu le diagnostic en octobre, ça me semble déjà faire une éternité. Au début, c’est un choc, hein (…) Bon, il y a des traitements qui ont commencé très rapidement parce que c’est un cancer à prendre au sérieux. Pour les gens qui connaissent un peu le cancer du sein, le mien, c’est celui qu’on ne veut pas avoir: c’est un triple négatif, c’est un cancer très agressif. Le problème de ce cancer-là, c’est les récidives. Les récidives sont mortelles, et elles viennent vite, et c’est un cancer qui se traite mal. C’est un défi à ce niveau-là (…)», témoigne-t-elle avec courage, en ajoutant que son animal lui fait du bien, car elle n’a pas peur de le secouer avec ses émotions.
Inspirante par sa force incroyable, elle soutient d’ailleurs avoir le profond désir de se rappeler qu’elle est encore en vie, et qu’elle ne veut pas gaspiller une seule minute.
La journaliste et cheffe d’antenne d’ICI RDI traverse cette épreuve en même temps que sa sœur, elle aussi atteinte d’un cancer.
Nous lui envoyons tout notre amour, beaucoup de courage, et toutes les ondes les plus positives.
Le premier one-woman-show de Mélanie Couture, Pure Couture (2019), avait le propos joyeusement salace, salé, osé, imaginez le terme que vous voulez référant à tout ce qui tourne dans le bas de la ceinture et au-dessus des genoux. Pure Couture n’était pas pour les enfants de chœur!
Qu’en est-il de Ça change toute, son deuxième effort, dont la première avait lieu à l’Olympia de Montréal, mercredi soir? Disons simplement que Mélanie Couture continue de loger – fièrement, sans malaise – à la même enseigne. Une enseigne grivoise, qui hurle fort «16 ans et plus» en néons voyants.
«Je suis consciente que je parle plus de mes organes génitaux que de mes géniteurs, dans la vie», confirme d’ailleurs Mélanie, une fois son texte bien entamé.
Elle semble bien déterminée à prouver qu’elle n’a peur de rien et, surtout, d’aucun mot.
Mention spéciale à l’expression «fourche», d’ailleurs, qui pourrait charger un peu de temps supplémentaire à la fin de Ça change toute tant elle est récurrente.
Aux gens qui auraient envie de juger les femmes grosses qui se lèvent la nuit pour manger du gâteau, Mélanie Couture leur envoie un «f*ck you» bien senti.
«Qui se lève la nuit pour manger du chou kale…?»
Qui d’autre qu’elle pour s’inquiéter des menstruations des personnages féminins dans les films de zombies? Pour dénoncer que «l’orgasme du point G, c’est comme le porc effiloché, faut en revenir»? Ou pour s’insurger (très intelligemment, au demeurant) de manque de sexologues (son ancienne profession) dans les écoles?
Cela dit, l’épicé extra piment extra chauffant de Mélanie Couture ne sort pas de nulle part. C’est en parlant de l’éducation de ses garçons (elle a un «droit acquis» sur l’aîné de 22 ans, rencontré en même temps que le papa, et est «propriétaire» de son plus jeune depuis 8 ans), de son insomnie, de sa difficulté à prendre des bains vu sa corpulence, de la confiance en soi, des cours de formation personnelle et sociale et des profs d’arts plastiques, et alouette, que Mélanie ouvre son robinet à vulgarités. Autrement dit, des choses qui font partie de n’importe quelle vie.
Mais dans chacune de ces choses, sur la planète Mélanie Couture, il y a de l’obscénité à tirer.
Même au Céramic Café, le vase vulve est à l’honneur.
Mélanie Couture à la première de son spectacle Ça change toute, à l’Olympia de Montréal, le mercredi 9 avril 2025 / Crédit : Salomé Bengoufa-Maltais / Pomme Grenade
Rendons à Couture ce qui revient à Couture: son regard libidineux est très singulier. Il y a bien eu des Cathy Gauthier avant elle pour paver cette voie décomplexée dans les salles québécoises, mais façon Mélanie Couture, la luxure atteint des sommets peut-être encore jamais touchés.
Néanmoins, Ça change toute ouvre une parenthèse davantage intime sur la personne qu’est Mélanie Couture, une parenthèse qu’on aurait souhaité plus importante.
Oui, cette fois, l’humoriste raconte des parcelles de sa famille dans ce qui constitue l’un des meilleurs segments du spectacle. Dommage que celui-ci soit plutôt court et qu’il bifurque sans trop d’élégance, sans trop de lien, sur… les variations de types d’éternuements. Pas inintéressant, mais il est dommage d’interrompre brusquement la matière plus profonde pour retourner sans crier gare dans une trivialité déjà maintes fois explorée.
Comme si Mélanie Couture avait peur de réellement s’ouvrir et de se laisser aller à vraiment parler d’elle-même. Un défi à contempler en vue d’un troisième spectacle?
La portion des photos d’elle-même et de son petit garçon, qu’elle rebaptise selon son inspiration du moment, est un excellent filon. Et sa longue analyse toute personnelle de la pornographie – pour qui aime ce genre d’humour – fait mouche au parterre.
Vous aurez compris qu’une prestation de Mélanie Couture est une sorte d’écho à une chanson de Marie-Chantal Toupin où les chums de filles sortent en ville, dans une soirée de pitounes au centre-ville sans faire de bêtises (succès souvenir). Tout adulte aux oreilles pas trop chastes pourra y prendre son pied, bien sûr, mais avouons que Miss Couture doit causer un tabac dans les enterrements de vie de jeunes filles.
Nadine Massie: en demi-teinte
Mélanie Couture avait confié à sa pote Nadine Massie le soin de réchauffer sa salle en lever de rideau.
Peu sûre d’elle au début de son monologue, Massie a gagné en confiance lorsqu’est venu le temps d’attaquer le corps de son propos: sa nouvelle vie de maman monoparentale, avec un crochet pas du tout mauvais sur la littérature érotique, puis sur un rancart amoureux ayant viré en ghosting.
Un numéro inégal, mais néanmoins prometteur, livré par une artiste au potentiel apparent, qui doit simplement se muscler l’assurance pour vraiment avoir les deux mains sur son volant.
Mélanie Couture présente Ça change toute en tournée partout au Québec.
Consultez son site (melaniecouture.com) pour toutes les dates.
Du 11 au 13 avril prochains, rendez-vous au Grand Quai du Port de Montréal afin de prendre part à Plural, la foire d’art contemporain la plus importante au Québec.
Perlina Rossi-Brown
Les visiteurs auront l’occasion de découvrir, admirer et acquérir les créations de plus de 500 talentueux artistes. Le tout dans un cadre enchanteur: les teintes éclatantes des œuvres animent la galerie, vaste et épurée. Grâce à ses grandes vitrines, le Grand Quai est baigné de lumière naturelle. D’un côté, vous aurez une vue imprenable sur le fleuve; de l’autre, les gratte-ciels qui s’élèvent vers le ciel.
Perlina Rossi-Brown
Au premier étage du Grand Quai, se trouveront les kiosques de 37 galeries commerciales, provenant de Montréal, Toronto, Ottawa, Vancouver, Regina et Halifax. Vous pourrez y rencontrer leurs porte-paroles et échanger avec eux dans une ambiance conviviale.
Au deuxième étage, au Pavillon, sept espaces projet seront présentés par des galeries émergentes ou alternatives, chacune présentant le travail d’un ou deux artistes. Les exposants du Pavillon, originaires de sept villes canadiennes, ont été choisis par un comité de sélection pour leur travail remarquable et leur apport significatif au paysage de l’art contemporain canadien.
Le Pavillon de Plural accueillera également Le témoignage des matérialités sensibles. Cette exposition, regroupant les œuvres de 11 artistes, explore la fluidité de la mémoire; comment elle se tisse, se fragmente et se réinvente sans cesse.
De plus, de belles surprises vous attendent à l’occasion du 40e anniversaire de l’Association des galeries d’art contemporain (AGAC), l’ONG à l’origine de Plural. Un kiosque spécial sera dédié aux 40 ans de l’AGAC à la foire. À travers une sélection d’archives inédites, cette présentation relate l’histoire de cet organisme qui contribue à la prospérité du marché de l’art contemporain au Canada depuis 1985!
En plus des œuvres, la foire Plural vous offre une riche programmation de conférences, visites guidées et ateliers en cette troisième édition! Ces activités traitent de diverses questions qui façonnent le paysage de l’art contemporain aujourd’hui: techniques de mise en place d’un projet d’exposition, initiation au collectionnement de l’art contemporain, abstraction décoloniale, démarches artistiques actuelles autochtones, cripistémologies et plus encore!
Et, nouveauté cette année: les tables rondes en français seront accompagnées d’une interprétation en langue des signes québécoise (LSQ), et celles en anglais, en langue des signes américaine (ASL).
Soulignons qu’il s’agit de la troisième édition de la foire Plural. Anciennement Papier, la foire s’est réinventée sous un nouveau nom en 2021 afin de refléter la diversité des médiums qu’elle présente, ainsi que le pluralisme de voix auxquelles elle fait place.
Perlina Rossi-Brown
Pour participer à l’événement, vous avez le choix entre un laissez-passer de trois jours pour 60 $ ou une admission générale pour 25$. Les tarifs pour les personnes âgées et les étudiants sont réduits, respectivement à 23$ et 20$.
Une rencontre à ne pas manquer pour les passionnés d’art et de culture!
Alors non, vous ne retrouverez pas Gino dans vos matins, mais vous le verrez bientôt dans des situations pas mal plus précaires… et sûrement loin de sa zone de confort!
Ève-Marie Lortie ne s’est pas gênée pour lui rappeler qu’il avait déjà reçu plusieurs anciens campeurs… et qu’il avait toujours affirmé haut et fort qu’il ne ferait jamais cette aventure! Elle lui a donc demandé, mi-sérieuse mi-taquine, pourquoi il disait cela.
Capture TVA+/Salut Bonjour
«(…) C’était une diversion quand je vous disais ça, parce que je devais faire la saison deux (…) et je voulais tous vous surprendre en ne vous le disant pas. Et je n’ai pas fait la saison deux pour un problème d’horaire. À la toute fin, j’ai cédé ma place. Mais je me disais: Je vais peut-être faire la saison trois (…)», avoue le cachotier.
Capture TVA+/Salut Bonjour
«(…) J’avais envie de faire d’autres choses, j’avais envie d’aller ailleurs (…)», soutient-il.
Son ancien collègue Jean-Philippe Foisy n’a pas pu s’empêcher de le taquiner un peu, en lançant à la blague que Gino est un peu «pissou» et lui a alors demandé comment son aventure s’est-elle vraiment passée.
«(…) Il y a des choses auxquelles je m’attendais, mais il y a des choses auxquelles je ne m’attendais pas. La vie au camp, c’est dur (…) Je dormais peu, j’étais brûlé (…)», témoigne Gino.
Gino, que plusieurs campeurs qualifient de parfait, a tout de même laissé sortir son petit côté rebelle! Il a avoué avoir tenté de tricher en cachant une paire de sous-vêtements de rechange… qui a rapidement été découverte et confisquée par la production. Oups!
Même si ce fut une belle expérience déconnectée, sans cellulaire, où il a eu des conversations profondes et tissé des liens incroyables, Gino avoue avoir eu un moment de grand doute. Lors d’une épreuve particulièrement difficile, il a bien failli déclarer que son aventure s’arrêtait là.
Petite confidence en plus: Ève-Marie a révélé que l’une des plus grandes peurs de l’animateur, était d’être bougon… Et selon ses propres dires, il l’a peut-être un tout petit peu été par moments!
«(…) Le fait de ne plus être à Salut Bonjour, j’avais l’impression que je n’avais pas Salut Bonjour à protéger dans ce contexte-là. Je n’avais que moi. Et après une journée et demie, les caméras, je ne les voyais plus (…) Il y avait des matins où j’étais boubou, et ça paraissait. Ça durait 10 minutes, et j’ai assumé. Ce n’est pas grave (…)», assume-t-il, en riant.
Depuis la fin de son contrat à l’émission, Gino affirme profiter pleinement de son temps pour réaliser divers projets, voyager et prendre du recul. Mais une chose ne change pas: partout où il va, les gens continuent de lui parler de son ancien rôle d’animateur matinal… et de sa famille de Salut Bonjour.
Ne manquez pas le premier épisode de la nouvelle saison de Sortez-moi d’ici! ce dimanche 13 avril à 19 h 30, sur les ondes de TVA et TVA+.
Oh là là! Nos charmants goûteurs, Victor et Pablo sont de retour et cette fois, ils partent en mission pour dénicher le meilleur sandwich en ville!
En collaboration avec MIAM, le magazine jeunesse sur l’alimentation, ils partiront à la découverte de quatre restos pour couronner le roi des sandwichs!
Direction Piazza Salumi, Greenberg, Taverne Atlantic et Aux Vivres!
De l’Italien au wrap en passant par le hot-dog, les façons d’apprêter un sandwich ne manquent pas… mais laquelle saura conquérir le cœur de Victor et Pablo?
Au Québec, comme ailleurs, il est normal et populaire de croiser des individus qui arborent le même nom de baptêmes.
On s’entend, ici, des Tremblay, des Roy, des Nadeau, des Gagnon et des Côté, pour ne nommer que ceux-là, il y en a des tonnes. Souvent, sur Google, il faut mentionner la profession de l’individu en question, afin de trouver ce que l’on cherche, ultimement.
Bref, au Québec, deux David Savard sont bien connus des Québécois, soit le défenseur du Canadien de Montréal, ainsi que le comédien!
Ces derniers ont d’ailleurs été amenés à se rencontrer au Centre Bell, mardi, le 8 avril, au terme du match contre les Red Wings de Detroit, un duel remporté par la marque de 4 à 1 par Montréal.
Le numéro 58 du CH s’est ensuite dirigé vers les gradins, afin de prendre la pause avec l’acteur!
Savard le joueur de hockey, âgé de 34 ans, a joué 866 matchs dans la LNH avec les Blue Jackets de Columbus, le Lightning de Tampa Bay et le Canadien de Montréal, comptant 242 points et une Coupe Stanley (2021, contre Montréal).
Du côté de l’acteur, âgé de 47 ans et surnommé souvent «l’encyclopédie de la télévision», il est connu pour ses rôles dans La Faille, Mensonges, Ruptures et Doute raisonnable, notamment.
Véronique Cloutier et ses collègues ont visité cette cabane à sucre sur la Rive-Sud
Le 3 avril dernier, l’équipe de Véronique et les Fantastiques a troqué les studios de radio pour les douceurs d’érable en visitant l’incontournable Érablière Charbonneau, à Mont Saint-Grégoire. Une escapade gourmande et chaleureuse au cœur de la tradition québécoise!
Située au 45, chemin du Sous-Bois, l’Érablière Charbonneau est l’endroit idéal pour vivre l’authentique saison des sucres, et ce, jusqu’au 30 avril 2025. Véritable institution familiale, l’établissement propose un repas servi à volonté aux tables, dans une ambiance conviviale.
Au menu? Un festin classique : soupe aux pois, jambon, omelette au four, fèves au lard, oreilles de crisse, tourtière maison, ragoût de boulettes, sans oublier les desserts décadents comme les pets de sœur, la tarte au sucre et bien sûr, la traditionnelle tire sur neige.
En plus, la joyeuse bande de Véronique et les Fantastiques ont pu profiter des nombreuses activités offertes en saison: visite de l’évaporateur, balade en nature et rencontres animées dans l’ambiance typique de la cabane à sucre.
Avec ses sentiers pédestres, sa mini-fermette et sa boutique gourmande, l’Érablière Charbonneau est bien plus qu’une cabane à sucre: c’est une destination à découvrir en famille ou entre amis, tout au long de l’année.
En effet, le chef adoré s’est ouvert sur cette grande nouvelle et ce moment de bonheur pour leur famille.
«Je vais vous dire quelque chose que j’ai dit à personne (…) depuis 24 h, je suis grand-père (…) D’avoir ce petit Arthur-là dans mes bras, écoute, j’en ai braillé. C’est comme émouvant (…)», confie-t-il, ajoutant que plusieurs grands-parents lui avaient dit que ce serait une belle aventure, et qu’il réalise maintenant que c’était vrai.
«Il n’a pas encore ouvert ses yeux, tu sais, il est tout petit et il est arrivé deux semaines avant (…)», révèle le fier grand-père, en affirmant que le bébé se porte bien.
«Ma fille, en fait, c’est elle qui me fait le plus pleurer, parce que je n’en reviens pas comment elle est forte, comment la nature prend le dessus (…) C’est un grand moment (…)», conclut-il, visiblement émotif et comblé de bonheur.
Le chef a ensuite expliqué qu’il n’y a pas de gars dans la famille, et que cette fois, il vivra de nouveaux apprentissages. Il espère aussi pouvoir gâter son petit-fils avec de délicieux gâteaux… parfois même en cachette des parents!
Félicitations à toute la famille, et beaucoup de bonheur à eux pour cette nouvelle aventure remplie de beaux moments et d’amour.
À quelques heures de l’entrée en vigueur de nouveaux tarifs douaniers visant la quasi-totalité des pays du monde, à l’exception de la Russie et de la Corée du Nord, Donald Trump a prononcé un discours de 1h30 devant le National Republican Congressional Committee.
President Trump said negotiating countries are "kissing my ass," hours before sweeping global tariffs went into effect.
Se vantant que plusieurs pays l’appelaient pour «lui embrasser le derrière», le président américain a tenu ces propos alors même que les principaux alliés et partenaires commerciaux des États-Unis ripostaient en imposant d’importantes mesures de représailles tarifaires, sans montrer le moindre signe de recul.
/CaptureLiveNowfromFox
Lors de son long discours au traditionnel dîner de levée de fonds à Washington D.C., Donald Trump a multiplié les déclarations triomphalistes, assurant: «Je sais ce que je fais» et se félicitant d’avoir connu les «les 100 jours les plus réussis de l’histoire de ce pays».
Trump a également repris ses propos étranges au sujet du personnage de Hannibal Lecter, tiré du film The Silence of the Lambs. Faisant référence au célèbre tueur fictif, il a déclaré que le monde se demande pourquoi il parle de lui, alors que c’est un personnage de fiction, avant d’ajouter: «Il ne l’est pas» , affirmant que «beaucoup d’entre eux» ont traversé la frontière.
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Trump s’est également moqué des pays qui, selon lui, l’appelleraient pour le supplier de conclure un accord. «Je ferai n’importe quoi, Monsieur», mime le président, se moquant des autres pays du monde.
Pourtant, les principaux partenaires commerciaux et alliés des États-Unis contredisent ouvertement le discours de Donald Trump, en imposant à leur tour des mesures de rétorsion et en montrant aucun signe de vouloir plier devant ses pressions.
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Le Canada a été le premier pays à répliquer à la guerre commerciale lancée par Donald Trump, en imposant des contre-tarifs et en affirmant que: «Le Canada continue de répondre fermement à tous les tarifs injustifiés et déraisonnables imposés par les États-Unis sur les produits canadiens».
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Après l’imposition de tarifs de 104% par l’administration Trump sur les produits chinois, Pékin a répliqué en lançant des contre-tarifs de 84%, promettant de «se battre jusqu’au bout» dans cette escalade commerciale.
Dans un mouvement d’unité, les pays membres de l’Union européenne ont riposté en adoptant une série de mesures, dénonçant des tarifs américains qu’ils jugent injustifiés et dommageables, affirmant: «L’Union européenne considère que les tarifs américains sont injustifiés et préjudiciables, causant des dommages économiques aux deux parties, ainsi qu’à l’économie mondiale».
Quelques heures après son discours, Trump reculait pourtant, plaçant ses plus récents tarifs sur pause pour une durée de 90 jours, à l’exception de la Chine.