C’est sur les réseaux sociaux que le chanteur a annoncé une magnifique nouvelle, soit que lui et son amoureuse, déjà parents d’un petit garçon, attendent leur deuxième enfant. Un secret qu’ils avaient soigneusement gardé jusqu’à maintenant.
«Depuis quelque temps nous avons gardé un petit secret! Billy sera grand frère pour juin 2025 🍼 ❤️ Croyez-vous que ce sera une fille ou un garçon?», dévoile Paul.
Toutes nos félicitations à Dan et sa famille, ainsi qu’à Paul, qui sera grand-papa à nouveau!
Le film Le cyclone de Noëlfait présentement un tabac au box-office québécois, ayant déjà engrangé plus de 2 millions de dollars aux guichets. Sortie en salle le 8 novembre dernier – et toujours à l’affiche au cinéma – la comédie dérivée de l’émission L’œil du cyclone s’apprête déjà, ce mois-ci, à faire le saut sur ICI TOU.TV EXTRA (dans la section VÉRO.TV)!
Nous avons eu la chance, en marge du dévoilement du long métrage, de nous entretenir en tête-à-tête avec Véronique Cloutier, dont le personnage d’Éliane de L’œil du cyclone prend, dans Le cyclone de Noël, une grande importance, alors qu’elle aide sa sœur Isabelle (Christine Beaulieu) à réunir sa famille, laquelle compte s’éparpiller le soir du réveillon.
Hollywood PQ: Véro, ton personnage d’Éliane dans L’œil du cyclone est toujours un peu éclaté, mais dans Le cyclone de Noël, elle va encore plus dans la folie pure…
Véronique Cloutier : «Oui, on y va vraiment dans le tapis! J’ai ajouté deux bûches! On m’a laissée aller et c’était le fun! (rires) Parce que, des fois, il faut me ramener!»
«Je suis vraiment super contente. Faire un film de Noël, c’est déjà un cadeau; mais de faire un film de Noël avec la même gang avec qui tu fais une série depuis quatre ans, c’est assez exceptionnel. Ça n’arrive pas souvent, dans une vie. Pour quelqu’un comme moi qui renoue avec le cinéma un peu sur la pointe des pieds, un peu traumatisée (rires) [NDLR : Véronique Cloutier fait ici référence aux Dangereux, film de 2003 dans lequel elle partageait la vedette avec Stéphane Rousseau, encore considéré comme l’un des pires bides du cinéma québécois], c’est un contexte idéal. Je me sens comme un bébé qui fait ses premiers pas avec des matelas tout autour! Il peut tomber, mais sans se faire mal. Moi, j’aime Noël, j’aime le temps des Fêtes. Je serais la cliente idéale pour ce film-là, au cinéma. En plus, j’ai le bonheur de jouer dedans. Je me demande même pourquoi on n’y a pas pensé avant, à faire un film de Noël avec L’œil du cyclone!»
HPQ: Après Les Dangereux, qui était ta première expérience au grand écran, avais-tu eu la chance de rejouer au cinéma?
VC : «J’avais fait un mini caméo dans L’Âge des Ténèbres, de Denys Arcand, avec Marc Labrèche. J’étais une des filles de la scène de speed dating. Ça ne compte pas comme une expérience de cinéma! Au fil des ans, beaucoup de projets se sont pointés, mais je suis comblée dans mon métier, je suis vraiment choyée. Le cinéma, quand ça se présente, c’est un bonus. C’est comme la sauce sur la dinde ou le ketchup sur la tourtière! Je ne courais pas après ça, et finalement, ça ne s’est jamais fait. Des fois, j’auditionnais, j’obtenais le rôle, mais le film ne se faisait finalement pas; d’autres fois, j’auditionnais, et je ne l’avais pas. D’autres fois, des gens m’approchaient pour écrire pour moi, et ça n’aboutissait pas. Si on croit au destin, on peut se dire que le chemin était tracé pour que je revienne au cinéma dans ce contexte-là, qui était parfait pour moi!»
HPQ : En te regardant t’amuser dans le film, on se dit que ça doit te manquer, de jouer dans le Bye Bye…
VC : «Oui et non. Ça me manque de parodier, le trip de gang. Ça, j’aime ça. Mais je ne m’ennuie pas de le regarder, stressée, le 31! Le 31 décembre, maintenant, on regarde le Bye Bye comme tous les autres millions de téléspectateurs au Québec. Il y a quelque chose de vraiment plaisant là-dedans, d’avoir mon mari avec moi, reposé, de bonne humeur, dans le temps des Fêtes! Mettons qu’on y a goûté, pendant quelques années… Ça, ça ne me manque pas du tout. Mais j’ai tourné un sketch pour un projet récemment, qui n’est pas encore sorti, et on m’a mis une perruque, un costume, on m’a maquillée, et j’avoue que je me suis dit deux ou trois fois, dans l’après-midi, que les Bye Bye, j’aimais vraiment ça, que ça me manque! Mais ça va me passer! C’est comme quand je vois un bébé. Ça me passe! (rires).» [NDLR : Véronique Cloutier a participé à 6 éditions du Bye Bye, en 2003, 2008, 2010, 2011, 2012 et 2013].
HPQ : La cinquième saison de L’œil du cyclone arrivera sur ICI TOU.TV EXTRA en février, et la quatrième sera présentée à ICI TÉLÉ à compter de janvier. As-tu l’impression que ton personnage d’Éliane, qui est un peu frivole, évolue, d’une année à l’autre?
VC : «Elle commence, oui. Pendant longtemps, elle était le ressort comique des épisodes, mais là, on sent une évolution. On vient de terminer le tournage de la saison 5, et dans les dernières scènes qu’on a enregistrées, Éliane se pose des questions. Est-ce que c’est vraiment ce qu’elle veut, être constamment célibataire, ne jamais s’engager? Elle découvre que, peut-être, elle aurait aimé être en couple et amoureuse. Dans la saison 4, on voit qu’elle a peur de vieillir seule, quand elle se blesse et qu’elle va vivre chez sa sœur. Elle est vulnérable, mais elle a de la misère avec le fait de recevoir de l’aide de la part des autres. Dans le film, Éliane est touchée par le cri du cœur de sa sœur, qui veut tellement que les traditions aient lieu comme d’habitude. Elle offre son aide à Isabelle, mais à un moment donné, elle trouve que sa sœur va trop loin, et il y a un début de conflit entre elles, ce qu’on n’avait jamais vu à la télé. Mais Éliane va toujours rester l’effet drôle de L’œil du cyclone. C’est à ça que je sers, et je pense que je suis efficace dans ça.»
HPQ : C’était vraiment ce type de personnage que tu voulais jouer à la télé, la fille un peu fofolle, à la Sex and the City?
VC : «Oui. Je pense que c’est plus facile de me suivre dans ça. D’accepter ma proposition dans un personnage qui est vraiment dans la comédie pure, que dans le drame. Je n’aurais pas voulu et je n’aurais pas pu jouer le personnage d’Isabelle, qu’interprète Christine Beaulieu. Les gens m’ont tellement vu animer, en 30 ans, qu’il faut qu’il y ait l’espace mental pour accepter que je joue un personnage. Ç’a été long pour le public de s’adapter, et pour moi aussi. Dans la saison 1, je ne me trouve atrocement pas bonne! Je ne me crois pas du tout. Et dans la saison 2, j’étais un peu mieux, et dans la 3 aussi. Dans la 4, la 5 et dans le film, je pense que je commence à maîtriser cette affaire-là! Je ne pense pas que j’aurais pu jouer le rôle de Guylaine Tremblay dans Veille sur moi…»
HPQ : Tu as énormément de projets cette année (l’édition spéciale de La Fureur de samedi dernier, la troisième saison de Zénith débutant le 9 janvier à ICI TÉLÉ, le spectacle Zénith à l’été 2025, Véronique et les Fantastiques à Rouge, le Gala des Fantastiques à la Place Bell le 10 avril, la Fondation Véro et Louis, le magazine Véro…), et ta famille se porte aussi très bien. Ton garçon Justin vient d’ailleurs de célébrer ses 20 ans, ton aînée Delphine aura 22 ans en janvier, Raphaëlle a 15 ans…
VC : «Je trouve que j’ai de beaux jeunes épanouis. Je pense qu’ils sont heureux et intelligents. Ils sont en santé. Je n’ai pas de problème à les voir vieillir. Mais, honnêtement, je me dis souvent que je voudrais qu’on arrête là. Que ma vie gèle maintenant! Ce sont de jeunes adultes, mais ils sont encore proches de nous, ils n’ont pas encore leur propre famille. Ils sont indépendants, mais proches. On est dans le sweet spot, la zone sensible exactement parfaite. Mais ça ne restera pas ainsi, et il faut que je l’accepte! Que veux-tu…»
«Ils ont tous bien hâte de rencontrer Kristina. Ils ont bien, bien hâte, ils arrêtent pas de me demander: Elle est où Kristina, c’est quand qu’elle vient à Sherbrooke? (…) elle va passer au cash (…)», a déclaré Aleksa faisant référence à la rencontre entre sa famille et sa douce.
Chose dite, chose faite, puisqu’Aleksa a partagé un cliché de lui accompagné de sa maman et de Kristina entrain de savourer un délicieux déjeuner au restaurant.
D’ailleurs, ils ont profité de leur passage à Sherbrooke pour visiter Maxime, un ancien candidat de leur cohorte, dans son restaurant.
Attirer Justin Trudeau à sa table pour un repas d’ailes de poulet piquantes à l’émission Hot Ones Québec a été, pour Marc-André Grondin, une entreprise de longue haleine.
C’est ce qu’a raconté le comédien, animateur et producteur à Hollywood PQ sur le tapis rouge du Gala Québec Cinéma, quelques jours avant que cet épisode très spécial de Hot Ones Québec n’arrive sur la plateforme illico+.
Il aura fallu, au total, huit mois de travail pour convaincre le premier ministre du Canada de se prêter au jeu aussi puéril que rigolo de Hot Ones Québec. Celui-ci est l’adaptation, rappelons-le, du populaire concept américain Hot Ones, dans lequel des personnalités en vue répondent à des questions de plus en plus corsées en avalant des ailes de poulet badigeonnées de sauces de plus en plus brûlantes. Évidemment, si l’expérience revêt l’allure d’un exercice d’humilité pour n’importe qui…
Imaginez pour Justin Trudeau!
«Ç’a été beaucoup de démarchage, beaucoup de demandes», nous a indiqué Marc-André Grondin.
«On doit franchir beaucoup de murs avant de se rendre au premier ministre! À l’origine, on devait tourner au mois d’août; tout était booké, et, à 24 heures d’avis, il a eu une urgence. On savait qu’une telle chose était possible…»
«Après, on n’est pas repartis à zéro, mais presque. Parce que, évidemment, on ne fait pas déplacer le premier ministre juste pour un show d’ailes de poulet! Il faut attendre qu’il soit en ville et que ça entre dans son horaire. Mais ça s’est passé, et j’ai trouvé ça complètement surréaliste!»
Marc-André Grondin ne cache pas que le très honorable Justin Trudeau figurait «en haut de sa liste» lorsqu’est venu le temps de sélectionner les invités du drôle de talk-show qu’est Hot Ones Québec.
«Je pense que personne n’y croyait! Moi, je me dis toujours qu’il faut essayer, il faut demander jusqu’au bout, et au pire, on se fait dire non. Et ç’a marché! C’est complètement dingue! Il y a du monde qui tuerait pour recevoir le premier ministre, et moi, je l’ai eu pour manger des ailes de poulet et lui poser des questions! Ç’a été bien agréable. Il y avait beaucoup de monde autour, plus qu’avec Pier-Luc Funk… (rires).»
L’hôte de Hot Ones Québec – qui arrive à conserver un air étonnamment stoïque pendant ses tête-à-tête «gastronomiques», même s’il déguste exactement les mêmes produits que ses convives – soutient que cet épisode avec Justin Trudeau vaut le coup d’œil.
«J’ai trouvé ça super le fun! C’est quelqu’un qui fait des entrevues depuis toujours. Sa job, c’est de parler, de débattre, de répondre à des questions. C’est sûr que c’est un invité qui est très facile. Je suis très content!»
Marc-André Grondin, qui tourne présentement dans la deuxième saison de la comédie dramatique Bellefleur, ne sait toujours pas s’il y aura une deuxième saison de Hot Ones Québec. Les 12 premiers épisodes, qui mettent en vedette, entre autres, Valérie Plante, Xavier Dolan, le lutteur Kevin Owens, Christine Morency, Stéphane Rousseau, Katherine Levac, Sarah-Jeanne Labrosse (amoureuse de Marc-André) et d’autres artistes, sont déjà tous sur illico+.
Ceux et celles qui les ont regardés peuvent témoigner qu’au-delà de l’aspect comique des papilles en feu, Hot Ones Québec expose les talents d’intervieweur évidents de Marc-André Grondin, qui parvient à poser des questions très originales pour sortir ses interlocuteurs de leurs discours habituels.
«Je ne pose pas des questions pour le public», a précisé le principal intéressé. «Je pose des questions pour l’échange que j’ai avec l’invité. Mon but, c’est que l’invité parte en disant que c’était le fun. Je veux que ça soit une belle discussion. Après, j’espère que le public va trouver ça intéressant, y trouver de l’information nouvelle ou différente. Mais, je sais qu’à la base, les gens le regardent quand même pour voir du monde se brûler la yeule! (rires) Le reste, c’est un bonus!»
L’acteur se dit extrêmement fier du Successeur, une œuvre qu’il qualifie de «déstabilisante et surprenante», dans laquelle il personnifie Ellias Barnès, un homme qui doit régler la succession de son père décédé, avec tout ce que celle-ci comporte de tordu.
«J’en entends beaucoup parler. Ça montre que les gens ont envie d’aller au cinéma pour se faire déstabiliser, se faire brasser», a conclu Marc-André Grondin.
«Après deux ans, j’ai laissé ma vie derrière, j’ai fait mes six valises, puis je suis revenue chez nous…»
En novembre 2022, Jenny d’Occupation Double Dans l’Ouest annonçait qu’elle s’installait à Paris pour travailler dans l’industrie des jets privés en tant qu’agente de bord. Le 10 décembre 2024, elle a révélé que son aventure en France était désormais terminée et qu’elle mettait désormais le cap sur Miami.
Elle a fait deux stories sur le sujet via son compte Instagram avant de nous donner plus de détails.
«Après deux ans, j’ai laissé ma vie derrière, j’ai fait mes six valises puis je suis revenue chez nous […]. J’aime ça la neige quand même, mais je préfère les palmiers, le soleil et la plage […]. J’ai consulté une avocate en immigration et je m’en vais vivre aux États-Unis, donc je vais essayer d’avoir mon visa. Ça commence les procédures […]. Plus précisément à Miami […]. I’m back, mais pour combien? Je ne sais pas parce que j’ai hâte de retourner travailler dans les jets privés.»
Jenny s’est confiée à nous sur ce changement:
«En gros, mon visa pour la France, c’était un an et renouvelable pour une autre année, donc je pouvais rester juste deux années. Ensuite, après avoir eu mon expérience à Paris, je savais au fond de moi que j’allais aux États-Unis après, parce que l’expérience, je l’ai acquise à Paris, puis après je me suis dit: Il y a des plus gros jets. En fait, 75% des jets dans le monde sont aux États-Unis, donc il y a beaucoup plus de travail, et moi, je voulais vraiment vivre dans une ville où il y avait des palmiers, du soleil et une plage, donc ça se limitait à la Floride ou la Californie. J’ai eu une opportunité d’emploi, mais je n’ai pas mon visa encore […].»
Elle a continué en expliquant que son rendez-vous avec l’avocate était cette semaine donc elle espère pouvoir refaire ses valises le plus tôt possible.
Catherine Brunet et son amoureux, Émile Ouellette, se sont offert une soirée dans un prestigieux restaurant gastronomique!
En effet, c’est sur sa page Instagram que la comédienne a partagé plusieurs clichés des plats qu’ils ont dégustés au cours de leur soirée romantique.
«Amazing», lance-t-elle dans un premier temps, laissant présager l’incroyable expérience qu’elle a vécue.
Elle a ensuite partagé des images des plats savoureux et visuellement magnifiques qu’ils ont dégustés lors de leur soirée.
Le restaurant Addison est le premier restaurant trois étoiles Michelin de San Diego et le seul restaurant cinq diamants et cinq étoiles du sud de la Californie.
D’après une autre image partagée par Catherine, il semblerait que le duo ait vécu une soirée mémorable.
«Un client satisfait et repus», lance-t-elle en marge d’une image d’Émile qui semble être aux anges.
C’est donc un restaurant à ajouter à votre liste d’activités incontournables pour vos prochains voyages à San Diego!
Le Palais des Congrès de Montréal accueille pour une 68e édition le Salon des métiers d’art du Québec, du 12 au 22 décembre. Ce rassemblement sous le thème du savoir-faire mettra à l’honneur cette année plus de 200 artisans et producteurs venant des 4 coins du Québec.
On y retrouvera une foule de kiosques, de conférences inspirantes et d’expositions spéciales, tous en lien avec les multiples métiers d’arts. Christian Bégin, fidèle porte-parole, sera sur place pour mettre en lumière le talent et la passion des créateur.rice.s locaux. Plusieurs ambassadeurs feront de même, dont la céramiste Marilyn Champagne, le maroquinier Philippe Tissier, l’artiste verrière Karine Foisy et les chocolatiers d’Allo Simone.
Cette année, une exposition hommage sera consacrée à Michèle Lapointe, artiste du verre. De plus, un nouveau concours « Coup de coeur du public » visera à récompenser l’artisan.e qui aura conquis le coeur des visiteurs. Ceux-ci pourront élire leur kiosque préféré et ainsi courir la chance de gagner plusieurs prix.
Un événement de passions qui saura inspirer n’importe quel amateur d’art!
En effet, c’est sur sa page TikTok que le mannequin a partagé une vidéo dans laquelle il semble suggérer que le public manque de cohérence dans ses jugements concernant la téléréalité.
«On va parler de l’hypocrisie des gens qui regardent OD (…)», commence-t-il, visiblement amer.
«(…) Nous, les candidats d’OD Martinique, on s’est fait éteindre (…) parce qu’apparemment à OD Martinique, il y avait que des influenceurs, que des gens qui veulent être créateurs de contenu (…) mais à la sortie d’OD Martinique, il y en a combien qui sont devenus créateurs? (…) et là, votre nouvelle saison d’OD Mexique, tout est beau, tout est je ne sais pas quoi, mais parmi les 20 candidats d’OD Mexique, il y en a combien qui sont créateurs une semaine après le show? Il y en a 20 (…) si tu dénonces quelque chose, tu le dénonces jusqu’au bout ou alors ne dénonce pas, mais ce n’est pas tu dénonces quand ça t’arranges (…)», lance-t-il faisant part de sa vision tout en ajoutant ne rien avoir contre les candidats la récente saison.
Cependant, dans les commentaires, plusieurs affirment avoir condamné la saison et cessé de la regarder pour une raison différente de celle dénoncée par Rami, à savoir «l’intimidation».
Avez-vous cessé de regarder OD Martinique pour les raisons soulevées par Rami?
Nous avons eu le plaisir d’interviewer le talentueux Pierre-Bruno Rivard, un humoriste polyvalent qui excelle également dans l’écriture ainsi que dans la conception de publicités et d’émissions.
Se décrivant lui-même comme «le meilleur humoriste que tu ne connais pas», Pierre-Bruno nous présente son tout nouveau spectacle, Chat de Ruelle.
Ce spectacle aborde une variété de thèmes captivants et constitue l’occasion idéale de découvrir cet artiste unique, si ce n’est pas déjà fait!
Guidé par sa valeur fondamentale de rester humain, il explore des sujets dans lesquels vous vous reconnaîtrez très probablement, promettant un spectacle à la fois authentique et, bien sûr, hilarant!