À VOIR | «Au milieu du mois de juillet, je ne sentais pas le goût de jouer au hockey comme je le sentais d’habitude» -David Perron, qui sera collaborateur de @jic_tvasports cette saison : https://t.co/vm3jJtaGPp pic.twitter.com/LySmGD84wb
— TVA Sports (@TVASports) September 3, 2019
Il me semble que cette déclaration est passée sous le radar, non? Perron et les Blues de Saint-Louis ont soulevé le gros trophée argenté pour une première fois. Un fait historique. Glisser les doigts sur la Coupe Stanley demeure le rêve ultime de tous les joueurs de hockey qui parviennent à atteindre la Ligue nationale de hockey. Perron l’a eu, il a réalisé un rêve de ti-cul. Mais Perron a aussi manqué de gaz durant la période estivale puisque son envie de renouer avec l’action était à son plus bas niveau.
Au milieu du mois de juillet, je ne sentais pas le goût de jouer au hockey comme je le sentais d’habitude. – Perron
Habituellement, à la mi-juillet, les joueurs sont animés par un désir incroyable de renouer avec l’action, mais cette fois-ci, Perron n’était pas dans cette « mentalité ». Remporter une Coupe Stanley, c’est traverser un trajet très ardu. Une équipe qui accède à cette grande finale joue du hockey pratiquement jusqu’à la mi-juin, donc l’été est forcément plus court pour les joueurs qui touchent à cette euphorie.
Par chance, lors de son tournoi annuel pour sa fondation, les 3 et 4 août dernier, Perron se rendait vers l’amphithéâtre et c’est exactement à ce moment qu’il est redevenu fébrile et que son envie de « rejouer » au hockey est subitement réapparu. Ç’a pris quelques semaines, avec raison, mais l’important c’est qu’aujourd’hui, il est prêt à amorcer la prochaine saison avec beaucoup d’engouement.
Bref, on apprécie toujours l’authenticité de David Perron lorsqu’il jase devant les caméras.