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Dans les coulisses

David Reinbacher cloué au banc en fin de match dans une défaite des siens

Hier, Kloten a gagné en prolongation sans David Reinbacher. Apparemment, l’espoir du Canadien était malade et a dû déclarer forfait pour la rencontre.

Cet après-midi, son équipe était de retour en action. Pour l’occasion, elle affrontait la pire équipe du circuit. Mais une mauvaise fin de troisième période et éventuellement, une défaite en prolongation sont venues gâcher la belle séquence de l’équipe.

En effet, depuis que le directeur général de l’équipe est derrière le banc, l’organisation est la troisième équipe de l’heure dans la NLA. Elle a une fiche de 3-0-2 depuis le congédiement de Gerry Fleming.

Et comme mentionné il y a quelques jours, Reinbacher semble déjà dans les bonnes grâces de son nouveau pilote. Il a premièrement été muté à la droite de Nathan Beaulieu dès le premier match et il a hérité de beaucoup de temps de jeu en avantage numérique et à égalité numérique, entre autres.

Pour résumer le match de cet après-midi, Kloten menait 2-1 en fin de troisième, mais Ajoie a marqué un but pour forcer la prolongation. La nouvelle équipe de Frédérik Gauthier a finalement remporté la joute en temps supplémentaire.

Mais l’histoire du match (d’un point de vue des partisans du Canadien), Reinbacher n’a pas été aperçu, selon Grant McCagg, sur la glace lors des dernières minutes du match. Ni en troisième ni en prolongation. Bizarre…

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Est-ce qu’il était blessé? Sûrement pas, car il était sur le banc. S’il était aux prises avec une blessure, il aurait été au vestiaire, non?

Est-ce qu’il a ressenti des symptômes de son virus/maladie d’hier? C’est possible. Présentement, nous sommes sans réponse.

Espérons que ce n’est rien de grave et/ou qu’il n’est pas tombé dans les mauvaises grâces de son entraîneur. Après tout, le défenseur est en Suisse pour jouer et non réchauffer le banc.

Malgré tout, l’Autrichien a terminé le match avec une passe, une fiche de plus-1 et 17:44 de temps de jeu. Huit joueurs de son club ont été sur la patinoire plus longtemps que lui.

À noter que son partenaire, Beaulieu, n’était pas en uniforme, lui. Hier, il aurait reçu un tir à la main dès les premiers instants du match et n’est jamais revenu au jeu par la suite. 

En rafale

– Il y a neuf ans, un géant s’éteignait.

– Ça va mal à Tampa.

– Merci de gâcher mon samedi.

– Dommage.

– Bonne chose.