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Des souris éclairent les chercheurs en fertilité

Une étude menée sur des souris démontre qu’il est possible de protéger de l’infertilité les femmes subissant des traitements contre le cancer.

Les ovules peuvent se réparer d’eux-mêmes à la suite des dommages causés par la radiation, déclarent les chercheurs en fertilité, tel que rapporté par le site nlm.nih.gov.

Ceci ravive l’espoir des femmes qui doivent subir des traitements contre le cancer de contrer les problèmes éventuels d’infertilité liés à ce type de thérapie.

Même si les sujets-tests ne sont limités pour l’instant qu’aux souris, les chercheurs de l’étude croient fermement que le lien est direct et s’applique également aux femmes.

Outre les patientes en traitement pour le cancer, l’étude est un vent d’optimisme pour les femmes souffrant d’une ménopause précoce, une condition qui augmente les risques d’infertilité, ainsi que celles atteintes d’ostéoporose et de maladies cardiaques.

Dans un papier qui devrait être publié dans l’édition du 9 novembre du Molecular Cell, on allègue que des chercheurs australiens ont découvert que les ovules ne sont pas tués par la radiation, comme on aurait pu le croire auparavant.

En fait, ils le sont par deux protéines du nom de Puma et Noxa, qui entreraient en action dès qu’une anomalie ou un dommage est détecté dans les ovules.

Dans les expériences conduites, les souris qui ne possédaient pas ces protéines produisaient des ovules qui survivaient aux radiations, tout à fait capables de féconder naturellement.