La compagnie pharmaceutique américaine Synta est à l’origine du financement de l’étude.
Les travaux ont permis aux chercheurs d’observer qu’en oxygénant au maximum les cellules cancéreuses, ces dernières se détruisaient par elles-mêmes, ralentissant ainsi la progression du cancer de la peau.
Grâce à certaines manipulations cellulaires et à l’utilisation du médicament le STA-4783, les chercheurs sont parvenus à saturer le niveau d’oxygène des cellules cancéreuses, les poussant ainsi à l’autodestruction.
Selon Anthony Williams, de Synta Pharmaceuticals, le fait que le médicament utilisé n’affecte pas les cellules normales limite les effets secondaires possibles et permet d’espérer la future utilisation de cette méthode dans la lutte contre le cancer de la peau.