Désormais, les manufacturiers ne peuvent plus en faire à leur tête quant à l’étiquetage du gluten, et ce, parce que les gens atteints de la maladie cœliaque ne peuvent tolérer qu’une infime quantité de cet ingrédient.
Aux États-Unis, jusqu’à hier (5 août), les produits sur lesquels il était indiqué « sans gluten » ne respectaient pas nécessairement la règle établie il y a un an. Celle-ci indiquait qu’un aliment sans gluten ne pouvait pas dépasser 20 parties par million pour être considéré comme exempt de blé, seigle ou orge.
Ce taux de gluten est désormais appliqué à la lettre et reconnu par les autorités de la santé comme étant suffisamment bas pour être toléré par les gens souffrant de la maladie coeliaque. Malheureusement, auparavant, l’orge et le seigle faisaient partie « d’ingrédients cachés ».
Cependant, comme l’indique Dre Nancy Debunks, le gluten se fait le bouc émissaire de tous les maux dernièrement, et un régime sans gluten ne convient pas à tous. Les aliments qui n’en contiennent pas sont moins riches en fibres et contiennent souvent plus de sucre et de gras saturés.