Le documentaire, lauréat de la Palme d’Or du dernier Festival de Cannes, a connu une entrée cinématographique très importante aux États-Unis, il y a deux semaines.
Fahrenheit 9/11 qui veut dire pour le réalisateur, « la température à laquelle brûle la liberté ».
Le film raconte les attentats du 11 septembre, sans que soient remontrées les images des avions percutant les tours du World Trade Center.
Michael Moore démontrer ensuite les liens de George Bush et de l’industrie texane du pétrole avec l’Arabie saoudite et la famille Ben Laden.