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Faire sa part pour enrayer l’intimidation

Que vous soyez professeur, éducateur spécialisé, travailleur social ou parent, vous devez intervenir si vous êtes témoin d’intimidation.

Il faut d’abord apprendre à cerner les comportements d’intimidation et être prêt à y faire face, tel que l’indique le HuffPost.

 
Quoi faire

Identifiez la réelle intimidation — Certains comportements, bien que cruels et mal intentionnés, sont des réactions spontanées, et non de l’intimidation. Il faut faire la différence.

Ouvrez-vous aux jeunes – Il faut leur montrer que nous sommes attentifs, même si nous sommes débordés! Un simple sourire, dire bonjour en mentionnant le nom du jeune ou mentionner que votre porte est toujours ouverte.

Gardez l’œil ouvert – Plus vous dirigerez votre attention vers les comportements inappropriés, plus facilement vous les repèrerez.

Intervenez avec peu de mots – Votre présence, encore plus que vos mots, aura déjà un impact sur l’intimidateur. Le simple fait de mentionner que vous n’avez pas intérêt à voir cette situation se reproduire est efficace.

À éviter

Ignorer la situation en passant à côté sans rien faire ou en niant que vous en êtes témoin.

Aggraver la situation. Si vous demandez au jeune « Est-ce que ça va? Est-ce qu’il t’intimide? », vous envenimerez la situation, car l’enfant n’osera pas se confier. Adressez-vous directement à l’intimidateur.

Stéréotyper les intimidateurs. Il faut se remémorer que même les enfants de bonne famille peuvent développer de mauvais comportements. Évitez de juger trop rapidement un jeune, mais surtout, gardez en tête que l’habit ne fait pas le moine.