Fini les chichis et bonjour les jeux «spicy» à L’île de l’amour… oups, OD Chypre!

Tout est dans tout!

Depuis le début de la saison à OD Chypre, nous avons droit à plusieurs rebondissements surprenants. Une tournure exaltante pour les téléspectateurs qui, ces dernières années, s’étaient habitués à un format un peu plus sage… voire beige.

Nous croyons peut-être que cette nouvelle version, plus divertissante, est le fruit de l’influence d’autres télé-réalités diffusées avant cette édition

Tristement — ou heureusement —, OD nous donne parfois une impression de déjà-vu. Depuis le début de cette nouvelle saison, on trouve questionnables certains jeux, les façons de filmer, ou encore la manière dont les animateurs prennent la pose, parfois un peu trop sérieusement…

Comme dans d’autres téléréalités qui ont su se démarquer et divertir — notamment L’île de l’amour, autant dans sa version québécoise qu’américaine — on sent que celle-ci a bel et bien laissé son empreinte… à Chypre.

Les choses sont toutefois devenues encore plus marquantes lors des derniers épisodes, avec ces jeux frivoles et délurés: une guerre de maisons mixtes où l’on se lèche le haut des cuisses, les pieds à la crème fouettée et les bananes en guise de symbole de sexualisation.

Et que dire des motions en mode ralenti, où tout le monde s’éclate… avant même le jeu?

…Oui, oui — L’île de l’amour, quand tu nous tiens!

Et comme si faire un copier-coller de leurs compétiteurs ne suffisait pas, eh bien, ils ont trouvé le moyen d’utiliser leur propre concept: celui d’OD Tentations au soleil…

Bon, il faut donner à César ce qui appartient à César:

OD a parfaitement choisi ses candidats cette année.

Un mélange qui rappelle les vieux OD, ceux où la bisbille n’est jamais bien loin, où les filles cessent un instant d’être en mode OD friendship.

Parce que, bien qu’Any et Cindy aient peut-être enterré la hache de guerre, on voit bien les regards, les non-dits… Il n’est qu’une question de temps avant que la chaumière s’effrite à nouveau. Entre elles… ou avec d’autres.

Et parlons d’Arnaud — notre fameux Arnaud ! Qu’on en parle en bien ou en mal, l’important, c’est qu’on en parle toute la saison…

Et qu’il apporte bien des bidous…ou bisous à la production.

Mais misons, misons et remisons sur le fait qu’il faut trouver des idées ailleurs pour survivre…

Bref, comme pour Arnaud: parlons-en mal, mais parlons-en !