Mercredi (28 octobre), le groupe américain a déclaré accorder sa préférence au consortium mené par le constructeur automobile chinois Geely. Ce n’est toutefois qu’une déclaration de bonne volonté, car la vente ne se fera qu’à certaines conditions.
Ford veut en effet s’assurer que l’acheteur aura les reins assez solides pour assurer la pérennité et le développement de Volvo, tant au niveau financier qu’au niveau des valeurs et de la créativité.
Geely pourrait, de son côté, profiter de l’expertise et du savoir-faire européen pour améliorer la qualité de ses produits et enfin accéder à la vente sur le vieux continent. Gagnant gagnant? On le saura prochainement si Ford décide de faire un pas de plus vers la vente.