On apprend de Voici.fr que Valérie Trierweiler contrôlait à sa guise ceux de ses proches qui pouvaient ou pas rendre visite au président François Hollande.
Malgré la mainmise de son ex-femme, Hollande n’avait cependant pas cessé de rencontrer certains contacts « interdits » par la première dame. Entre autres, l’ex-député de la 10e circonscription de l’Essonne, Julien Dray, qui était un proche de Ségolène Royal, ancienne compagne de François Hollande et mère de ses 4 enfants.
« Avec François, nos contacts et discussions ne se sont jamais interrompus », indique Dray à Paris Match. Le quotidien avance même que depuis le départ de Trierweiler, « l’atmosphère lui est moins contraignante ».
Même les enfants de l’homme d’État se voyaient interdire l’accès. « Désormais, il leur dit de passer quand ils en ont envie et, surtout, de rester dîner avec lui le plus souvent possible. »
Thomas, l’aîné de François Hollande, a toujours détesté Trierweiler, l’accusant d’avoir détruit l’image de son père. Il est d’ailleurs l’instigateur de la rencontre de Julie Gayet avec ce dernier.