Alors que l’échéance donnée par la Maison Blanche pour fournir un plan de restructuration valable approche à grands pas, l’idée la plus probable serait de mettre GM en faillite, de séparer les zones les moins profitables, certaines marques ou usines, des actifs sains.
La partie la moins rentable serait liquidée progressivement tandis que le reste sortirait de faillite en une quinzaine de jours.
Certains analystes s’accordent cependant à dire que cette rumeur pourrait être en réalité un moyen de pression sur les créanciers et les syndicats afin qu’ils acceptent les concessions que réclame GM depuis plusieurs semaines.
La nouvelle a provoqué de nombreuses inquiétudes au Québec, notamment parmi les retraités de GM. Plus de 3 000 personnes vivent en effet grâce aux fonds de retraite du constructeur. En cas de faillite, ces caisses subiraient probablement une refonte profonde.