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GSP avait raison

L’UFC a encore une fois dû suspendre l’une de ses vedettes pour avoir consommé des produits dopants, et ce, trois jours avant son plus gros événement de l’histoire.

À quelques jours de l’UFC 200, qu’on qualifiait du plus gros événement de la compagnie en date, l’affrontement principal a été annulé en raison d’un cas de dopage. Le combattant Jon Jones a été pris en défaut une deuxième fois pour cette raison, alors qu’il devait affronter Daniel Cormier dans la grande finale.

Si les deux combattants de cette finale se sont publiquement dits déçus de la situation, le grand manitou de l’UFC Dana White s’est aussi montré frustré devant une annulation de la sorte, à quelques jours de l’anniversaire de la compagnie qu’il chapeaute.

En remplacement de cet événement principal, le combat de demi-finale entre Brock Lesnar et Mark Hunt sera le dernier de la soirée.

Pour en revenir aux produits dopants, il semble que le problème ne soit pas réglé dans l’UFC, malgré le fait que la compagnie suspende aujourd’hui plus d’athlètes que jamais auparavant.

La tête d’affiche Georges St-Pierre avait d’ailleurs sonné l’alarme il y a quelques années lorsqu’il a quitté la compagnie, affirmant avoir peur pour sa sécurité lorsqu’il se battait contre des adversaires drogués.

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Photo : Facebook