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Guillaume Lemay-Thivierge : « Il faut trouver son équilibre »

Durant le tournage de Filière 13, Guillaume Lemay-Thivierge avoue avoir été un peu épuisé.

Guillaume Lemay-Thivierge enchaîne les projets. À l’affiche en ce moment dans Filière 13, nous le verrons aussi dès le 1er octobre dans Le poil de la bête et il entame cette semaine le tournage de Frisson-des-Collines qui se terminera le 31 août.
 
Le sympathique comédien confiait à BUM interactif que malgré toute l’énergie et le dynamisme qu’on lui connaît, il peut être affecté par le surmenage.
 
« Une carrière qui va bien ne veut pas nécessairement dire que l’être humain est équilibré là-dedans. Quand ta carrière va bien, ça veut dire que tu es très présent, très médiatisé, il y a un déséquilibre. On peut se demander c’est quoi ma vie là-dedans. Donc, comme dans Filière 13, je devais jouer la déchéance d’un personnage, ce n’était pas si difficile de jouer un gars à bout quand on l’est soi-même parfois. J’ai un travail extraordinaire que j’aime, mais quand on en fait trop, c’est épuisant. Du surmenage, c’est du surmenage. Il faut donc parfois savoir équilibrer les choses et espacer les projets. »
 
Heureusement, malgré un peu de fatigue, retrouver Claude Legault, Paul Doucet et Patrick Huard comme réalisateur (la même équipe des 3 p’tits cochons) a été une véritable partie de plaisir.
 
« C’était difficile de tourner dans le sens où on se connaissait. Je regarde Claude ou Paul et j’ai de la misère à ne pas rire. J’avais de la difficulté à ne pas être un petit gars qui veut juste avoir du fun et rire avec eux. Je suis tellement content d’avoir retravaillé avec eux. Au Québec, on a peur de ce genre de choses, mais pour une fois, on ose faire ce que les Français font, soit travailler avec la même équipe. J’espère qu’on pourra faire un film ensemble aux deux ans, c’est ce que je nous souhaite », mentionne Guillaume en riant.