Ça me faisait perdre mes moyens.
Pour une fois, entre confidences, trac et précarité
Guy Jodoin était de passage à l’émission Pour une fois, où il passait un moment en tête-à-tête avec Patrice L’Écuyer, cette fois dans le rôle d’intervieweur.
Le concept est simple: quatre invités se succèdent, pendant que les autres observent en coulisses, témoins des échanges parfois drôles, parfois profondément humains.
Le premier à ouvrir le bal a été Pier-Luc Funk…

C’est lorsque le sujet du trac est apparu à la conversation que le ton s’est fait plus personnel. Patrice a avoué, sans détour, ressentir encore aujourd’hui une forme de stress, malgré ses décennies d’expérience. Un stress qui l’aide toutefois et avec lequel il vit bien… Une confession surprenante pour un visage aussi familier du public.

Cependant, le stress ne touche pas tout le monde de la même manière.
À ces paroles, Guy Jodoin a offert une réaction empreinte de sincérité, confiant comment il vit lui-même le stress:
«Moi, je ne veux pas aller là, je ne veux pas l’avoir. Je fuis ça, comme la peste, le trac… parce que ça me faisait perdre mes moyens», lançait-il dans les coulisses.
Autre sujet fort intéressant abordé à l’émission
«C’est un accident. Je suis arrivé à l’animation par accident, mais je me suis mis à savoir longtemps d’avance. J’ai dit: Wow, c’est fantastique, ne pas te demander: comment je vais payer mon loyer la semaine prochaine? Parce que l’impôt, les premières années, j’avais hâte, parce que j’en recevais», confiait l’animateur de longue date.
Entre rires, vérités et vulnérabilité, cet épisode de Pour une fois a rappelé que, derrière les projecteurs, subsistent des doutes bien réels, même chez ceux que l’on croit inébranlables.
Avez-vous vu ce moment à la télé? Et vous, est-ce que le stress vous pousse à foncer… ou plutôt à fuir?