Hier (1er mai), le juge a refusé d’accorder sa liberté à Jean-François Harrisson en attendant le prononcé de sa sentence.
Le comédien, qui a reconnu sa culpabilité pour possession, distribution et importation de pornographie juvénile, souhaitait retrouver sa liberté. Il disait qu’il voulait travailler avant de retourner en prison, car il n’avait plus d’argent, rapporte La Presse.
Cependant, le juge Jean-Pierre Boyer a fait savoir à Harrisson qu’en raison de ses bris de condition et de son comportement passé, il ne pouvait lui accorder sa confiance.
Rappelons que le comédien ne s’était pas présenté à des audiences et avait eu un comportement des plus étranges auparavant.
Les autorités ont retrouvé chez lui 28 000 photos d’enfants nus, dont 19 000 illustrant des sévices sexuels.
Harrisson écopera d’une peine de prison ferme, la loi prévoyant une peine minimale d’un an.