La star de la chanson française réclamait à sa maison de disques la restitution des bandes originales de ses chansons et le droit de pouvoir exploiter librement ses titres (plus de 1 000) enregistrés sur une quarantaine d’années.
Du côté de la multinationale du disque, on craignait une jurisprudence dangereuse pour les producteurs de disques.
Cette histoire a démarré en janvier 2004, lorsque la vedette se jugeant « exploitée » par sa maison de disques au fil des ans, avait annoncé sa décision de démissionner. Une association qui durait depuis 42 ans, son premier label, Philips, ayant été absorbé par Universal Music.