Une étude menée par la Dre Rebecca C. Thurston et son équipe, de la Faculté de médecine de l’Université de Pittsburgh, démontre que l’incidence de maladies coronariennes augmente de 76 % chez les femmes qui avouent se sentir seules.
L’analyse des dossiers médicaux de plus de 3 000 adultes a permis à la chercheuse et ses collègues de conclure que cette disparité entre les sexes est attribuée à l’importance accrue que les femmes accordent aux relations interpersonnelles. De plus, ils croient que celles-ci sont plus stressées que les hommes par ces relations lorsqu’elles sont insatisfaisantes.
Cette recherche réalisée par la Dre Thurston s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont associé la sociabilité et l’isolement aux maladies cardiovasculaires.