Selon des chercheurs de l’Université Harvard, la
capsaïcine contenue dans le piment fort aurait la propriété de cibler seulement les récepteurs de la douleur.
Cette découverte pourrait permettre à une femme d’accoucher sous épidurale sans se priver momentanément de l’usage de ses jambes et de la sensation de mettre au monde un enfant.
Les anesthésies locales effectuées couramment affectent toutes les cellules nerveuses, donc bien plus que celles que l’on souhaite paralyser, entraînant des désagréments.
Selon le docteur Joan Hester, présidente de la British Pain Society, bien que cette composante du piment fort n’ait pas encore été testée sur l’humain, elle pourrait éventuellement permettre de grande percée dans le domaine de l’anesthésie.