Le bonheur d’un couple se trouve loin des couches
Selon un sondage de La Presse, une grande majorité de parents québécois de la mi-trentaine à la mi-quarantaine sont moins heureux que la population globale.
On rapporte notamment d’autres études qui mentionnent que les parents sont moins susceptibles de vivre un bonheur amoureux. Le Time a publié un article intitulé Do Children Bring Happiness – or Misery? (Est-ce que les enfants apportent le bonheur ou la misère?), et le Guardian a frappé avec le titre Childless couples have happier marriages (Les couples sans enfants vivent des mariages plus heureux).
Il faut comprendre que le stress est souvent responsable. Celui-ci empêche le deux tiers des couples de s’accorder régulièrement du temps entre amoureux, et une vie sexuelle satisfaisante.
Si l’on en croit les statistiques, plusieurs séparations surviennent pendant la première année de vie d’un enfant, et le tiers des enfants se retrouveront avec des parents divorcés avant 10 ans.
Ce que les parents oublient, cependant, c’est que ce rôle nécessite une bonne gestion des conflits. Le psychologue Yvon Dallaire renchérit : « Le couple n’est pas fait pour nous rendre heureux. C’est un creuset pour générer des crises. Non, le couple n’est pas un long fleuve tranquille ».