Le détail qui a chicoté Ève-Marie lors de sa rencontre avec son amoureux

Crédit: Capture YouTube @La vie sociale

Moi, je peux vous dire que la première fois que j’ai vu Clarens, je l’ai trouvé super beau, mais…

La chouchou adorée du public, Ève-Marie Lortie était récemment de passage au balado La vie sociale, où elle s’est ouverte avec sincérité sur plusieurs sujets, dont sa relation amoureuse, un aspect de sa vie qu’elle garde habituellement très discret.

Alors qu’elle parlait du fait que chaque personnalité garde une part de jardin secret et décide de ce qu’elle veut partager ou non, l’animatrice en a profité pour aborder son histoire d’amour.

«Mon conjoint des presque 18 dernières années n’existe pas (rires), il ne veut pas lui (…)», lance-t-elle amusée.

Capture YouTube @La vie sociale

«On ne sait pas à quoi il ressemble», questionne l’animateur.

«Pas beaucoup. Cherchez-le pas à côté de moi sur des photos, il ne court pas après ça. En fait, il n’aime pas ça, mais il est le premier à dire: Aweille, vas-y (…). Mais lui, ça ne l’intéresse pas», soutient-elle.

L’animateur a alors mentionné qu’il trouvait amusant qu’elle parle de lui, puisqu’il avait justement quelques questions sur le sujet. Il lui a demandé comment elle définit cet amour aujourd’hui, après tant d’années de vie commune, non sans souligner au passage à quel point il trouve admirable de voir des couples filer le parfait bonheur depuis si longtemps.

«Ouin, mais ce n’est pas le premier essai (rires), c’est ça l’affaire (…). Il y a eu des relations moins bonnes avant, et quand j’ai rencontré Clarens, je suis dans la trentaine (…)», affirme-t-elle, suivie de l’animateur célibataire qui s’exclame que c’est donc possible et qu’il ne faut pas lâcher.

Un détail sur lequel elle a choisi de passer outre

«Moi, je peux vous dire que la première fois que j’ai vu Clarens, je l’ai trouvé super beau… mais je n’aimais pas ses vêtements», avoue-t-elle en riant, alors que les animateurs ajoutent en riant eux aussi que ça arrive souvent, et que le look, ça se change!

Capture YouTube @La vie sociale

«Bien, pas tout le temps, mais… pour certaines sorties, ça peut se changer (rires) (…). Ce que je veux dire, c’est que je m’étais rattachée beaucoup sur la conversation qu’on avait eue (…), comment moi je me suis sentie dans la conversation, notre première rencontre. Il avait clairement établi, en partant: Je ne suis pas ici pour jaser avec la fille de la télévision, moi, c’est la fille de Jonquière qui m’intéresse», poursuit l’invitée, après avoir été questionnée sur le fait qu’il s’agissait, ou non, d’un rendez-vous amoureux.

Le début de leur histoire

«Oui, semi blind date même (…) Je te ramène aussi à une époque où on n’avait pas d’applications. Alors, on sort à peine de Réseaux Contacts. D’ailleurs, il m’avait envoyé sa fiche Réseaux Contacts (rires), mais moi, je ne savais pas c’était qui. C’était un intermédiaire qui nous a matchés. Mais lui, évidemment, à cause de Salut Bonjour, Clarens me connaissait par la télévision, mais il faisait confiance à son ami (…). On avait ça en commun: la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean (…)», explique l’animatrice.

Elle a ensuite affirmé que c’est une chose de dire qu’on ne veut pas parler à la personnalité publique, mais bien à la personne derrière. Toutefois, si toutes les questions tournent autour du métier, c’est qu’il t’a menti, ce qui, heureusement, n’était pas le cas.

«Il m’a posé d’autres questions. Il m’a posé des questions sur mes intérêts, puis on en avait en commun, beaucoup. Puis la conversation de la soirée avait été très, très, très agréable», témoigne Ève-Marie.

L’animatrice du balado a renchéri en demandant comment l’amour des débuts se transforme avec les années.

Le secret de leur amour qui dure depuis tant d’années

«Moi, j’aime beaucoup l’amour de… après 18 ans, vraiment beaucoup. Pas qu’il est plus confortable, il est plus (…) velouté, il est plus… soyeux, je ne sais pas. Parce que le début, eille… il est cardiaque (…) ah, il est le fun, il est le fun (…). Moi, je me souviens, j’allais voir Clarens les fins de semaine à Québec, puis je m’arrêtais quatre coins de rues avant pour me remettre un push, pour me placer (…). Après 18 ans, il n’y a plus de push (rires). Il y en a des fois, parfois. Nous deux, Clarens et moi, je pense que ce qui fait qu’on fonctionne si bien, c’est qu’on n’a pas tant besoin l’un de l’autre (…). Il y a une grosse, grosse indépendance, et ç’a défini notre relation depuis le début. On a mis plus de dix ans à vivre ensemble, parce qu’on n’était pas dans la même ville (…) Mais si tu es quelqu’un de très, très, très fusionnel, tu ne vas pas fonctionner dans ce modèle-là. Ce modèle-là, il nous convient à nous deux, parce qu’on s’épanouit très bien… l’un sans l’autre, mais on est très, très, très bien quand on est ensemble aussi (…)», témoigne-t-elle, visiblement encore très amoureuse, le sourire fendu jusqu’aux oreilles.

Capture YouTube @La vie sociale

Depuis qu’elle a repris l’animation à Montréal à Salut Bonjour, l’animatrice explique qu’elle revit avec son conjoint les débuts de leur relation, puisqu’elle est souvent à Montréal et qu’ils se retrouvent ensuite, lui étant maintenant retraité à Québec.

«On a tellement de fun ensemble, on a tellement confiance l’un en l’autre. Tu sais, ce n’est même pas un enjeu, ce n’est même pas une discussion (…)», conclut-elle en ajoutant que son conjoint l’a encouragée à prendre la relève de Gino lorsque l’occasion s’est présentée.

On leur souhaite une longue vie à deux, remplie de bonheur, d’amour et de moments tout en douceur.