L’homme qui s’était laissé aller à des menaces jugées sérieuses par les policiers et quelques personnalités québécoises a finalement pu recouvrer sa liberté, rapporte le Journal de Québec.
Or, Jean Darveau est néanmoins soumis à des conditions sévères, mais qui pourraient rassurer ses victimes alléguées jusqu’ici.
Le cas le plus connu parmi les cibles rapportées de Darveau est l’humoriste Guy Nantel, qui s’était dit fort inquiet des propos de l’homme de 48 ans en marge de la présentation de son nouveau spectacle, qui s’était d’ailleurs finalement déroulé sous haute surveillance.
Parmi les conditions appliquées à Jean Darveau, une résidence à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec, un couvre-feu, et l’interdiction de communiquer avec ses victimes présumées.
L’homme devra également utiliser la médication qu’on lui prescrit, et se présenter devant un agent de police attitré à son dossier toutes les semaines, rapporte également le JDQ.