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Le point G existe réellement

Une étude confirme l’existence du point G chez les femmes.

En 2010, des chercheurs affirmaient que le point G n’était qu’un mythe populaire, mais cette fois, une étude publiée dans le Journal of Sexual Medecine dit plutôt le contraire.
 
Des chercheurs de l’Institute of Gynecology de St-Petersburg en Floride ont découvert, sur un cadavre de femme, une zone distincte à l’endroit même où on mentionne depuis des années que le point G se trouve.
 
On y voit clairement une poche dont les rebords rappellent les tissus érectiles.
 
La zone érogène se situe sur la membrane périnéale, à 16,5 mm de la partie supérieure du méat urétral et à 35 degrés de l’urètre.
 
Cette zone est également appelée zone de Grafenberg, nom du sexologue allemand Ernest Grafenberg, qui a été le premier à évoquer l’existence du point G dans les années 50.
 
Elle est constituée de terminaisons nerveuses qui, lorsqu’elles sont activées, procurent un plaisir sexuel intense.
 
Après des années de débat, la nouvelle étude a réellement observé une zone bien distincte qui délimite le point G chez les femmes.