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Le point G serait imaginaire

Le point G n’existerait tout simplement pas selon une étude britannique.

Messieurs, cessez de le chercher! Selon une étude britannique, le point G n’existerait tout simplement pas.

L’étude, réalisée auprès de 1 800 femmes âgées de 23 à 83 ans, arrive à la conclusion qu’il est presque impossible de trouver des traits réels au fameux point G.

C’est une équipe du King’s College de Londres qui s’est penchée sur la question, selon le Daily Mail. Cette zone érogène féminine ne serait que le fruit de l’imagination collective encouragée par les nombreux magazines et sexologues.

Selon l’étude, 56 % des femmes questionnées disent avoir un point G et ces dernières ont tendance à être plus jeunes, donc plus actives sexuellement.

Le point G, situé dans le vagin, est censé être une concentration de terminaisons nerveuses qui, une fois stimulées, procurent un plaisir sexuel intense. Selon les chercheurs anglais, cette zone n’existe pas.

La sexologue Beverly Whipple, qui a popularisé le point G en 1981, met en doute cette étude, insistant sur le fait qu’elle ne tient pas compte des « prouesses » sexuelles des divers partenaires.

Le point G tient son nom du gynécologue allemand Ernst Gräfenberg qui revendiquait sa découverte en 1950.