Le quotidien La Presse nous apprend que les poupons de sexe féminin ont un taux de survie plus élevé que celui des bébés mâles.
En effet, les garçons ont 60 % plus de chances de naître prématurément que les filles et de souffrir du syndrome de détresse respiratoire du nouveau-né.
Les chercheurs expliquent ce phénomène par le poids plus élevé des poupons de sexe masculin et à la dimension de leur tête qui est plus grande, ce qui risque de compliquer davantage l’accouchement. D’ailleurs, le taux de naissance par césarienne est plus élevé de 20 % lorsque le bébé est un garçon.
Cet écart entre les sexes a atteint son apogée dans les années 1970 pour ensuite diminuer progressivement grâce aux progrès de la néonatalogie et des soins médicaux prodigués aux enfants.