Les méchants de la télé s’expriment
Dans un article bien ficelé pour La Presse qui intéressera certainement les plus friands de télévision québécoise et/ou de sociologie, la journaliste Nathalie Petrwoski s’intéresse aux acteurs et comédiens qui se sont attaqués à des rôles de « méchants » dans leurs carrières respectives.
S’il fut une époque où les vilains de la télé (ou du cinéma) se faisaient apostropher dans la rue où voyaient leur carrière sérieusement amochée par un tel choix professionnel, il semble que ce soit moins le cas de nos jours, alors que le public semble davantage en mesure de faire la différence entre un acteur et un personnage, et que les rôles de méchants s’avèrent carrément davantage en vogue.
Plusieurs comédiens comme Pier-Luc Funk, Vincent Leclerc, Iannicko N’Doua et bien sûr, Jean-François Ruel, acceptent de commenter leur expérience de « méchant » dans l’article de La Presse (qu’il est possible de découvrir en entier juste ici).
La conclusion semble généralisée : si le risque existe encore dans le fait d’accepter un rôle de vilain, et que le public s’avère davantage poli, il n’en demeure pas moins qu’il semble s’agir du défi ultime, et du plus stimulant, pour un acteur.
Crédit photo : Capture Fugueuse, Facebook, TVA